Première PARTIE
Chapitre première
La large steppe couverte de l'herbe jaune de l'an passé. Sur le haut-plateau un vieux tube en fer brun de la rouille sort de la terre, il est renforcé par des tirants de fil. Il y a longtemps qu’il ne fume plus. À côté du tube se trouvent cinq ou six baraques de logement brévilignes; dans la vieille maçonnerie des murs en briques il y a des fissures et ils sont prêts à se détruire à tout moment, seuls de nombreux supports les soutiennent.
Derrière les baraques se trouvent des montagnes de cendres du charbon. Lors de la chaleur, dès que le vent souffle, le brouillard noir apparait au-dessus du village. Mais maintenant, au début du printemps, la terre et la cendre sont humides et il n’y a pas de la poussière.
Ce petit village de Karaganda parmi la steppe nue rappelle le grain de beauté sur un large visage de l’homme.
Un jour du printemps une caravane solitaire est apparu au loin. Mais ce ne fut pas une caravane ordinaire de nomades kazakhs.
Les briskas attelé en tandem, les binards recouverts de la bâche se traînaient un après l'autre. Il y a de quinze à vingt personnes dans les chariots et tous sont russes. Juste dans la première briska il était assis le résident d'alentour, le kazakh Kanabek, petit et disposé à la plénitude. Son voisin était un homme de la constitution hercule, ses cheveux noirs ont été légèrement gris. La caravane s’est approchée du cimetière qui se trouvait au bord du chemin et elle s'est arrêtée. Les voyageurs regardaient autour eux, mais il n’y avait personne, il paraissait que le village est mort.
Kanabek s'est soulevé dans le briska et il a crié hautement:
- Eh, qui est là ?
Un haut homme avec les épaules carrées et les bas moustaches pendants de la couleur noire est sortie de la baraque. Pendant une minute il examinait attentivement les étrangers, essayant de comprendre qui sont ces gens. Puis, il s'est dirigé lentement vers la caravane, en déplaçant difficilement les pieds.
Kanabek attendait avec impatience:
- Peut-être la terre se dérobe sous tes pieds ? Oh! Que tu es lambin!
Un homme à la moustache s'est approché et il a dit à voix basse:
- Bonjour !
Il s'est arrêté sans tendre la main à personne.
Kanabek a sauté du briska, a accouru à lui et il a tendu sa MAIN –
- Soyons connaissants, mon cher! Je suis Kanabek, Chef du comité exécutif de district Telmanovski. Savez-vous ça?
- Oui, je suis au courant — a répondu l’homme à la moustache. — Et moi, — je suis Ermek, l'ouvrier. Je suis résilier ici pour garder Karaganda.
- C’est toi, qu’il nous faut! Tu sais, qui est venu chez nous? Ce sont des gens de Donbass, et quelques-uns d’eux sont de Moscou. Ils veulent que Karaganda morte renait à la vie. Ils vont construire avec nous une nouvelle Karaganda soviétique! - Kanabek parlait avec précipité. – Et voilà, je te présente notre ami Sergey Petkrovitch Chtcherbakov, il est aussi, comme toi, un vieux mineur, le futur gérant du trust. - Il a indiqué à son voisin du briska. - Et celui-ci il est un technicien, le camarade Kozlov. Le serrurier Lapchine. Et voici l'ingénieur Orlov.
Ermek a salué tous en tendant à chacun la main. Son visage bronzé est devenu rose, dans ses yeux il y a apparu la luisance. Mais il sauvait les apparences et il n'a pas prononcé même un mot, bien que sa mine éveillée montrait la joie mieux que les mots.
Lors de cette courte conversation, un petit village renait à la vie. Des enfants se mettent à courir. Des hommes et des femmes sont sortis des baraques. Des conducteurs des chariots sont apparus qui sont venus des kolkhozes voisines pour prendre du charbon. Les cavaliers qui ont galopé par ce chemin retenaient leurs chevaux. Peu de temps après, une petite foule de gens se recueilli autour des visiteurs.
On a entendu les questions :
- Est-ce au’ils veulent lancer l’exploitation industrielle à Karaganda?
- On a entendu dire que les maîtres de Donbass sont arrivés!
- Hé, ne plaisante pas avec notre charbon, il fusionne le fer!
Еrmek a sorti de sa poche un jeu de clefs et il l’a tendu à Chtcherbakov.
- Je suis au courant de votre visite de la part de M. Tchaȋkov et je vous attend depuis longtemps. Voilà donc vouz êtes arrivés enfin. Tenez en mains propres les clefs de l’exploitation industrielle!
Chtcherbakov a pris les clefs et les a cahoté sur sa large paume. Dans un instant il s’est perdu dans ses pensées, en entourant des yeux bleu clair profondément placés la steppe étendue autour de lui. Il doit-être que ses vastes espaces sans bornes l'a commotionné.
Ayant levé la main en haut avec les clefs, le hercule aux larges épaules a commencé à parler à voix haute:
Les camarades! Dès que le berger natif d’ici Appak Baȉjanov a trouvé dans la tanière des marmottes le charbon de Karaganda, il a passé déjà près de cent ans. Toutes ces longues années les capitalistes russes et anglais tenaient sous clé les richesses de la terre kazakhe pour que le peuple ne sache pas. Alors, maintenant nous ouvrirons à l’aide de ces clefs les serrures et nous retournerons à la disposition du peuple les trésors qui lui appartiennent! Nous étions envoyés ici par le parti communiste pour aider au peuple fraternel kazakhe à réveiller à la vie cette large steppe. En conformité de la décision du gouvernements soviétique l’exploitation petiote et pauvre du charbon doit se changer à la fin du plan quinquennal en puissant centre industriel. Il ne sera pas facile de réaliser cela. Mais les efforts nationals permetteront de s'affranchir de tout. Il faut seulement organiser en conformité de la politique du parti ces efforts – dans ce cas là il n'y aura pas d’une place que nous ne pourrions pas emporter...
Chtcherbakov parlait en russe. Dans cette région peu de Kazakhs connaissaient la langue russe. Mais les mots: le parti, le pouvoir soviétique — comprenaient tous. Les discours de Chtcherbakov interprétait Kanabek.
— La vieille-femme kazakh qui se trouvait à côté d'Ermek, en s’appuiant sur la canne, écoutait attentivement son discours. Ses épis blancs sous le chȃle ressemblaient aux tulipes blanches attachées aux tempes. La vieille était sourdaude, mais elle tâchait de comprendre la conversation.
Lorsque Kanabek a fini l’interprétation du discours, la vieille s'est approchée à Chtcherbakov, l'a pris par la main et l’a amené vers le vieux cimetière. Ensuite par les gestes impatients elle a commencé à appeler quelqu'un. Un haut gars jeune est sorti de la foule, à face ronde, à grande bouche. Il se sentait timidement, rougissait et souriait largement.
La vieille, en indiquant à Chtcherbakov aux tombes, disait :
Ici est enterré mon père - il est mort de la tuberculose. Et c'est la tombe de mon mari - il a péri dans la mine. Là on a enterré mon fils aȋné — il était un garçon emporté, il n'a pas supporté des offenses et il a frappé un technicien Anglais. L'ouriadnik Koudrya est venu pour aider l'Anglais et il a entaillé mon fils par le pion. La plupart des enterrés ici sont morts à cause des tortures et du misère. J'entendais bien parfois que notre père Lénine toujours prenait la cȏté des gens qui travaillaient... Voici et toi, mon cher, on t’as envoyé à nous aider.
La vieille a amené par la main du jeune garçon à Chtcherbakov.
- C’est mon seul neveu. Il s’appelle Akym. Il est l'orphelin. Je te le confie, mon cher. Fais de lui un vrai homme, un mineur, dont étaient tous les hommes dans notre famille.
Kanabek a interprété les mots de la vieille, et Chtcherbakov a répondu:
- Merci pour la confiance, mémère. Je realiserai votre demande avec plaisir.
En soutenant la vieille par la main, il l'a emmené du cimetière.
Ermek a accompagné les visiteurs envers la baraque libre. La foule s'écoulait. Les cavaliers, ayant mis les chevaux au trot, ils continuaient leur chemin; les kolkhoziens, ayant chargé les chariots du charbon, ils se sont dirigés vers leurs aouls.
Vers le soir dans la steppe, une nouvelle s'est ébruité, comme sur les ailes du vent: «Les maîtres de Donbass, de Moscou sont arrivés pour lancer Karaganda».
Il a passé quelques jours. Les étrangers se sont habitués à la nouvelle place. La petite exploitation a commencé à naȋtre à la vie.
Non loin des baraques, sur la colline - le petit amas du charbon. À côté duquel Akym avec un autre ouvrier, en chaloupant et en se penchant, tournent à la main la bobine à laquelle est attaché le cȃble d’acier avec une benne à l'extrémité. Ils entassent le charbon monté à l'écart du vieux amas.
- Pourquoi faut-il déverser séparément? — demande Akym.
- Et qui sait! - le partenaire répond.
- Je voulais demander à Sergey Petrovitch, mais je ne sais pas la langue russe, et lui, il ne comprend pas en kazakhe.
- Alors, comment ta grand-mère lui a demandé de faire de toi un mineur?
- C’est Kanabek qui a interprétait.
Chtcherbakov, l'ingénieur silencieux Orlov et le contremaȋtre Seytkali ont monté l’escalier en bois du puits ordinaire de la mine.
Seytkali — un vieux mineur de Karaganda. Quand l’exploitation s'etait éteint, Sejtkali est parti à l'aoul. Mais lorsqu’il a entendu du visite des gens de Donbass, il est revenu tout de suite à la mine et il a commencé à travailler comme maȋtre mineur/ porion.
Seytkali a des cheveux blonds, son nez est charnu et large, sa voix est basse.
— Il y a beaucoup de pertes, trop beaucoup, — disait Chtcherbakov, en remuant la tête. — Presque la moitié de l’abattage de la houille se renverse lors de la montée en haut.
— Lorsque les Anglais étaient ici, des pertes était encore plus grandes, — a répondu Seytkali à haute voix.
— Les Anglais ne nous font pas des lois. Il faut apprendre à obtenir la houille pure non mélangé avec la roche, et les pertes, elles ne sont pas est susceptibles — a répété Sergey Petrovitch, en fumant la pipe et en même temps en surveillant attentivement les ouvriers qui travaillaient près de la bobine.
Les garçons tournent l'arbre avec l'effort, ils s'épongent le front sans cesse.
— Hein, Akym, c’est difficile? Tu es fatigué? — a demandé Chtcherbakov par l'intermédiaire de Seytkali.
— C’est difficile, mais je ne suis pas encore fatigué.
— On voit que tu n’es pas de ceux, qui se fatiguent... Et qu’est ce aue tu dirais, s'il te faut se mettre à la rivelaine?
— Ah, et comment, je l’abattais! Apprenez-moi.
— Nous t’apprendrons. Crois-moi: il viendra un moment où tu vas abattre par un engin. — Sergey Petrovitch a tapoté Akym sur l'épaule et il s'est adressé à Seytkali: - Fais de lui le coéquipier d’Ermek. Pour qu’il prend des connaissances.
Pendant cette conversation l'ingénieur Orlov restait silencieux à cȏté, en essuyant le pince-nez par un mouchoir. Ayant mis le pince-nez, il s'est approché lentement.
Sergey Petrovitch a salué par la tête les garçons qui tournaient la bobine:
- On va pas supporter ça longtemps.
Orlov a haussé les épaules et il a écarté les bras:
- Qu’est-ce qu’on peut faire dans notre situation?
- Et pourquoi ne pas mettre près de la bobine des chevaux?
- Ah, organiser la bobine à cheval! C'est raisonnable.
- Oui, la bobine à cheval. Nous libérerons les gens du travail de brute, et nous allons monter plus de l’houille. Je le confierai à mécanicien Kozlov, et vous aussi aidez-le.
- Et où est ce qu’on va trouver dans la steppe du bois?
— Kozlov trouvera, il réussira.
De l’amas de la gailleterie abattu aujourd'hui Seytkali a choisi les grands morceaux, les a mis dans la caisse et il a commencé à clouer le couvercle.
Akym observait tout le temps son travail d’un clain d'oeil, sans comprendre son but, puis il a demandé:
— Pourquoi tu enfonce des cloues si fort? A quoi ça sert?
— On va envoyer ça à l’Oural et au Donbass.
— Est-ce qu’ils n’ont pas là-bas sa propre gailleterie?
— Ils vont étudier notre gailleterie!
— Etudier? Qu’est ce au’ils en veulent faire, de l’huile? Le charbon — il est et il reste le charbon!
Sergey Petrovitch, s'étant intéressé à la discussion, a demandé Seytkali de l’interpréter. Ayant écouté, il s’est mis à rire.
— Expliquez-lui. Lorsqu’il comprendra, il commencerai à travailler mieux. Le charbon peut être de différente nature. On peut obtenir du charbon comme l'huile, aussitȏt que le coke, qui fait fuser le fer. Il nous faut savoir si notre charbon se cokéfie bien. A l'Oural et au Donbass il y a un équipement spécial pour faire ces expériences.
Akym écoutait, en acquiescant de la tête.
Orlov a commandé à Akym de rappopter la caisse à la baraque, où s'est se disloquée la direction du futur trust. Et il lui a poursuivi.
Alors que Chtcherbakov et Seytkali se sont dirigés lentement vers la mine "Gerbert", abandonnée dès temps de concessionnaires anglais. Ils se sont montés sur la colline. Chtcherbakov avec un sourire satisfait examinait les alentours.
Au loin, sur la hauteur, couverte de la brume blanchâtre, et plus près, sur la plaine basse, — on pouvait voir les gens partout. Ils creusent la terre, comme les chasseurs rompant la tanière d’une grande bête: ici et là-bas fondent des nouvelles mines. Alors que par suite du col de la montagne un après l'autre arrivent des caravanes.
— Le travail a commencé. Tu vois, les gens arrivent peu à peu, — disait Sergey Petrovitch. — Dès que les contrats avec des kolkhozes seront conclus, les caravanes vont couler ici comme le flux..
— Oui, le peuple est déjà au courant de Karaganda. Il attend seulement notre appel.
— Et nous, nous sommes obligés d’être prêts à leurs rencontrer. Des gens, de quoi aurons-ils besoin premièrement? De l'eau, du pain, du logement. Alors qu’au moment présent on a rien.
— Le plus difficile ce sera de trouver de l’eau, — Seytkali a gratté la nuque soucieusement. — dans toute la Karaganda — il y en a deux ou trois puits et l'eau se trouve à la grande profondeur. Creuser des nouveaux puits — c’est pas une mince affaire.
— Oh non, je suis inquièté plus du logement que de l'eau. Il n’y a pas de matériaux de bâtiments sur place. La construction du chemin de fer, pour délivrer des matériaux de bâtiments, prendra du temps. Alors, où doivent-ils vivre des ouvriers en hiver ?
Seytkali a répondu :
— Dans quelques kilomètres d’ici il y a des kolkhozes "Kzyl-Koudouk", "Ak-Koudouk", "Achyly-Ayryk", "Boukpa". On peut loger, pour le premier temps, une partie des ouvriers là-bas. Les autres, comme dernier recours, ils peuvent se construire des huttes de terre. Cela ne demande pas beaucoup de matériaux. Le plus cher c’est l’eau. On pourra pas apporter beaucoup de l’eau des kolkhozes.
La discussion était interrompue par le bruit sonore du marteau, venant du bûcher en pierre à côté de la haut tube en fer. A l'époque, ce bûcher a été construit au lieu du fondement de la mine "Gerbert".
Dans une partie du bûcher, où sont entrés Chtcherbakov et Seytkali, frappait fort par le marteau le forgeron Koktaȋncha - un petit vieillard agile. A l’époque, où des Anglais faisaient la loi il passait pour le meilleur maître professionnel à Karaganda. Ayant entendu que les gens de Donbass et les Moscovites sont venus, Koktaȋncha est revenu de l'aoul plus tȏt que les autres. C’est lui qui est le premier a commencé à battre au marteau sur l'enclume, il a aménagé une petite forge. Maintenant le forgeron martelait la pointe de la rivelaine. Sergey Petrovitch s’est rincé l'œil de l’habileté de ses mains.
Vous modelez du fer plus facilement, que de l'argile.
Koktaȋncha, malgré qu’il connaissait mal la langue russe, il a répondu sans crainte:
-Si vous aviez vu comment travaillait le forgeur Karakyz!
- Où est-il? — a sursauté Chtcherbakov.
- Il est mort.
- C’est dommage!.. Si on aurait plus de bons maȋtres. Faites savoir à tous de vieux mineurs, qu’ils reviennent au métier. Seulement dites leurs qu’ils prennent leurs rivelaines: nous n'avons pas assez d’outils.
- Même eux-mêmes, ils ne vont pas les oublier. Donnez-leur du logement, tout l’autre s'arrangera soi-même.
Son petit atelier est plain de morceaux de fer rouillé, de vieux rivelaines contondants. Dans la cour du bûcher sont posés dans le désordre des bennes cassées, les rails fins. Ici, dans le bûcher, l’outilleur Kozlov, Lapchin et Koktaïncha ont commencé à aménager le futur atelier d'usinage du métier.
Un briska s'est arrêté devant le bûcher, attelé à une paire de chevaux. Un gros homme, bas sur jambes, déjà âgé d’y a sauté et il a commencé à secouer la poussière de son imperméable.
— Kozlov est venu, — a dit Koktaïncha.
— Boris Mikhaïlovitch, vous êtes déjà revenu? — a crié Chtcherbakov. — Avez-vous trouvé quelque chose?
—Il n’y restait rien de bon, —disait Kozlov, en déchargeant du briska n'importe quel vieux vis, les pignons, les morceaux du câble d'acier.
La cuivrerie de Spassk à demi détruite, où auparavant des Anglais faisaient la loi, se trouvait dans trente cinq kilomètres de Karaganda. Kozlov était allé là-bas dans l'espoir de trouver de matériaux pour l'atelier mécanique.
— C’est tout ce que vous avez trouvé?
— Il y a encore trois locomobiles cassées, les restes de deux camerons et quelques tubes. C’est Lapchin qui les apporte.
— Et sur le moulin abandonné de gros paysans à Grand Mikhaylovskoe?
— Qu’est ce qu’il peut rester après des Anglais et des gros paysans? — Kozlov s’est mis à rire, ayant montré les racines des dents labiales cassées. — et là-bas aussi il n’y a rien — rien, sauf deux blocs électrogènes usés. On va essayer de faire quelque chose de cette vieillerie. On va pas rester les bras croisés, et attendre l’aide du chemin de fer.
— Venez ici! — Sergey Petrovitch a accompagné Kozlov, Koktaiïncha et Seytkali à la section voisine du bûcher, vers la descente à la mine "Gerbert".
Chtcherbakov a jeté un coup d'oeil au puits vertical de la mine sombre et profonde et il a demandé Seytkali d'un air préoccupé:
— Quelle est la profondeur ?
— Près de cent mètres.
— Ermek dit qu'au fond de la mine il y a un lac.
— C’est possible. Il y avait toujours beaucoup de l’eau ici.
— Il faut utiliser cette eau pour les besoins techniques. Le géologue Tchaykov me disait qu’il a découvert les sources souterraines dans deux lieux. On va les utiliser aussi. Donc, pour quelque temps on aurait pas besoin de l’eau.
Seytkali surpris a ouvert la bouche. Il a pu seulement dire:
— Je ne peux pas comprendre! — Sur ses représentations, il falait de prende l'eau seulement dans les puits et les rivières. — comme va-t-on obtenir cette eau?
— Nous allons la pomper par l’engin.
— Et où est l’engin?
— Boris Mikhaïlovitch va le construire.
Kozlov a secoué la tête et il a éclaté de rire sonore.
- De quoi je ferai l’engin? De ces rebuts, non?
- C’est à toi, il vaut mieux, de connaître. Les gens ont besoin de l’eau, l'eau! Et pour le moment, remplace cette câbleuse de main par la bobine aux chevaux. Fait ça vite! — a rappelé Sergey Petrovitch.
- Il s'est retourné vers Seytkali. — De jour en jour nos avancéesdes chantiers vont être de plus en plus profonds. Nous ne pourrons pas se passer par des charrettes à bras. Voilà dans la cour de "Gerbert" des bennes et des rails sont jeté par terre...
— Ils sont vieux, ils ne vaut rien.
— Ils seront utiles à Boris Mikhaïlovitch. Préparez-les à la plus vite descente à la mine... Et encore: ne mettez pas les nouveaux ouvriers à la rivelaine tout de suite. Il faut les mettre travailler avec des vieux ouvriers. Chez tels mineurs, comme, par exemple, Ermek, on peut apprendre beaucoup de choses.
Cet homme a l’aspect soigné et il garder tout en soi-même, il parlait tranquillement, sans se dépêcher, dans ses paroles on n’entendait pas de l'ordre, plustȏt le soin paternel des gens.
Ayant donné les dispositions à Seytkali, Kozlov et Koktaïncha, Sergey Petrovitch est allé dans l’administration. Il allait lentement, en fourrant les mains dans les poches de son large pantalon, il allait et il pensait - une idée accourait sur l'autre:
Il y a très peu de mineurs qualifiés! Il ne suffit pas même des ouvriers sans qualification.
Nous prenons la main-d'oeuvre dans les kolkhozes. Les gens veulent veulent faire leurs études. Il faut leurs garantir la nourriture, les vêtements, le logement, les écoles... La production doit augmenter. On va pas partir loin avec la bobine à chevaux, la brouette et la rivelaine. On a besoin de la mécanisation... Et entre-temps que le chemin de fer met en communication Karaganda avec tout le pays, ces difficultés vont rester... Au moment actuel il faut créer sans différer des organisations régionales, du parti, soviétiques, trade-unionistes. Qui nous y aidera? Ah, si on avait plus d’adjoints!...
Parmi la steppe montueuse infinie se cache le petit charbonnage de Karaganda... Sont visibles Par-ici, par-là on observe des groupes des gens dépareillés… Un mouvement lent, presque tâtonnant.
Sergey Petrovitch en revenant de ses pensées, il s'est arrêté, il s'est assis sur une grande pierre, il a sorti de la poche le bloc-notes, il l'a mis sur le genou et il a commencé à écrire:
«Moscou. Au Président du Conseil supérieur de l’économie nationale au camarade Kouybychev.
J’ai étudié la situation et je me suis mis au travail. Je commence à réaliser des plans. Nous fondons trois nouvelles mines. On a expédié les échantillons du charbon au Donbass et à l'Oural pour étudier la qualité. On a trouvé les sources de l’eau dans deux endroits. Les ressources locales sont utilisées en plein force. Mais c’est pas assez. Lorsque la vrai aide arrivera – tout d’abord, il faut faire le chemin de fer, ov va organiser un grand travail. La population autochtone commence à arriver sur le charbonnage. Nous avons besoin des ouvriers qualifiés pour faire apprendre le procès de production du charbon aux nomades d’hier. Il est nécessaire de créer des organisations socioprofessionnels régionales. Je vous demande de recourir aux mesures d'urgence.
Chtcherbakov».
Ayant remis le télégramme au trust, Chtcherbakov, sans tarder, est sorti de nouveau à la liberté, à la steppe. Sergey Petrovitch a déboutonné la veste. Il marchait parmi la steppe, en aspirant à pleine poitrine l'air frais du printemps.
Non loin il a vu les ouvriers creusant la terre, - ils fondaient la nouvelle mine. Chtcherbakov est allé vers eux.
Chapitre deuxième
Le jeune homme sécot à l’aspect soigné avec le visage clair bronzé est sorti en courant et en se précipitant du bâtiment du comité régional du parti. Il avait le cœur qui bat la chamade. Chemin faisant il a parcouru des yeux le document qui lui a remis, tout à l'heure, le secrétaire. Il a été imprimé au dessus par lettres majuscules: «Le comité régional du parti...» Cette petite feuille du papier était son chemin de la vie.
Le jour était chaud, mais le jeune homme ne réduisait pas le pas. Il allait le long de la rue de Charles Marx, encombré par endroits de pierres immenses. Certains d'eux étaient de dimensions du chameau allongé, les autres — pas moins de la yourte. En printemps de la mille neuf cents vingt premier dans les alentours d'Alma-Ata a éclaté la grande débâcle inouï du ciel. Des torrents puissants coulaient des montagnes, en apportant avec le courant des pierres. Les traces de cette inondation restaient jusqu'à aujourd’hui dans la ville.
Le sentier, étroit, comme la piste de lièvre serpentait parmi les pierres de la rue. Le jeune homme impatient de suivre les courbes du sentier, allait tout droit, en sautant de pierre à la pierre.
En se rappelant la longue conversation avec le secrétaire, il a pensé involontairement que la voie, dont maintenant a choisi le Kazakhstan, ressemble à cette rue. Au-devant on voit la vallée, couverte du tapis vert, mais pour y arriver il faut passer par les ravins profonds et de hauts cols de montagnes...
Enfin il est rentré dans son appartement.
La maison en bois qui s’est enfoncée à moitié par terre, auparavant, peut-être il était en bon état, mais lors d’innondation il s’est penchée. Personne ne connaissait pas, où aux jours agités de la révolution a disparu son propriétaire. Maintenant la maison était en colocation. Mais le Conseil municipal jusqu'à aujourd’hui n’a pas encore pu y mettre de l’ordre. Le temps était tel que: partout, en commençant du centre de la république et en finissant par les banlieue des aouls, on pouvait dire, qu’on pendait la crémaillère, la vie se stabilisait.
Le jeune homme est sorti de la maison aussi précipitamment, comme il y est entré. Il tenait dans la main lavalise et sous le bras — l'imperméable. Ayant remarqué le premier cocher qu’il a trouvé, il l'a arrêté :
— A la station!
Le cocher barbu a donné un coup de fouet. La poussière âcre tourbillonnait sous les roues. Le phaéton délabré sautait sur le chemin cahotant, à cause de quoi le passager a du aussi sauter sur le siège. La distance jusqu'à la station —douze kilomètres. Les cochers et les charretiers circulaient lentement de deux cȏté de la route. On rencontrait très peu de voitures. Les hauts peupliers qui poussaient à l’accotement du chemin, ont été couverts de la poussière, on pouvait dire que leurs sommets ont grisonnés. Il était impression que la chaleur et la poussière épaisse étranglent tout le vivant.
- Il apparaît que Alma-Ata est riche non seulement en soleil et en chaleur, mais aussi en poussière, — a prononcé le jeune homme. C'était la seule phrase qu’il a laissé échapper durant tout le voyage.
A la station il a réglé le compte avec le cocher, il est sorti, en se précipitant, sur le perron et il a sauté au wagon du train, déjà prêt à partir.
Non seulement notre héros, mais aussi d'autres voyageurs montaient dans le train sans billets. Le chemin de fer Tourkestano-Sibérien a été lancé il n'y a pas longtemps. Il n’y avait pas encore de trains de voyageurs, mais les wagons rouges des trains de marchandises prenaient tous les désireux qui ne cessaient pas, alors que personne ne garantissait pas leur arrivée au lieu où ils allaient à terme.
Le long échelon du train, remplie de gens, de marchandises, de bétail a démarré en grinçant. Le bégueteraent des brebis, les bêlement du soufflet, les voix des gens – tout ça rappelait la transhumance du printemps du grand aoul.
Le jeune homme, en s’appuyant par l'épaule sur le panneau de porte du wagon, avait les yeux fixés sur le lointain. Alors que le train avançait vite, la terre avec la même vitesse courait en arrière. Seulement Alataou, à la tête blanche, ne s'attardait pas du train. Les sommets des montagnes par de longues chaînes s'étendent à l'est.
Le long de la voie ferrée, à la charrière allaient les gens: à pied, à cheval, sur les chariots. Un garçon brillant du bronzage — avec le nez épaté et le ventre - nu - courait à côté de la voie ferrée, en tâchant de ne pas être en arrière du train. Le jeune homme ayant vu cela s’est mis à rire involontairement. Voici le garçon a suffoqué et il s’est attardé. Maintenant un vieillard, sur le dos du boeuf, essayait d’atteindre les wagons; probablement il appartenait au peuple jalaïr: seulement chez les jalaïrs on considère comme norme de se déplacer au dos des bœufs.
Le charretier qui dormait sur l'araba à deux roues, attelée par l'âne, il s'est réveillé soudain et paniquée il a commencé à agiter les pieds. Alors que l'âne, ayant levé de longues oreilles, a tourné la tête à cȏté du train, mais il n'a pas forcé le pas. Les deux femmes kazakhes étaient assises sur les dos des chameaux, qui courraient au trot, les foulards blancs ondulaient sur leurs têtes. Il y avait ici aussi des cavaliers sur les chevaux de selle, qui faisaient aller à toute bride leurs coursiers, — le martèlement des sabots s'unifiait avec le bruit des roues de wagons...
Il a jeté un coup d'oeil sur le bracelet-montre et il a fait une grimace mécontent. Tous les moyens de transport, qui le peuple kazakh utilisait de toute éternité, ne pouvaient pas être comparer avec la vitesse du train. Le chemin de fer Tourkestano-Sibérien a réduit une ancienne voie mensuelle jusqu'à un jour. Néanmoins, notre héros était impatient. Son voyage restait long. Non pas un mais des centaines de kilomètres il lui fallait encore aller sur les chevaux. Il paraîssait que les espaces immenses de la steppe kazakhe sont infinis.
— Ho, le fiston, assies-toi casser une croûte! — l'ont a interpellé.
Le jeune homme s'est tourné rapidement. Le Kazakh avec la barbe épaisse noire s’est allongé librement, comme à la maison, sur la thibaude, étendue dans le coin du wagon. Sur le dastarkhan — la nappe blanche, écarté au-dessus de la thibaude, — étaient les galettes et le mouton froid gras, et à cȏté — le torsouk noir, cousu en cuir vert fumé, — le réservoir pour le koumis.
— Lave les mains, loulou, — a proposé baybiché1 du Kazakh barbu, en lui donnant la bouilloire avec de l'eau.
Le jeune homme a lavé non seulement les mains, mais aussi le visage et il s'est assis au dastarkhan. C’est seulement maintenant qu’il a regardé autour de lui. Dans le wagon se sont reunis les gens de plusieurs nationalités — parmi les autres il était ici des uzbeks, des ouïghours et des dungans. Tous sortaient le repas et le mettait conformément aux goûts et les habitudes. Un vieillard ukrainien avec des longues moustaches a pris de la valise en bois qu'on a fait soi-même la miche du pain et le morceau du lard de porc. Le passager maigre à nez busqué mangeant le fromage de brebis, était, certes, le fils du Caucase. Alors que le jeune homme qui jouait, tout à l'heure, sur l'accordéon "Galkyabanou"2, — est sans doute, le Tatar.
- Le fils, - s'est adressé au jeune homme le Kazakh à barbe noire, - il y a un proverbe : «que connaître mille gens de vue, il vaut mieux connaître le nom d’un seul».
- Je m’appelle Meyram.
- Je te souhaite un bon voyage! D'où et où est- ce que tu vas ?
- Je suis de loin et je vais loin, - a répondu Menram en bref en regardant attentivement sur le visage du causeur par ses yeux gris. Ensuite il a ajouté:- Je suis de Moscou. Je faisait mes études là-bas. Maintenant, après avoir fini mes études, je viens travailler à Karaganda. Est ce que je peut demander votre nom?
- Je m’appelle Maousymbay. Je me passe de la famille Nayman. Nous allons avec ma vieille à Semipalatinsk pour visiter notre fille mariée... Tu vois comme le train roule vite. Tu ne l’attrapera pas sur aucun cheval.
Est-ce que vous êtes membre du kolkhoze? - a demandé Meyram.
Je m'abstiens pour l'instant, le fiston, j'observe la sutuation. Les gens s’engagent. Et plusieurs paysans moyens se sont inscrits déjà.
Qlors à votre avis les gens s’inscrivent sans observer?
Chacun a ses propres raisons, - a coupé inamicalement le vieillard.
En essayant d’éluder la conversation non souhaitée, lui-même il a commencer à poser des questions à son causeur curieux.
- Si tu avait fini tes études à Moscou, pourquoi tu n’y as pas resté où pourquoi tu ne t'a pas trouvé la place à Alma-Ata ? Pourquoi tu vas à un tel coin perdu?
Мeyram a souri. D’abrd le vieillard l’appelait tendrement le fiston et maintenant il tentait de le égratigner. Il semble que dans la conversation il n’est pas habitué à se sentir gêné et il fait comprendre que: «Même si tu as reçu des connaissances à Moscou, mais je peut te donner un coup de griffe». Мeyram n'a pas commencé à rivaliser en faisant de l'esprit et il a répondu aimablement:
- C’est vrai, j’ai visité de grandes villes, le père. Mais je crois que je connais la vie de peu. J’aimerai bien la voir de prêt.
- Dans notre aoul vit l’homme qui s’appelle Tourman. Il s’est avisé de devenir l'akyne. Quelqu'un lui a dit que pour devenir l'akyne sage, il faut écouter la voix puissante de l’orage sec dans la steppe. Donc voilà, ayant choisi un jour de l’intempéries d'hiver, Tourman est parti loin à la steppe, pour parler avec avec l’orage sec en privé. Le lendemain, on l’a trouvé et il était presque frigorifié. Ainsi il n'est pas devenu l'akyne, mais est devenu la risée pour les gens.
- Dans la vie, le fiston, la surface et la profondeur sont partout. A quoi te sert de chercher si loin la profondeur ?
A cette fois-ci le vieillard l’a égratigné encore plus sensiblement. Mais Meyram ne s'offensait pas, il a seulement ri de l’histoire de l'akyne malchanceu.
— Vous dites la vérité, оtagassy, on peut trouver partout et la surface et la profondeur de la vie. Mon enfance à l'école j’ai passé à Karaganda. Ensuite je demeurais longtemps à Alma-Ata, à Moscou. Mais moi j’était toujours attiré par la patrie. Et qu’est-ce qui peut se débonder, si on renverse in tonneau bréhaigne?
La conversation avec le vieillard passionnait de plus en plus Meyram. Le vieillard possédait la langue bien aȋgue et la mémoire solide, connaissait par coeur les créations des anciens akynes kazakhs. Les dernières années Meyram prenait des connaissances seulement dans les livres, et maintenant il s’est ouverte devant lui une riche trésorerie des mots traits et de heureuses expressions crée par le peuple. Mais Maousymbay comprenait mal ce qu’il disait, il ne se rendait pas le compte que plusieurs anciens aphorismes ne convenaient pas déjà à la nouvelle vie.
—... L’amas du sable ne deviendra pas le rocher. La foule ne pourra pas être le meneur. Du noble peut naître indigne, qui ne mérite pas une tasse de brouet. De mauvais naissance peut se produire digne que, d'ailleurs, se passe rare, —proférait-il avec un aspect ferme.
— Ici vous contredisez notre temps, c’est sȗr — a opposé Meyram — ces sentences s’utilisaient dans l'ancienneté éloignée par les représentants des classes dirigeantes.
— Il est peu probable qu’à cette époque-là les gens connaissaient ce que ça veut dire des classes.
— Oui, peut-être ils ne se rendaient pas compte de cela, mais les sentences, elles-mêmes, confirment que la lutte entre les pauvres et les riches dure depuis longtemps. En fait, ce n’est que seulement maintenent que nous résoluons le conflit de classe éternel,— disait Meyram.
Маousymbay jetait parfois sur lui des regards courts, le sens desquels on pouvait définir comme ça: «Il est probabl que le jeune homme est habile».
En discutant ils n’ont pas remarqué que le jour est bas. Le train s’était arrêté à une quelconque station.
- Pourquoi le train ne demarre pas, le fiston? La locomotive est fatiguée, ou quoi?
- Il doit-être qu’on retient l’échelon parce qu’ils ont des affaires à la station.
Mais Maousymbay n'était pas satisfait de cette réponse.
- Est-ce qu'ils ne peuvent pas achever leurs affaires au chemin de retour? Il faut déposer les gens à la place!
- Notre train n’est pas destiné aux voyageurs, mais plustȏt pour des marchandises. S’il ne suffisait pas de place pour les marchandises, on ne nous a pris guère.
- Peut-être, — a dit le vieillard, en se relâchant. Le soleil s’est déjà caché derrièe les crêtes de montagnes; ses rayons jouaient sur les sommets rocheux de montagnes. La terre, chauffée durant la journée, respirait déjà la fraîcheur. La station était disloquée au piedde la montagne. Devant était une large steppe, derrière et de côtés étaient des crêtes nues de montagnes. Les rivières et les ruisseaux serpentaient sur leures parois et leurs pieds. Au long des bords verdissants se sont disséminées des yourtes. Le village, autour de la nouvelle station, n’a pas encore eu de temps pour etre finalement construit, mais la population autochtone était déjà sédentarisée. Auparavant, dans les aouls circonvoisins le koumis et l’ayran1 ne coutaient rien, maintenent ils tenaient le marché et apportaient de bon argent. Des femmes s'entassaient toujours près des voies ferroviaires.
eh bien, г les si неегда se pressaient les femmes. Elles allaient de wagon à wagon en proposant du lait, de la crème chantilly, du koumis. On entendait le bégueteraent de la brebis mises à la vente. Une grappe de voyageurs a déjà débordé le mouton acheté à frais communs. Plus loin, dans la valée on voyait des troupeaux et des cours de fermes du kolkhoz qui a été crée ici il y a pas longtemps.
Quelque temps Meyram reposait en promenant ses regards sur les aouls, sur la station et sur la steppe vitalisés par le train et les gens. «La steppe s’est réveillée», - pensait-il.
Par des pas lents il a ascensionné sur la roche médiocre. En admirant la rivière qui coulait sous ses pieds, il n’a pas remarqué de premier coup l’homme qui creusait la roche du bas. Et voilà Meyram a entendu le bruit métallique, puis une étincelle a apparue, scintillée par des coups du marteau. Meyram a descendu en bas et s’est approché de l’ouvrier. C’était un kawakh, habillé dans un tablier blouse bleu. En jetant un coup d’oeuil à Meyram, il continuait à creuser par le burin la roche. A sa surface une par une apparaissaient les fouilles similaires qui ressemblablaient aux nids des martinets.
— D'où est tu, le bonhomme ? Pourquoi tu creuses seul?
— D’ici. J’ai pas besoin d’adjoints dans mon affaire.
- Probablement, tu travailles non pour te distraire. Tes nids sont disposées en conformité des calcules. Qui t’a appris à faire ça?
- Vasiliy Petrovitch, notre technicien de l’activité subversive.
- Et à auel but tu creuses?
- Nous allons exploser ça, car nous avons besoin des pierres pour construire le chemin de fer. Maintenant on construit partout.
L'ouvrier soutenait la conversation du bout des lèvres, aux questions répondait parcimonieusement. Il était chargé de son affaire. Мeyram a éprouvé de la gêne en face de lui d’abuser du temps en vain.
On a entendu le coup de sonnette de la station.
— Khoch, contemporains! —il l’a salué et il s'est dépêché vers le train.
Il n’y avait pas de la lumière, la pénombre s'est répandue dans le wagon. Меyram s’est allongé, il a mis la tête sur la valise et ila fermé les yeux.
Du jour de son départ de Moscou il est passé déjà beaucoup de temps et il fallait aller encore dix jours. A son chemin il va rencontrer comme les vallées fraîches de montagnes, aussi que la steppe chaude nue et les pâturages, scouverts des herbes savoureuses...
Le plus Meyram était inquiet à cause les pensées concernantes Karaganda. Quand est-ce que le chemin de fer va être construit dans le désert aride? Comment va-t-on réussir à munir l’industrie et organiser l'approvisionnement des gens par tout le nécessaire? Mais le plus difficile c’est d’éduquer l'armée de travailleurs — la jeune classe ouvrières kazakhe. Tout ça pour Meyram, qui vient de quitter il y a pas longtemps les murs de l'Institut, ce sont les aspects de la vie inconnus, ils dérangent, inquiètent. Il s’est rappelé les mots d'adieu du secrétaire du comité régional du Parti: «le Parti vous aidera, et Chtcherbakov— chef du futur trust — lui aussi est un homme qui a beaucoup d’expérience. Et le plus essentiel - tout le pays va vous aider».
Меyram n'a pas remarqué, quand est-ce qu’il a s’endormi. A moitié endormi, en se tournant à l’autre côté, il a prononcé à haute voix:
— Nous ferons... Nous surmonterons...
Маousymbay a levé la tête:
— Qu’est-ce que tu as dit, le fiston?
... Le Cinquième jour, Meyram va à cheval par la steppe infinie. Sa valise est embâté à la jument gris à pieds légers du guide. Le guide — le garçon kazakh —est très débrouillard dans ses mouvements. Il raconte infatigablement de la vie de la population autochtone, de la région. Les cavaliers vont sans route, tout droit.
— Nous allons passer ce gîte, nous franchirons la crête et nous nous trouverons directement à Karaganda, — dit le guide.
Par endroits parmi les collines vertes ont pouvait distinguer des sapines, sur lesquelles on voyait se tordre les panaches de fumée. Il parvenait des bruits de sorte frappeurs, de petits groupes des gens s'affairaient autour.
— Qui sont ces gens? — a demandé Meyram.
Le guide n'a pas tardé à répondre:
— Les géologues, ils cherchent du charbon. Ils ne connaissent pas du repos — ils creusent et creusent la terre. La troisième année qu’ils sont ici...
- Alors, est-ce qu’ils ont trouvé beaucoup?
Je demandais à un homme, il dit: que si à Karaganda toutes les familles et les tribus, les enfants et les petits-fils du Kazakhstan vont se mettre au charbonnage, alors, même les petits-fils ne vont pas extraire tout le charbon jusqu'à la fin. Bien sûr, il a causé un peu de trop, mais il y a beaucoup de charbon ici.
- Non, il a minimisé, - a répliqué Meyram. J’ai lu qu’il suffira du charbon à Karaganda non seulement pour les enfants et pour les petits-fils, mais aussi à tous pour les arrières-petits-fils du peuple soviétique.
Ils se sont montés sur la colline. Au loin, sur le haut plateau, on a aperçu un tube isolée sans fumée.
Là-bas est Karaganda) - a indiqué le guide sur le tube.
Parmi les troupeaux qui se noireiaient et pâturaient autour des auls, seulement le tube de la future troixième chaufferie de l’URSS est étendu en haut dans le ciel.
Au pied de la colline de laquelle sont descendus les voyageurs, sous le tour fonctionnait le moteur pétrolier qui tournait le fleuret en acier caché en profondeur de la terre. L’engin exhalait le bruit frappeur déjà connu à Meyram. La fumée grise tourterelle, en sotrant du tube étroit, fondait vite dans les vastes espaces de la steppe. Près du tour on avait dressé une tente blanche, à cȏté d’elle il y avait un «uaz».
Deux hommes sont sortis de la tente et se sont dirigés vers le tour. L’un d’eux était russe, entre deux âges, de petite taille, habillé à l’imperméable cache-poussière; l'autre — un jeune kazakh avec le visage énergique olivâtre.
Меyram a sauté du cheval, qui reculait de l’engin rugissant, et il s'est approché de ces gens.
Ils se sont dit bonjour et ils ont lié conversation tout de suite, comme s’ils étaient conns depuis longtemps. Le Russe racontait loquacement:
-Nous sommes les géologues. Je m'appelle Anatoliy Fiodorovitch Tchaykov, je suis le chef de l'équipe de prospection. Et ce jeune homme - Achirbek Kalkamanov - étudiant de l’Institut des mines, ici il effectue son stage.
Son discours est lent, ses yeux bleus sont vifs, ses mouvements sont adroits et rapides.
— Et vous, où est-ce que vous allez?
— À Karaganda. Je vois que vous avez fait beaucoup déjà ici, et moi, je pense seulement à commencer.
— Dans quel domaine vous pensez de travailler?
— Hé, on peut pas dire ça par un mot! Je pense de m’occuper du travail organisationnel de masses. J’ai pas de la profession industrielle, je ne connait pas les sciences techniques. Finalement, notre peuple, n’apprendra pas vite comment faut-il se débrouiller avec la technique.
Tchaykov a souri avec bonhomie.
— Si on mesure la vie avec les rythmes de nos reconnaissances, alors tout éloigné deviendra très proche. Par exemple, nous sommes venus de Leningrad il y a trois années et durant ce temps ont a ouvert ici tant de richesses, que les investigateurs des capitalistes anglais et russes durant toute la période où ils faisaient la loi n'ont pas réussi à faire.
Меyram a légèrement hoché la tête un peu et il a souri. Tchaykov tout excité a scruté:
- Pourquoi vous souriez ? Vous pensez que j’ai menti?
- C'est bien qu’on avance si rapidement. Mais, je crois que pour le Kazakhstan c’est pas assez. Si auparavant la Russie était en arrière des pays plus industrialisés aux dizaines des années, alors, le peuple kazakhe est en arrière aux centaines. On ne doit pas oublier ça.
— Vous voulez dire qu'il faut encore accélérer les rythmes? Vous dites la vérité, c’est vrai! — a continué Tchaykov. Son visage est devenu vif. — Quelque le peuple kazakh soit en arrière dans son développement auparavant, maintenant il avance vite en avant. Avez-vous connu à Moscou le géologue Kaïr Amanbekov?
— Je le connais de réputation.
— Oh, un grand bonhomme, la tête d'or! C’est mon bon ami. Nous luttons avec lui contre certains conservateurs de notre Direction générale des fabrications. Et nous nous disputons non seulement à cause des rythmes. Tous ils veulent prouver que le charbon de Karaganda ne cokéfie pas et qu’il est désavantageux de l’extraire. Et à la fin des fins, tout a passé à notre guise!
— J'entendais un petit peu de cela.
— Nous avons vaincu dans cette empoignade. Il ne pouvait pas être autrement. Euh, quel seulement genre de richesses n’est pas cachées au Kazakhstan? Le charbon, le fer, l'or, le cuivre, le pétrole. Nous avec Amanbekov comme si on rivalisaient, nous découvrons ces trésors. Pourtant, Amanbekov est en avance sur moi. Il a prouvé qu’en richesse de certains minerais le Kazakhstan occupe une des premières places dans le monde. Et moi, j’ai prouvé seulement une chose – qu’en ce qui concerne le charbon, Karaganda tient la troisième place à l’URSS.
- A ce moment, j’ai investigué seulement ces lieux! —a dit Tchaykov, en entourant de la main autour de lui-même.
- Des collines onduleux, couvertes du stipa broussailleux, et des baisse herbeux ont enchaîné en lointaine, l'un après l'autre, devant eux. On ne pouvait observer leurs extrémités. Les tours noircissaient aux sommets des collines, des fumées se tordaient au-dessus des engins.
Меyram a demandé:
- Combien de milliards de tonnes vous avez trouvé ?
Tchaykov a souri.
- Il ne faut pas fouillir dans les poches de l’Etat.
- Excusez-moi, si j’ai demandé quelque chose qu’il fallait pas.
-Votre seul tȃche - c’est d’extraire vite le charbon, et nous, nous pourrons le trouver. Et lorsque à la place de ces engins vont être construit dans la steppe kazakhe des tubes de grandes usines, à ce temps là il y aura déjà des savants et les ingénieurs parmi les Kazakhs. Tels camarades, comme Achirbek, ils possèdent déjà la clé pour étudier la nature et ils l’utilisent sans crainte.
- Achirbek n’intervenait pas dans le discours. Il semblait une personne secret. En se penchant bas, il examinait des échantillons de terrains, déterrés du sous-sol. Les colonnettes multicolores de l'argile ont été disposé en ligne. Et sur chacune il mettait une inscription correspondante.
Tchaykov, en indiquant aux échantillons, il expliquait, sans regarder des inscription:
- L’houille stipite, l’houille anthraciteuse...
- Et par quoi ils se diffèrent l’une de l’autre?
- Leurs différence principale consiste en contenu du carbone. Qu’ il y en a plus du carbone – la qualité du charbon est plus haute. Le charbon. de Karaganda est de haute qualité et cokéfiable.
Le discours a été interrompu par un coup de hasard. Le guide de Meyram se démenait toujours près de la jeep de marque «gaz». En l’examinait et en la touchant, il a pressé, sans le vouloir, sur le bouton du klaxon. Le cheval de Meyram, en renâclant, il s’e jeté de côté, il a coupé la rêne, et il a galopé à la steppe. Le guide a couru à sa poursuite. Mais c’était pas facile d’attraper le cheval effrayé.
- Oh, mon dieu! Voilà, je suis resté pédestre! - s'est écrié par dépit Meyram.
Tchaykov l'a calmé:
- C'est pas grave, il l’attrapera... Ici, la voiture est quelque chose de rare. Mais vous allez voir dans deux ans ce votre jeune homme va conduire le volant comme la rêne du cheval. Et pour le moment, montez, je vais vous déposer.
- Bon, d’accord, merci. Alors, il faudra chercher un chariot dans votre aoul. Au revoir, le camarade Achirbek!
Achirbek a monté la tête, a salué de la tête et de nouveau a tendu vers les échantillions de la terre. Depuis tout ce temps il n’a pas dit un mot.
Tchaykov et Meyram ont monté à «Ouaz» et ils ont continué leur chemin en bavardant.
Le fourré de karagan verdit par endroits à la steppe, partout on peut voir des tertres des trous de marmottes. Les marmottes pâturent par les petits manades. Les rongeurs sont très précautionneux: en voyant de loin la voiture, ils se sauvent avec hâte, en sursautant ridiculement. Voici une grosse femelle avec les petits a accouru vers le trou, s'est levée sur les pattes de derrière et chicote, comme si elle agacait: «Voyons, si vous pourriez m’attraper!»
Cependant, Tchaykov continuait son récit à propos de Karaganda:
— Peut-être vous connaissez qu'en mille huit cents trente troisième année dans des trous pareils le jeune berger Appak Bayjanov a trouvé le charbon de Karaganda. Le berger ne savait même pas, qu’est-ce qui c’était ce qu’il avait trouvé. Il est venu à l'aoul et il a montré aux vieillards ce qu’il a trouvé, les derniers ont été aussi surpris...
— Je doute que c’était comm ça, — a contredit Meyram. — Le mot «komir» existe dans la langue kazakhe depuis longtemps et il se traduit en russe comme le charbon. Les gens n’utilisent pas des mots en vain. En plus, au Kazakhstan il existe depuis longtemps le proverbe: «Il ne faut pas penser que le charbon c’est la broutille, car il fond le fer». Même si le jeune Appak ne connaissait pas ce qu’il a trouvé, les vieillards devaient comprendre ce que c’est.
— Peut être vous avez raison... Néanmoins, le chef du canton Tati, le propriétaire des terres où a été trouvé le charbon, il a vendu ces terres à l'entrepreneur russe Ouchakov pour le prix total de deux cents cinquante roubles.
— C’est un haut prix, — a remarqué satiriquement Meyram.
— Vous croyez que Tati a vendu trop bon marché? Par contre, Ouchakov en mille neuf cents quatrième année a vendu déjà sa propriété au capitaliste français — le fils du Président Karno pour sept cents soixante six mille roubles. Dans deux-trois ans Karno, à son tour, a revendu les terres aux capitalistes anglais. Ainsi, au cours du siècle les terres kazakhes carbonifères se transféraient d’un propriétaire à l’autre. — Tchaykov a indiqué au tube sortant solitairement sur la hauteur: - Voici tout ce qui est resté ici après les Anglais. La révolution les a chassé de la terre kazakhe...
La plupart de ce que racontait Tchaykov, Meyram connaissait déjà d’après les livres, d’après les conversations avec les cadres dirigeants d'Alma-Ata, comme même, il était intéressant d’écouter le géologue. Tchaykov pouvait raconter infatigablement tout ce qui concernait Karaganda.
—L'expédition de Alexandre Alexandrovitch Gapeev a visité ces lieux à l’année vingt. C’est lui qui a ouvert les gisements innombrables du charbon à Karaganda, et il a prouvé sa possibilité de se cokéfier. Ni capitalistes russes, ni anglais n'ont pas réussi à étudier les profondes entrailles du sol. Ils faisaient l’extraction du charbon avec l’incurie, avec le grappillage... Gapeev ayant retourné de l'expédition a en référé à ses chefs que le bassin charbonnier de Karaganda a l’importance mondiale. Kaïr Amanbekov et moi, aussi que beaucoup d’autres gens, nous nous estimons des élèves de Gapeev, - a ajouté-t-il avec de la fierté.
Un coche encombrant attelé par le cheval a apparu au-devant, sur le chemin. Derrière le chariot marchait la vache attachée à lui. Tout à coup le coche a penché au côté — une roue a tombé de l'essieu. L'homme et la femme ont sauté du tonneau et ils ont commencé à lever sa carrosserie. Une voiture légère de place les a atteint. Un homme de la taille robuste est sorti de la voiture de place. Ayant soulevé facilement le coche, il a mis la roue à l'essieu, puis il s'est monté dans la voiture de place et il a continué son chemin.
— Chtcherbakov - le directeur du trust, — a dit Tchaykov. — Qu’est-ce que vous préférez de le rattraper maintenant ou vous allez faire la connaissance plus tard?
— Peut-être il se dépêche. Il ne faut pas le retenir pas.
— C’est un homme d'affaires énergique et intelligent. Il est venu de Donbass avec un groupe des assistants. Après leur arrivée Karaganda morte a commencé à se ranimer! Ces points, noircissant sur les collines, ce sont des nouveau mines fondées...
Les caravanes des chariots circulaient sans cèsse au long de chemin, le bétail pâturait à la steppe; les yourtes ont été placées par endroits densément, par endroits solitairement, par les tombelles noires se levaient de vieilles décharges de la roche et de la scorie.
La voiture roulait en avant. Le bourg était déjà très proche. Tchaykov a demandé:
— Où pensez-vous vous arrêter?
— L'ouvrier Seytkali habite ici. Il me connaît dès mon enfance.
— Je le connais. Il travaille maintenant comme piqueur. Il vit dans cette baraque.
La voiture s'est arrêtée. Près d'une des baraques brévilignes qui sont restées dès temps des Anglais, un homme avec le visage jaune était assis, en tordant la cigarette du tabac de jardin. En jetant un coin de l’oeil sur les personnes venus, il s'est levé vite et il a exclamé de la basse:
— Est-ce que c’est vraiment Meyram qui est venu? Approche-toi! Combien d'années on ne se voyaient pas!
Il a serré Meyram dans ses bras et il a commencé à l’embrasser. Leurs embrassements prolongeaient longtemps, ils ne s’arrêtaient pas à poser des questions. Tchaykov se dépêchait.
— Permettez-moi, Meyram Omarovitch, de vous quitter... La steppe m’attend.
— Merci, Anatoliy Fiodorovitch! Merci pour vos récits. Soit qu’ici est ma petite patrie, mais vous la connaissez mieux que moi. Promettez-vous à moi une nouvelle rencontre?
— Je vais l’attendre aussi fort que vous.
Tchaykov est parti. Seytkali a accompagné Meyram à la maison.
Chapitre troisième
Demain, dès que le soleil s’est levé, Meyram et Seytkali sont allés chez Chtcherbakov.
Il n’y avait pas même un mouton au ciel, il n’y avait pas même du faible vent dans l'air. Le jour promettait être le chaud, étouffant. L'air etait rempli par l’odeur acre du charbon. On entendait de l'atelier mécanique les coups brusques du marteau. Devant la première mine travaillait un groupe de gens: les uns levaient le charbon par la benne sur la surface, les autres le chargeaient sur les charrettes, l’acheminaient et le rejetaient au masse. Non loin, sur la colline, les vaches se promenaient indolemment.
Мeyram, ayant vecu depuis quelques années à Moscou populeux et agité, a senti la confusion de ceux ce qu’il a vu ici. Le petit bourg, la mine artisanale. Des routes serpentinent sur les parois des collines couvertes de l'herbe — on y roulait si peu. Maintenant au long de ces chemins, en levant la poussière et en foulant l'herbe, venaient des caravanes. Dans le voisin creux du terrain, abondant de herbages,
se sont situés les aouls qui entourent Karaganda par le cercle.
- Et malgré tout la steppe reprend la vie! — a prononcé Meyram. Il marchait lentement, en observant attentivement tout.
- Allons accélérer le pas ou bien on risque de ne pas le joindre, — a précipité Seytkali. Il a continuait la conversation qu’ils ont commencé à la maison: - Tcherbakov – est une personne expérimenté dans notre fondamentrie, il connait bien la mine.
Ils se sont approchés vers une petite maison en pierre, sous le nouveau toit, couvert il n’y a pas longtemps. Une voiture légère de place attelée a un bai était devant la porte. Un jeune cocher kazakh s’était allongé à la voiture de place en chantant à demi-voix.
- Tu vois Tcherbakov va partir, - a dit Seytkali.
Il a voulu ouvrir la porte, mais Meyram a soutenu sa main et il a frappé à la porte.
- Je vous en pris, entrez! – on a entendu une voix grasse de la porte.
Tcherbakov était assis devant une table cloué ensemble grossièrement en une seule chemise et il se rasait. Il s’est dressé facilement en pied à la rencontre des visiteurs et il a dit:
- Bonjour, bonne journée!
Meyram a tendi la main et il a dit son nom:
-Meyram Omarovitch Omarov.
- Très ravi, Sergey Petrovitch Tcherbakov. Je vous pris de vous asseoir. Excusez-moi, je vais finir vite.
Son visage était barbouillé de savon, les manches de la chemise ont été retroussées, la gorge dépoitraillée; le front large, avec le syndrome d'Aarskog, le menton ardu; des mains fortes musclées plus bas des coudes sont couvertes des cheveux noirs. Dès le premier coup d'oeil il paraissait un homme pleine de vie et accueillant.
Sur la table, à côté d'un petit miroir de poche, dans le cadre sous le verre — la photo d’une femme on dirait de quarante ans. Ses yeux sont réjouissants, intelligents; elle regarde de telle manière qu'il semble que tu va entendre maintenant d’elle un mot accueillant.
Une enveloppe fermée est accotée à la photo. Мeyram a lu l'adresse involontairement: «Moscou... à Antonina Fedorovna Tcherbakova». Donc, c’est sa femme. Dans une petite pièce, avec le plafond bas en forme de coupole, comme dans la yourte, il y a peu de choses: le lit en fer simple, la table et une grande valise, sur le montant de porte pend l'ampoule de mineur. Мeyram a pensé: «Il était doit-être un des vieux bolcheviks, le militant clandestin — il s'est habitué de vivre toujours dans l’ambiance modeste, ambulante.
Меyram ne s'est pas trompé dans sa suggestion. Sergey Petrovitch était le membre du parti communiste dès 1914. Il avait déjà beaucoup de cheveux gris, malgré qu’il vient de depasser l’ȃge de quarante cinq ans. Il a passé déjà trente deux ans du moment où son père, le mineur Piotre Alexéévitch, pendant la grève des ouvriers sur une des mines de Donbass était blessé par le sabre policier. Barbu, grand, il, sans faire attention au sang coulait de l’épaule gauche coupée, a levé le poing et il a crié à haute voix:
— Pour notre sang vous allez nous payer par le voitre!
A ce temps là Sereja revenait de l'école. Sous le bras avec les livres il tenait un lance-pierre. Le garçon a senti de la pitié cuisante envers le père et la haine à ce policier à moustaches longues qui étant assis sur le dos du cheval alezan et avec le cri «rompez!» brandiait le sabre. Sereja a levé le lance-pierre et a bornoyé. L'écrou lancé par la main bien ajustée, a frappé le visage du policier. Il a saisi la crinière du cheval et s'est serré au pommeau.
Dans un an Piotre Alexéévitch est mort. Il a laissé deux fils et une fille, l'aîné d’eux — Sereja — avait quatorze ans. La vie de la famille est devenue pénible. Combien de fois au crépuscule, dans la chambre froide autour de la mère étaient assis silencieusement des enfants affamés. Demain ils ne pourrons pas acheter du pain, car ils n’ont pas de l’argent. Kolia avait des yeux marron, il était triste, encore hier il était si frétillon; Svetlana de six ans, a sangloté, ayant oublié sa pétulance et sa faconde.
Un jour Anna Nikiforovna, la femme bronzé, du caractère tranquille et ferme—Sergey a hérité son visage et son caractère, — a dit-elle avec le soupir:
— Il te faudra, Sereja, de quitter tes études. Tu es le plus aîné dans la famille, c’est à toi maintenant de nourrir la famille.
Piotre Alexéévitch, le défunt déjà, avait un ami fidèle, plus cadet que lui, — le serrurier Boris Mikhaïlovitch Kozlov. C’est lui qui a aidé à Sergey de trouver du travail à la mine.
L’adolescent sérieux, il apparait un peu traînard, taciturne a attelé à la bricole du mineur. Il a débuté comme porteur des lampes, puis il est devenu le palefrenier. Il a été aussi le charretier dans le front d'avancement sale et bas, il marchait à quatre pattes et a charrié la benne lourde, chargé du charbon. A ses dix-huit ans Sergey a pris dans ses mains la rivelaine; il est devenu l’abatteur.
La vie galère, la douleur de la famille l’ont appris à comprendre beaucoup. Il a su déjà qu’il pourra pas s’arracher de la mine obscure et il ne va pas voir le jour jusqu’à ce que le capitaliste dispose de la mine et de la vie des ouvriers. Seulement en luttant avec des propriétaires les mineurs vont obtenir la meilleure vie. Alors, lorsque Boris Mikhaïlovitch a invité Sergey la première fois à la réunion du cercle clandestin, le jeune homme est allé avec plaisir.
En 1914, lors de la guerre, Sergey était déjà le bolchevik. Au front il a distribué des feuilles volantes antimilitaristes, il était le propagandiste actif du parti.
Au début de la guerre civile Sergey Tcherbakov est entré dans les rangées de l’Arméé rouge.
Voici tel était Sergey Petrovitch Tcherbakov, dont avait fait la connaissance Meyram et celle était sa vie avant.
Ayant fini de se raser, Sergey Petrovitch a mis la veste et il s’est assis près de visiteurs.
- Maintenant on peut parler.
- Tenez, s’il vous plaȋt, - Meyram lui a tendu le document, délivré par le Comité du parti de région.
Tcherbakov a mis des lunettes et a lu le document. Brusquement il a tiré des lunettes du visage et en ce moment ces yeux bleus souriaient.
- Bon! Très bien!.. Nous avons beaucoup de besoins... Mais la plus grande nécessité c’est de créer le département régional du Parti. Il n'est pas régularisé encore. Il est temps, il faut créer cette organisation! Nous avons entrepris une grande affaire et sans l’aide de l'organisation du parti on va pas l'accomplir.
— Combien de communistes avez-vous maintenant? — a demandé Meyram.
— A peu près dix personnes. Mais les gens arrivent tout le temps.
— Et comment arrivent les gens – par solitairement ou par groupes?
— Dans la plupart des cas ils arrivent par des groupes organisés. Les régions ont réçu les indications d’engager la main-d'oeuvre. On a envoié aux kolkhozes les contracts standards. Les responsables de régions sont partis déjà aux aouls. Le chef de notre Comité exécutif du région Telmanovskiy, le camarade Kanabek, nous aide beaucoup.
— Maintenant combien de gens vous en avez?
— Près de trois cents personnes. Par contre, lorsqu’on avez venus ici nous avions à peu près de trente à quarante personnes.
— Trois cents personnes... Ces renseignements se rapporte à quelle date?
— Ces renseignements j'ai reçu il y a trois jours.
— D’après ce que jai vu, il est devenu plus de gens.
— Peut-être. Les gens arrivent vingt quatre heures, —a répondu Sergey Petrovitch. — Vous êtez venu hier, n’est-ce pas?
— Oui, hier.
— Où est-ce que vous vous êtez arrêté? Ici on vie dans des conditions étroites, peu ragoûtant...
— Je me suis arrêté chez Seytkali, mais il a une grande famille. Seytkali me propose de me deplacer chez Ermek.
— C’est raisonnable. Ermek n’a que deux dans la famille. Vous êtez venu ici seul ou avec votre femme?
— Je suis célibataire.
Tcherbakov a souri largement.
— Eh bien, tout peu changer. Mais d'abord il faut construire un appartement. Sans logement il est difficile de vivre ici avec la famille. En attendant ma femme vit à Moscou... De quoi pensez-vous de commencer ici?
— Si vous permettez, je descendrai à la mine — j’ai jamais été sous la terre. Puis, je vais faire connaissance des aouls d’alentours, je visiterai la région.
— C'est raisonnable. Examinez tout ici, habituez-vous... - Sergey Petrovitch s'est tu, sans se décider de dire qu'il n'avait pas de temps déjà pour bavarder.
Meyram a compris cela et il a dit:
— Peut-être vous avez besoin déjà de visiter des nouvelles mines. S'il vous plaît, ne vous attardez pas à cause de moi. Seytkali me montrera tout.
— C’est bien. A vrai dire, je suis vraiment pressé...
Tous les trois ils sont sortis de la pièce et ils se sont dirigés vers la première mine. Les ouvriers qui montaient par la benne le charbon, les ayant aperçu, ont fait un brin de jasette:
- Qui est-ce qui va avec Chtcherbakov?
- On dit, qu’il est venu hier du région.
- Oh, on arrive maintenant non seulement du région, mais aussi de Moscou.
Chtcherbakov s'est arrêté à côté du bourriquet en écartant largement les jambes. Il a allumé un gros tube coudé et, en laissant échapper le panache de fumée, a dit:
—Ermek et d'autres ouvriers ont mis en marche cette mine avant nous. Ils changeaient le charbon au pain et à la viande dans les aouls. Ils se nourrissaient de ça et ils ne quittaient pas la mine. Ils espéraient que l’extraction du charbon se ranimera. Voici l'heure est enfin venue... Regardez, ce bourriquet est resté à nous comme l’héritage des Anglais. Le primitif, la fabrication artisanale... Toute cette brocante il faut changer, mécaniser... Parlerons de tout ça demain plus détaillement, venez au trust.
Chtcherbakov s’est précipité vers la voiture de place.
Les ouvriers, sales du charbon, continuaient de tourner le levier du treuil. Quelques personnes ont chargé le charbon sur les chariots attelés aux chameaux.
- Prenez du cȏté, ne foulez pas aux pieds le charbon, c’est pas le bien de l’ennemi! —a bourdonné de basse le contremaître Seytkali.
Il avait l’air sévère, agressif, mais les ouvriers l'aimaient et ils l’appelaient «notre Seytkali».
Le contremaître a dit à Meyram de le suivre. Le charretier barbu les a accompagné du regard et il a a grommelé mécontentement:
Il chicane toujours. Il plaint du charbon!
Un kazakh sécot en le regardant s’est crispé. Puis il a mis sous la langue une pincée du tabac frictionné – nasvay, l’a tenu dans la bouche, la recracher et il a répondu:
- Le charbon ne s'acquéri pas facilement. Tu vois de quelle profondeur on extraient les bennes? Comme si on l’a retiré de la guelle de lion.
- Même si ce charbon était de l’or, j’aurais jamais venu ici! Je suis venu seulement pour un raison que la forgerie dans notre aoul ne peut pas fonctionner sans le charbon.
- Donc, vous voulez dire que tous ces gens sont venus ici seulement pour que leurs forgeries fonctionnent? —a demandé le kazakh maigre, en entourant de la main les aouls qu’on pouvait voir au loin.
En bas et sur les pentes vertes —les vieilles yourtes enfumées ont bruni partout. Dans les aouls — partout on s’agitait, on bougait. On chargait des chariot le biens familial les scies la transmission déchargeait les biens domestiques, podni - les squelettes en bois des yourtes.
Le charroyeur barbu tout regardait longtemps, en s’appuiyant sur la pelle. Ayant cligné les yeux, il a dit:
— Et il est difficile de lancer le fondamentrie, et il n'est pas facile de construire les kolkhozes. Je ne connais pas, pourquoi seulement les gens créent ceux-ci des difficultés? A vrai dire, comme en bon vieux temps.
L'ouvrier maigre a recraché encore une fois des dents, il a jeté un coup d'oeil sèverèment sur l'interlocuteur.
— Ekh, Isa! Tu ne connaissais pas le besoin, comme son pauvre connaît, et n'a pas essayé la sucrerie de la satisfaction du richard. C'est pourquoi tu erres entre vieux et nouveau, sans trouver du sens en rien. Et tout de même s'est étiré ici après les autres. Et t’as fait réelement bien. Est-ce que tout que les gens, ne ressemblent pas à grand font ici à celle-là?
— Ainsi - cela lui ainsi, mais si nous nous nous disperserons de kolkhozes et nous deviendrons les mineurs — qu’est ce que nous allons manger?
— Et si nous deviendrons tout les kolkhoziens, qui va extraire du charbon? Sans charbon est-ce que tu pourras vivre? Chacun doit faire son affaire.
Je ne sais pas. Quelque chose la vie a commencé à tourner, comme la roue, — a dit Isa et a touché le camion.
Seytkali et Meyram se trouvaient près de la descente à la mine. Le contremaȋtre racontait avec impatience que l'extraction du charbon augmente. Meyram écoutait incrédulement, sans diviser la joie de Seytkali.
— Encore on n'a rien à se vanter.
Seytkali s'est mis en colère:
— Tu es venu seulement hier et encore tu ne connais rien. En effet, le fondamentrie était comme mort, et voici maintenant est renaissante la mine et elle a commencé à donner du charbon. Aujourd'hui cent bennes ont levé!
Meyram n'a pas commencé à discuter. En s’appuiyant par les mains sur la barre, il a jeté un coup d'oeil à la profondeur du puits — en profondeur vertical, tous quatre murs sont garnis par le bois pour traverses, le gouffre sombre ne perce pas le regard. De temps en temps de la profondeur on entendait la voix lente:
— Ah-oui-eh!
Ayant entendu cet appel, des banneriers commencaient à tourner les stylos les portes.
— Qui a crié maintenant? — A demandé vite Meyram.
Seytkali a ouvert le couvercle de l'escalier de détente à côté du puits.
— Sont allés. Là tout tu verras.
Meyram a marché sur étroit, compté sur deux tchelo - l'action, l'escalier entrant dans la profondeur du puits de mine. À une faible lumière de la lampe de mineur fumant de rien sous les pieds on ne voit pas: Seytkali descendait l'escalier vertical ainsi assurément et lestement, comme si marchait selon la terre égale. Мeyram a senti une grande faiblesse dans les pieds, dans tout le corps; il franchissait de la marche sur la marche en ayant été plié, comme auelque chose le poussait. La lampe dans ses mains soudain a éteint, il a senti la sueur, son coeur a frappé souvent et je crois. Il tentait de se maîtriser, mais cela à lui aucunement aidé. Nous nous reposerons un peu, — il a demandé.
une seconde il a déferlé dans l'obscurité complète — on ne voit rien sans la lampe.
-Où a-t-on tombé? Où sommes-nous?
Meyram a regardé anxieusement en bas. Là scintillaient à peine «mais est chauve les points semblables à l'étincelle du feu éteignant. Alors le si глинул en haut. Haut sur la tête était visible trop petit, comme pour le capable» oui, sans l'éclaircie. Il se répandait autour l'obscurité complète, et dans «le môle. Mais jusqu'à rien distinguer.
J’ai le sombre dans les yeux et ma tête se tourne. Oui où es-tu? Non - il est tombé?
Je oui pour quoi je suis tombé! — a crié Seytkali tout à fait par Meyram, éclaté à la fois la lumière de sa lampe.
D'où as-tu émergé?
Où est ce-que tu es, a dit-il en grondant par les marches plus bas, il a caché seulement la lampe creux de l'imperméable. Tu t’es perdu ou quoi?
- Je sais plus tôt tu aimait plaisanter. Tu n'a pas jeté encore tes habitudes?
- Mes habitudes sont les matériaux. Quand ils ont passé neuf escaliers et ont commencé à descendre le dixième, sous leurs pieds s'est fait entendre le cri:
- Ah-oui-eh!
Seytkali a expliqué:
C’est un vieux mineur Iskhak crie. Donne le charbon sur la surface. Nous entendions sa voix en haut.
Ils ont atteint enfin le fond du puits. Meyram avait le sentiment qu’il a ouvert le monde inconnu. L'espace dans la saisie était pas plus, qu'à l'intérieur de la yourte. Brillait en haut un petit orifice, à la circonférence aussi à vue d'oeil égal conique les yourtes. Une faible lumière pénétrant par cela dans le trou, les bennes, descendant, montant souvent couvraient en haut. Dans la droite de la saisie bâillait la marche sous-terrain de la hauteur à hauteur d'homme. Les murs de ce couloir sont mis du charbon, à la lumière des lampes il versait par l'éclat étincelant. Le plafond épais a été couvert par le bois pour traverses, soutenu de part et d'autre, près des murs, les contrecollage d’abattage en bois. Les voix des charroyeurs, faisant la navette par la marche sombre, le craquement et le cliquetis des charriots, le poussier — tout cela créait ensemble quelque tableau fantastique.
Meyram, ayant observé tous ça, a dit:
— Doit être, non s'est passé à bon marché ce puits! Combien de temps, les forces et la santé pour celui-ci est dépensé! C’est vrai, il n'est pas doux de travailler dans lui...
Iskhak écoutait et saluait par la tête. Mais il ne pensait pas de consentir.
— Tu est qui un tel, je n'apprends pas quelque chose? — Il a demandé, en regardant fixement à Meyram.
— J’ai la nouvelle personne ici, il est venu seulement hier.
— Jeune et est venu tout à l'heure? Il est clair! Tu dis ça de l’inconscience. Plus tôt les ouvriers versaient la sueur pour les Anglais et les entrepreneurs. Alors nous traînions le traîneau à quatre pattes, à mi-jambe à la boue, et encore par dessus de nous coulait l'eau sale. Les maîtres par tout mensonge volaient notre partie du salaire, que nous obtenions avec un tel travail. Et maintenant nous travaillons pour nous-mêmes, personne n'ose pas à voler notre salaire. Si tu n'a pas gagné — tu es coupable.
Meyram, sans descendre les yeux, regardait à Iskhak. Cette personne avait une barbiche rare, les rides profondes ont raviné sa personne maigre. Il avait le temps d'expédier en haut tout le charbon, que conduisaient les charroyeurs. Ayant rempli la tine, Iskhak criait de haute voix. L'autre à sa place et une fois ne pourrait pas crier ainsi fort. Chacun mouvement disait un vieux mineur sur sa grande intérieure à la force. Les forces de celui-ci, il semblait, suffirait pour étinceler l'échine immense d'It-Jona qui ont caché dans les couches profondes les stocks incalculables du charbon.
— Agay, — s'est adressé Meyram au mineur, —vous m'avez répondu très bien. Je vois, votre coeur brûle à beaucoup de fois plus vivement, que cette lampe.
Tout qu'il lui fallut voir depuis hier sur le fondamentrie, a laissé dans lui l'impression non joyeuse. Les mots d’Iskhak ont baissé l'humeur de Meyram et ils ont reveillé le courage. Meyram a dit Seytkali avec toute la sincérité:
— Nous avons de grands difficultés. Mais avec tels gens, comme Iskhak, rien n'est pas terrible. Toi, tu entendait, comment il m'a répondu?
— Il t’as répondu comme il fallait. Tu penses — il est venu tout à l'heure de l'aoul? Non, lui il est le vieux mineur. Le vrai mineur ne peut pas dire autrement.
- Tu as beaucoup de mineurs?
- Près de trente.
- Il est combien d'eux sont des vieux mineurs?
- A peu près quinze personnes.
- Voici dès que nous unirons autour d'eux une mille de gens, l'affaire bougera de la point morte! Ce puits se transformera en lac! Tu entendait ce que disait Chtcherbakov à propos du futur de Karaganda?
Seytkali n'a pas répondu. Il était difficile de comprendre, s'il est d'accord avec Meyram, il lui objecte ou il a fait sourde oreille tout simplement à ses mots.
Ils allaient une bonne centaine de pas en silence. Ensuite Seytkali a commencé à parler à haute voix, mais à propos d’autres choses.
— Maintenant nous allons vers la galerie de la mine radicale. Le charbon arrive à l'extérieur dans cette marche. Tu vois ces branches à droite et à gauche? Selon-chakhterski eux s'appellent "les fourneaux".
Meyram a regardé avec étonnement en face, comme si il demandait: «Oui est-ce que je suis avec toi on disais sur les fourneaux?» Mais le contremaȋtre continuait:
— Le charbon est a la veine. Faire le fonçage comme s'est trouvé on ne peut pas. Toi oublie ce mot "le puits". Chez nous ici non le puits et même pas la fouille de recherche, et la vraie mine. Est-ce que tu ne vois pas?
Meyram a compris que par le mot "le puits" a touché la fierté de mineur de Seytkali.
— Tu pouvais me corriger et sans offense.
— Il faut appeler chaque objet à son nom. Et toi, tu dis toujours "le puits", oui "le puits".
— Bien, maintenant je dirai toujours: la mine.
Seytkali s'est égayé, il s'est mis à marcher plus vite. Ils ont tourné à droite. Les lampes ont commencé à scintiller devant eux et on pouvait entendre les coups sourds.
— Où nous allons maintenant? — a demandé Meyram.
— Aux piocheurs.
Bientôt ils se sont approchés à deux charroyeurs. Ils étaient assis en appuyant aux charriots et ils dormaient. Deux piocheurs, nu jusqu’à la torse, ils étaient agenouillés et portaient à tour de bras les punchs. La race pressée noire brillait, à chaque coup se cassait le morceau pas plus de la rotule du genou. Puisqu’ils avaient les corps nus des ouvriers coulaient les filets noirs avec la sueur. Meyram voyait que le travail était difficile. Mais Seytkali a sourcillé et il a commencé à gronder des piocheurs:
— Qu’est-ce que vous avez fait avec le mur? Pourquoi le mur est tortueux à la cour de aoul! Il faut aligner! Et sur le plancher le chef lui-même il vous trébuchera si il tombera. Comment faut-il rouler le charriot? Votre charbon est mélangé avec la race. Est-ce que l'argile brûlera? Des charroyeurs restaient sans rien faire et ils attendaient. Aujourd'hui on n’a pas extrait pas d’un chariot du charbon. Où va emmener un tel travail?
Des piocheurs ont gardé le silence. Un d'eux est avide buvait l'eau de la fiole. À la lumière pauvre de la lampe fumant à travers le poussier seulement se dessinait vaguement sa figure massive.
— Cette race maudite est plus ferme que la pierre. Et en effet, par la force je pourrais concurrencer avec n'importe quel athlète, — a dit le piocheur, ayant bu de l'eau.
Maintenant Seytkali le regardait avec un bon sourire, en caressant les moustaches rares.
— Alors, le frelot, tu trouva ça difficile? Est-ce que je ne te disais pas que trop tôt se mettre au rivelaine? Et tu ne m'as pas écouté. Tu as beaucoup de force, c’est bien, et l'astuce, est absente de l'habilité. Mais le charbon est plus fort que toi. Seulement par la patience et l'habilité tu le surmonteras.
Ayant dit cela, Seytkali a remué Meyram plus loin.
Chapitre quatrième
Khoutyana, le piocheur avec qui disait maintenant Seytkali, était la gloire de l'athlète. Sur de grandes compétitions il ne connaissait pas à lui-même égal. Assuré dans la force, Khoutyan, dès qu'est venu à Karaganda, a demandé dès le début de l’engager comme le piocheur. Dans le milieu des charbonniers la profession le du piocheur est honorable. Si le piocheur dépasse la norme, son salaire augmente la prime à la excavation. Mais rien moins que chacun peut hacher par le rivelaine. La demande de Khoutjana ont satisfait seulement par respect pour sa force. Les ouvriers travaillant avec lui en équipe, ne pouvaient pas se réjouir le premier temps. Mais quelques jours après cette joie se fanait. Aujourd'hui ils se sont assombris en effet. À peine Seytkali et Meyram sont partis, comme ils dans l'abattement sont tombés sur la terre.
— Э-э, l'ouvrier neuf — tout cela est égal qu'à vieux tempsle nouveau venu d'une autre génération, — a prononcé enfin un des piocheurs.
L’homme haut, noir, comme enfumé, aux pommettes saillantes, de l’ȃge de quarante cinq ans. Les gencives, peut-être, il démangeait ou il avait une telle habitude, mais très souvent il crissait des gencives et en plus il grinçait des dents. Ses petits yeux enfoncé profondément étaient toujours très inquiets, ils traversaient en courant d'un objet sur l'autre. Cette personne on appelaient respectueusement «otagasy», et derrière les yeux «Kouceou Kara» Tous les trois travaillaient dans un front d’avancement, mais ils ne connaissaient pas bien l'un l'autre — ils ont commencé à travailler il y a pas longtemps.
— Que se plaindre en vain, nous en effet, sommes venus ici selon à notre propre volonté de travailler, et non le thé boire, — a dit un des piocheurs.
Mais Kouceou Kara l'a interrompu rudement:
— Je suis d'accord de me griller sur poêle, pour ne pas sentir la honte! Ce contremaȋtre Seytkali m’a touché jusqu'aux foies par ses blâmes.
L'ouvrier jeunet bégayé presque sur chaque mot, tournait ses yeux bruns avec inquiétude d'un compagnon à l'autre. S'étant enhardi, il est intervenu dans la conversation des aînés:
— Ils s-s-sont coupables eux-mêmes. Nous savons de gronder seulement le contremaȋtre. Si nous travayons comme Ermek, a-a-alors le contremaȋtre dansait sur les pattes derrières devant nous.
Kouceou Kara s'est hérissé, comme le hérisson:
— Ne bavarde pas, le bègue! Et bien tu as appris à teiller dès la jeunesse par la langue! Ermek est un vieux ouvrier. Ils vont toujours dire qu’il est le mieilleur et ils vont nous humilier.
Le garçon s'est levé brusquement. Il s'est empourpré épais, ses grandes yeux ne sont presque sortis des orbites. De la colère il a bégayé encore plus fort et il a prononcé avec difficulté:
— Tu-tu-tu a probablement raison, le gros paysan!
Kouceou Kara — le tisonnier noir.
— Assez! — a crié Khoutjan. Sa haute voix comme écho s’est répercuté dans la mine. — le gros paysan, le gros paysan! Vous avez commencé à bavarder. Prenez des outils, ce sera mieux et extraizaient le charbon!
Ils travaillaient dans le silence. L’équipe devait se changer et finir son poste, mais la profondeur du découpage de la race de Khoutjan n'excédait pas de quarante sentimètres. Cela était insuffisant. Khoutjan était fâché: aujourdh’hui, ayant mis tous les forces, l'équipe a donné seulement la demi-norme. Ou il avait honte ou il se sentait mal vraiment, mais ayant terminé le havage, Khoutjan a dit:
— Écartez la couche vous-mêmes. Je vous laisse. Quelque temps avant dans la lutte, j’avait traumatisé l'os de la jambe. Alors maintenant, il me fait mal.
Trancher la hève du fond il est plus difficile, qu'écarter la couche. Kouceou Kara est venu à bout facilement du versoir. Les deux charroyeurs l’un devant l’autre se sont jetés de transporter le charbon vers la tine. Probablement, Khoutjan n’est pas encore arriver jusqu'à la maison, quand tout le charbon du versoir modeste était donné déjà vers la tine.
Kouceou Kara a dit soigneusement à l'adolescent:
— Toi, le garçon, vais! Je vois, tu t'es fatigué. Laisse nous ici à deux avec Joumabaem nous mettrons. Nous attendrons le contremaȋtre, on va mesurer l’excavation.
Le gars a obéi et est parti. Les deux restés ont commencé à mettre des cuvelage. Après quelques minutes Kouceou Kara a dit à son partenaire silencieux:
— Eh, Joumabay! Tu t'es intéressé du salaire?
Joumabay a répondu, a passé beaucoup du temps. D'abord il a dénoué le cordon, a resserré baissant les culottes du mouton, a lié le cordon plus fortement. Ayant tout il a dit seulement:
— Il est clair, chacun est venu pour gagner pour la famille.
— Quel salaire tu veux de quarante centimètres?
— On ne peut rien faire. Alors, en ce qui me concerne — je ne plaint pas ni sa peine ni ses soins.
— Est ce que tu sait qu’on peut gagner des mille et des cents.
— Comment cà? Apprends-moi, mon cher.
— Et toi, est ce que tu sais tenir la langue entre les dents?
— Si je ne savait pas, je ne garderait pas dans l’ȃme le secret de notre khazrète.
— Dit-moi le secret.
1 Khazrète – dans le vieux Kazakhstan – c’était l’homme de Dieu
— Ne demande pas ça. Cela est caché en grande profondeur de moi.
— Et bien, si c’est comme ça, alors ne me demande pas du salaire.
Ces mots de Kouceou Kara ont mis à la confusion complète Joumabaya. Toujours tranquille, comme la brebis, Joumabay savait vraiment tenir la langue entre les dents. «Le secret de kazrète», quoi qu’elle était une incartade le plus ordinaire du mollah, Joumabay trouvait que c’était un événement important. Raconter "le secret" il lui semblait impossible, car se serait le parjure. Mais il ne voulait pas aussi laisser partir de ses mains le salaire facile. Qu’est-ce qu’il faut faire? Effrayant de ces pensées contradictoires, Joumabay ne savait pas qu’est-ce qu’il falait entreprendre. La sueur est apparue sur son front à cause de son inquiétude, il se grondait fort à cause qu’il a dit un mot de trop. Kouceou Kara a compris dès le début qu’est ce qui se passe dans sa l’ȃme, et il a dit:
— Comme tu veux. Reproche ça à toi.
Ici Joumabay n'a pas pu se retenir:
— Dis, mon cher, et toi, tu es le maître à ta langue?
— Mon ventre va avaler le chameau et il va pas le dégorger. Ne crains pas,
— Bon, je vais te raconter. Si ce serait agréable à la Mère-Terre d’accepter mes mots! — a commencé Joumabay son récit par l'adjuration superstitieux. — Ecoute-moi.
Dans notre aoul vivait un gros paysan, il s’appelé Amantek. Maintenant on l'a déporté...
Le Dieu décide tout en conformité de sa volonté, — cette homme étant devenu riche, il s’est marié la deuxième fois. Elle était très très jeune. Elle s'appelait Bibijamale. Cette femme était très méchante. Si quelque chose n’était pas comme elle voulait, elle commençait à répèter: «Transporte-moi chez le kazrète, pour qu’il me soigne par la prière». Elle est née là où vivait le kazrète, il et, doit être, elle se soignait beaucoup de fois de ses prières.
Une fois Amantek, m'ayant engagé par le palefrenier, est allé accompagné sa jeune femme chez le kazrète, le dernier habitait àvingt quatre heure de route de nous. Nous avions pris pour le kazrète une grasse jument»
Et voila, nous somme à la place... La yourte où habitait le kazrète se trouvait à l'aoul, mais la yourte à prière — est séparé, dans la partie. Personne n'y entrait sans ablution. Au peuple s'est réuni beaucoup: qui est venu avec la nuitée, en espérant que pendant la nuit recevra la guérison grâce à la proximité du khazrète, qui allait se soigner par la prière, qui est venu d’après le conseil. Quand notre tour est arrivé, nous sommes entrés aussi chez le khazrète.
Le khazrète était un homme entre deux âges, corpulent, portait un énorme turban sur la tête. Disait peu, mais vraiment s’il ouvrait la bouche, le mot «Allah» ne descendait pas de ses lèvres. Il était assis toujours avec la tête baissée. La volonté de Dieu, — dès que nous avons passé et se sont assis, il a demandé à la fois: «qui est votre instructeur spirituel?» Amantek s'est perdu et a dit hâtivement: «Nous sommes venus vous demander l'accord d'être notre instructeur». Le khazrète nous a mis immédiatement sur les cous la seinture, comme il le faut dans tels cas, et nous a nommé les mourides. mantek a offert au khazrète pour ça un nouveau chapan. Bibijamale, ayant retiré du doigt l'anneau d'or, l'a mis devant lui, et j'ai remis au confesseur conformément un couteau — j’avait rien de plus à lui offrir. Après cela le khazrète, ayant palpé le pouls de Bibijamale, a dit que pour la soigner il faudra un mois entier.
Amantek, certes, ne pouvait pas laisser le ménage pour un tel long délai et de rester avec sa femme. Le lendemain il est parti à l'aoul. Je restas à servir au khazrète et Bikbijamale. Le khazrète la soignait dans la yourte solitaire. Plusieurs fois par jour je leur donnais la nourriture.
Il y avait une fois une forte chaleur. Toundik de l’yourte était fermé. J'étais assis près de la yourte, je pensait de mon ménage quitté, de ma famille...
Sur tout il y a la volonté de Dieu, — soudain s'est levé le tourbillon si fort que la yourte s'est retournée. Tout que se faisait au-dedans, s'est présenté devant mes yeux. Le khazrète désabillé a sauté sur ses pieds et il répétait. «Où est mon turban, où mon turban?» Bibijamale était au lit. Je me suis jeté en aide au khazrète. La volonté de Dieu... Eh bien, le turban du khazrète s'est trouvé au lit de Bibikjamale...
Depuis ce temps-là il est passé beaucoup d'années. Le khazrète est renvoyé comme le gros paysan, Bibijamale est morte... Si la Mère-Terre désirera elle consentira avec mes mots! Seulement à toi j’ai raconté ça.
Cet incident qui semblait à Joumabay dispensable, n'a pas du tout étonné Kouceou Kara. Ayant souri, il a dit:
— Alors toi, comme je vois, tu sait garder des secrets. Maintenant je te montrerai ce que j’avait promis.
Kouceou Kara s'est monté de sa place et, s'étant approché à l’un des contrecollages d'abattage il a effacé par la manche la marque à peine remarquable y faite par le crayon, et sur l’autre contrecollages d'abattage il a fait le même trait. Joumabay restait sans bouger, la bouche ouverte, sans comprendre rien.
— Maintenant notre excavation a augmenté de quarante centimètres jusqu'à un mètre, — a dit Kouceou Kara, en ricanant.
D’abord Joumabay n’a pas compris cette ficelle.
Ces années-là le charbon obtenu on ne se pesait pas encore: il n’avait pas pour ça ni un ouvrier spéciale, ni des balances, ni de la wagonnet vérifiée. Dans la mine on se limitaient par le mesurage simple du front d’avancement. Le contremaȋtre Seytkali à cause de sa crédulité et parce qu’il avait peu du temps faisait souvent comme ça: sur le contrecollage d'abattage, du quelle l’équipe commençait le fonçage, il faisait la marque par le crayon. Et à la fin du changement de l’équipe mesurait de cette ligne la longueur du creusement des galeries. Kouceou Kara a épié cet méthode simple. Et a transporté maintenant la marque sur un autre contrecollage d'abattage, sur soixante centimètres en arrière.
Enfin Joumabay a compris le sens de l’incartade de Kouceou Kara. Etonné il a mis sa main sur sa poitrine.
— Oh, qu’est-ce qu’il faut faire, moi, je n'était jamais encore hypocrite!
— Tais-toi, le sot! Ou bien tu es plus saint que ce khazrète?
— Il a fait le forfait, — a imploré Joumabay.— Est ce que cela ne va pas être considéré comme le vol?
— Où vois-tu le vol? — a éclaté de rire Kouseou Kara. — Le charbon c’est le bien du Dieu, et l'argent — il appartient à l’administration. À qui appartient les coffres de l'Etat? Aux tels travailleurs, comme nous. Est-ce que c’est vol, quand tu prends ton propre bien?
— Et si le contremaȋtre apprend ça? Ils dirons que nous sommes des gros paysans.
— Tu es vraiment un homme stupide, — avec le dépit a dit Kouceou Kara. — je me suis confié à toi uniquement parce que nous vivons dans une yourte, nous mangeons d'une tasse. Tu ne veux pas prendre le bien qui t'est donné aux mains! Et tu veut encore recevoir un bon salaire! Quels sont de nous des gros paysans? Est-ce que l'ouvrier peut être le gros paysan?
Sans savoir ce qu’il fallait faire, Joumabay grattait longtemps sa nuque. Enfin, il s'est décidé.
— Eh bien, on voit, sur tout à la volonté de Dieu! Bon, je choisi que tout soit comme tu m’as dit. Mais si quelque chose va arriver, c’est toi qui va répondre...
Seytkali s'est approché. Il a jeté un regard sur la marque, il a estimé à vue de nez le fonçage.
— Combien avez-vous passé?
— Comment puis-je le savoir? Tu vois mieux, — a répondu Kouceou Kara.
— Vous avez commencé d’ici, n’est ce pas?
— Hé, il semble, de là.
— Il doit-être que dans notre athlète Khoutjane la fierté s'est mise à parler, — a décidé Seytkali. Il a mesuré le creusement des galeries. — il est decoupé un mètre et cinq centimètres. C’est pas en vain que je vous ai fait honte tantôt. Vous voyez quelle est la force — la fierté!
Chapitre cinquième
Les impressions du front d’avancement de Khoutjana ont obligé pour la première fois Meyram de réfléchir à la excavation. Il se trouve, pour le découpage du front d’avancement est nécessaire non seulement la force physique, mais aussi l'esprit, l'habilité. Si l'athlète célèbre Khoutjan a reçu aujourd'hui l'échec que peut-on attendre des ouvriers-débutants, qui sont physiquement plus faibles que celui-ci?
Quand se sont écartés du front d’avancement de Khoutjan, Meyram a commencé la conversation suivante avec Seytkali:
— Tu a crié aux gens de Khoutjan. Probablement, parfois on peut pas s’en passer, et tu essais de leur aider? Tu leurs aide quelque part?
— Quelle aide? Avec le temps ils apprendront tous ça eux-mêmes.
— Et on ne peut pas leurs apprendre plus vite?
Seytkali, ayant pensé, a dit:
— Voici Sergey Petrovitch a proposé de mettre en paire des nouveaux avec des vieux ouvriers expérimentés, mais les derniers expérimentés ne sont pas d’accord. Еrmek est d’accord de travailler avec des nouveaux ouvriers dans son équipe, et les autres évitent ça.
— Pourquoi ils évitent?
— Les débutants freinent le travail, diminuent le salaire des vieux ouvriers.
«Oui, c’est une raison sérieux, — pensait Meyram. — Dans ce cas là par une seule propagande parmi les ouvriers qualifiers on n'aidera pas à l'affaire. Il faut se consulter obligatoiorement avec Chtcherbakov. Il trouvera la sortie. Les premiers temps et l'État doit nous aider».
Pas tout à fait assurément, il s'est adressé à Seytkali:
— Et si ne pas réduire le salaire des ouvriers qualifié qui prennent des élèves?
Seytkali s'est cabré à la fois.
— Et la excavation? Ici c’est quoi — la mine ou l'école?
— Et il te semble pas que la mine est non seulement la source du charbon, mais aussi l'école du travail?
Seytkali a froncé les sourcils et il a écarté la lèvre inférieure.
Cela signifiait que les raisonnements de l'interlocuteur ne lui plait pas et il ne veut pas continuer la conversation.
Meyram a trouvé que le meilleur se serai de garder le silence. Qu’est-ce qu’on peut exiger de Seytkali? Le contremaitre n’avait pas ni les capacités exeptionnelles, ni de l'esprit aigu. Mais il est un homme le caractère fort, honnête, laborieux. Malgré qu’il est irascible outre mesure. «Il faut parler avec Chtcherbakov, car il y a plus personne qui puisse aider...»
Nous nous sommes approchés à une nouvelle descente de mine. A cette fois-ci, Seytkali marchait en silence, sans donner au compagnon aucunes explications. Le plancher dans cette descente de mine était plat, sous les pieds on ne trouveras pas aucun morceau du charbon ou de la race. Les murs lissent, comme s’ils étaient abattu par la machine. Les contrecollages d’abattage sont rangés comme les colonnes télégraphiques.
Des trous entre les traverses et le plafond sont coincés par les quilles. Malgré que Meyram se trouvait dans la mine pour la première fois, il comprenait sans explications que la descente est faite par les mineurs expérimentés qui connaissent bien leurs affaire.
— Ici un tout à fait autre ordre, — a dit-il.
— Cette descente élabore Ermek, — a répondu Seytkali.
Ils ont vu Ermek à genoux. Il semblait que le vieux mineur était fait de l'acier. Sa rivelaine bilatérale d'acier, éclairé par la lampe, à chaque battement brillait par le vif éclat. La pointe de l'outil battait proportinellement notamment à ce point où était dirigé les yeux d'aigle d'Ermek. Ses doigts courts marchaient selon le manche du rivelaine, comme triaient les touches du dombra. Le corps du mineur s'est couvert du poussier, mais était sec, aucune goutte de la sueur ne brillait pas sur lui. Ermek avait l’ampleur spécial — non large, tranquille. Il portait le coup après le coup rythmiquement. Le jeune piqueur qui travaillait à côté de lui, même s’il étouffer des efforts, mais il était beaucoup en arrière. Des charroyeurs et des abatteurs transportaient tout de suite la race découpée. Les boiseurs apportaient vite les contrecollages d’abattage stockés. On ne sentait pas ni de la hâte, ni d’agitation. Le travail était tranquille et rythmique. Le travail avec la dextérité à première vue semblait même lent, mais il passait assurément et obstinément. Le fonçage osait mordait à la citadelle séculaire des couches profondes.
Meyram et Seytkali se sont approchés imperceptiblement et un certain temps en silence observaient le travail. Sur les visages de deux on pouvait lire une idée: «si partout travaillaient ainsi!» Ayant tourné la tête et ayant vu les visiteurs, Ermek a monté sur les jambes. Les ouvriers ont remarqué aussi Meyram et Seytkali, mais ils ont seulement jeté un coup d'oeil et ils ont continué leur travail.
— Ermek! — s'est exclamé Seytkali, ne s'étant pas retenu. — le gaillard!
Sur l'exclamation d'Ermek s'est tourné à leur partie par tout le corps, mais n'a pas salué — s'est limité au signe de tête. Il n’était pas le chasseur des conversations.
Seytkali est resté content du travail. Il a dit à Ermek:
— Je me promènerai dans les front d’avancements. Et vous, dès que s'achèvera le remplacement, vous lèverez avec Meyram.
Et Meyram reste avec Ermekom. Il a tenté de provoquer le mineur sur la conversation, l'interrogeait sans cérémonie en ce qui concerne des conditions du travail dans la mine.
Ermek répondait courtement —il n’était pas facile de faire ses races-bouger ainsi. Mais peu à peu il s'est pénétré de l'intérêt pour l'interlocuteur et a demandé:
— Vous travaillerez comme qui chez nous? Il avait l’habitude — d'abord comprendre qui est cette personne, qu’est-ce qu’elle représente et seulement après commencer la conversation avec lui.
Meyram a raconté sincèrement des plans lesquels il n’avait pas encore ra
conté à personne, seulement à Chtcherbakov.
— Je pense travailler dans l'organisation du parti.
— En tant que secrétaire, ou non?
— Si on me choisisse comme secrétaire.
— Choisiront peut-être, — Ermek a répondu vaguement n'ayant pas exprimé l'idée cachée: «Pourquoi ne pas choisir? Il doit-être une garçon convenant».
— Vous travaillez depuis longtemps dans la mine? — a demandé Meyram.
— Depuis que j’avais dix ans.
— Dans quels bassins du charbon vous avez travaillé?
— J’ai jamais quitté Karaganda.
— Mais les dernières années Karaganda ne fonctionnait pas.
— Je restait ici comme gardien.
Mais l'essentiel ce que voulait entendre Meyram — des méthodes du travail, de l'extraction du charbon, — un vieux mineur et n'a pas dit un mot: ou il cachottait, ou il pensé qu’il n’y a pas de raison de parler de cela.
Soudain Ermek, ayant souri, a remué un peu par le menton à l'écart du front d’avancement et il a dit:
— Il s'échine pour rattraper.
Le gars avec une large bouche et quelques yeux anxieux, en regardant tout autour maniait vite par le rivelaine. L'heure en arrière lui était en arrière d’Ermek au demi-mètre et maintenant il le rattrapait. Ses regards inquiétants montraient l'idée qu’il gardait en soi: «Si Ermek se distraira du travail, s’il parlera plus longtemps, je vais le rattraper c’est sȗr».
— Qui ce gars?
— Vous le voyez vous même – un jeune mineur. Il s’appelle Akym. Je crois qu’il va devenir un bon piqueur.
— Il est un des débutants?
— Oui. D'abord il tournait la bobine en haut. Tcherbakov m’a ordonné: «Essaie de lui donner la rivelaine». Je l’'ai donné. Maintenant je vois que l'outil est dans les mains sûres.
«Donc, il fallait commencer la conversation par le rivelaine!» — a pensé Meyram.
A ce temps là Ermek s'est approché à son partenaire, lui a pris la rivelaine, l’a examiné et il a fait la grimace.
— Est-ce que c'est l'outil? Il s'est émoussé déjà. Prends le mien, l’affaire ira mieux. Et moi, je vais travailler avec la tien.
Akym a saisi la rivelaine d'Ermek, il a claqué de la langue avec enthousiasme et il a commencé à abattre avec un effort encore plus grand.
— Est-ce que le rivelaine tel objet compliqué?- a demandé Meyram, en souhaitant toucher Ermek.
Le mineur a hoché la tête. Et d'abord d'une manière saccadée, il est devenu plus bavard puis il a expliqué. Plusieurs dépend, comment on aiguise et trempe la rivelaine, comme on leur porte les coups — à tour de bras ou court. Еrmek disait des descentes, des fouilles de recherche, de la lave... Pour tout ce Meyram était incompréhensible, mais il écoutait le vieux mineur avec un grand intérêt.
— Quelle formation vous avez? — Avec la surprise a demandé à Meyram.
— Je réussirai à mettre ma signature.
— Et vous avez des connaissances, peut-être, pas moins que l'ingénieur.
Ermek, ayant fait un peu une grimace, il s'est détourné de côté, puis il a renoncé négligemment.
— Hé, loin notre frère jusqu'à l'ingénieur! J’ai jamais fait mes à l'école.
Il s'est agenouillé de nouveau et il a commencé à travailler.
Avec le fracas il a détachée la couche du charbon. On avait soulevé la poussière noire, tout a voilé par le brouillard épais. Dans ce brouillard, à la lumière grise des lampes, étaient vues faiblement les silhouettes des gens. Tout les haches des boiseurs frappaient plus vite, sonnaient les pelles des pellistes du charbon.
Il était audible, comme Ermek louait Akym:
— Le gaillard, mon aiglon, le gaillard!
Le gars répondait:
—Allez vous reposer, — l’équipe a terminé son travail. Ici nous uns qui viendrons à bout.
Ermek a émergé du brouillard, avec le sourire content il s’est approché à Meyram.
— Ce mon aiglon deviendra un excellent piqueur! On peut être sȗr en lui. Allons-y.
Chapitre sixième
Lorsqu’ils se sont montés sur la surface, Meyram avait le sentiment comme siqu’il a si de ses épaules est tombée la charge lourde. Il s'est ennuyé du monde clair vaste! Il marchait et regardait tout autour joyeusement, ilest avide avalait l'air respirable. Ermek marchait côte à côte. Il doit être une journée ensoleillée du printemps réjouissait un vieux mineur, — à mi-voix Ermek a dit:
— Peut-être il est trop tôt aller à la maison.
Ils se sont dirigés de côté du bourg, se sont montés sur l'échine d'It-Jona. D'ici on voyait tout autour à l'oeil nu sur la distance de la voie de jour. Tout l'hiver sur les collines désertes d'It-Jona couvertes de la couverture blanche de la neige, les orages séviaient. Maintenant les collines étaient couvertes du tapis vert. Loin à l'horizon les laboureurs couvraient du dessin des sillons les champs fertiles. Haut
dans le ciel l'alouette chantait sans sesse le chant laudatif. Dans l'air chauffé jouaient les mirages. De temps en temps soufflait le petit vent semblable à l'ondulation de la matière de soie. La terre papillotait par les couleurs précoces.
Meyram regardait et ne pouvait pas arracher les yeux. Par-ci par-là aux ravines et aux poutres se tenaient encore les restes de la neige. Dans la brume bleuissant se profilaient les montagnes de Semiz-Kyz, les Tresses-agach. Le regard saisissait comme les sommets éloignés les Kou-chocs aussi que les lits de planches-chokken. Et entre les échines d'It-Jona et Koktal-Jaryk s'étendait une large vallée. Autrefois dans cette vallée pâturaient les troupeaux de cheval de plusieurs de milles de têtes du chef de volost — le bey Tati. Maintenant ils ont été dressés là de kolkhoze au ferme d'élevage. Et selon les pentes de la vallée ils ont couru aux champs kolkhoziens. Au nord par la ligne claire s'est étenait la rivière de Noura; ses bords sont peuplés des villages russes et les aouls kazakhes. Alors que recemment à cause des terrains à côté de la rivière entre les Russes et les Kazakhs il y avait des accrochages. Maintenant Noura est devenu le symbole de la communauté des peuples, les montagnes de Jaour et Kojir dominaient la rivière comme les tours de l'unité.
Meyram est parti de ces places dans la jeunesse, mais la patrie lui a laissé les impressions inoubliables. Maintenant il chantait comme s’il parlait avec chaque mont et chaque vallée. Impressionné par le flot des souvenirs, il a dit à Ermek:
— Au’est-ce qu’il est bon et est chaud chez les parents dans tous les lieux.
— S'il n'était pas bon et chaud, est-ce que je resterais ici à protéger ce tuyau de fer! — a répondu Ermek. — Mon père s'est installé dans Karaganda, quand j’avais cinq ans. Depuis ce temps-là je ne partais pas d'ici. Pour la première fois j’ai descendu à la mine par le gamin décennal.
— Vous travailliez pour les industriels russes?
— Il y avait un chagrin près des Russes et près des Anglais. Les Anglais embauchaient.
Des ouvriers dans les entrepreneurs locaux. Ceux-là et d’autres suçaient notre sang, comme les sangsues. Nous étions libérés seulement par la révolution et par le pouvoir soviétique. Quand les Anglais ont couru ailleurs, je suis resté pour garder le fondamentrie.
— Regardez, combien maintenant autour du fondamentrie il y a d’aouls! — a indiqué par la main à Meyram. — Chaque jour les caravanes viennent, amènent les charges... Vers l'automne Karaganda va s’élargir, les aouls grandiront aux villages immenses. Il est difficile un peu en hiver.
— Oui, il sera difficile, — a commencé Ermek.
Le peuple de Karaganda était affluait par la rivière. Tous voulaient le travail. Et sur le fondamentrie non seulement il n'y avait pas nouvelle technique, mais il ne suffisait pas de vieilles rivelaines. Les nomades venant récemment n'avaient pas parfois sur la tête du toit. Le chemin de fer est construit seulement jusqu'à Akmolinsk. Réussirons-ils de déporter à temps des outils là sur les chameaux et les bœufs, les documents, des produits?.
— Le gouvernement doit nous aider, — a dit Ermek.
C’est vrai, — a commencé Meyram, — seulement en effet, ils vont demander de nous aussi le résultat.
Occupé par les idées, ils revenaient lentement au bourg.
Vers le poteau, près du tube, on suspendait le morceau de rail. Quelqu'un battait assidûment au rail par le bâton pesant. Le son rude s'envolait loin au vaste espace sans entraves de la steppe. Ermek est mécontent a froncé les sourcils.
— A trouvé que polissonner, l'original!
— Pourquoi il bat?
— Oui cela à nous au lieu de la cloche. Il est temps de travailler au noir — cinq heures. Et ce polisson Bajten est content de tâcher.
Meyram s'est rappelé: le contremaȋtre Seytkali lui parlait déjà de Bajten.
— Il semble, votre Bajten aime plaisanter?
— Dans lui il suffit tout, —a répondu Ermek.
La baraque propre se trouvant parmi les bâtisses louchées, se différait par le toit peint récemment et par les murs badigeonnés.
— Les gens du Donbass sont venus ici. Tout de suite ils ont reparé la maison et ils se sont installés. Je dis à Bajten: «une Grande affaire — de s’en occuper à temps. Il nous faut prendre exemple des gens du Donbass, ils sont aussi des mineurs expérimentés». Et notre Bajten libertin tord le nez: «Les douillets! Ils sachent que de faire l’ordre dans la maison...»
Meyram ne pouvait pas se retenir du rire.
— Donc, la conclusion est que celui qui tâche de mettre de l’ordre dans la maison — le douillet, et celui qui s'est habitué à vivre dans de mauvaises baraques — le vrai l'ouvrier?
—Bajten considère que c’est comme ça. Et d'autre part, comment peut-on rire de lui? En effet, il a vecu toute sa vie à Karaganda, il ne voyait jamais que les ouvriers vivent dans les bonnes maisons...
En causant, ils sont arrivés à la baraque. Ici les gens se sont réunis, ils se reposaient après le jour de travail.
— Allez vous laver, — a proposé Ermek à Meyram.
— D'abord vous, et j'attendrai ici.
Ermek est parti à l'appartement. Meyram s'est assis sur le banc devant la baraque. Comme à l'homme nouveau, il lui était intéressant d’observer la vie des habitants du bourg.
L'ouvrier d'un certain âge avec des cheveux tignasses, dans la chemise de satin boutinnée sur le côté, le col de laquelle était deboutonné s'est approché. Il s'est arrêté devant la porte de la baraque, la main avec fièreté posée sur sa hanche. Il restait debout et il regardait aux ouvriers. C'était Bajten. Soit il était en mauvaise humeur, soit il avait une telle l'habitude, mais il tirait sévèrement les moustaches, ses narines, et sans celui-là large, se gonflaient, les yeux couraient avec inquiétude de côté à côté.
— Bajten-jan, grondez-le, —a dit la vieille qui est sortie de la baraque, en indiquant sur le vieillard arrivant, le porteur de l'eau, et tout de suite s’est cachée derrière la porte.
Le vieillard maigre, en étant assis sur la baril immense, attelé par le chameau, livrait selon les baraques l'eau. Près de chaque baraque à son apparition commencait le bruit et la querelle.
— Eh, le vieillard! — a crié Bajten. —Combien on peut t'attendre? Tu continue à amadouer les employés de bureau à cols blancs?
— Le fils, dans le puits il ne suffit pas de l'eau.
— Avant il suffisait, et maintenant il ne suffit pas?
— Et combien du peuple a déferlé! Ils boivent eux-mêmes et ils donnent à boire à ses bêtes.
— Fichtre, ils n'ont pas eu encore du temps de regarder autour d’eux, et se comportent déjà comme des maîtres! S’ils ont besoin de l'eau, ils doivent creuser eux-même. Dis-leurs ça. Et c'est notre puits, il nous appartient, aux vieux habitants du bourg.
— Mais eux aussi ils sont venus travailler.
— Je sais, tu prends toujours la cȏté des nouveaux venus des aouls. Tu es le même. Il est assezde jeter un coup d'oeil à ton chameau, et on voit tout de suite ce que tu représente.
Sur la voix perçante de Bajten de la baraque sont sorties en courant les femmes avec les seaux. À côté de la baril une discussion s'est échauffée.
Ermek lavé est revenu.
— Allez rafraîchissez-vous.
— Je resterai encore un peu, je regarderai.
— Eh! — a crié Bajten au porteur d'eau, quand celui-là a touché le chameau. — si tu seras en retard encore une fois avec de l'eau, seulement un de nous restera vivre à Karaganda!
— Il est vrai le proverbe que dans son aoul le chien la queue par le kalatch, — a répondu à voix bas le vieillard, en continuant sa voie.
«Alors, ici il y a peu de l'ordre, — raisonnait Meyram. — Apparemment, il y a encore beaucoup de dans le bourg d'une vieille Karaganda. Voici l'ignorant et le rustre Bajten tente de gouverner la barque».
Le peuple près de la baraque arrivait encore et encore. Presque chaque Ermek appelait à Meyram par son prénom. Voici ce garçon — avec déglingué, sur douze touches, l'accordéon dans les mains — il s’appellait Chayken. Celui qui lui est joint — le garçon à cheveux longs trapu, — le chansonnier Joltay.
Chayken a commencé à jouer. Joltay a commencé à chanter. Bientȏt autour d’eux s'est réunie la jeunesse. Sont sortis des baraques et les vieux piqueurs: Span avec la tête non couverte devenant chauve, Aoubakir à barbe noire, Bajtiken grêlé. Les vieux mineurs ont été chiffonnés un certain temps à côté des portes, et ensuite est grave, ont commencé à s'approcher un à un à la place de la joie. Seulement Bajten, ayant mis les mains en arrière, se promenait de cȏté.
Seytkali est revenu du travail, il s'est assis à côté de Meyram et Ermek.
Le jour baissait, les ombres ont commencé à s'allonger. A l’air calme, silencieux du soir du printemps circulaient loin les sons de l'accordéon. Joltay a chanté "Elimay" kazakhe, les couplets folkloriques russes et tatars.
1 «Elimay» - le vieux chanson national kazakh.
Lorsqu’il a commencé à chanter:
J'ai attelé à la charrue la paire des chevaux,
Où le quatre... ne prend pas
Bajten qui se trouvait à cȏté, n'a pas pu se retenir:
— Eh, ça! Chauffe!
Quelques personnes se sont mis à danser. Les danseurs claquaient de paumes sur les genoux en rithme de la chanson.
— Ainsi, ainsi, serrez! —on leurs criaient. Ne s'est pas retenu même Span à cheveux blancs.
C'était le seul repos pour l'âme après le travail. Dans le bourg n'était pas encore ni du club, ni des radios. Le journal kazakh — un pour deux personnes —seulement Seytkali et Joltay ont étaient abonnés au journal et ils le lisaient chacun à son tour. Le journal apparaissait une fois par semaine.
Les pensées mélancoliques erraient dans la tête de Meyram.
«Ici, à côté de la baraque, les gens au moins s'amusent tant bien que mal. Et non loin, sur la butte, — un vieux cimetière. Ces malheureux qu'est là, toute la vie, sans connaître ni la lumière, ni le repos, travaillaient sur les propriétaires du fondamentrie». Mais il lui coûtait provoquer dans l'imagination le tableau de la future Karaganda, comme il est devenu plus facile dans l’ȃme.
Chapitre septième
Dans une petite baraque en pierre, les murs peu fiables de laquelle étaient soutenus avec les rondins, aux temps des Anglais se situé le seul sur toute la Karaganda le magasin. Maintenant s'est installée ici la gestion de nouveau trust organisé selon la excavation du charbon de Karaganda.
Sergey Petrovitch Chtcherbakov était à table, il pensait à quelque chose, en frappant doucement par le crayon. Sur la personne et le front perçaient les rides, mais les yeux regardaient d'une manière juvénile. Tous les mouvements disaient qu’il est la personne calme. Chtcherbakov a jeté un coup d'oeil au montre et a haussé un peu les épaules.
Ont frappé. Sergey Petrovitch avec une légèreté inattendue a levé de la chaise le corps massif, s'est approché vite à la porte et il a ouvert. Meyram est entré dans la pièce.
— Je vous en prie, je suis très content! — Sergey Petrovitch a dit et, ayant pris le bras de Meyram, l'a amené à la table.
— Excusez-moi, je suis un petit peu en retard, je me suis mis à dormir très tard, — s’excusait Meyram.
Sergey Petrovitch a tourné en plaisanterie ses mots.
— Oh, les jeunes gens ne dorment pas pendant la nuit.
Meyram se sentait librement avec lui: Chtcherbakov dès la première rencontre encore lui a plu par sa certitude tranquille de l’homme avec une riche expérience de vie.
— Eh bien, commençons le dialogue, — a dit Sergey Petrovitch. — nous n’avons pas beaucoup de temps et il y a beaucoup de travail. Qui va commencer le premier? Mes cheveux sont au moins blanc, mais moi, comme et vous, je suis encore un très jeune chef.
— C’est pas grȃve qui va commencer, une chose est indiscutable — c’est que personne ne va pas avoir le solde à cause de "la jeunesse".
En plus, on va pas le demander.
— Ont dit justement, Meyram Omarovitch. Si nous trouvaient comme les jouvenceaux, vers la direction ne mettraient pas. Quant à l'âge, nous avec vous allons au niveau, au moins je suis né avant vous.
— Expliquez-moi, — a demandé Meyram. — je ne vous comprends pas bien.
Sergey Petrovitch a raconté en quelques mots de sa vie ancienne. Les dernières quatre années il faisait ses études à l'académie d’industrie. A la fin du cours il était envoyé à Karagand dans l'ordre de la promotion.
— Jusqu'à cela je n'as pas l'occasion d'être en travail dirigeant, mais les chefs a vu chacuns — bon et mauvais, — il a ajouté.
— Commencez la conversation vous, — a proposé Meyram. — vous avez eu le temps de vous orienter déjà ici, et vous avez plus d'expérience que moi.
Sergey Petrovitch, en bourrant lentement le tabac la pipe, s'est mis à parler:
— Si jusqu'à la fin de la périoallons de quinquennale nous allons fonder la base «de la troixième chaufferie» et nous la lier avec Oural, on pourra dire que nous avons accompli le devoir confié à nous...
Il s’est raccroché sur le bout de la table, il a pris du rebord de la fenêtre le morceau du charbon et il l'a secoué sur les paumes:
— Voici ça c’est de l'or! Nos espoires se sont réalisés... Nous avons reçu les résultats des analyses de Donbass, de l'Oural. C'est le charbon cokéfiant étoffé. Les réclamation des sceptiques sont détruites, peut-être et des valets des capitalistes anglais. Il se cokéfie! Maintenant Moscou ne lésinera pas en aide.
Après une petite pause il a continué:
— Mais pour cela il est nécessaire en premier lieu les effectifs, le chemin de fer et l'électricité...
— Tout cela nous attend dans le futur, — a inséré Meyram. — Et dites: qu'est-ce qui est plus nécessaire aujourd'hui?
— Attendez un peu. Je me suis mis à parler à la fois du futur parce que notre aujourd'hui est soumis de demain. Aujourd’hui, nous n'amènerons pas l'eau de la rivière de Noury, il est nécessaire d’augmenter le nombre des puits et de lever en haut l'eau de la mine "Gerbert" — pour les besoins économiques. La préparation va déjà. Il n'y aura pas courant électrique, nous allons utiliser la force de la vapeur. Ici quelque début aussi est dû. Aux usines à demi détruites Spassky et Ekibastouzsky, à Karaganda et au moulin dételés de gros paysans nous avons trouvé quelques locomobiles, de petites chaudières et des kamerons. Nous les rapiécerons d'abord et nous allons les utilisons. Mais aussi avant la mise en marche des installations à vapeur on ne peut pas supporter pour que les bennes avec le charbon se lèvent à la main.
— Oui, je voyais, — on extrait maintenant le charbon vraiment à l’aide du travail heroïque des ouvriers.
— Il faut cet héroïsme utiliser rationnellement. Et les bennes lever à l’aide des chevaux. J'ai donné déjà au mécanicien Kozlov le devoir: dans huit jours, pas plus tard, installer la bobine à chevaux, — Sergey Petrovitch a prononcé ça énergiquement. — le principal pour le moment c’est d’élargir des vieilles mines et d’ouvrir les nouveaux. Maintenant le charbon donne seulement une mine. Elle était lancée par les ouvriers eux-mêmes encore avant notre arrivée. Nous ouvrirons dans les jours qui viennent trois nouvelles mines. Vers l'automne nous devons lancer pas moins que quinze. Donc vers ce temps là nous aurons presque quinze mille ouvriers.
— Comment nous assurerons le logement pour eux et tout le nécessaire?
— Oui, c’est une très difficile question. Tout près sont disloqués les bourgs: Ak-Koudouk, Kzyl-Koudouk, Achyly-Ayrak, Boukba. C’est bien que maintenant là-bas il y a des kolkhozes. Je suis sȗr que les kolkhoziens ne refuseront pas de louer provisoirement une partie de leurs habitations à nos ouvriers. Mais là-bas peut s'installer seulement une petite partie des ouvriers. Aux autres nous proposerons de construire les baraques de terre provisoires et les maisons de torchis et nous aiderons par des documents nécessaires. Vers la prochaine année nous bâtirons de grandes maisons du combinat locatif.
— Et que nos constructeurs maintenant font?
— Nous demandons les écoles de cadres pour la préparation des nouveaux ouvriers, pour l'augmentation de la qualification des vieux mineurs. Il est nécessaire de construire des écoles pour les enfants. Il est nécessaire de construire des bains, des boulangerie, des magasins et des cantines. Enfin, il faut comprendre si le trust pourra fonctionner normalement dans ce bâtiment? Les forces des constructeurs seront jetées particulièrement sur la construction des bâtiments publics. À la fois tu ne pourra pas répandre tout. Dans le futur, — ayant gardé le silence, a continué Chtcherbakov, — je pense, les bâtiments neufs commenceront de la construction des objets de logement. Eh bien, et nous, nous serons obligé d’attendre— on peut rien faire. Les ouvriers comprendront cela.
Comment Meyram écoutait patientement, sur ses questions courtes et les répliques Sergey Petrovitch a conclu que le futur secrétaire de l'organisation du parti la personne subie, intelligent. Et Meyram a estimé à la fois l'esprit et le savoir-faire de Chtcherbakov. La montée de l'eau de la mine "Gerbert",
Ce de quoi Meyram a entendu pour la première fois c’était l'assemblage des vieux lokomobiles, les chaudières, camerouns, l'application des bobines à chevaux — tous ces à première vue les actions menues avaient une grande signification au fondement de grande Karaganda Soviétique. Et comme il est bon que Chtcherbakov ne négligeait pas les bagatelles, utilisait habilement les ressources locales!
Meyram a dit:
— Les premiers temps notre tâche, apparemment, en celui-là consiste pour utiliser toutes possibilités locales, manifester la plus grande économie.
— Vous avez bien remarqué, — Serkgej Petrovitch, au moins comprenait a approuvé que Meyram est venu à ces conclusions pas lui-même.
Et Meyram continuait, pas tout à fait assurément:
— Vous disiez sur les combinats d'étude, sans eux nous ne pourrons pas nous passer. Mais autrefois ils seront... Je descendais aux mines et je voyait comment les nouveaux ouvriers tiennent la rivelaine...
— Ils tiennent mal?
— Autant que j'ai compris, mal. Seytkali aussi a parlé de ça... Peut-on d'une ou d'autre façon apprendre plus vite des débutants?
Sergey Petrovitch a prêté l'oreille.
— Qu’est-ce que vous pensez comment peut-on les apprendre plus vite?
— Je sais pas, c’est vrai... J'ai demandé à Seytkali, si on ne peut pas mettre les débutants avec des vieux mineurs.
— Seytkali, certes, a eu peur?
— Dit que cela baissera le salaire les ouvriers qualifiés.
Sergey Petrovitch a éclaté de rire hautement, s'étant renversé par le corps pesant au dos de la chaise.
— Et voici Ermek n'a pas eu peur, parce que lui, il est le réel le maître de l'affaire.
Chtcherbakov, en plissant les yeux, regardait attentivement à Meyram: ce sont déjà ses propres idées, le jeune homme commence à aller courageusement.
Il a dit sérieusement:
— il faut penser à cela. Tu ne décideras pas à la fois. Il faut si mettre l'affaire pour que l'abatteur expérimenté jeune apprenne dans le salaire n'a pas souffert. En tout cas l'idée votre très efficace...
Il fallut interrompre la conversation. Une haute personne maigre dans le pince-nez est entrée. Ayant serré avec discrétion la main à Chtcherbakovou, il a salué Meyram, il s’est mis devant sa table et s'est enfoncé à la fois dans les comptes.
Sergey Petrovitch a regardé la montre, il s'est levé de la chaise et il a proposé Meyram:
— Allons continuer la conversation pendant la route.
Derrière la porte il a dit:
C’est notre directeur technique, Orlov. Je ne voulais pas parler devant lui avec vous: je l’étudie encore. Il est des saboteurs anciens, il était condamné. Il est envoyé ici pour travailler, comme pour l'essai. La personne laborieuse, mais il faut l’étudier.
A côté de la baraque la voiture de place attendaient Chtcherbakov. En montant, Sergey Petrovitch disait gaiement:
— Il sera huppé lorsque nous changerons la voiture de place à «gaz», et de la baraque louchée nous déménagerons à un bâtiment de plusieurs étages! Tout viendra, Meyram Omarovitch, nous obtiendrons tout. Seulement réglez plus vite le travail des organisations publiques. Je m'en suis ennuyé. Regardez ces aouls: les gens attendent avec impatience lorsque nous commencerons à les apprendre. En effet, à les autres même de vieux ouvriers, comme Bajten, se tient encore la rouille dans la conscience. La position difficile à nous! Difficilement, il est impossible de lever une grande affaire sans l'aide des organisations de masse.
— Attendez un peu, —a répondu Meyram. — vous-mêmes, vous avez dit — tout va arriver.
— Où vous allez maintenant?
— Je passerai aux aouls voisins, je regarderai comment vit le peuple.
— Une bonne idée, —a approuvé Sergey Petrovitch, il a serré fort la main de Meyram. — Et moi, je jetterai un coup d'oeil, comme vont les affaires aux nouvelles mines. Nous nous rencontrerons plus tard et nous allons échanger des impressions.
Chapitre huitième
Partout se trouvent des masures bas, des yourtes sombres ou simplement des abris de l’herbe, distendu sur les brancards levés. Ce sont des nouveaux bourgs des ouvrières qui ont apparus.Tu ne verras pas ici de nombreux troupeaux des brebis, ni de piquets longs pour les poulains, ne pâturent pas à la steppe les jambages de chevaux. À vrai dire, ces bourgs rappellent encore des aouls rurals. Par-ici et par-là se promènent les vaches, les brebis avec les agneaux, les chèvres avec les chevreau, dans les clôtures à côté de certaines habitations il y a des chevaux ou des boeufs. Malgré le petit nombre du bétail, toute la pâture autourest causé des dégâts.
Il n’y avait pas de l'ordre dans le bourg. Par endroits des logements sont filait en une longue rangée, parfois ils étaient groupé ensemble. Tout le temps arrivaient des nouveaux et des nouveaux chariots. Roulaient les briskas, des coches craquant et des arabas, attelé par des chevaux et des boeufs, des chameaux chargés ; des chevaux et des vaches se poursuivaient. Les gens s'assemblaient pour travailler aux mines, mais à l’habitude habituelle des éleveurs du bétail, avant d’arriver au point finale, des chariots s’arrêtaient, des gens examinaient le terrain, cherchaient à savoir, si la pâture est bonne ici. Et lorsqu’il se révélait que le fourrage est fait tomber tout près, et si ils vont aller plus loin il n’y a pas même de l'eau, ils, ayant gratté les nuques, les nouveaux locataires commençaient à se décharger.
Meyram est descendu de la colline et, faisant attention à tout, s'est dirigé lentement vers les aouls. Il s'est arrêté devant la première hutte à sa voie couverte du feutre enfumé. Il a demandé la permission d'entrer.
Au-dedans étaient assis trois. Le maître de la hutte — un homme trapu de quarantaine d’années, avec la barbe ronde — il s'est installé sur le plancher de terre et fabriquait le charké du cuir vert, il allait leur fixer les semelles en bois. Sa femme avait un peu plus de vingt ans; son visage est bronzé, des gros joues. Elle cousait des bas d'un vieux sac. Le garçon, ne sachant pas encore marcher, rampait à quatre pattes près des pieds des parents.
Meyram a dit bonjour et, comme le visiteur, a passé en avant, vers la place honorable, où a été mis un petit, des dimensions de la couverture, un morceau de la grande natte de feutre – l’hôtesse s'est jetée pour essuyer des balayures, mais Meyram l'a arrêté:
— Ne vous inquiétez pas.
Les maîtres de la hutte étaient troublés par ce visiteur brusquement apparu habillé de manière municipal. Pour faire flotter la gêne, Meyram a dit:
— Qu'il soit réussi votres charkés, agay! Vous pensez les porter avec ces bas?
— Oui, je vais les porter avec les bas, — je me prépare à descendre sous la terre.
— Et plus tôt travaillaient dans la mine?
— Non, je ne travaillait pas, oui s'est décidé voici. le dieu, m’a donné assez de santé. Le paiement ici la bonne. J'irai directement à piqueurs.
— Si vous donneront à la fois la rivelaine?
— Ils peuvent tȃcher de le faire, —a dit le maître et, ayant fouillé dans la poche, a sorti le paquet des papiers, qui a donné à Meyram. — nous ne sommes pas des gens de hazard!
Meyram a examiné les papiers, de qui était fier ainsi le maître. Les documents témoignaient de ce que le maître de la hutte est Bokaj Touleoubaev et ses ancêtres jusqu'au septième genou étaient les garçons de ferme. L'année passée Bokaj est entré dans le kolkhoze. Maintenant, selon l'accord avec le kolkhoze, il a déménagé à Karaganda de la région éloignée Kouvsky.
— On dit, piqueurs gagnent ici une tête de bétail par mois, et nous avons galéré plus tôt au bey pour une tête entière par l’an, — a communiqué Bokaj, en se réjouissant d'avance du salaire prochain.
— Vos documents sont bon, Boké, — a dit Meyram, en rendant les papiers.
Bokay a craqué appréciablement. Meyram avec tristesse apprécié l'intérieur pauvre de la hutte. Bokay a demandé poliment:
— Comment t'appellent, le frérot?
— Meyram.
— Où tu travailles?
— Je suis venu récemment, comme vous.
— On raconte, une fois deux plaisants allaient en nuit noire par la steppe. Soudain a étincelé l'éclair. Les voyageurs disent: «Brille, ne brille pas, plus tu ne verras personne sauf nous, car nous sommes que deux». Voici et je dirai aussi: combien tu n’examine pas notre hutte, et sa richesse ne se multipliera pas. Excuse-nous que nous vous invitons pas à la table, le frérot.
— Vous ne devait pas de parler de cela!
— Nous ne dirions pas, si de la chaudière faisait tomber la vapeur. Mais que tu feras: la pauvreté lie les mains de la générosité.
— Que de répéter les manques, tu aurais pu aller et recevoir ce nécessaire qui est indiqué au contrat, — a dit la femme avec le dépit.
—Il y a beaucoup de contrats, à la fois tu n'auras pas règler les comptes à tous. Il doit-être, des têtes des chefs locaux ont des vertiges des soins, il faut leur donner du temps pour qu’ils reposent un peu.
— A cause du ton caractère stupide tu as galéré trente ans. Si ils n'était pas renvoyé Kaltaya, alors jusqu'au aujourd’hui tu te trouverais le pauvre près de son seuil, — la femme a commencé à réprimander.
— Qui de nous est droit? — Bokay s'est tourné vers Meyram. — Cette femme dit: «Vais et demande maintenant ce qui est écrit au contrat». Et je réponds: «Probablement, sur le fondamentrie des affaires ne sont pas encore réglés, comme dans notre kolkhoze. Ce dont nous a été promis ne partira pas null part, dis-je. Les beys ne nous payaient pas pendant des années pour ce qu'était gagné. Et nous pour la mine encore n'avons rien fait. Il est trop tôt de demander, il faut d'abord travailler».
— Oh mon Dieu, je regrette que j'ai au lieu de toi n’est pas née l'homme! — a exclamé la jeune femme. — ne peut pas recevoir même ce que sont obligés à lui donner.
Meyram avec le sourire écoutait cette querelle, les gens si non semblables l'un et l'autre. Il lui semblait que tous les deux sont droits. Pourquoi soutenir une partie et par cela offenser l'autre? Et Meyram a dit:
— Pourquoi attendre? Allez et recevez tout dont vous êtes réservé. Sur le stock il y a les vêtements de travail, et l'alimentation. Et si quelque chose il ne suffit pas — nous allons apporter bientôt. Nous aurons tout.
Puis ne s'est pas retenu et a demandé:
— N'acceptez pas pour l'offense... Il me semble, à l'âge vous avez la différence considérable. Mais je pense que vous êtes le mari et la femme. Voici je ne comprendrai pas...
La jeune femme, en disant quoi que: «Dis toi!» — a jeté un coup d'oeil sur Bokay. Le maître est demeuré bouche close d'abord, a aspergé sur charké, ayant soupiré un peu, il a commencé à raconter:
— Chez Kaltay, dont on a parlé maintenant, moi je galérait exactement trente an. Toute la récompense de mon travail trentenaire — voici ce toit et cette femme. Elle, — Bokkay a fait un signe de tête à la jeune femme, — était la fille du pauvre. Kaltay m'a trouvé une fiancée de cinq ans. Quand elle a quinze, Kaltay m'a payé le rachat, et nous nous sommes mariés. Voici ce sont les résultats de mon travail trentenaire.
«Les temps pénibles étaient éprouvés par les gens, — on avait pensé Meyram. — Mais la vie est reconstruite. A Bokay et à d'autres tels travailleurs la vie est devenue plus facile, plusieurs d’eux ont ouverts les yeux».
Il s'est levé de la place.
— Vous avez rendu la visite comme ça ou vous cherchez de l’aide quelconque? — a demandé à Bokay, en se levant aussi.
— Non, merci, j’ai voulu parler simplement. Nous allons nous rencontrer encore. Au revoir.
Il allait lentement au long de l'aoul. Dans chaque yourte dans le foyer au lieu du fumier séché puant brûlait le charbon. Presque ni à cȏté d’une demeure on ne voyait pas à l'appartenance obligatoire de l’éleveur – kourouk1; il y avaient des rivelaines, des pelles, des bêches. Les jeux des enfants ont changé aussi. Il arrivait qu’ils s'assisent à califourchon sur la gaulette et ils rêvent que galopent sur le cheval. Et maintenant, ayant enfoncé à la terre les petites baguettes, tiraient entre eux la ficelle ou couraient avec le cercle de fer représentant le charriot.
En passant devant une yourte, Meyram a entendu le rondement fâchée de la femme:
— Est-ce que c’est le combustible? Pour que le chien l'ait pris! Оh, où mon fumier séché avec sa flamme vive!
Que l'on peut répondre à cette femme, ne sachant pas noyer par le charbon? Bientôt elle-même apprendra. Sans s'attarder, Meyram a passé plus loin. À côté du puits on s'avait ennuyé le bétail menu. On entendait le bruit, la querells des maîtres discutant à cause de l'eau.
— Est-ce que c’est de l’ordre? Nous ont provoqué ici, et ici il ne suffit pas de l’eau!
— Déterre le puits — tu auras de l'eau, et encore on te payera de l'argent pour cela. Le gain d'appoint ne déchirera pas la poche, — on a entendu la voix raisonable «Quoi que tu n'entendras pas seulement, lorsque tu bousculera parmi le peuple — critiquent soufflent, comment sortir du malheur», — pensait Meyram.
Un peu d'à côté de l'aoul, sur l'herbe rare ont été assis deux personnes. Pendant que Meyram s'est approché, là il s'est réuni déjà dix. Les gens parlaient avec excitation. Meyram s'est assis non loin. Un jeune gars avec les cheveux lissés en arrière, avec les yeux noirs brillants s'inquiétait plus que d'autres. Lui, il n'était pas été assis. Il passait souvent d’ici et delà, il se melait à la conversation et agitait de plus les mains, en battant du pied la mesure avec impatience les pieds à pieds nus. Par la turbulence il ressemblait à Bajten, mais il songé raisonnablement et ses plaisanteries n'étaient pas grossières. En défendant d'un, en discutant avec l'autre, lui, celui-là même sans remarquer, dirigeait la conversation totale.
— Janabyl! Écoute, Janabyl! — sans lever de tête, un homme qui était allongé sur l’herbe sur le dos avec la barbe floconneuse l’a appelé. — Toi-même, où tu penses travailler?
— Où encore? A la terre soviétique!
— Oui pour que tu vives longtemps, dis clairement!
— Si clairement, — je travaillerai à l’atelier mécanique.
— Et où est elle, cet atelier?
— Près de ce tube. Ce rustre Bajten là travaille. Voici moi je vais concurrencer avec lui.
— Et toi jette les habitudes bagarreuses, le fils, — l'homme étant a conseillé et a soulevé la tête. — ne touche pas de vieux ouvriers, connais se procure le pain oui garde le silence.
— Hé, tu te pencheras plus, plus bientôt la vie te courbera, — a répondu Janabyl. — ne perds pas la vivacité ni dans le caractère, ni dans le travail. Ce Bajten se vante qu’il à le stage de dix-huit ans, et ne connaît pas, comment prendre la râpe aux mains. Je étais seulement deux ans le garçon de ferme. Et demande à moi, comme pâtre les brebis, — je dirai. Si j'étudierai deux ans dans l'atelier mécanique, je montrerai à Bajten, de quoi je suis capable.
Un jeune Janabyl chaud par rien ne rappelait pas le garçon abêti de ferme des temps jadis. On pouvait définir à la fois que lui un de ceux qu’on appelle des enfants d’aoul, qui se sont trempés dans la lutte avec des beys et les premiers sont entrés dans les kolkhozes.
Maintenant à Janabyl s'est adressé un garçon avec des moustaches, jusqu’à ce moment il souriait et tournait aux doigts un brin de paille.
— Toi, Janabyl, dans l’aoul tout criais: «La lutte des classes, la lutte des classes!» Tu criait correctement, cela t’a aidé à rejeter le gros paysan Kourjik. Et ici c’est une tout à fait autre affaire. Ici non la lutte avec l'ennemi de classe, et la compétition avec des camarades de travail. À mon avis pour prendre le dessus sur Bajten, tu dois prendre dans tes mains non pas la râpe, mais la rivelaine. Cela où l'outil plus fidèle.
Janabyl à moustaches noires a assiégé tout de suite:
— Vous, le camarade Duysen, connaissez seulement que donner les conseils, et préférez être assis à cȏté en caressant des moustaches. Vous et dans l’aoul vous occupiez de cette affaire, quand moi je luttais avec Kourjik. Non, pour le rivelaine je suis encore jeune - la rȃpe c’est aussi un outil, le camarade avec de belles moustaches; il me donnera la profession. Pense ce que tu dis. Et je dirai le suivant: ici il y a une belle femme et quelqu'un l'admire. Et comme la belle femme jettera un coup d'oeil sur les moustaches pompeuses de notre hardi cavalier — on ne sait pas encore.
Tout ont éclaté de rire hautement et avec approbation. Janabyl regardant comme le vainqueur, s'est promené dans la pelouse et soudain il s’est arreté près de Meyram.
— Vous, le camarade, vous êtes venus aussi travailler?
— Qu’est- ce qu’il y a de surprenant ici?
Janabyl, comme n'a pas cru, il a hoché la tête et il est parti.
Quand le bruit est devenu un peu plus bas, le vieillard étant assis à côté du garçon avec de belles moustaches, a soupiré profondément:
— Voici l'hiver bientôt viendra, apportera sur les gens le sabre.
Ces mots ont donné matière aux nouvelles conversations. Se sont faites entendre les voix:
— Il est venu tant du peuple! Où trouver pour tous le logement?
— Ceux qui est venu en conformité du contrat, cela arrangera d'une façon ou d'une autre! Et que sera avec ceux, qui sans document sont venus?
— Les gens le toit se trouvera. Et voici comment faire des scotomes? D'où prendre le foin, où la cour pour le bétail?
— Il paraît à ce que la distribution de l'avance et les tenues de travail vont donner en retard.
— Gagnez plus — tout apparaîtra. Et la grosse somme d'argent est forgée par le rivelaine.
— Non le rivelaine est accessible à tout.
— Je jetterai un coup d'oeil voici encore un peu. Si on n'aimera pas, je jetterai et je partirai à la maison.
Est plus fort ici que l'ancien s'est mis à parler à Janabyl:
— Qu'ont réfléchi? L'huile est plus sucrée que toutes pensées, et encore, si mange beaucoup, commencera à écoeurer. Je disais hier qvec Chtcherbakov. Il a dit que le secrétaire de parti à nous sera un jeune kazakh nommé Meyram. Voici je vais prendre son conseil. Alors tout sera plus clair. Il faut attendre un peu, tout se passera. Les chefs pensent de nos besoins.
— Qui est ton Chtcherbakov?
— Le principal.
— A bon! Raconte-moi clairement, fais-moi de jouir de la nouvelle.
— Assez! — a fini Janabyl. – Cest pas tout cela que j'ai pu apprendre, en russe je sais mal, non de tout tu demanderas. Et Chtcherbakov ne peut pas de manière kazakhe. Je parlerai voici avec ce secrétaire, alors je raconterai.
Les mots de Janabyla ont levé l'humeur des gens.
— Voici que signifie en russe savoir!
— Ce Janabyl il va réussir.
— Il vient d’arriver et il a déjà fait connaissance avec le chef.
— C'est bien cela, comme Janabyl dit: si on ne pouvait pas arranger tous, est-ce que convoqueraient tant d'à peuple!.
Meyram n'a pas commencé à écouter plus loin, s'est levé imperceptiblement. Allait lentement, en triant dans les idées tout qu'a entendu.
Soudain il s'est arrêté.
Devant lui il y avait une yourte. Devant l'entrée ouverte il y avait une jeune fille. Ayant levé la main et en se tenant d’elle au jambage supérieur, elle s'est repliée, comme souple herbette. Dans son visage blanc dans ses yeux noirs ribésiacées changeait l'expression de la tristesse et la joie: ce l'ombre se couchait sur la personne, il s'éclairait par la lumière. Quels sentiments secrets ainsi changeaient vite son aspect?
Elle est apparue parmi ces yourtes grises à la façon de la lune qui a regardé à cause des nuages. Et a plongé ici à la yourte, comme l'hermine au vison.
Meyram comme si dans le rêve l'a vu. Contre la volonté il a tourné vers la yourte.
À la rencontre de lui est sortie la personne basse aux pantalon de mouton, sa personne semblait être connu à Meyram. La personne a serré la main et, réjoui, a souri, ayant montré de grandes dents. Il a invité Meyram:
— Passez, s'il vous plaît!
En tâchant de se rappeler, où et quand il voyait cet homme, Meyram a enjambé le seuil. La jeune fille qui l’a attiré par sa beauté était à table. Comme si c’était par hazard, elle a regardé à Meyram et elle s’est baissée de nouveau sur les cahiers: elle donnait des cours à sa copine.
À la place honorable s'est installée la personne barbue. Sans lever la tête baissée, il s'est avancé difficilement, en donnant la place au visiteur.
Dans une gauche partie de la yourte, qui par une ancienne coutume était considérée féminin, de cuisine, était la femme âgée. Près de la cloison tressée de tchia1, se trouvait noir, comme le bitume, torsouk, sur кеrègue2 pendaient le rivelaine et la pelle. C’est tous ce qui a pu remarquer Meyram, avant que, ayant salué poliment, s'asseoir à côté de l'homme barbu.
La personne familière qui ont rencontré Meyram devant la yourte resta à se trouver à l'entrée. Soit à lui les cuisses étaient étroit, soit les culottes de la peau de mouton sont faiblement liées, mais il les tirait le temps et jetait des coups d'oeil avec inquiétude ou sur la femme, ou sur les jeunes filles.
— Ardak-jan, Maypa-jan! Mettez le samovar, — sans lever la tête a dit la femme allongée à l’autre moitié. — mes reins ne me permettent pas de me lever.
Les jeunes filles ont commencé à recueillir précipitamment les cahiers.
- Si seulement pour moi, ne mettez pas le samovar, — a dit Meyram, s'étant tourné vers les jeunes filles.
Il a remarqué des yeux le livre qui était sur la table: "Anna Karenina". Sur la douche à lui est devenu joyeux à la vue de ce que dans la yourte du Kazakh qui est venu de la steppe on peut voir l'oeuvre de Tolstoï. Il ne doutait pas déjà de ce que le livre est lu par la jeune fille si qui a frappé par sa beauté. Mais il ne connaissait pas encore son noml. Comme il ne connaissait pas celui ces deux hommes, à qui d'eux la femme malade vient par la femme.
— La volonté de Dieu, —a dit à ce temps là l'homme qui a rencontré Meyram, — la femme à moi quelque chose est tombée malade.
La jeune fille étant assise à côté de la belle femme, grand свои¬ми par les yeux était semblable à la femme malade, et toute la figure un peu courbée — sur son mari. L’homme barbu avec les joues creuses, jusqu'ici étant assis silencieusement à cȏté de Meyram, maintenant s'est mis à parler:
— Ardak-jan, le visiteur ne veut pas au thé, donne le koumis.
Maintenant Meyram son père a appris le nom de la belle femme et qui.
Ardak s'est levée. La robe du reps bleu de façon urbaine sur elle était assez usé. Libre des portes ouvrait le cou blanc, un peu rose du bronzage. Selon la mode Municipale de ce temps les cheveux à elle étaient coupé et sont lissés en arrière. Se tenait la jeune fille librement, n'était pas confuse, mais quand s'est inclinée, en donnant Meyram le koumis dans le bol chinois, ses lèvres vermeilles ont tressailli un peu, et la personne a rougi par l’éclat du teint. Il semblait à Meyram que ses yeux noirs sont remplient de quelque sentiment anxieux caché, de plus ils brillaient. On voulait entendre sa voix. Ardak restait silencieuse, il doit-être, se gênait de se mettre à parler à la présence des aînés. Meyram a décidé de l'entraîner à total razkgovor -
— Qui est le maître de cette rivelaine? — Il a demandé, ayant montré par la tête sur l'outil.
— Moi.Vous m’avez vu dans la mine, — a répondu l’homme. - Nous sommes venus, au gré de Dieu, pour gagner de l’argent, mais c’est pas une affaire si facile, c’est pas du premier coup que tu apprends à utiliser la rivelaine.
Meyram s'est rappelé: c'était un des ouvriers de l'équipe de Khoutjan.
— J’avais oublié de demander votre nom tout à l’heure...
— Je m’appele Joumabay.
— Il me semble que vous aussi j’ai vu dans la mine? — a demandé Meyram à son voisin.
— Oui, vous avez vu, — a confirmé Joumabay. — il travaille sur la halde. Au gré de Dieu, nous avec celui-ci nous sommes rencontrés nous vivons contre toute attente et voici ensemble.
— De loin lui?
Sans connaître que répondre, Joumabay a jeté un coup d'oeil sur un homme barbu. Celui-là ne répondait pas un certain temps, ensuite, que sans regarder, a dit:
— De loin, de la circonscription De Semipalatinsk.
On voyait qu'il non le chasseur raconter. Meyram n'a pas commencé à chercher à savoir et a demandé à la jeune fille:
— Vous lisez ce livre, la soeur?
Ardak a répondu court:
— Oui.
— Vous vous donnez des courses à votre copine?
— Il n'y a pas ici d'école, — a dit doucement Ardak. — je l'aide à apprendre les connaissances de base.
— Une bonne affaire. Plusieurs sont encore illettrés...
Il paraissait, le père de la jeune fille ne voulait pas qu'entre Ardak et Meyram s'engage la conversation. Il a dit:
— Peut-être, il est temps de traire la jument.
Ayant pris le seau, les jeunes filles sont sorties de la yourte. Meyram l’accompagné par le regard. Dans l'entrée ouverte on voyait: au loin pâturait la jument entravée baie, à son licou a été attaché le poulain.
Maintenant Meyram est devenu ennuyeusement dans la yourte, la conversation ne marchait pas. Ayant remercié les maîtres de l'hospitalité, il est sorti.
Encore récemment dans le ciel nageaient les bouts des nuages, maintenant l'horizon a été nettoyé. Le soleil se trouvait haut. Le temps du déjeuner. La fumée pâle-bleue, en se levant lentement dans le calme de toundiks de nombreuses yourtes, pendait sur les aouls. De l’ élévation jusqu’à la mine on a entendu le son des coups aux rails. Par le chemin aux deux parties il y avait des ouvriers, duraient les camions. Le bétail, dès le matin errant à côté des aouls et les puits, maintenant pâturait dans la partie.
Meyram ne pouvait pas se distraire des idées sur la jeune fille, regardait tout autour souvent. Ardak a regardé en arrière aussi deux fois. Seulement il ne pouvait pas comprendre, où elle le regarde — ou quelque chose l'autre l'a intéressé.
Les jeunes filles ont commencé à chanter sonorement "Akkoum".
Les voix mélodieuses des jeunes filles, la belle Ardak, la steppe fleurissante autour! Meyram allait, comme l'enivré. Et dans la tête — l'idée instante: est plus proche comment faire connaissance avec Ardak? Qu’est ce que représente comme personne son père silencieux?
Meyram doit lui-même essayer de comprendre ses émotions et pendant ce temps on va commencer le récit om il s’agitde cette jeune fille et de son père.
Le chapitre neuvième
Les années anciennes... Une grande y
ourte blanche. Les morceaux de feutre, de quels elle est couverte en dehors et au-dedans, jusqu'à toundiк, sont brodés des raies du drap rouge et sont unis de tapis coloré des bandes de largueur au quart complet. Ceux-ci les pies deux rubans de tapis ornant la yourte, trois années étaient tissées par la vieille aux yeux rouges, qui est assise maintenant sous le soleil ardent près du foyer de terre et fait cuire le courte — un fromage aigre. Sur elle tout à fait usé bechmete, qui elle a reçu autrefois pour le travail dur de trois ans.
Derrière l’aoul il y avait attaché au gèli1 des poulains. Près de ceux-ci se pressaient les juments, le nombre de qui était si grand que avant que les trayeurs arrivaient à une autre fin de geli, il arrivait déjà le temps de la nouvelle traite. Les garçons à pieds nus dans les semi-tabliers en cuir, ayant retroussé les pantalons bouffants, emportaient le lait trait dans les seaux – Un maigre vieillard avec la barbiche rare surveillait les trayeurs. C'était le mari de la vieille, assise près du foyer. Quelque peu il a demandé au propriétaire le cheval pour aller de la yourte à son affaire. On lui a volé le cheval. Pour récupérer la dette, le vieillard travaillait pendant deux ans pour la riche charpente colorée de peintures multicolores de la yourte, mais quand même restait encore le débiteur du maître.
A droite du logement de maître il y avait une yourte minable grise, et à gauche une autre, tout à fait petit, enfumé jusqu'à la noirceur. Entre eux on tend la corde, vers elle attachait des ambliers et les coursiers, sur lesquels galopait seulement myrza. Sous l'ombre de la yourte blanche on met le char avec la limonière levée, couvert de la bâche. Sous le char, à côté du chien noir rouan, ronflait le berger, s'étant caché le caparaçon et en mettant sous la tête la selle. Continu le ouaf du chien et les hautes voix des gens dans la yourte, enivrant du kou-cap abondamment bu, obligeaient le berger à tout moment à être retournés du côté à côté.
La fille de deux-trois années avec des yeux étincelant noir et la frange descendue jusqu'aux sourcils, a accouru au char, a pénétré sous elle et cela s'est installé entre le chien et le berger. En fronçant les sourcils et ayant gonflé les joues, elle avec la surprise regardait en face dormant, aux narines de qui échappait le ronflemlement désagréable, et les lèvres rendaient le son embrassant "bop-bop". Mais dans quelque moments elle est devenue courageuse, elle s'est rapprochée plus près, a touché des bouts des doigts à ses moustaches noires bougeant de la respiration, et a retiré ici la main. L’homme dormant n'a pas bougé. Alors la fillette s'est accoudée à la poitrine du berger et a commencé à jouer par ses moustaches.
Le berger s'est réveillé, a ouvert les yeux. Ayant embrassé la fille, il l’a embrassé dans les joues et a fait de la tête en direction de l'entrée à la yourte blanche.
— Vas à ton papa.
La fille a accouru à l'entrée, mais, ayant jeté un coup d'oeil à la yourte, elle s’est arrêtée près du seuil.
L'homme des années de trente, avec des cheveux lissés en arrière, dans le costume blanc du tussor chinois, ayant mis les mains pour le dos, allait de long en large selon la yourte.
Sur le lit de Varsovie avec le dos métallique courbé, s'étant accoudé sur le coussin et en jouant les aiguillettes, était le militaire à larges épaules, russe, avec les moustaches pompeuses et les yeux profondément mis gris. Sur le plancher, derrière la petite table ronde basse dépliante, était assis le truchement barbu et craquait par la plume.
À la place honorable trônaient considérablement deux. Un d'eux était la personne incroyablement corpulent, avec un gros cou charnu, avec pendant plus bas menton de graisse, des plissures de peau et avec le ventre immense. Quand lui, ayant levé l'index, disait, de la gorge à lui partait le râle. À côté du boulot, sans ouvrir les yeux fermés, était assis le mollah à long chapané avec des moustaches sortants. De temps en temps il prononçait hautement: «Ya-khakk!» — il tremblait de plus, comme dans la crise de la fièvre de Chikungunya. En s'agitant stupidement, se levaient et s'assoyaient de nouveau, ayant changé de la place, encore quelques personne, — à chacun sur le côté pendait le sac de feutre suspendu sur volo-syanom le cordon. Le seuil avait deux gardes grands, sur les poitrines à eux — les boîtes en fer-blanc de cuivre par la valeur avec la paume. Les deux, comme les chiens obligeants, suivaient chaque mouvement des sourcils d'importants gens étant assis à la place honorable.
Dans un tel aspect les gros bonnets et les maîtres de la steppe », réuni à la yourte blanche avec le кеrègue peint en differentes couleurs, couvert de tresses ornementées de tchia et brodé de feutres se sont présentés devant la fillette. La conduite de ces gens piquait l'intérêt de la fille, et l'épouvantail, et étonnait. Elle ne pouvait pas arracher d'eux les yeux...
Soudain est arrivé en dehors le piétinement ébranlant la terre. Tous ont sauté des places et étaient balayés, comme le troupeau qui a peur: uns se sont jetés vers la porte, les autres ont plongé sous le lit, troisième se sont cachés derrières des tresses de tchia. Les voix enrouées et glapissant ont rempli la yourte.
Sur le chemin, comme devant la tempête, se levaient les nuages de la poussière. Bientôt vers l’aoul a sursauté bruyant, la foule dissonante des cavaliers et a entouré la yourte blanche.
— Déduisez Alibek! Descendre à lui le sang! Attacher le brigadier à la queue du cheval non dressé! — allaient à toute vitesse les voix en dehors.
Un d'entrant en courant à la yourte a frappé le maître avec le couteau, quelqu'un a mis sur le cou du brigadier le lasso chevelu et lui a sorti à la porte, quelqu'un a renversé le truchement, a saisi les papiers mis sur la table...
Ayant dispersé l'attroupement "des gros bonnets", les cavaliers ont reflué. Dans la yourte il y avait à être un maître ensanglanté. Deux femmes se sont se lamenté à lui— ses femmes. Pleurait une petite fille effrayée.
Le maître de la yourte, l'intendant de volost Alibek, blessé maintenant par le couteau, opprimait il y a longtemps les habitants des aouls d’environs. Le peuple est arrivé au désespoir...
La fille, au moins n'a pas compris le sens des évenements qui ont eu lieu, longtemps après cela dans la peur se réveillait pendant la nuit, poussait des cris, commençait à pleurer au moindre bruit. Quand elle a grandi, les gens lui ont expliqué que s'est passé ce jour-là.
Cette fille était Ardak déjà familier à nous. L'homme silencieux à barbe noire, qui Meyram voyait dans la yourte de Joumabay, était son père. Il s’appelaient Alibek.
... Il était un des jours d'été sereins. Le soleil monté tout est plus haut, les ombres par la terre étaient plus courts. A ces heures d’habitude le vieillard-berger boiteux, en étant assis à califourchon sur rouge à la volonté, pâtait le troupeau des brebis loin de l’aoul. Aujourd'hui il tenait le troupeau à côté du village, cette fois sous lui était un baudet moreau à la crinière longue; à travers de la selle le berger a mis creusement un long кourouк. Le boeuf rouge pâturait librement parmi les autres boeufs et, sans comprendre, pourquoi ne le sellent pas, et à chaque moment il regardait tout autour à l'écart du berger. Plus tôt, que toujours, ont amené aujourd'hui vers l’aoul et le troupeau de cheval.
Près d'une haute yourte, étant dans le centre par le demi-cercle de l’aoul disposé, s'est réuni à beaucoup de peuple. Dans les mains de tous — les brides, les licous, les cordes. Des banlieux des bourgs qui solitairement qui en groupes arrivaient tout le temps de nouveau gens et ils se joignaient à la foule. Le hennissement des chevaux, le bêlement des brebis, le mugissement des vaches et les chameaux, les voix du peuple réuni fusionnaient à un grondement confus pendant sur l’aoul.
Près des portes de la yourte-cuisine, disposée à gauche de la surface habitable, était de service la protection. Il y avait au-dedans deux: le mari et la femme. Les yeux à la femme sont gonflé des larmes, elle soupirait difficilement. L'homme, en chancelant, se jetait selon la yourte, comme le loup qui est tombé dans le piège. Sur son visage avec des pommettes protubérantes rudement et lançant des regards étincelants méchamment — le désespoir. De temps en temps il regardait d'un air sombre par la yourte dans les trous dans le feutre et s'assombrissait encore plus.
Dans une petite yourte voisine il y avait aussi deux — la mère avec la fille. La protection n'était pas ici. Mais les femmes n'allaient pas sortir. La mère, émacié par la longue maladie, ayant levé avec peine du coussin la tête, elle racontait tristement étant assis à côté d'elle à la fillette aux yeux noirs:
— Notre famille était à lui mésallier, mais il s'est laissé tenter par ma beauté, sur qui marchait le bruit dans le peuple. Alors n'était pas à moi sur la personne de ces sorbiers laissés par la variole. Mais dans six mois après le mariage, quand je portais encore gelek1, m'ai frappé la variole. J'étais dans le lit, il a trouvé une fiancée la deuxième femme. Qu'était après cela toi tu l’a voyait toi-même.
Maintenant à toi il y a une quinzième année. Jusqu'ici me supportaient ici seulement pour toi, autrement il y a longtemps chasseraient. Et quel sens de ce que n'a pas chassé? Je vivais avec la veuve au mari vivant, il m'a transformé en esclave - À lui — les troupeaux immenses du bétail, et je n'étais pas la maîtresse même du chevreau galeux. Les coups et les offenses ont entouré de la glace mon coeur. Je me suis étiolée d'eux...
Ton père aspirait à la richesse et le pouvoir, ma fillette. Mais «et le flux de l'eau rencontre la barrière», — annonce le proverbe. La vie le punissait deux fois, mais il n'a pas tiré pour lui-même la leçon. Pour la première fois c'est arrivé, quand tu étais encore petite. Le peuple fâché s'est révolté, un des insurgeants a flanqué un coup ton père du couteau. Plus tard, quand les troupes rouges sont venues ici, le père voulaient mettre en prison. Mais l'ami apprenant avec lui ensemble a gagné. Maintenant ton père porte la troisième punition. Et vraiment il ne réussira pas de lui éviter...
De quoi regretter? Moi je n'avait pas ni du bien, ni du mari. Et comment je quitterai les places natales, mes proches, parmi lesquels j’qi grandi? Reste avec moi, il t'est inutile d'aller aussi avec le père... On dit: à quatorze ans la fillette - la maîtresse de la yourte des nouveaux mariés. Tu déjà par la main dénonces la nourriture jusqu'à la bouche. Tes yeux sont ouverts — tu lis en russe et de manière kazakhe. Cher mon Ardak, la pupille de mes yeux, à moi le seul rêve — t'introduire maintenant sur la place heureuse par la maîtresse de la yourte et verser ton thé - si la terre froide désire m'accepter jusqu'au temps, retiens mes mots — vis, comme dit la sagesse populaire: cherche la place seulement parmi les égaux, ne se mets pas en route une, et seulement avec des gens, mais aussi n'espère pas sur les autres, sais la pelisse tailler à lui-même. As-tu me compris, mon enfant?
Ardak n'a pas levé la tête baissée, elle a pas bougé. De ses yeux les larmes ont aspergé, elle a dit:
— J’ai compris, la mère...
Dans la rue le bruit tout ne cessait pas. À tous les personnes joyeuses. Voici, en conduisant du baudet moreau à la longue crinière atteléet en adaptant la dizaine des brebis et les chèvres, le vieillard clochepied le berger Chostoyak est sorti du cercle. Les garçons de ferme Jantak, Asambay et Balgabek divisaient le jambage de cheval. Le berger de chameau Iskhak conduisait la chamelle blanche attelée. La trayeuse Oundekey en se trouvant-la, ayant entouré le cou de la vache rouge avec la calvitie de la race kholmogore.
Se faisaient entendre les voix:
— Il est heureux de posséder le bien!
— Et vous aussi! Notre est le bétail, par notre est élevé par le travail!
— Maintenant malheureux a reçu sa partie de manger à sa faim!
Enfin la distribution du bétail a trouvé sa fin. On a enlevait de la grande yourte la couverture de feutre, on a débâti la charpente et on a chargé sur les chariots.
Le maître et la maîtresse ont fait asseoir sur l'araba à deux roues attelé par le chameau criard jaune. Le chariot a demarré à la voie lointaine. Les gens accompagnaient par son regard. Le chameau jaune, en marchant paresseusement, publiait les cris perçants. L'araba sursautait sur les mottes, craquait. Le maître et la maîtresse, en se détournant du peuple, ne levaient pas les goals baissés.
Le mandataire distribuant le bétail, s'est levé sur l'élévation et a proclamé hautement:
— Dès aujourd'hui le carnassier féroce d'Alibek Myrzabekov déménage de notre circonscription! Et vous, le peuple de travail, se servez des pâturages qu'a été dressé selon toute la vallée, cultivez le bétail.
Bientôt les gens ont commencé à se séparer. D'une grande yourte par la terre il y avait seulement une tache ronde.
C'est arrivé en 1928, pendant la confiscation du bien des beys semi-seigneur féodal.
Il a passé encore trois ans. Il y avait une nuit tardive d'été.
Dans le kolkhoze du nom de Vorochilov seulement dans les maisons rares ne dormaient pas. Mais la jeunesse se promenait encore au long de la rue, se faisait entendre l'accordéon, la chanson russe, — la population ici était russe.
Alibek allait au long du bourg de kolkhoze. Derrière son dos à lui pendait la besace, dans les mains — le bâton. Il se faufiler avec hâte par les rues des banlieues, sans faire l'attention au petit chienqui lui poursuivait avec gaouf. Quand Alibek s'est égalé à la foule de la jeunesse, l'accordéon et la chanson sont tombés en silence.
— Les enfants que cela pour la personne va?
— Il semble, la pauvre.
L'aspect à Alibeka était suspect. Sur la tête le vieuxcasque, le pied dans les souliers usés, aux épaules chapan kazakh. Sur le menton sortait la touffe de la barbe semblable au buisson du stipa de steppe. Alibek a eu peur, quoi que les garçons ne l'ont pas remué au conseil de village, et il a demandé vite:
— Où le Kazakh-gardien de chevaux ici vit?
— D'où tu le connais?
— Mon parent.
— Le gardien de chevaux — un bon vieillard.
Alibekу ont indiqué, où aller, et ne descendaient pas de lui les yeux, il n'est pas entré dans la maison du gardien de chevaux.
Dans la maison il y avait seulement deux: la vieille dormant sur le four, et Ardak lisant le livre.
Ayant entendu le bruit, Ardak a pris aux mains la lampe, est sortie dans l'ombre.
— Qui là?
— Ouvre, cher.
— Et tout de même?
— Ne s'effraie pas, la fillette, cela moi, ton père.
— Que? Que vous avez dit? — S'est perdu Ardak.
Est sortie dans l'ombre la vieille somnolente.
— Qui là?
M'est, chéché.
— Oh, mon Dieu! Est-ce que les morts ressuscitent?- s'est exclamée avec surprise la vieille, ayant saisi la poitrine, et a reculé en arrière.
— Ne levez pas le bruit. Cela je, comme vous le voyez, suis vivant et вер¬нулся.
— Le père! — la force incompréhensible a poussé Ardak en avant. Elle s'est jetée d'ouvrir la porte. La lampe a éteint.
Alibek est entré dans la pièce et premier qu'a fait, — a mis le crochet de porte. A commencé à persuader ensuite la fille pleurant et la vieille.
— Il ne faut pas, il ne faut pas du bruit! Qu'aucune âme ne connaisse pas. Je ne veux pas pour que me voient ici.
Ont allumé la lampe. Ardak et la vieille silencieusement regardaient en étant en visite.
Alibek a dit tranquillement:
— Quoi a eu peur ainsi? À moi pas du tout était vécu mal. N'a pas évité seulement la disgrâce de Dieu: est décédée la deuxième Ma femme divisant avec moi l'expulsion. Et moi, voyez, est sain et sauf. S'est ennuyé ferme de toi, la fillette! Il n'y a pas de forces à vivre avec le solitaire. Est venu demander — nous partirons avec moi...
Ardak n'a pas eu le temps de répondre, quand la vieille s'est mise à parler:
— L'essentiel est vivant, le chemin. On dit, la personne qui a éprouvé du malheur, perd la tête...
Il est, la chéché, plus tôt raisonnaient ainsi.
Ardak a dit avec le soupir:
— Quand même fortement vous avez changé au coq.
Est une affaire mon or remédiable, — a calmé Alikbek. — je suis simplement fatigué du chemin.
Et il continuait à raconter:
—J’ai pas perdu de l’esprit. Où j'étais couverte du destin que je faisais — travaillait partout sans relâche. Pour le travail consciencieux m'ont libéré avant terme. Voici le document. — il a montré le papier. — et le travail m'a fait par la tout à fait autre personne. J'ai compris ma fiellette qu’on pourra pas rendre ce que a été avant...
— Que vous allez faire maintenant? — a demandé Ardak.
— Je m'habituerai à la nouvelle vie. Dans les places locales à moi on ne voudrait pas s'installer: des gens il est honteux. Dans quelques journées de route d’ici on a commencé la grande construction, ils construisent une nouvelle ville. Il est nécessaire là mille gens... Il y aura à moi une place. Voici je suis venu t'appeler avec moi-même. Vers quoi à toi être assis dans l’aoul? Il est temps sur large jusqu'à-corne de sortir.
La vieille a commencé à préparer le plat. Ardak par l'intérêt écoutait le récit du père, ensuite elle a montré les cahiers: cette année elle a fini l'école secondaire locale. Le père, ayant feuilleté les cahiers, il resta est content.
— Voit, comment bien! Au temps qui court sans éducation tu ne pourra pas vivre. Et à quoi ici tu mettras les connaissances? Une autre affaire — dans une grande ville. Là tu deviendra la vrai personne.
Ardak hésitait. Les arrangements du père lui semblaient attirants: les nouvelles places, les hommes nouveaux... Tout cela pouvait passionner la jeune fille.
— Il faudrait attendre, quand reviendra nagachi, prendre le conseil, prendre le congé, — elle a prononcé irrésolument.
— Quand encore il reviendra! Dites — sur le congrès l'ont envoyé. Avant la semaine, peut-être, et il faut pas attendre. Nous lui écrirons. Je veux partir plus vite. Ramasse tes affaires, la fille!
La vieille s'occupait dans la pièce de devant du samovar. Ardak est sortie vers elle, s'est arrêtée dans les portes, avec le chagrin гля¬дя sur la mamie.
— Aje, — elle a interpellé doucement.
La vieille comme attendait seulement cela, a approché l'oreille de ses lèvres.
— Que me faire, agé?
— Je ne connais pas que dire, gentil la mienne. Décide.
— Le père ne veut pas attendre le retour de la nagachi...
— Tu un-seul me restais de la fille décédée Cholpan... Mais cette personne — ton père que faire! Comme il est difficile de se séparer avec toi... Vieille s'est noyée dans les pleurs, de ses yeux se ternissant ont jailli les larmes. — décide. Pourvu que tu sois heureuse! Si tu décideras d'aller, vraiment il vaut mieux partir avant le retour de nagachi, part. On voit, et Alibek pense aussi. - en effet, aujourd'hui il a enjambé pour la première fois notre seuil après le mariage sur mon Cholpan. Il ne nous trouvait jamais égal à. Pour cela et notre vieillard dans l'offense sur lui...
Cela vrai nagachi n'aime pas mon père. Et la mère morte s'en plaignait. Mais il comme si a changé, une autre personne est devenu. Alors, dans l'enfance, nous avec la mère ne sommes pas allés avec lui. Mais maintenant, il me semble, il le faut aider comprendre la vie nouvelle. Dis, agé: comment je dois faire?
— Faut-il aller loin?
— Loin.
— Que, toi est venue il est temps d'être la maîtresse de la yourte.
Le samovar a bouilli. Prenaient le thé, tous les trois gardaient le silence. Tout à coup la vieille a laissé tomber la tasse et a prononcé plaintivement:
Quelque chose la main s'est mise à trembler.
Ardak a levé la tasse, a dit:
— Vieux vous êtes devenus agé.
La vieille a soupiré profondément:
— Que tu feras! Pourvu qu'à toi, jeune, soit vécu bien.
Alibek a sorti de la poche le paquet d'argent. Ayant compté, elle les a mis sur la table.
Ici cinq cents roubles, la chéché. Excusez-moi et ma fille que nous vous affligeons. Je n'aurais pas commencé à l'enlever, mais en effet, et moi il faut regretter: je suis tout à fait solitaire dans le monde.
— Dépose l'argent à l'inverse à la poche chère. Merci. Nous le saisissons le salaire du vieillard, ici dans l'honneur. Il n'y a pas seulement à lui jamais de repos. Dès que quelque réunion, le congrès — ne font pas les maisons rester assis. On dit, un percuteur... Je me suis habituée à la petite-fille, a aimé, comme Cholpan, oui que tu feras! — la vieille a fait tomber de nouveau les larmes. — comme par un fait exprès, et le vieillard de la maison est absent. Je ne connais pas que je lui dirai. Lui en effet, à nous chaud.
Alibek, en craignant de serrer la conversation, a dit à la vieille des quelques mots consolants et, n'ayant pas attendu, desserviront, a commencé à se réunir à la voie.
Ardak était assise n'ayant pas bougé, attendait qu'encore dit la mamie. La vieille se lui est approchée, elle a embrassé plusieurs fois aux joues, au front et elle a dit:
— Bien, je permets. Sois heureuse, gentille la mienne!
Le chapitre dixième
D'hier grand bey, et l'ouvrier d'aujourd'hui — Alibek est entré sur la mine et s'est perdu parmi plusieures gens bigarrés assemblés à Karaganda de tous les côtés de la steppe infini. Pourquoi il devait traîner avec lui-même la fille? Il et pourrait répondre peu probablement à cela. Peut être, il et était opprimé en effet par la solitude, la séparation faisait souffriravec la seule personne qui lui est proche. Probablement, il comptait sur le profit simple: la fille — la jeune fille formée, avancée, sous sa protection est plus facile de s'insinuer dans la confiance des gens.
Ardak ne soupçonnait pas sur les projets secrets du père. Elle regrettait seulement Alibek, on le voulait aider trouver la place dans la vie nouvelle. Elle croyait naïvement que le père a accepté cette vie nouvelle, s'est réconcilié avec celle-ci, veut gagner par le travail honnête la confiance des gens. À celle-ci il était naturel de penser ainsi. Les dernières années elle a vécu parmi simple, les hommes carrés à coeur ouvert.
À Karaganda Alibek et Ardak ont trouvé le refuge dans la yourte du Joumabaya hospitalier. Ici Ardak a vu pour la première fois Meyram, et dès ce jour sa toute vie s'est éclairée quoi que но¬вым, la lumière vive. Seulement une fois a jeté un coup d'oeil Meyram à la yourte, mais l'image son amorce dans le coeur de la jeune fille. Parfois Ardak sauvé sur les idées: elle voulait que Meyram entre de nouveau dans la yourte, s'est assis sur la place honorable, a remué la conversation, en cachette sur elle les regards, de qui ainsi se bat fortement et anxieusement le coeur.
Ardak une est assis dans la yourte. Ces derniers temps les idées се se sont engagées aux baluchons solides. Et elle ne pouvait pas débrouiller aucun d'eux. Peut-être, le plus difficile d'eux — le père. Non facilement le comprendre. En apparence comme si sincère, ouvert, mais si réussira à vivre à la nouvelle manière?. Deuxième — sa vie personnelle. Si on Réussira à apprendre plus loin? Pourquoi elle était émue ainsi de Meyram? Que lui pour la personne? Où trouvera
Ardak la place dans ce complexe, de nouveau le monde ouvert? Tant autour et les alarmes et les espoirs! Les alarmes oppressent, l'espoir окрыляют. La mer quotidienne c'est dans le repos profond devant les yeux de la jeune fille jeunette candide, bout et s'inquiète.
Chargé aux idées, Ardak depuis longtemps a fermé le livre, mais continue à la tenir en main. Elle était déduite de la méditation par Majpa entrant, la fille Joumabaya.
— S'il n'est pas temps de porter aux parents le déjeuner? — Il est fort; la force le Majpa animé.
Ardak y a jeté un coup d'oeil avec le sourire, s'est levée de table.
— Nous irons.
Les jeunes filles ont pris les baluchons avec la provision et se sont dirigés vers la mine. Sur leurs-joie tilleuls. Et de quoi ils se réjouissaient — l'amie et ne pourraient pas dire. Ils allaient à la mine pour la première fois; il leur semblait que tous les meilleurs gens travaillent là.
Premier que les jeunes filles près de la mine, — la personne dix ouvriers ont vu. Ils ont tendu entre les boucs long, à quelques centaines de mètres, touffes du fil portant selon - Mes au gnôme le nom "des langues", et à l'aide de gros des bâtons en fer tressaient un nouveau câble.
Les jeunes filles se sont assises de près sur la butte et, avec la surprise regardant sur le travail extraordinaire, conféraient:
— Tordent tout à fait ainsi que la corde chevelue.
— Peut-être, et nous réussirions...
À cette époque la fin fortement tendue de "la langue" était coupé du poteau, et le fil, en tintant en tournant, a entortillé les pieds et les robes des jeunes filles.
S'est fait entendre le rire fort de Janabyla.
— Eh, Bajten, tiens, tiens, se sont trouvés aux lacs!
Cette fin de "la langue" tressait Bajten. D'habitude Bajten commencait le travail chaleureusement, comme le poulain de deux ans, quand le lancent à la course. Mais commençait à remettre très vite. Voici et maintenant dans quelque heure s'est dissipé, a commencé indolemment à tourner le câble, bâillait. Le bâton de fer a échappé de sa main, a frappé au visage. Les lèvres à lui se sont enflées à la fois. Tout il, comme les jeunes filles, était entortillé du fil et il piétinait par la terre, en tâchant de se libérer.
— Vog à toi et l'ouvrier avec le stage de dix-huit ans! — disait Janabyl, en lui aidant à se débrouiller. — dans la langue tu es adroit!
— Être en arrière! — a grommelé Bajten. Sur sa personne il n'y avait pas déjà ancienne assurance, les yeux regardaient distraitement. — il faut aller au médecin.
— À cause de telles bagatelles? — S'est étonné Janabyl.
— En tout cas la journée de travail inscriront.
— Et l'affaire restera inachevé?
— Près du trésor le cou gros, ne s'inquiète pas.
Est et tout, quoi tu as appris en dix-huit ans? — S'est fâché Janabyl. — à tel futile cas nous même bey ne laissions pas le bétail sans surveillance. Toi le vrai simulateur! Un mauvais exemple tu donnes.
Et Janabyl s'est mis à courir à les jeunes filles — les aider освобо¬диться du fil.
S'étant écarté sur une certaine distance, Bajten a changé d'avis et est revenu, en grognant:
— Oh, quel professeur s'est trouvé. Est-ce que le travail administratif sur un seulement le jour? Euh!
Il avec la répugnance s'est mis au travail.
Autrefois le travail sur la mine appelaient comme le travail sur beys. Il et était en effet ainsi. Les Anglais de toutes sortes de mensonges dérobaient à les mineurs leur salaire, et sans celui-là misérable. Tels ouvriers, comme Bajten, à l'heureux hasard tâchaient aussi d'arracher à les maîtres. Cette habitude de plusieurs années était assise encore ferme à Bajtene. Maintenant il est revenu sur le poste de travail seulement de la crainte qu'il sera condamné par les compagnons. Tournait le câble toujours indolemment. En ce travail on ne pas encore établissait pas la norme de rendement. Le travail de l'équipe à la tâche, et la recette divisaient en parties égales. C’est pourquoi Bajten ne se surmenait pas en travail.
Comme tâchaient de dégager les jeunes filles les bas des robes, ils n'aimaient pas cela sans l'aide de Janabyl. Le fil d’acier les a entortillé ferme, sans permettre bouger.
— Voici comme attrapent nos lacs! — plaisantait Janabyl.
D'abord il a dégagé Ardak. Et quand le tour est venu
Maïpy a commencé par les clauses:
— Demande comme il faut, alors je débrouillerai.
— Je demande, le frérot.
— Tu demandes beaucoup?
— Beaucoup.
— Regarde, après ne refuse pas. Soyez la temoine, — Janabyl s'est adressé à Ardak. En débrouillant Majpou, il ne cessait pas de louer le câble. — de l'acier propre, il convient et pour la descente à la mine et pour la chasse des jeunes filles.
Ardak, jusqu'ici taisant, a plaisanté aussi:
— Vous attrapez toujours les jeunes filles par les lacs en acier? Non, à nous est de soie, c'est encore plus solides.
Ils non sont solides ainsi pour attraper les coeurs.
— Nous regarderons, quel le coeur à vous, — a répondu de Jean - était. — il y aura des lacs et pour lui.
— À qui ils se trouveront?
— Une personne tresse déjà.
— Qui et «cela? — Cherchait à savoir Ardak. De Majrou elle connaissait que Janabyl a eu le temps de faire connaissance déjà avec Meyram, se rencontre avec celui-ci. Et Ardak a pensé maintenant: «Peut être, ils chantaient entre eux-mêmes les conversations sincères».
Janabyl continuait à plaisanter:
Voyez, combien ici les jeunes gens. Vous croyez, ils seulement savez tordre les câbles? Non, eux le maître et les lacs tresser pour la chasse des coeurs de jeune fille.
— Te suffira! — s'est fâché Majpa. — dirait quelque chose sensé. Comment à vous ici, sur la mine, la vie va?
Janabyl est devenu à la fois sérieux:
Cela va génialement! Des nouvelles, la jeune fille, beaucoup de roubles, en arrière étaient passés les élections le bureau de parti les organisations. Par le secrétaire unanimement et prenaient Meyram. Après des élections de Meyram a fait l'exposé à la réunion du Komsomol au sujet: «Les tâches industrielles des communistes». Au dire de Janabyla, cela il y avait un exposé remarquable, il a l'occasion d'entendre pour la première fois tel intéressant la saillie.
Aussi avec enthousiasme Janabyl a répondu et à Chtcherbakov.
— Sergey Petrovitch lui-même marchait personnellement avec moi à l'atelier mécanique pour procurer un emploi. Il a confié au serrurier Lapchin de m'apprendre à tout que celui-là connaît...
Janabyl bavard disait sans se taire, tous et n'oubliait pas.
— Et vous connaissez Lapchin? Sur, c'est une telle personne, quel il y a peu de... Le Communiste. Il est venu de Donbass. Le maître de l'affaire. Voici il a trouvé ce vieux câble quelque part sur les arrière-cours de la mine et a proposé de tresser de lui nouveau. Pour cela il a crée l'équipe dans dix personnes, les quelques jours eux-mêmes nous aidait. Et ensuite m'a mis aux aînés dans l'équipe...
À cette époque le Lapchin lui-même s'est approché. Sur l'aspect à lui des années trente. Pauvre, fermé, il non disposait à la fois vers lui-meme. Une telle impression était créée, probablement, parce que le regard à Lapchina était froid, fixe.
Lapchin a salué les jeunes filles, ensuite il s’est tourné à Janabyl:
— Le câble est vraiment nécessaire. Quand vous finissez?
— Comme nous irons déjeuner, sera prêt.
Janabyl connaissait faiblement en russe, disait avec l'accent, et quand il n'y avait pas mots, s'exprimait par la mimique.
Lapchin a examiné le câble - Dans une place a trouvé pas plat, en se taisant lui a indiqué Janabyl. Celui-là a menacé par le poing à Bajten.
T'est tournait, toi!
— Dans cette place il faut congédier et tordre de nouveau, — A ordonné Lapchin. — si le câble est mal tordu, боль¬шой le poids ne subira pas, sera usé plutôt. Disent ainsi les lois des mécanique.
— Quelle personne dit?
Lapchin a souri parcimonieusement.
— La science une telle est. Le temps viendra — tu apprends.
Science? — A redemandé Janabyl. Est il faut retenir. — A pris le crayon, a étalé sur le genou la page blanche.
—Il s'écrit pas «le mécanique» mais "le mécanicien". Donne je vais corriger.
— Corrigez, s'il vous plaît,
— Dès que finissez, il faut immédiatement livrer le câble vers la mine "Gerbert". Se pressez, les compagnons!
Lapchin est parti.
Janabyl a regardé à lui après, a claqué de la langue, a cligné de l'oeil aux jeunes filles:
— Voyaient, quelle personne? A nous présent des hardi cavaliers. Voici seulement Bajten...
— Que, dans le savoir-faire de tourner le câble votre consiste en hardi cavalier? — A souri Ardak.
— Sans câble le charbon de la mine tu ne lèveras pas, et sans charbon il n'y a pas de vie. Il faut comprendre cela. Est-ce que cette petite affaire — tresser un nouveau câble du fil se rouillant? Est-ce que про¬сто faire le maître du garçon de ferme récent, un tel, comment moi? Et Chtcherbakov a dit — il faut faire. Et Mejram aussi... Le Fonds à ces gens très profond. Je n'y ai pénétré profondément, autant a réussi. Direz — peu? Попро¬буйте vous plonger, peut, trouverez le plus précieux.
— Si c'était l'eau, plongerait, — Ardak a répondu. — Et dans l'âme de l'homme non il est facile de pénétrer ainsi.
— Le poumon peut faire chacun, est plus honorable atteindre le difficile. C'est Mejram dit ainsi. Comment vous sur cela смот¬рите?
— Je pense, difficile atteindre péniblement. Et мучить¬ся pas chacun veut.
— Hé, vous non avez compris ainsi! — Janabyl chaleureusement a objecté. — Mejram ne veut pas que les gens souffrent. Non, lui bon.
— D'où à moi la noblesse? Et pourquoi vous louez ainsi à je ce Mejrama? — A éclaté Ardak.
— Pourquoi? À mon avis, vous serez venus selon le coeur l'un à l'autre! — a dit à brûle-pourpoint Janabyl.
Гут le chien le câble ont ri. S'étant ressaisi que засиделись, les jeunes filles se sont levées. Quand se sont écartés plus loin, Majpa a commencé à raconter avec animation à l'amie:
Celui-ci? Каiаbyl directement quelque remuant. Quand tu te rencontreras avec celui-ci, ne donne pas le repos, absolument la tresse. Nous Une fois nous sommes arrêtés avec lui devant le puits, ainsi j'ai échappé, l'annelet m'a enlevé.
Eh bien, comme on peut enlever?, probablement, a rendu.
— Ipano, a retiré de vive force. Un peu les doigts ne s'est pas déboîté.
Donc maintenant nous sommes dans la querelle?
Si I 1у se trouve se quereller à cause de cela! Lui à moi les esprits по¬дарил.
Ardak a soupiré tout doucement. Elle a tâché pour que Maiina ne remarque pas ce soupir, mais dans la conversation s'est trahie involontairement.
— Tu es heureuse avec Janabylom, Majpa?
— Et toi?
— Et que moi? A moi personne est absent!
— Lettre de Mejram?
— Que vous avez rabâché: Meyram oui Meyram?. Je ne le connais pas encore, et il ne me connaît pas.
Ardak a réfléchi. «Le voir maintenant. En effet, il doit être quelque part ici». Mais Meyram n'était pas. Tout sur la mine était pour Ardak nouveau, jamais vu. Un gars faisait courir circulairement les chevaux attelés au tambour. Les bennes immenses tombaient alternativement à la profondeur de la mine et se levaient de là rempli du charbon. Les ouvriers высы¬пали le charbon à chariots, transportaient et rejetaient à un tas.
Est et il y a une mine? — A demandé à Ardak.
Les ouvriers ont éclaté de rire.
— Vous que, seulement êtes nés maintenant sur la lumière?
— L vous est-ce qu'ensemble avec la lumière êtes apparus?.
Les plaisants se sont tus. Près du tambour, il y avait un vieillard aux larges épaules. Apparemment, il était très sociable. Tout de suite il a tendu Ardak par la main.
— Bonjour, les jeunes filles! Qui vous cherà ici? Je suis Kozlov.
— Et moi Ardak Myrzabekova. A apporté Voici au père le déjeuner.
— Je vois pour la première fois une telle jeune fille de combat kazakhe. Voir, formé. Est venue d'où, la fillette?
— De l’aoul.
— En effet de l’aoul, d'or?
— Est-ce que ne croyez pas?
— Non-et, je précise ainsi, — Kozlov a dit.
Il veut parler beaucoup, partager la joie. Était que partager — pour deux jours plus tôt Chtcherbakov du délai le vieillard a fini l'installation du tambour. La montée des bennes s'est écartée à la main au passé. Maintenant ce travail est accompli par un gars. Les bennes à cinq fois plus les anciens. Le charbon obtenu est maintenant non par la moyette, et la meule. Cependant Kozlov a appelé ces innovations comme la mesure temporaire, le moyen arriéré de la production. À rapide futur il va retirer et le tambour de cheval et passer sur l'installation à vapeur. Mais, d'après lui, et la vapeur ne peut pas satisfaire la production grandissant. Par la suite tout le travail sera accompli à l'aide de l'électricité. По¬надобится et le chemin de fer. Kozlov a fini avec увлече¬нием:
— Quand je vois tels mineurs expérimentés kazakhes, comme Ermek, tels jeunes gens intelligents, comme, ou les jeunes filles animées, comme vous, je ne peux pas voir, la fillette. Avec tels gens on peut faire tout.
— Nous seulement les étincelles de la flamme, le père.
— Je connais, je connais! Mais les étincelles sont répandues seulement par une forte flamme...
Les coups sur le rail ont notifié qu'est arrivé du déjeuner.
Alibek et Joumabay se sont levés en haut. Les jeunes filles en ont accédé aux désirs. Kozlov, ayant serré la main d'Alibeka, a demandé:
— Elle, semble, votre fille? Heureux vous la personne!
— Je ne comprends pas en russe, — Alibek a répondu en kazakh, ayant caché on ne sait pourquoi que possède bien la langue russe.
Ardak a éprouvé le sentiment désagréable à cette sortie du père, mais l'a commencé pour le caprice capricieux. En effet, il l'assurait: «j'ai changé de vieux regards. Vi - seulement - s'est mis à la pelle et est descendu à la mine». Sur le travail lui toujours parlait volontiers. Ardak croyait le père. Mais tout de même ses caprices incessants lui livraient beaucoup de tristesse. Voici et maintenant elle a éprouvé le sentiment du chagrin.
Kozlov cependant continuait à dire:
— Regarde, la fifille - Sous ce tube est боль¬шое le lac. Nous allons lever l'eau sur la surface. Ici, près du tube, et l'atelier mécanique. S'achèvera l'interruption, je te réduis là-bas. Apprendre. Si de rien sur tu accumuleras dès la jeunesse, selon tu atteindras la sagesse et dans la vieillesse. Merci, le père, je regarderai.Par le bouc est parti. Alibek et Joumabay se sont écartés, se sont assis par l'herbe la clairière. Les jeunes filles ont mis devant les parents la nourriture. Joumabay émiettait par le couteau le mouton gras, condamnait:
— Prenez, prenez, mangez!
— Les descentes des mines commencent à s'allonger, — s'est mis à parler à Alibek. Bientôt, peut-être, il n'y aura pas temps pour se lever sur la surface et dîner. Оh, où par lui, les vaste espaces muraux!
Derniers de l'éléphant du père est malade ont piqué le coeur d'Ardak.
Le vieux s'ennuie - Ou cela de la fatigue à lui? »— elle a pensé, ayant jeté un coup d'oeil d'un oeil scrutateur sur le père. Mais la personne sévère Alibeka ne donnait pas ses sentiments.
En mettant dans la bouche le mouton, Joumabay a manifesté complet indifférent vers la plainte d'Alibeka.
— Que, nous prendrons la nourriture.
Sous la terre l'estomac digère mal la nourriture, — Alibek a objecté.
La volonté de Dieu, mon estomac partout de celle-ci il est bon! A avoué Joumabay. — je m'étonne de lui-même. Encore quand je par le fiancé venais à l’aoul à la fiancée, m'ont surnommé le glouton.
Ardak a éclaté de rire, Alibek a ricané aussi à moustaches, a commencé:
— Certes, il y avait un travail, il y aura une appétit. Le travail est un essentiel.
Quand, les parents ont dîné, les jeunes filles sont allées vers le tube. Là ils étaient rencontrés par Kozlov.
Le bâtiment bas en pierre portait maintenant fort nom:
L'atelier mécanique. Mais ce nom pouvait se justifier seulement dans le futur, et maintenant dans le bâtiment il n'y avait pas aucun mécanisme bon. Selon les angles s'entassaient des tas —les roues en fer, les fragments des pignons, les wagonnets rouillés, quelques locomobiles inaptes et d'autres vieilleries. Tout cela que restait des Anglais.
Près des portes, en dehors, se trouvait trois locomobiles. Le serrurier, le grand-père Ivan Potapov, du matin au soir était à côté d'eux, frappait par le marteau. Non dans sa coutume se dépêchera, et se fatiguer aussi. Il était silencieux. Seulement quand la discution passait sur la locomobile, il devenait oubliait le marteau.
Voici le mécanicien Kozlov a amené à une telle personne de deux jeunes filles, ayant dit au grand-père qu'il faut leur faire connaître avec locomobile. Et est parti ici.
Avant de se mettre à parler, le grand-père Ivan a allumé la cousue-main par l'épaisseur au pouce et, en se serrant sans interruption, en tenant une main de la bouche, et l'autre sous le bras, un certain temps regardait la locomobile. Ce à lui était l'approche de la conversation.
Les jeunes filles avec la curiosité suivaient chaque mouvement du vieillard, examinaient sa barbe blanche qui a jauni de la fumée de tabac.
Le grand-père Ivan a prononcé quelque chose de manière kazakhe. Il connaissait le kazakh bien, mais les premières phrases, tu n'écouteras pas ses paroles, à lui sortaient indistinctement — le vieillard était sans dents et susseyait fortement. D'abord Ardak ne pouvait rien comprendre, et craignait de redemander pour ne pas fâcher le grand-père sevère.
— Cette locomobile appartenait auparavant à Krivoglaz, — un vieux serrurier plus distinctement a communiqué.
Krivoglaz était le poing, le propriétaire du moulin à vapeur dans le village de Boukbe à présent expédié. Le grand-père Ivan connaissait bien это¬го Krivoglaza et croyait qu'il doit être connu par tout, c'est pourquoi a trouvé pour superflu expliquer cela aux jeunes filles.
— Quinze ans nous servaient ensemble Krivoglazou, — le grand-père Ivan disait, en indiquant à la locomobile.
Après cela il s'est approché à une autre locomobile.
— Et c'est l'ancien рязановский, — il a dit, стара¬тельно en foulant aux pieds le mégot; il n'a pas compté aussi nécessaire ajouter que Ryazanov dans le passé — le propriétaire du moulin. — je connais cette voiture trente ans, — le vieillard - Pokjalouj a ajouté, et la réparait pas moins trente fois. — enfin il a foulé aux pieds le mégot et a mis les mains tortues sur le ventre.
La troisième locomobile se trouvait tout dans les pièces — jusqu'aux roues. Se lui étant approché, le grand-père Ivan a éclaté de rire.
— Ce vieillard la personne du même âge à moi! Euh, impudent, vie long dans le monde! Il y a longtemps il t'est temps sur le dépotoir, — il a prononcé sous les pieds.
Dans l'atelier de la jeune fille ont fait connaissance encore avec un ста¬рым par l'ouvrier, Anton Levtchenko. Selon l'apparence et selon caractère il était l'opposition directe au grand-père Ivan: dans les mouvements — rapide, comme l'épervier, verbalement — gentille. Quand les jeunes filles se sont approchées, lui
Fouillait le tas en fer des fragments avec un tel aspect, comme a perdu quelque chose de précieux, dans une gauche main il tenait les écrous enfilés sur le fil.
— Que vous cherà, le monsieur? — A demandé à son Ardak.
Levchenko a enroulé par la tête, a commencé à fouiller encore plus lestement.
— Tout le temps part pour rechercher l'objet nécessaire, la fille! Cela l'écrou est nécessaire, le boulon. Essaie trouve ici...
À cette époque Kozlov, Lapchin, Janabyl et les autres ouvriers se sont croisé ensemble, en regardant à l'orifice sans fond, —il y avait une descente à la mine de "Gerbert". À l'aide du cordage en fils d'acier tordu par l'équipe de Janabyla, il fallait descendre à la mine Et l'examiner. Mais personne ne se décidait sur Lapchin.
Les jeunes filles ont accouru à lui. Lapchin a essuyé avec la manche la sueur du front et est entré dans le cage en bois suspendu sur le câble.
— Qui avec moi? — Il s'est tourné vers les ouvriers.
— Moi! — a répondu Janabyl et a marché après Lapkchin.
Le cage se balançait sur le précirivelainee sans fond. Майпе каза¬лось que le câble fin se déchirera à l'instant le cage avec les gens s'écroulera à ce précirivelainee.
— Ne descends pas, Janabyl! — a crié involontairement Majpa.
Janabyl a répondu fièrement:
— Tu penses, à moi le coeur de jeune fille?
Lapchin a commencé à donner l'ordre. Deux ouvriers, s'étant mis ferme au stylo du tambour, se sont préparés.
— Descends! Le stop! Descends! — on dénonçait de la profondeur la voix de Lapchin.
Graduellement sa voix s'éloignait, est devenu ensuite à peine perceptible et enfin s'est apaisé tout à fait.
Kozlov a commencé à s'inquiéter.
— Qu'ils se sont tus? Est-ce qu'en bas le gaz?
À la conscience d'Ardak seulement maintenant est arrivé que les gens ils ont du courage à l'affaire dangereuse. À elle a frappé hautement le coeur.
— Pourquoi les ont descendu, le monsieur, si c'est dangereux ainsi?
— La volonté des gens est plus forte que le danger, la jeune fille. Le danger n'arrêtera pas la personne ouvrière.
Après le silence de longue durée de la profondeur est arrivée une faible voix:
— Tire!
Tous, qui se trouvait près de la mine, avec l'allégement ont soupiré, leurs personnes ont brillé par la joie.
Lapchin et Janabyl sont sortis du cage saints et vivants. Les gens ont rencontré par leurs regards attendant.
— L'eau il y a en bas beaucoup de. La perche ne prend pas jusqu'au fond, — Lapchin racontait. — Mais cameroun il est dangereux de mettre. Parfois le revêtement du tronc a pourri.
Cette nouvelle a déconcerté les ouvriers: pour pomper l'eau, il est nécessaire
Sur sa surface la plus diriger le plancher et sur lui établir камерон. À côté du cameroun il y avoir constamment se trouver un ouvrier — le mécanicien. En cas de l'effondrement du revêtement le plancher peut échouer. Les ouvriers s'inquiétaient. Chacun donnait la proposition, comme assurer le travail. Les opinions se séparaient. Le danger semblait plus réel, que la chance possible. À ce moment-là le directeur technique Orlov — haut, un peu courbé, dans le pince-nez s'est approché, est à chaîne en étant assis-chtchem sur le nez aigu, avec la barbe à une pointe blanche; il s’est arreté, que sans regarder, ayant mis les mains dans les poches, et sans dire un mot écoutait le mécanicien Kozlov.
Quand Kozlov lui a rapporté la position de l'affaire, Orlov a dit seulement une phrase:
— Je ne permets rien entreprendre! — et il est parti.
Les ouvriers ont interprété ses ces mots différemment.
— Fâché, tu ne seras pas procédé! — a dit Janabyl déjà connaissant, quelle fonction occupe d'Orlov.
— Doit être, craint. En effet, si arrive que, au premier chef répondre.
— Qui sait! Peut-être, se réfère seulement au danger, et a conçu laisser la production sans eau?
— J'irai je rapporterai Chtcherbakovou! — Kozlov catégoriquement a dit. Il a eu le temps d'examiner déjà toutes les difficultés et a trouvé la sortie. — on peut établir Kameron sans risque. Sur l'eau nous tendrons les traverses de fer, nous introduirons leurs fins dans le mur du tronc, pour le revêtement. Sur eux nous parquèterons. Et pour qu'il vaut mieux assurer le travail, nous saisirons cameroun avec le câble de fer, nous fixerons son autre fin ici, па les surfaces. Où alors cameroun disparaîtra? Ainsi, les compagnons cher, seulement ainsi!
La proposition de Kozlov plut à tout. Bruyamment en discutant avec lui, les ouvriers ont commencé à se séparer.
Ardak et Majpa sont allés aussi à la maison.
Tout qu'a vu Ardak aujourd'hui, l'a obligé de penser. Les gens tel différent, les caractères dissemblable, mais le travail à tous une, le but total. Pour ce but ils sont prêts à aller à n'importe quel risque. «Et que tu fais parmi ces gens?» — s'est demandée Ardak et n'a pas pu répondre à cette question ne cessait pas de l'inquiéter et maison, quand elle s'est couchée au lit et a caché la personne au coussin.
Le chapitre onzième
Au président du comité exécutif de district de Kapabekou a franchi pour les pies.
La personne bas, dense, avec la touffe les barbiches rare, il avait l'habitude
il aimait appeler l'interlocuteur «mon cher vivant, tout пересыпана quotidien l'instant les fragments, comme les proverbes, les plaisanteries.
La jeunesse cette flamme! — disait Kanabek à Meyram, trouvant à lui au comité exécutif de district. — voici, pour ainsi dire, la vieille en lavant est devenue maintenant grêlé comme moi. Seulement moi la hauteur de la terre, et elle haut.
Se fâchera — me menace du tisonnier. Et en effet, il y avait un temps, quand j'à cause d'elle étais prêt au feu et à vodou.-. Je, suis claire, je plaisante, à propos. Et si dire sérieusement, ainsi voici que je dirai... Tu as eu le temps d'aimer, paraît-il, Karaganda, c'est pourquoi tu t'en inquiètes, au moins et récemment est venu. Cette nuit sur le bureau du comité de district, tu en plusieurs cas nous reprochais correctement. Certes, le chemin, Karaganda a une importance non seulement pour notre région, mais aussi pour tout Kakzakhstana. Elle deviendra troisième mine du pays Soviétique, donnera au Kazakhstan qui a été en arrière techniquement des années sur cent, industrie socialistique. Elle fera des anciens bergers les ouvriers avancés. Tout cela m'est clair - seulement, s’il vous plait, n'anticipe pas. À la fois tout tu n'embrasseras pas. Tcherbakov — le chef expérimenté, il comprend cela.
— Ainsi nous demandons près de la région de l'aide possible.
— Et à nous, le chemin, sur quoi la conversation? Est-ce que il n’y a pas de l’aide?
— Quand vous la donnerez?
— Regarde, comme adapte! — s'est exclamé Kanabek. — que vous faut? En premier lieu vous devez créer l'autorité locale. Demain à Karaganda partira mon assistant Karimbaj. Il organisera le conseil de bourg. La deuxième importante question est l'organisation du syndicat. Avec Karimbaem ira le président Joumaniyaz. Il est la personne promue à un poste plus important d'ouvrier Ekibastouzsky de charbon des mines. Probablement, les deux ils resteront à vous. Tu es contant?
— Sur cela merci. Mais où les ouvriers promis?
— Tu te rappelleras ici le proverbe: «ne lance pas imberbe à la maison, ne plante pas sur la place honorable», — a dit Kanabek. — Il est bon. Cette semaine nous dirigerons à vous cinq cents personnes. Des kolkhozes, selon les accords. Mais les accords accomplissez exactement. Si entre sur vous la plainte, alors l'amitié séparément.
— Dans la plupart c'est les gens illettré, — a rappellé Mejram, — et nous n'avons pas de professeurs. Le travail sur la production demande l'enseignement.
Kanabek a réfléchi - Apprendre les gens non plus facilement, que construire une nouvelle grande entreprise. Dans les aouls kazakhes il était beaucoup illettré, et l'enseignement allait non ainsi vite, comme on voudrait cela.
Dans les recherches de la sortie de Mejram a proposé:
— Et si apprendre selon l'alphabet russe? Alors ne serons paséprouver d'un grand manque des professeurs.
— Tu t'empresses, par le chemin, tu te dépêches! Il fallut traduire pour cela tout le sceau kazakhe en russe l'alphabet. Non ainsi c'est simple.
— Alors donnez les professeurs.
— Eh, le garçon, maintenant tu t'es mis à parler des professeurs. Mais il ne suffit pas les professeurs et dans les aouls, — a prononcé Kanabek ти¬хим par la voix. A ajouté ensuite gromtche: - nous ne pouvons pas donner des professeurs. Il y a une décision du comité régional du parti de diriger à Karaganda le grand groupe Attendez-les. Et pour le moment utilisez local des gens compétents. Se rappelle, Karaganda non seulement le foyer de la houille, mais aussi le foyer de la culture. Aux aouls la culture ira de vous. Osez!
Meyram comprenait bien qu'une petite région il «ганды ne pourra pas satisfaire les demandes culturelles, et n'a pas commencé à discuter.
— Sérieux vous nous avez promis l'aide. Nous attendrons.
— Je souhaite le succès dans le travail. Transmettre salut Chtcherbakov. Obéis-le dans tout.
Meyram est sorti avec l'aspect content. À vrai dire, avec Kanabe - qui on réussit à résoudre rien moins que tous les problèmes. Dans la nuit à la réunion le bureau de comité de district la discussion allait où disaient plus largement et sur l'approvisionnement d'approvisionnement de la population grandissant impétueusement de Karaganda. Par un grand plan de construction, autour des élaborations de charbon était entendu organiser les fermes d'État et les économies auxiliaires. Les champs des semailles et les pâturages de Karaganda doivent être dressés sur plusieurs de dizaines des kilomètres. Les kolkhozes voisins — les lots Dolinsky, Kompanejsky et De Samarkand-recevront nouveaux les terres, et libéreront d'anciens terrains pour grands de Karaganda. Par comparaison avec ces espaces immenses la région Tel'manovsky semblait par la petite île, les fragments mais un petit astérisque sur le front du cheval.
Meyram voyait parfaitement bien que pour la période quinquennale Karaganda et le développement fera un grand pas en avant. La prospérité natales des places, le peuple natal est toujours joyeuse au coeur. Et que était et le passé? Entraînait insurmontablement jeter un coup d'oeil sur les places, connu dès l'enfance. Étant sorti de Kanabeka, Mejram s'est assis sur le cheval. A passé à gué par peu profond la rivière Kokozek, le rouble. I deux parties grand parles les places locales
La corne et le bord occidental de la rivière vivaient riche, les boutiquiers menus, les bouchers - Ici sur le marché s'assemblaient les habitants de six cavités. La maison sous le toit vert, où il y avait un bureau du chef paysan dirigeant des faubourds il a survécu. Le chef il y a longtemps est expulsé, la maison s'est délabrée considérablement, vers ses portes on cloue l'enseigne: «le Bureau les resourses utilisés de région». Lors de l'aspect de cette enseigne de Mejram a souri involontairement.
La place centrale sur le bord oriental de la rivière occupaient les structures en temps et lieu appartenant à la gestion de la fonderie de cuivre Spassky, — les anglais le possédaient les maisons mises de la brique brulé et la pierre sauvage, vivait ces années-là s'étant attaché, les ouriadniks, les employés de bureau, le maître. Plus loin on dispersait les masures et les huttes des ouvriers. Maintenant de ces masures sont restées seulement les buttes oui les fosses, comme sur le cimetière couvert. Meyram regardait tout autour fixement tout autour, en marquant les changements. Son regard est arreté sur le bâtiment ancien de cinq ans de l’école russo-kazakhe. Meyram même a arrêté le cheval. Devant les yeux est apparu le passé.
Alors à lui était des années dix — onze. Il se trouvait en froid le jour d'automne. Le père décédé l'a amené de l’aoul et cette maison et est parti. Venait voir ensuite une fois par semaine, il apportait les vivres pauvres, se divisait triste nouvelles de l’aoul: «nous vivons mal. Apprends, peut, tu obtiendras la meilleure vie». Mais on avait l'occasion d'apprendre seulement deux hivers.
A commencé la révolution. Les Anglais se sont enfuis, l'usine et l'école se sont fermée. L'école!. Ces années-là ce sans attrait le bâtiment bas semblait petit par le palais de Mejram.
Il fallut à Mejram revenir à l’aoul natal. À восемнад¬цатом à l'année le père et la mère sont mort du typhus. Батрачил sur бая, — les années lourdes... Le Komsomol A aidé. Et de nouveau la doctrine, seulement déjà dans une grande ville. Enfin — Moscou, l'institut.
Et voici devant les yeux de nouveau les places familières dès l'enfance.
Meyram a touché le cheval.
À l'écart du bourg on avait dressé l'usine Spassky. Maintenant sur les portes d'usine on ne voit pas d'une ancienne enseigne avec круп¬ными par les lettres. Est mort, les corps sont à demi détruits. L'usine quitté rappelait l’aoul se dégarnissant, la population de qui est parti sur le pâturage d'été. Eh bien, que, grandit Karakganda - elle ranimera tout tout autour!
Meyramа le gardien-vieillard a rencontré.
— Qui tu recherches, le fils?
— Je veux examiner l'usine.
— Et que le regarder? Sur l'usine Karsakpajsky tout le précieux ont pris, même les tubes. Autre ont emmené à Kakraganda.
C'est Mejram connaissait. Il après l'autre est venu ici: se rappeler l'enfance. Aux années d'école il courait souvent sur l'usine.
Meyram s'était empressé, a passé sur le territoire de l'usine. Voici «la maison de feu», aux portes découvertes de qui lui regardait presque chaque jour, et craignait d'entrer. Là dans les fourneaux bouillait toujours impétueusement le cuivre, comme le fromage cuisant dans la chaudière. L’ouvrier kazakh, dans le tablier de feutre, dans les trépieds en bois attachés aux chaussures, armé du puisoir sur long en fer au stylo, puisait le cuivre fondu et la répandait selon les formes trièdres de fonte. Le puisoir était lourd, avec l’ouvrier par les ruisseaux ruisselait la sueur. Il semblait, la plus forte personne tombera d'un tel effort. Et il fallait faire cet infernal en travail pendant dix heures chaque jour. Le lingot du cuivre se passait aux maîtres à 1,5 copecks, y inclu tous les frais de l'usine. L'ouvrier pour de bagne combien recevait, Mejram et ne pouvait pas maintenant diminuer.
On s'avait rappelé un tel cas. À l'ouvrier répandant le cuivre, a accouru par quelque chose le maître fâché le hall. Cette personne était connue par la cruauté. Si d'autres maîtres des Anglais étaient grondés et se battaient par les poings, le hall usait de longs pieds, en faisant justice eux les matraques n'est pas plus mauvaises. Sans mot dire, il a donné un coup de pied ainsi à l'ouvrier par le pied que celui-là s'est écroulé sur la terre. La pauvre diable a tenté, selon le hall a frappé encore une fois et par les coups de pied a jeté à la porte.
Meyram a sauté et I avec д l sur et a lancé bai au galop. Il a fait flotter les souvenirs lourds. Il y avait plus facilement Minovav les échines des montagnes de Saransk, Mejram est parti sur le vaste espace de steppe. Cà durait infiniment d'est en ouest. Aux régions de montagnes le soleil se lève à cause de l'échine et se cache à l'échine. Ici, па à la plaine, il semblait que l'astre apparait est direct de la terre et part à la terre.
Le terrain déboisé, seulement se rencontrent par-ci par-là à la broussaille du buisson — karagana. Et grandit partout haut, comme le jonc, le stipa.
Maintenant les aouls de ces places ont passé plus près à Karaganda Il y а les prairies on ne voit pas déjà du bétail; l’herbe s'est levé — ondulé, florissant. Les balais du stipa mûrissant rappellaient les plumes du grand duc, de qui les jeunes filles ornent les couvre-chefs. En fleur balançait par les pinceaux verts de soie. Les tulipes rouges roses jaunes à moi ont colorié plus vivement la plaine.
Meyram allait sur le cheval ardent selon cette steppe sentant bon, comme selon couvert du tapis. On voulait entonner. En chantant la chanson, il n'a pas remarqué les camions innombrables, qui bougeait à côté de lui par un grand chemin, coupant en deux une large steppe. Ayant oublié tout dans le monde, il chantait hautement:
Embrasse avec le cygne blanc, N
ageant solitairement par le lac.
Bruyamment elle bat par les ailes à l'eau.
Admire, en regardant mais les parties.
Ne couvre pas la belle femme blanche comme neige.
Le brouillard facile de soie.
Devant ses yeux est apparue involontairement l'image d'Ardak. Mej - les croisées ne cessait pas de penser de la jeune fille qui a laissé une telle forte impression à la première rencontre Et soudain à elle seulement une belle apparence? S'il y a beaucoup de joie à блиста¬тельной à la belle femme avec le coeur vide froid!</et-
La beauté originale de la personne — dans le caractère, dans l'esprit, dans l'activité. Et l'apparence peut cruellement tromper. Non, Ardak, конеч¬но, la jeune fille non vide. Pendant les idées, Mejram a pensé à son père, Alibek. «Qui lui — cette personne silencieuse, toujours chargée?»
Par hasard Mejram a jeté un coup d'oeil à droite, sur une grande route, et le courant de ses idées s'est déchiré. Le chemin était rempli par les caravanes. Allaient les camions non séparés et les cavaliers, et roulait le flux total. Les antichambres se cachaient loin après l'échine, et derrière, dans la dépression, du fourré карагана et чия apparaissaient tous les nouveaux. Les vêtements des gens, les chars, les marques au fer chaud au animaux papillotaient par la variété. C'était les caravanes de la multitude de couches kazakhes.
— Oui, va grand deplacement! — a dit Mejram à haute voix.
Il a tourné le cheval sur la route. Au moins il connaissait que кара¬ваны durent à Karaganda, s'arrêtait quand même, il se demandait:
— Où la voie tenez?
— À Karaganda.
— Serez d'où?
— Du kolkhoze.
— Selon les accords allez?
— Oui.
Tous donnaient la réponse identique. Une des caravanes s'est installé sur le repos près du puits En pierre. Pâturaient à flanc de coteau ensemble les chameaux, le cheval, la vache, le brebis et la chèvre. Meyram a roulé vers le puits.
L'orifice de porte de la hutte de feutre mise un peu à côté d'autres, était ouvert - Au-dedans, ils étaient assis sur le feutre étalé deux — le mari et la femme. Ayant entendu le piétinement du cheval, ils ont levé les têtes.
Meyram s'était empressé, s'est approché à la hutte et a salué avec vers les sujets. Les gens eux étaient âgé, les vêtements à eux étaient en poussière, la personne fatigués.
Où la voie tenez, otagassy? — a demandé Mejram.
Otagassy s'est frotté par le poing les yeux rougissant, a répondu:
— À Karaganda, comme tout.
— Allez d'où?
— Du district Karkaralinsky.
— De loin.
Oui, de loin. On a vu ici, les gens se sont levés. Et nous avons décidé demenager. Un malheur: au kolkhoze n'ont pas encore eu le temps et nous allons sans contrat. Peut-être, il va etre difficile. Que, si donneront quelque travail — cela bien. Nous vivrons à eux-mêmes tout doucement, travailler sur la mine et pâtre le bétail.
Meyram a souri involontairement. Cette personne n'a pas trouvé la place pâtre le bétail dans une large steppe et a été donné à Karaganda, où il n'y a pas de bons pâturages. Est grande la force de l'habitude de tirer par les gens. Оtagassy ne devinait pas, pourquoi l’aoul Mejram, et avec l'aspect tranquille continuait à dire, ni et l'affaire du laissez-passer; les doigts la barbe rare. Et lui selon et la bonté du caractère on les sentait.
Avec et la modicité des aspirations. «Tels gens, — pensait Mejram, - trouvent comme une bonne production la boucle du chariot, trouvé sur le chemin, mais ne regrettent pas parfois sur le cheval perplexe ou le chameau». Il a demandé à la personne, comment est son nom.
Je suis appelée Jajlaoubaj, — a répondu otagassy et il a posé la question:—Et comment tu t'appeler, natal?
Meyram. Mon père appelaient le homard.
Otqgqssy et sa femme ont échangé des coups d'oeil.
De quelle génération?
Je comprends mal les couches. Mon père a déménagé de la place et la jeunesse vivait ici jusqu'à la mort. Après la mort du père et la mère je restas l'adolescent et est parti apprendre.
— Le nom de la mère tu connais, le soleil? — a demandé la femme.
— Elle était appelée Malike.
La femme s'est jetée impétueusement à Mejram et, l'ayant embrassé des pleurs, a commencé à se lamenter:
— Mon seul resté après mon frère du homard! Je suis contente de te voir aux vivants. Maintenant je peux au moins mourir maintenant, si le ciel me prend!
Meyram avec l'embarras écoutait ces lamentations. Il ne voyait pas jamais les parents ni son père, ni sa mère, ne connaissait pas, s'il les y a à lui. S'est révélé peu à peu que la femme — la soeur unique du père Mejrama. Après est né Mejram, elle seulement venait une fois à ses parents. Plus tard lui sont arrivées les rumeurs que le frère et sont morts, et le garçon resté après eux, s'est perdu.
Meyram était content de rencontrer la tante natale. Par les lignes de la personne, particulièrement les yeux — gris et aigu — la femme était semblable au père Mejrama.
— Mon perplexe s'est trouvé! Mon étoile éteignant s'est allumée. Remue, le vieillard, vais tue le brebis, — disais la femme et a saisi aux mains le seau.
Mais Mejram l'a arrêté catégoriquement:
— Le mouton nous mangerons à Karaganda, et il est suffit maintenant de que se sont rencontrés.
Il a conseillé aux parents, où s'installer dans Karaganda; a appelé l’aoul, dans lequel Ardak vivait.
— S'est réalisé le proverbe: «qui s'est habillé en linceul — ne se retournera pas on retournera, qui s'est habillé en pelisse — reviendra», — disait Jaj. — Merci, natal, pour l'aide, pour les conseils.
En ayant pris congé, Mejram s'est assis sur le cheval. Maintenant il allait selon le remblai de la voie ferrée cela il y avait une ligne couverte du chemin de Spassk à voie étroite — Karaganda, couvrant l'herbe et les places rongé par l'eau. Meyram a arrêté le cheval devant la cabine tombée en ruines du garde-voie. Étaient visibles d'ici tous les aouls installés dans la dépression à côté de Karaganda. De ceux-ci est devenu plus qu'autrefois.
Meyram a recherché par le regard l’aoul d'Ardak et a dirigé à lui le cheval.
Voici la yourte familière grise. Ardak se trouve près de l'entrée - À côté d'elle jeune
L'homme frisé habillé de manière municipal. Ils sur quelque chose disaient et n'ont pas remarqué partant à cause de yourte du cavalier.
Bonjour ! — A dit hautement Mejram, étant arrivé plus près.
Les deux se sont tournés rapidement. Ardak a incliné un peu la tete, la personne l'est devenue rose.
Une jeune personne frisée se tenait d'une manière hautaine. Il a commencé à aller de long en large, en murmurant de temps en temps: «Oui, oui». À lui pas plus trente, mais les joues à lui charnu, le ventre rondelet. En tâchant de sembler important, il se balançait pendant la marche.
— De vous serait sortie la vendeuse excellente pour magasin, — il a dit Ardak, en la regardant par les yeux huileux.
De ces mots de Mejram a conclu que c'est commercial Mernyj les professions, lui et maintenant quoi que le service des filles.
Gélan atténuer la gêne, Ardak a dit;
Je pensais que vous êtes familiers, et maintenant je vois —l'un l'autre. Faites connaissance. C'est le chef des organisations corporatives en région. Est venu ici pour ouvrir à la mine le magasin. Si je ne me trompe pas, je m’appelle Meyram; cette jeune personne, — elle a indiqué à Mejram, travaille ici. Si je ne me trompe pas, le nom de son Mejram.
Merci! A remercié Mejram. — vous avez dit deux fois: «si je ne me trompe pas». Je pense qu'à troisième il ne se trompe pas.
Voulez dégouttez: «Batyr éprouve la force avant troisраs»?
Vous vous êtes en vue?
Il est obligatoire d'être Batyr pour ne pas se tromper.
Les erreurs nous apprendrons. Dans cela est absent beaucoup.
Cette personne aime faire la leçon, — a dit Makhmout, ayant souri.
C’est lié avec l'attention son petit rire, Mejram a répondu à Arlan:
Nous et quelque chose nous sommes trompés — votre défenseur.II en apparence non de maigrichon.
Маkhmout a commencé à perdre la maîtrise.
Toi, le compagnon, ne s'oublie pas. Probablement, tu te trouves et la première personne dans cet aul, mais dans la conversation avec moi veux choisir les mots. Je ne resterai pas debout pour protéger la jeune fille, s'il y aura un besoin.
Meyram a souri.
Ardak se sentait maladroitement. Heureusement, elle a vu le père revenant du travail. En partant à la yourte, elle a jeté à la marche:
Des défenseurs je n'ai pas besoin. Ne discutez pas en vain.
Мeyram a touché le cheval, en sentant que dans son coeur est né le sentiment de la jalousie.
Le chapitre douzème
Alibek, ayant vu Ardak et deux jeunes gens, a compris quela conversation entre eux va non le temps mort. «Peut-etre, ils préparent le réseau pour ma fille, — raisonnait Alikbek. — il faut choisir quel réseau de façon plus certaine. Меyram une personne lent. Маkhmet est plus sage, il convient plus, où la poursuite, fera que je demanderai».
Alibek rusé savait reconnaître les gens de la première rencontre. Il a déviné Meyram, a recueilli sur lui les informations de la partie. Et Makhmet qui ont vécu un des jours dans sa yourte a étudié jusqu'à la moelle des os. «Au moins lui et la personne de parti, mais lui il est facile de s'emparer. J'utilise son autorité et de l’argent d’Etat».
Avec telles idées il est entré dans la yourte. Ardak lui a aidé à retirer les vêtements ouvriers, a donné l'eau chaude et est sortie réchauffer le déjeuner.
À côté du foyer de terre s'agitait Makhmet. Il tâchait de se faire voir adroit, mais dans son chaque mouvement se faisait sentir la maladresse. S'est jeté de retirer la bouilloire bouillant — a brûlé par l'eau bouillante la main. La main était malade fortement, mais Makhmet ne donnait pas à l'aspect et riait aux éclats à chaque sourire d'Ardak.
Le rire rustaud, la promptitude étudiée un amoureux rond, la balle roulant autour, ils ne provoquaient pas dans le coeur d'Ardak le moindre sentiment. Makhmet était piteux dans ses yeux. Mais offenser le garçon à celle-ci on ne voulait pas, et Arkdak se tenait extérieurement tranquillement et affablement. Makhmet se sentait sur le sommet du bonheur.
Quand Alibek s'est changé, les deux ils sont entrés dans la yourte. Sauf de ceux-ci, dans la yourte personne n'était. Joumabay avec la femme et la fille Majpoj sont partis sur la troisième mine, en retour seulement demain.
Alibek était assis à la place de devant. Sur sa personne creuse les pommettes aiguës rudement se produisaient. À noir, comme le charbon, dans la barbe épaisse ronde blanchissaient les cheveux gris. Profondément les yeux зорко observaient de dessous des sourcils tout autour. Dans cette pose d'Alibek était semblable au milan guettant la souris à le trou. Mais Makhmetou lui semblait par un puissant aigle royal.
En s'agitant toujours, il a pris de la valise la bouteille au cognac avec cinq astérisques sur l'étiquette —à cette époque-là on ne pouvait pas trouver dans ces places même pour le malade, — a mis sur la boîte de pralines et le paquet de biscuit à la crème. Après cela a versé dans les bols le cognac.
— Je demande! — il a dit et a rapproché un bol vers le père, l'autre de la jeune fille. — le visiteur arrive par le visiteur seulement au jour de l'arrivée. Par la suite je ne permettrai pas de vous accabler.
Je dirai il est plus grand, — à moi est malade vous voir sur le gros ouvrage!
— Merci, le chemin! — a dit Alibek et a vidé le bol, mais de nouveau la remplir n'a pas permis.
Ardak a goûté un peu, a mis le bol. Makhmet, qui la demandait de boire instamment encore, elle a répondu:
— A essayé — et sera. Est-ce que vous voulez que je m'enivre?
Аlibeк a compris que la fille traite avec froideur Makhmet. Il aimait qu'Ardak est secret, et en même temps il craignait les jougs elle a été venu, elle a de sympathie pour lui? Pour que comprendre mais, on dise à la fille:
Le travail est honorable, Ardak-jan, mais moi je commence travailler comme du chien. Si tu ne te mettras pas à quelque affaire?
— Bien, — a commencé la jeune fille. — se reposez, le père,
Sur moi entrera en service.
Tu ne t'habitueras pas, je travaillerai encore. Et toi geins, et les loupes. Il vaudra mieux aller de la partie commerciale. Par le chemin je te remets la fille; d'abord et ensuite toi.
Je vous disais! — a saisi-t-il la nous ouvrirons d'abord ici cinq kiosques. Ardak choisira à lui-même chacun. Se familiarisera, on peut et le lot en mettre à côté. Karaganda se transformera bientôt à une grande ville. Je pense depuis longtemps passer ici. Alors, vous quittez le travail souterrain, otagassy. Confiez, dans quoi n'éprouverez pas le besoin!
Au dos d'Ardak a parcouru la fraîcheur. «Pourquoi le père, ne m'ayant pas demandé, ainsi a commencé précipitamment? Pourquoi Makhmet veut régler tout plus bientôt? S'ils ne veulent pas m'entortiller double pour que je ne bouge pas? Qu'à moi faire?» Pensait Ardak. Le souper n'est pas venu à la fin, elle n'a pas prononcé le mot.
— La nuit est courte, il est temps faire le lit! — a dit Alikbek et a arrêté le regard aigu sur la fille.
Lui observait, comment se remuera Ardak. Mais Ardak a garder les idées secrètes il vaut mieux, que le père. Avec l'aspect du chamelon confiant nigaud, prêt à courir sur l'appel du maître, elle s'est levée de la place.
Alibek dormait toujours à la place de devant. Mais aujourd'hui, sur la touffeur, a dit que se couchera en liberté. Ayant roulé je remue à l'ombre de la yourte, il ordonnait le lit.
Makhmet s'est étendu à la place de devant. Une belle jeune fille, la yourte solitaire, la nuit noire... Comme fermait les yeux, son excitation ne s'éteignait pas. Le coeur frappait...
Des postlaves au père et le visiteur, Ardak se souciait longtemps encore. A mis Ensuite sur la table la lampe et a découvert le livre — "la Mère" de Gorki.
Dans l'espoir que la jeune fille remboursera la lampe et se mettra au lit, Makhmet se retournait avec le côté sur le côté, n'ayant pas fermé les yeux. Ardak tout lisait.
Le chapitre treizième
Sont arrivés les jours tendus. Meyram organisait le conseil de bourg, de parti, du Komsomol et les organisations. Les conférences et les réunions, aigu les discussions aidaient à grandir parfois à une jeune personne, affilaient son esprit.
Meyram est à table, bouge les sourcils, écrit. Comme les liasses des coraux, les lignes se couchent nettement sur le papier.
En passant les plaisanteries, Chtcherbakov, le président du comité local du syndicat de Joumaniyaz, Ermek, Janabyl, le mécanicien Kozlov sont entré dans la pièce. Maintenant ils se sont réunis sur élargi la séance du bureau de parti Les organisations. Il fallait une question — l'état de la production. Il était intéressant à tout regarder, comment le nouveau secrétaire se remuera en travail.
Meyram a publié l'ordre du jour, a donné la parole à Chtcherbakov et a demandé aux assistants:
— Nous tâcherons d'économiser le temps.
Dans la douche il s'inquiétait fortement. Pour la première fois à lui предстоя¬ло diriger la séance du bureau. C'est vite dit: руково¬дить. Apparaîtront les discussions, les opinions contradictoires... Il Faut mettre en relief les propositions justes, conduire incorrecte, ne pas oublier après les détails de l'essentiel, lui soigneusement vers ce premier examen. Même d'avance les répliques possibles. Mais est-ce que tout? Il espérait en aide Chtcherbakov.
Sergey Petrovitch a redressé le corps massif, за¬ложил les mains pour le dos et a commencé à dire. Il disait sans résumé. Parmi réuni il était plus principal selon l'âge. Cette personne âgée blanchissant embrassait par le regard pénétrant non seulement aujourd'hui à Karaganda, mais aussi demain. En racontant de la production, lisait non à la carte. Sur les succès disait peu, il est plus grand
Creusait les manques. Mais faisait cela soigneusement, provoquaient pas l'offense. Maintenant à nous une mine travaille seulement. Comme elle était lancée par les ouvriers encore avant notre arrivée. Vivre - cela avec celui-ci on n'avait rien. Obtenaient Voici le charbon par les godets, et changeaient pour les produits dans les aouls. Une autre affaire maintenant... Nous finissons la préparation de l'ouverture des nouvelles trois mines. Mais les notes le malheur: il ne suffit pas les documents, en premier lieu le bois. Il suffit de l’eau, n'ont pas toujours le temps de conduire. Des habitations pour les ouvriers, qui arrivent. Il y a beaucoup de compagnons. Tout s'appuie sur le chemin de fer, si nous pouvons assurer le peuple, sera le chemin? Nous ne pourrons pas. Où la sortie? Il est nécessaire de celle-ci aux places. Et en premier lieu — les communistes doivent recueillir les forces à un poing et être l'exemple par l'autre... Chtcherbakov disait.
Мeyram a jeté un coup d'oeil sur Sergey Petrovitch. «Être exemple.»
Nous donnerons marche à la surface l'eau de la mine
Celle-ci sur les besoins industriels. Et de prendre l'eau seulement pour la boisson. Mais cela non de l'approvisionnement en eau. Comment faire? À deux kilo - il y a une grande source Mai-Koudouk, et et trente cinq kilomètres — la rivière de Noura. À que cela il faut amener leur eau à Karaganda. Nous dire est exact, quand le chemin de fer nous livrera les conduites d'eau. Mais les fosses pour la couche des tubes faut immédiatement. Si ce travail remettre, il creusera difficilement. Où prendre les gens pour le creusement? Les gens sont occupés sur la production. Aux communistes la solution. Nous penserons et à l'autre... Il y a plus de moitié de l'été. L'automne et l'hiver non de l'autre côté des monts. Quatre-vingt-dix neuf de centaine d'ouvriers à nous ne sont pas assurés par le logement normal. Et nous devons prendre soin de cela. Il organiser les ouvriers, approvisionner en leurs documents pour que chacun puisse construire à lui-même le domicile provisoire. En outre nous avons conclu les accords avec cinq kolkhozes. Ils mettront en relief à nous les appartements. Maintenant sur l'alimentation. L’affaire s'appuie de nouveau sur le chemin de fer. Le gouvernement a donné les fonds nécessaires. Mais les produits conduisent lentement, nous comptons sur les camions des kolkhozes locaux. En effet, nous dépendons non du poing...
Le rapporteur a raconté des plans de production du charbon, sur et les équipes étant en arrière dans la mine. A fini:
— Est telle, les compagnons, le tableau. Je n'ai rien caché de vous, n'a rien enjolivé. Il nous faudra décider de grandes tâches d'État, les décider avec de petites forces et dans la situation très difficile. Mais sur cela nous et les communistes pour ne pas craindre les difficultés.
Le silence est arrivé. Il Semblait, sont clairs premier les productions et les manques. Sur quoi dire encore? Et Mejram aussi pensait ainsi: «que je peux ajouter vers rapport? Chtcherbakov dit la même chose — la personne avec grand et l'expérience de parti».
— Sergey Petrovitch, à moi la question. Vous avez dit que les plus importants travaux — tendre le chemin de fer et livrer les charges. Comment on peut attendre bientôt le premier échelon?
Chtcherbakov a répondu tranquillement:
— Nous ne nous occupons pas de la construction du chemin. Exactement indiquer le délai de l'arrivée du premier échelon avec les charges difficilement. Maintenant le chemin ont construit jusqu'à Osakarovki. Vers le mois de janvier doivent arriver à Karaganda.
S'est levé un vieux mineur Ermek.
Est exactement, nous faisons le chemin, non. Et si les presser? Nous jusqu'à janvier ne pouvons pas supporter. Que vers le mois de décembre ils emmenent. Vous ne leur envoyiez pas le télégramme? Dites — les mineurs attendent. Demandez: qu'il faut aider? Nous aiderons. Nous demandons plutôt.
Sergey Petrovitch a mis sur la table le tube non fumé, il a jeté un coup d'oeil sur Mejrama, ensuite sur Ermek, et dans ce regard a éclaté la fougue juvénile.
— Non, le compagnon Ermek, n'envoyait pas moi le télégramme. Et il faudrait envoyer. Absolument demain j'enverrai. La route est très nécessaire. Le premier échelon de Donbass nous donnera l'aide immense.
— Quelle aide? — Ne s'est pas retenu Mejram.
— Amèneront le générateur de vapeur, deux chaudières à vapeur, le moteur pétro - les nouveaux câbles динамомашины. Il est combien d'au bien! Dans deux-trois ans à nous c'est par la bagatelle se montrera, et les chaudières à vapeur — une grande affaire. Le pays, le gouvernement se soucient de nous. Devant notre séance j'ai reçu le telegramme du compagnon Orjonikidze. Je peux communiquer: on nous expédie cinq tracteurs, les premières créations de la période quinquennale. Le compagnon Orjonikidze a pris en main la redirection de la construction de Karaganda...
— Sergey Orjonikidze dirige la construction de Kakraganda! Maintenant il sera plus facile!
Compagnons, voici que je dirai, — est intervenu Joumaniaz. — Lénine disait que les syndicats-écoles du communisme. Le début est dû aux samedis communistes par le compagnon Lénine. Je fais de la part du syndicat la proposition: nous passerons quelques samedis communistes et nous déchirerons les fosses pour la couche de l’eau le travail de la source Majkoudouksky et la rivière de Noury.
— Voici ce sera l'aide valable! — a crié Cepreii P
etrovitch. – La proposition de Joumaniyaz il faut soutenir. Encore une difficulté sera à nous moins.
Le prolétariat ne craint pas des difficultés, — a répondu Joumaniyaz - les ouvriers connaissent que l'eau est nécessaire à Karaganda, il est nécessaire les habitations. Nous les construirons, aidez seulement nous par des matériaux, par de l'argent. Nous ferons tout. Karaganda — notre création... Voici quoi je veux rappeler encore: il est temps, de conclure le compagnon Chtcherbakkov avec les ouvriers les contrats collectifs. Et qui violera l'accord — selon la tête nous ne caresserons pas.
Cela il y avait un premier cas dès le jour de l'arrivée de Donbass, moyen Sergey Petrovitch a entendu la voix du syndicat. Des niches à la voix, à lui on voulait exciter Joumaniaz. Ils commencent toujours par les accords. L'habitude invétérée de syndicat!
Oui, l'habitude vieux! — s'est échauffé Joumaniyaz. - Et nous n'allons pas la refuser. Le socialisme prévoit la loi et l'ordre, le compagnon Chtcherbakov. N’oubliez que nous sommes les syndiqués.
La conférence s'est ranimée. Maintenant chacun voulait parler. L'inquiétude de Mejram s'est couchée. Lui déjà ne s’inquiétait que les débats accepteront le caractère pas trop d'affaires.
C’est pas celui le mécanicien Kozlov.
Je dirai sur les effectifs, — il a commencé. — sur kazakhe le peuple plus tôt je connaissais seulement par ouï-dire, ne présentait pas il est clair que cela pour le peuple. Maintenant à moi à l'atelier vingt cinq ouvriers - kazakhs. D'eux dix la personne — âgé, et quinze — la jeunesse. Les débutants d'abord et la rape ne savaient pas tenir en main. Mais pour le terme court tels enfants, comme Janabyl, déjà ont appris comprendre la langue des mécanismes. Je peux avec plaisir dire, les compagnons que notre travail selon l'éducation des jeunes effectifs donne les germes, comme les semences sur la terre vierge. Seulement semer il faut plus. Sur le demi-auriculaire je ne crois pas les faibles, comme si les kazakhs peuvent marcher seulement après le bétail. Il faut plus courageusement mettre les nouveaux ouvriers à les vieux. Le fondement du nouveau Karakgandy met le peuple kazakhe avec l'aide des russes. Quoi nous apprenions les années en vieille Russie, la jeunesse à notre temps soviétique étudiera en quelques mois. Nous obtiendrons la victoire, les compagnons! Patientement et nous élèverons les nouveaux effectifs. Est-ce que ne voyez pas, quel était Karaganda aux jours de notre arrivée et quel est devenu maintenant? Et de jour en jour tout grandira et grandir!
Après Kozlov le mot était pris par Janabyl. Le garçon de ferme récent, ce gars s'échauffait outre mesure et à chacun menu sur la production était prêt à voir les intrigues de l'ennemi de classes. De tous, qui travaillait mal, il nommait immédiatement aux éléments de koulak.
— Le flemmard et la personne négligente par rien ne vaut pas mieux, — il avec conviction disait. — il faut ces gens aussi liquider.
Meyram a remarqué:
— Paresseux et négligent il faut rééduquer.
— Et je dis le même. Nous, les komsomols, déjà ont pris pour Bajtena. Nous polissons par la lime mordante double. Avec les tels nous lutterons impitoyablement, nous ne donnerons pas la faveur...
Dur sur les mots, le mineur Ermek seulement avec discrétion souriait balançait par la tête, en regardant Janabyla. Il si faisait toujours aux minutes de la joie ou l'affliction. Maintenant lui subi l'un et l'autre. Lui plaisait le garçon animé, exprimant les idées, mais provoquaient le dépit de son extrême. Ermek n'allait pas dire, mais a demandé la parole ici.
— D'abord je répondrai à Janabyl. Tu, voir, la ligne droite,
Le garçon chaud. Mais il faut connaître à toi que Bajten — non le poing, non de ceux-là, avec qui tu luttais dans l’aoul. À Bajtena confisquer on n'a rien. Cette personne dix-huit ans a travaillé dans une vieille Karaganda. Aux Anglais-entrepreneurs il s'est habitué à se rapporter au travail par-dessus la jambe. Et maintenant il doit faire comprendre que la production appartient le plus au peuple. Et alors il travaillera à la nouvelle manière. Je voici encore sur quoi dirai. Aucun des compagnons se produisant ici ne s'est pas arrêté sur les travaux de fond. Comment ça se fait? Каraganda est un charbon. Et le charbon est sous la terre. Si non trouver l'approche de lui — tu ne prendras pas. La seule voie vers massif d’extraction du charbon est une galerie de mine. Il n'y aura pas à nous quantité suffisante des descentes, les laves et les descentes, il est impossible lever l'extraction du charbon. Et si nous ne voulons pas passer à l’ impasse, il faut élargir des travaux souterrains préparatoires. Sans cette préparation les nouvelles voitures, que nous obtiendrons, resterons debout. Le compagnon Chtcherbakov connaît cela non plus mal.
Sergey Petrovitch a inscrit quelque chose au carnet, a répondu:
— La remarque cela beaucoup vers le temps.
Les produisants apportaient de propositions grandes et menues. Quelqu'un s'exprimait selon deux fois. Seulement le président du conseil de bourg Karnmbaj gardait le silence obstiné. Меуram cela ne s'est pas remis. Et l'intervention il a commencé avec Karimbay.
Ou au compagnon Karimbaj Alibaev, le chef de l'autorité locale, on n'a rien à dire, ou il tient des pensées par-devers soi. Ni cela, ni l'autre à lui non à la personne. Nous et n'avons pas entendu aujourd'hui sa voix. Est-ce que la question sur le logement pour les ouvriers n'inquiète pas du compagnon Alibaev? Est-ce que de lui ne derrange pas l'approvisionnement du bourg par l'eau? Je suis éloigné pour accuser le compagnon Alibaev de l'indifférence, je veux seulement dire que dans la cause du peuple entier de la construction de Karaganda chacun et i nous est engagé à mettre la part de la participation.
La personne Karimbaya était imberbe, sombre, et après omis Msirama lui «si il est devenu sombre plus, néanmoins accepte de nouveau se taire, pour l'instant et le carlin on ne peut pas se taire à notre séance, — continuait Mejram. Mais j'avoue sincèrement, oui vous cela fondez: il est venu moi récemment, rien moins qu'avec tous les terrains des travaux a eu le temps de faire connaissance, industriel et l'expérience de la vie à moi insuffisamment... Je dirai que je connais que par les yeux personnels voyait. Une grande Karaganda - un d'importants terrains de la construction. Et le socialisme et l'ignorance, le socialisme et tous préjugés sont incompatible. Hier moi entendait, comme ot avez la querelle entre deux ouvriers. Un dit: «de quoi m'apprend, toi non local». L'autre répond:« Tu dans l’aoul seulement les moutons marchait, le mineur de toi ne réussiras pas ». Le troisième compagnon — lui assiste ici, mais le nom je ne l'appellerai pas — se trouvait ici, écoutait celle-ci la querelle et n'a pas expliqué aux ouvriers tout de suite, à la place que les deux ils ne sont pas droits, ne les a pas réconcilié. Est-ce que l'on peut passer devant de cela! En effet, la même chose de koulak chercher, les tentatives des ennemis d'allumer la discorde nationale! Si ces ouvriers étaient politiquement développés, eux ne faisaient pas du mal l'un l'autre, et si le troisième compagnon, qui je n'ai pas appelé, était important, il ne laisserait pas sansattentiob cette querelle. Moi voyait, comment par tout le Bajten connu au lieu d'une petite lime agissait en travail rape. Dans un des aouls j'entendais quelque peu les mots de la femme, qui, sans savoir noyer le charbon, s'ennuyait sur le fumier séché. Toute cela, certes, la bagatelle. Mais sur quoi ils disent? Sur celui-là que ne nous saisit pas la culture du travail, la culture dans la vie quotidienne. Et sans culture surtout sans instruction politique des masses on peut pas venir à bout de cette affaire immense, qui est confié à nous.