La nouvelle
Presque deux semaines Erkeboulan ne descendait pas de la selle.
Il présidait les réunions dans l'aouls - inquiets, avec les tournants les plus inattendus et avec des rebondissements et des éclats de sentiment, parfois bêtement-criard... Selon la décision de revkom[i] en places étaient créés dessovdeps[ii].
Un jeune poète, à qui a récemment vingt quatre, pendant ce voyage avec la surprise découvrait, comme lui élevait le rumeur publique.
_О-о, Erkeboulan! Yerken!,- disaient sur lui.
_vingt deux age avait le garçon,il ne s'est pas les jeunes filles courir et selon sur les toy rouler... mais il ?
_Il était parmi ceux qui a levé la main sur le roi blanc!Maintenant étincellent côte à côte jeu de dames de Kolchak, les balles sifflent, mais Yerken n'a pas eu peur de se lever sous l'étendard rouge.
Chez lui il est le coeur batir[iii] А quel poète!.Et sur la mémoire amen[iv]aient ses vers.
Il se trouvait en effet dans le fouillis des événements, son nom non contactait en vain tout que se passait à la steppe.
А le peuple ingénu percevait les comparaisons élevées dans ses vers dans le sens propre.
La tempête - signifie la tempête le plus présent.
La steppe embrassée par l'incendie.
D'aigles forts et fiers précipités aux sommets.
Des battements des ailes d'aigles s'est levée cette tempête.
Alors il sentait et écrivait ainsi de cela.
Le jour Yerken a présidé la réunion au centre de volost.
Le local convenant n'était pas là, et la foule s'est installée près du pied de la colline peu élevée.
Apparemment, les interventions quotidiennes devaient émousser chez lui la capacité à s'allumer, et les mots de l'utilisation fréquente pouvaient perdre la force et la singularité.
Mais lui coûtait voir les gens réunis, remarquer l'attente dans leurs yeux éveillés, et il oubliait sur la fatigue, que se produisait seulement hier et que demain à lui se produire de nouveau...
Yerkan disait sur la liberté, qui agitant le drapeau rouge, est venue à la steppe aux Kazakhs.
Certains se félicitent, d'autres - se détourner, d'autres accroupis et d'attendre ... Qu'est-ce qu'ils attendent?Quelqu'un interprète sur la fidélité aux lois des pères, sur l'humilité.
Et qui a vu un mollah obéissant ou un obéissant bay?
_Non, non pour elle-même l'humilité leur est nécessaire! Mais ne sera plus ainsi, les bolcheviks disent.
Il n'y a pas plus d'humiliation, il n'y a pas d'inégalité. Il faut finir l'injustice amère du destin.
Mais il faut encore reconquérir le droit au bonheur.
De temps en temps jusqu'à lui on dénonçait les exclamations :
_Dit exactement,hein ? D'où seulement les mots prend-il ?
_Eh bien, zhigit! Je vais peut-être confier sa femme et ses enfants à Allah, et je serai donné chez lui aux compagnons, s’il prend.
- Plût à Dieu voir par les yeux quand même la moitié de qu'il promet!
cela bruissaient les kedeys[v], sur la vieille habitude d'avoir disposé derrière. Ils aimaient shipshape zhigit[vi]. La chemise noire avec le col montant, le pantalon noir de drap inséré aux bottes à nez pointu, et la courroie fine caucasienne avec la finition en argent - tout cela étonnamment à il allait. Ils aimaient,
la façon dont il rejette ses épais cheveux noirs. Et son discours dans lequel il avait la confiance instillée en eux l'espoir.
La réunion approchait déjà de la fin, et Yerken semblait que cette fois tout descendra avec succès. Mais s'est révélé ici que sur les poitrines, sous chapan[vii] et les pelisses offensées, étaient non seulement tymaki-ouchanki[viii]. Quelqu'un et la pierre a caché dans le sein.
S'est balancée une série de devant, se répandait de là :
_ hé,vous, clochard!Bouche cousue!! Se sont mis à glousser!
_ ça suffit bavarder, les gueux malheureux! De derrière sont restés bouche bée. Non, ils n'ont pas eu peur. Simplement
ne se sont pas trouvés à la fois que répondre.
Le Bon mot habituel, bien familier.
Mais il était étrange l'entendre de nouveau, à l'époque où la liberté est arrivée, est arrivé l'égalité, comme disait celui-ci venant de la villezhigit. Yerken s'est tu aussi «Les gueux malheureux», _ qui pourrait crier cela ?
Il a examiné des premières séries et sur personne n'a pas pu s'arrêter.
Mais ici l'homme gros fait face nondescript avec ciller,
comme un serpent,par les yeux a crié :
_Gardez le silence, vous! Gardez le silence là!Faites écouter l'étranger de la personne.Je veux demander.On peut demander?
_Cela est-il...
_ Demandez... Yerken a répondu, s'étant préparé à quelque mauvais tour.
_Je voici ne peux pas comprendre...débuts celui-là tristement, en se chagrinant quoi que sur la balourdise personnelle.
- La lutte des classes est comme? Argyn-Kiptchak submergait avec Kerey-ouak, et ensuite à leur bagarre grimpera et Konrat-nayman[ix]? Et ils devront clobber l'un l'autre?Je comprends correctement?
«Et peut, ordinaire d'aoul l'imbécile-péroreur?» - a pensé Yerken et, ayant souri, s'est intéressé :
_Vous n'avez pas compris en effet?Ou comme ça, la langue on voulut gratter ?
_Non, non! Comme on peut! Je veux connaître...
Mais pour ce moment-là des séries de derrière se sont remises déjà.
_Comment donc! Eh! Il veut savoir!
_Ce Berch simule seulement l'imbécile!
_Ne réponds pas,gamin,ne lui réponds pas! Nous connaissons, qui lâche ce chien!
Yerken a levé la main pour calmer la foule, et s'est mis à parler de nouveau de la lutte des classes.
Non, les paroles vont non sur l'hostilité patrimoniale.Il faut, que Argyn-kiptchak et konrat-nayman vivent en paix entre eux-même.
Ils n'ont rien à diviser. Mais l'ennemi chez tous est un.
Ils étaient assis en avant,en poupre facienne de la gloutonnerie constante, gras, comme les outardes d'automne.
Et les vêtements ils avec ceux-là, de derrière, ne pouvaient pas être compares.
Tout dans les pourpoints solides de peluche et les bonnets d'astrakan, bas enfoncés sur le front.
Leurs yeux couraient, comme si les souriceaux couraient en arrière-en avant.
Les antichambres seraient jetées comme rien par les mots non signifiants. Par les manches avec kamche[x], enroulé par le fil de cuivre, ils poussaient à tout moment Berche :
_А eh bien, mords!.А eh bien, encore morder!Vraiment de quoi-quoi chez les Kazakhs, а l'oeil exercé dévinera leur ruse la plus rusée instantanément.
_Vous entendaient, les fils des steppes! _ a dit Erkeboulan
_Regardez..À vous vivre sur cette terre. À vous et décider.
Plusieurs,sans doute, voyaient d‘arbou[xi].
Si on peut arrêter la locomotive, quand il file, en faisant flotter une longue crinière argentée ?
_Voici et le nouveau temps
_ il enlèvera ceux qui l'essaiera retenir.
Il s'est tu, puis ont sauté à la fois les exclamations moqueuses :
_Eh, séant-ruse Berche que tu t'es tu ? Sa langue a avalé l'ignoble ?
_ Eh, le renard! été bouché ?
_ Le dos chez toi ne se gratte pas, Berche ? interpréte....
puisqu'....
_Seulement... plus.
Mais Berch, comme s'il ne l'avait pas traité tous ces mots barbelés, encore une fois soulevé sa main:
_À t’écouter, zhigit, - comme bon koumis boire au jour d'été chaud.
_Tu dis d'une belle manière... Et sur le drapeau rouge, et sur l’araba.
_Mais moi la personne illettrée,nature. Tu m'explique!
_Tu rendras les pâturages au pauvre.
Le bétail - également à lui.Le pouvoir de nouveau dans ses mains, à fatigué, calleux, comme tu as dit.
_Mais regarde! Finalement ton pauvre fera fortune et deviendra bay.
_Tandis que ? Tout lui prendrez et distribuer aux anciens bays ?
Yerken pas immédiatement s'est trouvé quoi répondre.
_Adroitement tu, Berche, tournes!
À la poitrine s'est refroidi de la méchanceté, et il connaissait déjà que voila maintenant abattra raide par le mot de retour d’insolent bay le larbin.
Il arrivait ainsi,et pas de fois.
Mais il n'a rien eu le temps de dire.
Des séries de derrière sont montées et se sont mélangés avec les antichambres, et les graisse-ventre ont commencé à reculer, en contournant la colline.
Entre eux tournait Berche maigre, en évitant les dizaines des mains durant vers lui.
Quelqu'un couvrait par les obscenities, quelqu'un déchiré la chapka, quelqu'un – quoi que le nez écrasé, quelqu'un - le doigt de quelqu'un s'appuyant à la botte déchirée...
Mais Berche ont saisi quand même, ont gaspillé sur la terre, et de quelques bons coups de pied il a roulé en arrière de côté.
Les pourpoints de peluche se sont égarés au groupe et en reculantpar gravure sifflaient
_Oh là! Tout doux! Tout doux!. Ni le maintien fier, ni l'aspect terrible, le sourire assuré - rien il ne restait pas.
Et tressé kamcha personne d'eux ne s'est décidé d'user.
lls ont reculé et se sont cachés après la colline.
Yerken se trouvait un peu loin.
Un haut vieillard à larges épaules lui se approchait.
Deux jeunes zhigts voulaient le prendre sous les mains, mais il est mécontent a remué par la barbe et les a démis :
_ Parfaitement,non mais, mes enfants?Pensez, je sans votre aide et sur la butte ne monterai pas ?
À côté d'Yerken le vieillard s'est arrêté.
Et la foule suivant lui, s'est arrêtée.
Voici ainsi - se séparera le peuple que la rivière aux crues,mais refluera - comme un petit ruisseau.
_Nous transmettaient tes mots, gosse !:
«Arrive ton jour,le peuple! Sors rencontrer l'aube de la vie nouvelle».
Nous entendions sur toi - et sont groupés écouter le mot sage.
Ne se sont pas trompés dans les espoirs. Exactement je dis ? - Il s'est tourné
vers les siennes:-Tel peut se tromper, mais l'autre ne trompera pas.
Yerken écoutait respectueusement au vieillard. Ne venait pas à la tête Yerken expliquer une telle issue de la réunion par l'ardeur des paroles. Non, ce temps,le temps tout met selon sur ses places.
_ Merci pour cette bonne parole, père. Je suis content que mes mots ont touché votre coeur,_modeste,comme il appartient du cadet à côté du vieux ingénieant par la vie, Yerken a répondu.
_ Maintenant dis, -aux zhigits appelé Alach-or-Doy, on peut revenir chez soi?
_Oui, à la maison.
_ Il est correct voici!N'ont rien à faire là-bas. Et toi... Se rappelle, tu seras le plus cher visiteur, si la maison du vieux Bayken se trouve sur ta voie...
Sur cette réunion, Yerken continuait à penser de l'accrochage inévitable entre «les pourpoints de peluche» et «les pelisses déchirées», en arrivant à cheval vers un petit aoul au bord du lac du Kzyle-môle.
Il se rappelait, comment l'intendant de volost Myrzakel'dy sincèrement hostile lui a dit :«Sort ainsi, le compagnon kaimessaire[xii], tu as brouillé chez nous les gens, a arraché la réunion, a troublé le peuple ?.. Oui?... Qui sera responsable?»
Et il était clair sans phrases, quelle main il tient, à qui ici Myrzakel'dy l'ami et à qui - l'ennemi.
Yerken a dit rudement à volost :« n'oublie pas que tu dois me donner les chevaux aller plus loin ».
Celui-là a répondu :« Bon, bien...
Les chevaux frais attendent près du lac du Kzyle-môle, et là accore en passant par chaque vingt verstes jusqu'à la ville ».
Et voici déjà le soleil s'assoyait, quand Yerken avec le guide peu loquace maussade est parvenu jusqu'aux Kzyl-môles et s'était empressé à côté de petit blanc otarou Yerken s'était empressé, а le guide, ayant accepté de lui la bride, a pris le galop immédiatement à l'inverse.
Le maître est sorti à la rencontre. Il produisait l'impression étrange. Son un oeil tâtait incrédulement le visiteur, а l'autre regardait quelque part de côté, et on ne pouvait pas comprendre, à qui il cligne de l'oeil, à qui sourit d'un air fripon-doucereux. Il semblait, recalcule les étoiles apparues au ciel.
- Alors les chevaux où? - a demandé à Yerken, salutant-Intendant de Volost disait que me donneront ici le cheval jusqu'à la ville.
Maintenant Yerken étaient regardé par l'oeil obséquieux du maître :
- Seulement sous le soir d'aoul a communiqué.
- vous attendre il faut demain au midi. J'ai livré les chevaux au troupeau. Passez la nuit chez nous. Jusqu'à votre ville cinquante total des verstes. Le matin nous livrerons en un clin d'oeil.
_Mais toi qui? L'adjoint d'aoul de chef?
_Non,le cocher. Mais a décidé de refuser. _ un autre oeil s'est appuyé à Yerken.
_Les soins complet corbeille. à cela rencontre, celui-là passer.
À la boutique maintenant je partirai - caperatip[xiii]s'appelle, - avec l'importance il a ajouté.
S'est renversé de l'intérieur le rideau de feutre, et devant Yerken a apparu une jeune femme qui n'a pas encore perdu dans le mariage de l'harmonie et l'attrait.
La tête chez elle était couverte pas Jalik[xiv], а du châle bariolé bohémien.Eh, quelle strabique! Quelle femme a arraché!
La femme, en continuant à soutenir le rideau, par une autre main a fait le signe invitant.
Yerken est entré.
Dans la yourte à côté du lit conjugal pendait le vieux qui s'est décoloré le rideau de la soie bigarrée. l'alaise, les couvertures, les coussins couverts par l'indienne bon marché rayée, aussi non nouveau, - tout disait que les maîtres sont très éloignés de l'aisance.
La maîtresse lui a indiqué la place honorable près du foyer.
Se trouvait côte à côte dombra, appuyé vers la grille.
- Les aouls nomadisaient sur le herbage, nous sommes seuls,- a dit elle.
Yerken semblait que l'affabilité de la femme assombrit la visage de son mari. Il se taisait toujours, et quelque chose évidemment l'inquiétait, il ne trouvait pas la place à soi-même.
«Et nous aussi - nous sommes réunis pour nomadiser»,
il a mâchonné et est sorti de la yourte,mais aussitôt est revenu et a commencé pour une raison inconnue à expliquer que son vieillard-père est parti vers de volost et voici s'attarde ...
Et de nouveau est sorti...
La femme a allumé la lampe et, en souriant timidement, a dit :
- Nous entendions que vous composez les vers, et dombra - non étranger dans vos mains...
Yerkebulan a été laissé seul dans la tente.
Il n'aimait pas fouetter selon les cordes. Il les concernait à peine par les doigts, et de ces attouchements presque imperceptibles naissait la mélodie facile échappant de la méditation.
Pénètre voici selon la steppe le ruisseau tranquille.
Et c'est le vent a jeté un coup d'oeil par le chemin à la peupleraie bruyante et insouciante.
La jeune femme doucement pour ne pas l'empêcher, a rejeté le rideau et a admis le garçon avec la brassée des bois.
S'est allumé le feu dans le foyer, et quand le feu a pris la force, dans la yourte est devenu plus vaste à la fois et plus gaiement. à droite pendait au mur la chère selle exposée par l'argent, et à côté de la -un élégant kamcha avec le stylo bien enroulé par le fil
Le cuivre et l'argent scintillaient faiblement et, il semblait, sur quelque chose clignaient de l'oeil entre eux-mêmes sous le jour de la flamme.
Autour de dastarkhan[xv] est devenu confortable.
La jeune maîtresse versait le thé épais odorant avec réchauffé en crèmes. Elle tâchait de manifester évidemment au visiteur inconnu son respect. Probablement, voulait atténuer l'impression du silence sombre du mari?
_ Dans un mauvais temps vous nous avez visité, Akyne-agha.
_Les aouls voisins ont nomadisé sur le herbage.
Nous sommes les seuls,qui été coincés ici. Il n'y a pas ni les zighits, ni les jeunes filles.
_ Il n'y a pas pour vous d'auditeurs dignes. Le soir triste avec les époux tristes _ voici que vous attend aujourd'hui.
_Pourquoi vous pensez ,que triste ? Que peut être plus cher que la bonté sincère et l'attention cordiale ? –joyeusement Yerken a répondu et a jeté un coup d'oeil sur la maîtresse, mais a senti ici que le maître oblique par un oeil lui a visé, et par l'autre - sur la femme.
Yerken un peu la bouche n'a pas ouvert de la surprise.
_Oh, là-là! Il est jaloux? Connaît, probablement, le prix et elle, telle belle femme.
L'adolescent étant accroupi à côté du mur, a remarqué l'étonnement sur la personne du visiteur et ne s'est pas retenu - a aspergé. La femme a deviné que lui a fait rire. Elle dirait comme par mégarde :
_Kaysar, quoi tu? Tu ne peux pas, comment la personne, ne pas courir par les yeux à tort et à travers?
Le mari a fait sourde oreille à l'allusion décevante.
_ Écoute, il n'y a pas est-ce que de cheval, au moins de quelque ?
Elle s'est adressée à lui
- Enverraient Kaysar à l'aoul de Bouzaou-ata, ils se sont attardés aussi. Appelleraient la jeunesse chez nous.... . Hein?
_ Non, - Otar-bay,_ court a répondu.
- Pourquoi le cheval ? Je peux ainsi fournir une course, un clin d'oeil recueillerai tous , celui-ci dis seulement, que chez nous en visite - l'Akyne!
L'adolescent un peu se soulevé. Sur lui était clair de la laine de mouton chapan, faiblement serré à la zone, de dessous de chapan la poitrine nue parcourait. les signes de la variole sur le front et sur les joues ne gâtaient pas sa personne, il était ouvert, bienveillant. On voit, le garçon facile exécutif ce Kaysar. Ainsi, semble, sa maîtresse a appelé ?
Mais à la réponse et à sa proposition - fournir un course, le maître de nouveau a maltraité:
- Non...
- Mais pourquoi pas?! - S'est indignée la femme
- Ou bien nous craignons les gens ? Ou chaque jour chez nous vient akyne, à qui pourraient écouter nos voisins ?
Le maître n'a pas compté nécessaire expliquer son désaccord.
Probablement, il s'est habitué sa désapprobation constante et a cessé de faire l'attention aux demandes, aux exigences de la femme.
Yerken a regretté que n'a pas manifesté la fermeté et n'a pas obligé aujourd'hui à lui donner le cheval pour aller à la ville.
Les querelles familiales -passe que, se querellent sans étrangers.
En dehors s’est fait entendre l'excédent pressé des sabots du cheval.
- Tu qu'as eu un tic ? - au mari rudement a demandé la femme,_ à cela chez nous ? Tu attends quelqu'un ?
Il n'a pas répondu, en continuant éveillé regarder à la porte.
Les chevaux se sont approchés, sont devenus à côté d’otay était audible, comme mettent pied à terre les cavaliers.
Deux se sont montrés dans les portes. Sont facilement habillés, il ne semble pas que se réunissent au chemin lointain. Les visiteurs ou les persécuteurs? En dehors, sur la rumeur, sont restés aussi deux-trois.
_Bon à vous le soir, - a dit doucement un des entrants.
_ Passez, passez... Avec eux le maître parlait par un tout à fait autre ton.
_Comment la santé, Akbala? Si tout est réussi dans la maison, Otar-bay ?
Seulement maintenant Yerken a appris leurs noms. Certes, une telle femme gentille affable doit être Akbala, Il serait étrange l'appeler autrement. À Dieu ne plaise - d'une façon ou d'une autre Oultougan[xvi] ou Dametken...
Les entrants parlaient aux maîtres comme avec les connaissances anciennes. De plus eux avec la curiosité regardaient vers Yerken.
_Hé, et où vous tenez la voie?, - Le maître a demandé.
_Oui ainsi... La perte chez nous. Le cheval municipal a parcouru ...,-énigmatiquement a répondu un d'eux.
À peine ils ont pris les places près de dastarkhan, comme en dehors soudain quelqu'un a rugi :
- Otar-bay!
Le maître a impliqué un peu la tête dans les épaules et n'a ramassé tout le courage à la fois - se lever et sortir.
- Eh, Otar-bay! t'est combien appeler!
Il se dirigeait déjà vers la porte, et Akbala a dit entre les dents :
- Ne s'avise pas de l'amener ici...
Les zighits ont louché de nouveau sur Yerken - et c'est pourquoi n'ont pas remarqué le regard court exigeant, qui Akbala a jeté vers Kaysar. Celui-là l'a compris et est sorti.Un de zigiths se comportait tranquillement, et l'autre faisait semblant, comme si excepté le thé rien ne l'occupe. Yerken commençait à deviner que le maître par jalousie ne trouvait pas à soi-même la place après son arrivée.
Dans la yourte est arrivé le silence,mais en dehors sentencieusementbourdonnait la basse.
Les mots on ne pouvait pas analyser, mais discuteur quelque chose demandait, vers quelque chose forçait.Obséquieusement ténorino du maître d'abord lui objectait avec hésitation. Ensuite s'est tu tout à fait, étouffé débordement de la basse.
On voit, la prévention d'Akbala n'a pas agi.Derrière Otar-bay deux sont entrés dans la yourte.
Le premier - l'escogriffe dans le pourpoint de satin,ceinturé par la courroie rouge.Il regardait lugubrement, sur la personne se présentait le bec-de - lièvre supérieur coupé.
Il se tenait comme le chef. Son compagnon était l'ombre à côté de lui. L'escogriffe est devenu près de la porte, et cette mesure.
L'escogriffe a enveloppé réuni par le regard, et celui-là a passé par les yeux selon tous.
- Salut, nana! - l'escogriffe a dit, et son compagnon a remué les lèvres, comme en répétant le dit.
Akbala, sans se lever de dastarkhan, a répondu avec l'hostilité mal cachée :
_Est-ce que de toi on peux entendre le mot humain?
_Holà!! Mais qui est toi telle, si non une femmelette? Ou a oublié, comment par année de disette t'ont vendu pour une vache stérile, pour le demi-sac du grain? A oublié?
- Non.
Mais voici à toi - toi m'avaler on ne réussit pas quand même. La bouche percé de troues s'est trouvée.
La femme reste toujours à la femme... Akbala a frappé selon le plus malade - le bec-de - lièvre..
Escogriffe ne s'est pas trouvé que répondre. Seulement ronflant a soufflé du nez.
- Voici le rageur!Ceci chez lui a sonné un peu plus mollement, comme lui proposait de conclure l'armistice. - je suis coupable, peut-être?. À son père reproche pour qu'il dans la tombe ait mal au coeur. C'étaitil alors t'a trouvé un fiancé à Otar-bay, et ensuite regrettait qu'a vendu trop bon marché.
L'escogriffe s'est empourpré, sa main a serré plus ferme gros octaèdre kamcha. Yerken était prêt à défendre d'une jeune femme, s'il le faut, au moins n'a pas compris, à quoi est dur détesté à tout le peuple le facteur, l'agresseur du chanteur célèbre et le poète Birjan.
Otar-bay s'est trouvé entre deux feux. À lui et la femme était non sous la force rabibocher, et devant l'escogriffe il voulait avoir l'air du maître dans la maison.
_ Passe, Tokai... Passe, que tu t'es levé!S'assois. Le thé bois voila...
_Que moi, la pauvre de Kara-Otkelya[xvii]?- A coupé lui Tokai.
_Thé je laperai? Donne le koumis.
Il est tombé difficilement sur le feutre à côté du foyer, a jeté côte à côte le kamcha torsadé et pour la première fois pour tout ce temps a jeté un coup d'oeil vers Yerken. Ses yeux étaient dans les nervures rouges. Les yeux ne connaissant pas la pitié. Sur le menton - ni le cheveu, par contre, le poignet, le pinceau et gros court.
Les doigts étaient couverts de la laine noire, comme les pattes poilues chez la tarentule.
Akbala en se taisant a recueilli le dastarkhan, et porter le samovar Kaysar à celle-ci a aidé. Bientôt il a jeté un coup d'oeil de nouveau à la yourte :
- Le maître! La maîtresse appelle.
Quand Otar-bay est sorti,Tokai a pris le kamcha et, en agitant un peu avec celle-ci, a dit :
- Ne sois pas cette crevarde de cela- Otar-bay, je une bonne foi fouetterais la femme insolente selon les cuisses potelées...
- Ouïe, bay, Tokai-aou[xviii], - ne s'est pas retenu un de ses compagnons
_Que restera de la femme la plus potelée, si vousune bonne foi vous joignez à elle ?
_A vrai ce qu'ils disent,que votre père aux temps anciens a fouetté par ce kamcha à soi-même Birjan ?
Tokai d'un air suffisant ricané et a regardé de nouveau Yerken.
_Non, les gens ne mentent pas, - il a répondu demandant.
- j'ai accepté celle-ci kamcha j'ai pris en mains du père. Et Birjan après cette fois et ne s'est pas remis. Les vers a cessé de composer.
À la fin de la vie, j'ai entendu, a perdu la boule tout à fait.
Le fouet historique a provoqué chez lui-même le vif intérêt.
- J'entendais, au bout on enlace le plomb. Exactement ? - A demandé au deuxième de ces deux qu'est entré dans la yourte dès le début.
- Et comme tu pensais ? Du plomb ici sur le verchok entier.
_Touche un peu le gros loup - et le crâne à demi!
- Et pourquoi ton père a donné un coup à Birjana, tu ne connais pas ?
- Hé, Birjan-lard! Birjai-lard!.Tu que, ne les voyais pas, ceux-ci lards et sers? De la génération pauvre d'esclave, mais le coursier établira... S'Attifera... Se Met au niveau des hommes de bien. Se charge du droit de juger, qui est bon,et qui mauvais. А tout parce quil sur dombra sait sonner et composer les chansons idiotes. Alors la fête était. Birjan a intercédé, peut-être, pour quelqu'un, voulait montrer la justice... Eh bien, a reçu...chapan de la laine de chameau - comme par le couteau coupait. Le cheval chez lui était blanc - tout le croup birjanienne du sang a inondé. Les compagnons de Tokai avec étonnement faire claquer la langue:
- Excusez du peu!
- Et comment il a survécu encore ?
- Tutt, mon Dieu... Le père doucement lui a touché, comme ça,pour moraliser.
- Chaque mot de cette conversation par le couteau pointu s'enfonçait à la poitrine d'Yerken. Ainsi voila qui est cet escogriffe avec le bec-de - lièvre! Le fils du gredin-pochtabay, qui a osé lever la main sur la coqueluche de tout le monde, le poète sage et pénétrant, quels vers répétait envieusement Yerken.
Cette histoire il y a longtemps est devenue la légende - de ce que sont transmis à la steppe de l'aoul vers l'aoul.
Racontaient différemment, comme «postalbay»- le commissionnaire de l'intendant de volost Aznabay - a fouetté à la fête du chanteur.Mais si pouvait Yerken supposer qu'il un jour verra personnellement celle-ci kamcha par-devers le fils de celui-ci postalbay!
D'abord Yerken ne donnait pas la signification à un tel conversation, mais a pensé ensuite : et non si exprès ils se sont rappelés l'histoire du Birjan-lard notamment à lui ? Connaissent qu'il est le poète?
Yerken a pris l'agenda.
Tokai s'est tourné vers celui-ci.
_Toi que là, gars? Tu écris?
- J'écris.
_ Et que tu écris ?
_Je veux inscrire ton récit de Birjan.
_Eh.. Mais pourquoi? Qui est Birjan à toi?
_Tu peux trouver que le père.
_Et tu connais que quand près des akynes se gratte la langue, cela signifie que se gratte le dos?
- Mais tu connais que le kamcha et dans de différentes mains peut-il
fouetter identique?
Tokai a éclaté de rire d'une manière saccadée et a tapé de lui-même sur les tiges à bout obtus, comme la gueule du veau, la botte.
Les tiges étaient épais barbouillées par la graisse - Tokai avait l'habitude d'essuyer sur eux les mains après le bechbarmak.
Au moins était dit assez directement, mais Yerken n'a pas accepté quand même le mot Tokai pour la menace valable plutôt,
la plaisanterie maladroite de l'impertinent, qui et se trouve aujourd'hui tout-puissant à la steppe, parce que chez lui la voix de stentor, les poings noirs poilus et octaèdre kamcha avec le plomb.
- Il te serait temps de comprendre, - en souriant, a dit Yerken, - il y a dans le monde une force et est plus solide que le kamcha tienne . Tu est-ce que n'entendais pas? À la steppe jusqu'ici chantent la chanson du Birjan-lard, où on expose à la honte générale ton père... Et même son nom ne s'est pas gardé - postalbay et postalbay...
- Que? Que tu as dit? - menaçant s'est soulevé de la placeTokai .
Mais s'est renversé ici le rideau. Otar-bay et Kaysar ont apporté prudemment le terengai - une grande coupe en bois en koumis écumant. Après eux Akbala est entrée. La personne chez elle était pâle. Que la personne que jaoulik[xix] - une couleur. Avec angoisse elle a regardé au Yerkea, et celui-là a compris-Akbala fait savoir qu'il était surplombé par le danger, et encore - qu'il peut compter sur son aide.
-Eh bien que tu t'occupes! - a attaqué Tokai au maître, - nous apprenons aujourd'hui le goût de ton koumis ou non ?
- Maintenant, batyr-yeke... Voici, je verse déjà,Tokai. Voici, la minute ne passera pas....
La personne chez Otar-bay était plissé, malheureux. Encore récemment, au moins et branlant, il était semblable à l'homme et même tentait l'importance de garder. Et maintenant - tremblait, comme la chèvre sous la pluie battante. On voit,il a pris une pipe de sa femme. Mais encore plus, qu'elle, il craignait de Tokai.
Akbala, sans dire un mot, a repoussé le mari, a choisi le bol plus vivement, plus nouvellement. L'escogriffe pour ce moment-là a eu le temps de boire déjà la coupe donnée à lui par le maître, et l'a tendu de nouveau.
Mais Akbala l'a obligé à attendre.
- Kaysar, donne au visiteur, - elle a dit, et il ne fallut pas une seconde fois expliquer a Kaysar, qu'elle sous-entend par ce mot - le visiteur.
Ayant accepté la coupe des mains de Kaysar,Yerken a senti que sous son fond le plus était la note. À cette époque dans la yourte tous observaient, comment supportera une nouvelle offense Tokai et Yerken a mis imperceptiblement le feuillet dans l'agenda et a glissé vite selon lui par les yeux.
Akbala, comme rien il n'est pas arrivé, remuait le koumis.
Les visiteurs drainaient le bol après le bol. Dans la yourte est devenu doucement. Tout averti suivaient l'un après l'autre, et la conversation ne collait pas.
En captant des regards d'Akbala sur soi-même , Yerken comprenait son embarras. Elle a remarqué qu'il a lu la note. Pourquoi il est insouciant ainsi ? Pourquoi de temps en temps le sourire se glisse chez lui selon les lèvres, а un haut front n'est pas touché par aucune ride?
Ses regards tous étaient plus acharnés :elle implorait, demandait qu'il ne soit pas assis ainsi, comme dans le cercle des gens, а quelque chose entreprendrait pour le sauvetage.
À côté de la yourte, en sonnant, s'est arrêté un tarantass de quelqu'un. Les yeux d'Akbaly se sont éteints,sont devenus désespéré.«Ah, a été en retard, a été en retard!» - ils disaient à Yerken.
_Est-ce que a été en retard ?.
Yerken lentement,comme à contre-coeur, s'est levé.
- Le gosse, passer-moi à la cour, - il a dit.
- Allons, Akyne-agha, - a sauté Kaysar et a rejeté machinalement
Yerken a passé lentement devant Akbala, lui a dit adieu par le regard et s'est dirigé était vers la sortie, mais à côté de lui a augmenté Tokai.
- Où t’étales ?
- j'ai dit - à la cour.
- Marche! Tu n'iras nulle part.
- Tu ne lanceras pas, peut-être?
- Eh,eh!. De Ton père, le tien Birjan!.
Kamcha s'est levée. Mais Yerken attendait cela. Le coup court, terrible presque imperceptible a contenté Tokai exactement à la tempe, et il s'est écroulé, comme abattu.
Le pied gauche s'est trouvé dans le feu, la flamme a léché la peau salée de la botte, et selon la yourte a circulé la fétidité collante.
Personne n'a eu le temps de comprendre que s'est passé; Farid, le fils du marchand-tatar connu au Kara-otkeyle est entré.
Invariable noir takia sur la tête, sur les poitrines de la poche vers la poche la chaîne de montre en argent.Par un tel s'est habitué à le voir Yerken dans la ville, par un tel a vu ici. Il est clair que lui - avec eux. Farid a tendu la main àYerken, mais il - a marché à la cour.
Kaysar le tirait par la main.Yerken sur l'instant s'est arrêté pour que les yeux s'habituent l'obscurité.
À cette époque s'est ouverte la porte trouvant en face d'une grande yourte et, éclairé avec cette partie, il y avait une jeune fille jeunette dans le gilet noir de peluche sur est vif-jaune, dans les volants, la robe.
La lumière seulement sur l'instant a éclairé la jeune fille, et elle s'est cachée tout de suite. Elle comme est venue des chansons des akynes - sourcils minces et fébrile, tendre, comme le chamois fier et obéissant. Le rêve de vieille date zigith...
Yerken a eu le temps de tout remarquer. Mais elle ne lui semblait pas par la jeune fille réelle, à qui on peut s'approcher, se mettre à parler. C'était la beauté elle-même. Plus tôt il tâchait de s'imaginer souvent, comme elle peut avoir l'air. Maintenant il connaissait cela.
Mais Kaysar tout le tirait chez les chevaux se trouvant sur la laisse après la yourte.
-Allons aga, tiens! Plus bientôt! Ils veulent vous tuer. S'assoyez voici sur cela. C'est bai, on ne voit pas maintenant, avec l'astérisque sur le front. C'est le cheval de Tokai,de cet escogriffe. Non le cheval,mais le vent. Et moi - sur blanc...également un bon cheval.,allez donc faire, aga, preste!!
Yerken semblait qu'a passé l'éternité depuis qu'il a vu la jeune fille. Mais, évidemment, ce réellement était l'instant, parce que seulement maintenant de la yourte sont arrivées les exclamations effrayées :
- A tué?.Tokai,Tokai, s'éveille!
- L'eau, plutôt...
-Il l'a tué?.Erkeboulan?. c'était demandé au tatar venant, le fils du marchand.
Oui, plus bientôt. Il était prêt à filer au bout du monde. Pour ne pas mettre feu aux chevaux, les cavaliers les ont mis au départ au trot, et ensuite déjà - au galop. De la yourte allaient à toute vitesse les exclamations :
- Partiront rien moins que!Mais Kaysar tout le tirait chez les chevaux se trouvant sur la laisse après la yourte.
-Allons aga, tiens! Plus bientôt! Ils veulent vous tuer.
_S'assoyez voici sur cela. C'est bai, on ne voit pas maintenant, avec l'astérisque sur le front. C'est le cheval de Tokai,de cet escogriffe. Non le cheval,mais le vent. Et moi - sur blanc...également un bon cheval.,allez donc faire, aga, preste!!
Yerken semblait qu'a passé l'éternité depuis qu'il a vu la jeune fille.
De la yourte allaient à toute vitesse les exclamations :
- Après eux! Après eux!
- Partiront rien moins que!
Pouvaient et rattraper.
Mais Yerken était fermement assuré que rien ne lui arrivera. Désormais il été protégé par la beauté elle-même.
Ces exclamations, les menaces, les malédictions se trouvaient encore longtemps dans les oreilles de la jeune fille. «Eh,allakh, est-ce que-ils rattraperont?» - elle répétait. Mais non - un tel bel homme, tel courageux zigith.Où eux en quelque part!
Dans une grande yourte Aklima s'est couchée à côté de sa mère, mais ne pouvait pas s'endormir. Cela elle dans l'obscurité souriait soi-même.
Une foi de plus la peur l'envahit , et elle se pelotonnait frileusement sous la couverture.
Le coeur commençait à frapper ainsi hautement qu'Aklima craignait - la mère se réveillera. Elle pas encore comprenait- pourquoi, mais a senti : le jour passé et le soir passé l'ont fait plus âgé toute la vie.
Hier, au midi, elle avec Kaysar est allée sur le lac derrière de l'eau.
Comme allait beaucoup de fois... À une vieille arba grinçante avec la baril ont attelé le pis - toutes les côtes sur l'aspect - atan.
Du côté de l'aul le bord du lac était abrupt. Kaysar traînait l'eau par deux seaux,mais Aklima, en se trouvant sur l'araba, remplissait la baril. Était joyeusement, et ils ont arrangé l'amusement : Kaysar donnait le se
au pour l'arroser. Aklima dans la dette ne redevrait et par dessus clapotait aussi vers Kaysar.
Pouvaient et rattraper.Mais Yerken était fermement assuré que rien ne lui arrivera.
Désormais il été protégé par la beauté elle-même.
Ces exclamations, les menaces, les malédictions se trouvaient encore longtemps dans les oreilles de la jeune fille. «Eh,allakh, est-ce que-ils rattraperont?» - elle répétait. Mais non - un tel bel homme, tel courageux zigith.Où leurs en quelque part!
Dans une grande yourte Aklima s'est couchée à côté de sa mère, mais ne pouvait pas s'endormir. Cela elle dans l'obscurité souriait soi-même.
Une foi de plus la peur l'envahit , et elle se pelotonnait frileusement sous la couverture.
Le coeur commençait à frapper ainsi hautement qu'Aklima craignait - la mère se réveillera.
Elle pas encore comprenait- pourquoi, mais a senti : le jour passé et le soir passé l'ont fait plus âgé toute la vie.
Hier, au midi, elle avec Kaysar est allée sur le lac derrière de l'eau.
Comme allait beaucoup de fois...
À une vieille arba grinçante avec la baril ont attelé le pis - toutes les côtes sur l'aspect - atana[xx].
Du côté de l'aul le bord du lac était abrupt. Kaysar traînait l'eau par deux seaux,mais Aklima, en se trouvant sur l'araba[xxi],remplissait la baril.
Était gaiement, et ils ont arrangé l'amusement : Kaysar donnait le seau pour l'arroser. Aklima dans la dette ne redevrait et aussi par dessus clapotait à Kaysar.
Sous le chameau qui s'est couché dans les brancards s'est formée la flaque, l'eau a percé à elle-même la rigole et coulait de côté.
Le vieux atan balançait avec désapprobation par la tête et rugissait sévèrement, quand l'eau se répandait à lui sur le croup.
Kaysar, nu selon la zone, ayant roulé jusqu'aux cuisses du canon de pantalon,était prêt à traîner jusqu'au soir l'eau.
Aklima déjà tout a été mouillé.
La robe bigarrée d'indienne s'est collée au corps dur de jeune fille en moulant étroitement les cuisses, le ventre, la poitrine.
Mais, peut-être, ni elle, ni Kaysar ne pensaient pas que telles gamineries d'habitude bon ne s'achèvent pas.
Peut être, ils ne connaissaient pas encore cela simplement.
Aklima a jeté sur la tête de Kaysar les bons demi-seaux et a sauté de l'arba.
- Soi-même porte, et soi-même verse!
_Et j'irai, je sécherai la robe. Aklima est partie.
Kaysar,ayant jeté un coup d'oeil à la baril, a découvert,
qu'elle est inondée seulement à moitié.
En continuant à traîner les seaux, Kaysar est absent-est absent regardait tout autour - où disparaissait Aklima.
De l'araba il a vu bientôt la jeune fille qui est partie assez loin du bord. Sur la surface unie du lac scintillaient ses mains blanches, brillait au soleil le dos.
-Kaysar a sauté, a jeté les seaux et est allé là-bas, vers elle - la taquiner, effrayer.
Il s'est enfui selon la rupture en bas. Aklima sortait tout juste de l'eau.
Une première fois à la vie l'adolescent a vu le corps nu féminin.
Les cheveux épais défaits couvraient une gauche poitrine.
Sur le ventre, sur les cuisses, sur de pieds forts et minces, comme les éclats de la pierre précieuse, brillaient les gouttes de l'eau.
Kaysar se figer, s'arrêter brusquement. Il respirait difficilement et ne pouvait aucunement reprendre sa respiration, il voulait et ne pouvait pas avaler la boule sèche dans la gorge.
Aklima haleta, et saisi la robe séchée sur l'herbe et, s'étant assis, s'en est couverte.
- Ah-ha!, dévergondé! Pars maintenant!
L'adolescent s'est éveillé. Il a acquiescé vite de la tête et est allé avec hésitation loin.
Ils ont augmenté dans un aoul. Jouaient ensemble.
Comme tous les enfants, se querellaient, se battaient, se réconciliaient.
Et ne devinaient pas quelque peu qu'un d'eux - le garçon, l'autre-fille.
Les dernières cinq années eux ne se voyaient pas. kaysar s'engageait quelque part sur la partie.
Et maintenant voici - se sont rencontrés de nouveau dans la maison d'Otar-bay.
Encore le jour, étant parti à peine de l'oaul, ils ont entonné à pleine voix la chanson. À ce moment ils étaient encore les enfants. Par les enfants ils étaient et alors, quand arrosaient l'un l'autre du seau, et le vieux atan hochait la tête avec reproche, en observant leur remue-ménage.
Et voici maintenant cette enfance s'est déchirée, d'un coup.
Le garçon et la fille se sont sauvé quelque part pour ne plus revenir jamais. Il y avait une jeune fille. Était un jeune zighit.
Sur le chemin de retour les deux se sont gonflés, frappé par le changement soudain, se sont tus et sur l'araba étaient assis, s'étant détourné l'un de l'autre.
Kaysar tout l'événement passé semblait par un tel secret profond qu'il ne permettait pas de regarder à Aklima, Mais il est combien de lui branlait la tête, en chassant cette vision, en tout cas elle se trouvait devant lui, tout mis à nu, inondé du soleil.
Akbala était à côté de la yourte, quand ces deux sont revenus du lac.
Elle a jeté un coup d'oeil seulement vers Kaysar, vers Aklima,et, s'étant renfrogné, a dit :
- Kaysar! Toi que cela ?Rayez elle de ses tablettes. A compris ?
Ce que l'adolescent et la jeune fille seulement sentaient vaguement, Akbala a exprimé rudement et absolument. Et de cela s'est serré le coeur de la jeune fille. Ce sévère "jette" jusqu'au soir poursuivait d'Aklima, s'est collé, comme les algues arme au pied pendant le bain. Tout le jour de Kaysar et Aklima contournaient soigneusement l'un à l'autre. Comme c'est tout il était étonnant... Comme il est étrange!
Le jour est arrivé au galop de l'aoul de volost le cavalier et a ordonné de préparer de deux chevaux pour quelque important visiteur.
Vers le soir il y avait l'autre et a ordonné de livrer les chevaux se trouvant sur la laisse au troupeau. Devant le coucher du soleil Erkeboulan est venu, et dès cette minute la yourte d'Otar-bay était embrassée par l'alarme.
Akbala dans une grande yourte pêtrissait le pâte.
_Hisse j'aiderai,- a proposé Aklima.
_Eh-eh, la soeur... Tu auras le temps!
_Tu sortiras en mariage, toute la maison tombera sur toi. -et le poète ?
_Oui, Aklima. Toi verrait, comment il dombra a pris les mains. Tu entends,il joue ?
Otar-bay est apparu, tout rouge et suant.
_Que tu cours - avec le mécontentement a remarqué Akbala. - aurait honte _ le visiteur d'un laisser.
_ Rien. À lui avecdombra plus joyeux, qu'avec le maître.Mais il - étrange, demande soudain, ni de celui-là, ni de celui-ci, il est combien d'aux gens au mien kaparatip entrera.
- Et toi comment ?
Je dis -pendant que je seul, et quelque temps après élevai pirkanchika[xxii].
- Et lui que ?
- Rien, a ri. Il se trouve, quelque part faut.
Je dis - quelle part ? Comment, dit, kaperatip sans part ? D'où les moyens tu prendras?A dit lui - deux personnes promettaient de me donner l'argent.
- Ainsi il a approuvé ou n'a pas approuvé ton entreprise ?
- Eh! Cela il s'attache, maintenant toi, bobonne! - s'est fâché Otar-bay, - je et connais que je fais, il n'est pas plus mauvais que toi, il n'est pas plus mauvais que celui-ci. Il semble, mes Mankour et Nankour[xxiii]- non toi!
Il a renoncé et est parti, mais est revenu bientôt de nouveau.
- Le visiteur dit pour que nous ne coupions pas la mouton.
- mais tu que, avant de couper la mouton, chez les visiteurs demandes aux permissions ?
Akbala s'est levée, et la conversation avec elle ne prédisait rien pour Otar-baybon.
En général, quand Aklima observait la vie familiale de la soeur, chez elle disparaissait toute chasse se marier.
Akbala s'est émue et s'est réjouie, ayant appris que leur visiteur - le poète.
Si l'aoul ne nomadise sur herbage, qui connaît, se serait arrêté devant ceux-ci dans la yourte une telle personne, témoignerait de l'attention à Otar-bay minime ?
Les Kazakhs honorent plus grands par habitude sacré et le prophète, le nom le répètent sans frémissement nécessaire sacré.
En donnant aux ecclésiastiques tous les signes du respect, ils de rien, excepté le mépris, d'eux n'éprouvent pas.
Par contre il n'y a personne pour le peuple libre de steppe plus haut akyne - le poète, à qui est fait composer ainsi du dieu les vers que les mots connus depuis longtemps retrouvent le sens inattendu, le poète, à qui on réserve le droit de juger les gens et leurs actes - sois tu le dernier pauvre au pauvre chapan, sois toi-même, le sultan...
Il les juge dans les vers et les chansons, que le peuple garde ensuite dans la mémoire, et ils inquiètent ou consolent, appellent...
Akbala avec le lait de la mère a absorbé ce respect, c'est pourquoi elle et s'inquiétait maintenant, quoi qu'accepter plus dignement d'un visiteur extraordinaire et comme toute maîtresse, craignait que ne réussira pas à faire cela.
Et ici encore ce sot Otar-bay mâchonne que le visiteur n'ordonne pas de couper la mouton. Comme si chez elle dans la maison quelqu'un peut établir les lois de l'hospitalité!
En général depuis hier Akbala n'apprenait pas le mari.
Il marchait quelque perdu et était semblable par personne, qui cherche serrer quelque chose chez soi-même dans la maison.
Tout tombait chez lui des mains - le matin il a laissé tomber le bol avec le thé. Encore il y a deux jours il s'est réuni ensemble avec tous nomadiser sur le herbage, et ensuite a changé brusquement de la décision.
Il a expliqué considérablement aux domestiques :
- De volost a reçu les instructions.
_ Après-demain arrivera quelque kemesar. Il faut préparer pour lui les chevaux frais.
Et avant l'arrivée a dit à Kaysar pour qu'il vole les chevaux à l'inverse au troupeau.
Akbala ne pouvait rien comprendre.
Quand venant jeune beau zigith était assis déjà à otar, а elle pêtrissait pâte dans une grande yourte, Akbala a demandé chez le mari, sans cacher l'irritation :
- Quoi ne pouvoir durer en place ? Et tu connaissais que notre visiteur non simplement kaimessar,mais un grand akyne? Connaissait ou non ?
-Mais à toi quelle affaire ? - habituellement encliqueté Otar-bay
- Ton pâte pétris mieux, s'occupe de son l'affaire femelle.
- Ne m'apprends pas! Mais si tu connaissais que le visiteur sera cet akyne, connaissait et ne m'a pas dit, pas encore une fois tu regretteras! Je de tu apprendrai, comme pâte pétrir!
Ordinaire querelle. Aklima d'en a marre écouter, et elle est sortie de la yourte
Les crépuscules se condensaient graduellement.
Les crépuscules cachaient la steppe vaste, comme sur laquelle on tirait le rideau ténébreux noir.
Du lac on dénonçait le criaillement endormi des oies de passage. S'entre'appelaient les cygnes.
Les grenouilles dans la langueur d'amour ont établi les chansons.
Et même naturel parmi tous les sons du soir il y avait une mélodie, que déduisaient sur dombra les doigts habiles.
Aklima a tressailli - elle n'a pas remarqué Kaysar,qui se sont approché à elle, a senti simplement comme quelqu'un l'a pris pour la main.
- Kaysar... Toi?
- Ey tu pensais qui? - Il lugubrement a demandé.
Aklima n'a pas répondu. Dombra continuait doucement sonner.
-Et tu connais sos vers ? - A violé Kajsar le silence,
- Je connais certains.
- Plaisent ?
Elle et a gardé le silence cette fois. Kaysar, ayant soupiré, a dit :
- Tu veux le regarder ? Akyne... zigith... Tu Veux ?
Il la tirait par la main vers otar.
-Pense-tu? On a honte en effet, - elle a objecté, mais avec hésitation, et Kaysar, sans écouter les objections, l'a amené au mur de feutre.
Aklima s'est serrée contre la fente.
L'akyne était à ce moment-là un, parce qu'Otar-bay disputait toujours avec la femme. Plus exactement, l'akyne n'était seul,mais avec dombra. À ce moment-là peut-être il composait sur lui-même les hauts mots sur le peuple,lequel sort sur un nouveau chemin, sur les cols rapides du temps, qu'il faudra surmonter, sur les faucons rouges, desquels ailes non aux forces à brûler le feu... Maiis peut être, sur l'amour fidèle ?
Il était encore plus beau, qu'alors, quand arrivait vers la yourte, et Aklima a réussit en passant un aperçu de celui-ci.
Soudain elle a senti la reconnaissance immense près de Kaysar,à laquelle elle connaissait , elle est devenue aujourd'hui une grande jeune fille - s'est sacrifié maintenant pour qu'elle puisse de près voir le poète.
- Kaysar, natal!Comme tu est bon, - est à peine audible a chuchoté Aklima.Il la tirait par la main vers otar.
-Pense-tu? On a honte en effet, - elle a objecté, mais avec hésitation, et Kaysar, sans écouter les objections, l'a amené au mur de feutre.
Aklima s'est serrée contre la fente.
_L'akyne était à ce moment-là un, parce qu'Otar-bay disputait toujours avec la femme. Plus exactement, l'akyne n'était seul,mais avec dombra. À ce moment-là peut-être il composait sur lui-même les hauts mots sur le peuple,lequel sort sur un nouveau chemin, sur les cols rapides du temps, qu'il faudra surmonter, sur les faucons rouges, desquels ailes non aux forces à brûler le feu... Maiis peut être, sur l'amour fidèle ? Il était encore plus beau, qu'alors, quand arrivait vers la yourte, et Aklima a réussit en passant un aperçu de celui-ci.
Soudain elle a senti la reconnaissance immense près de Kaysar,à laquelle elle connaissait , elle est devenue aujourd'hui une grande jeune fille - s'est sacrifié maintenant pour qu'elle puisse de près voir le poète.
_ Kaysar, natal!Comme tu est bon, - es à peine audible a chuchoté Aklima.
_Quoi ? Est tombée amoureux à la fois ?
_Aujourd'hui en effet, et il est devenu un adulte zigith.
Et ensuite... A commencé ensuite le remue-ménage.
Le bruit des sabots d'un cheval a troublé la paix de la nuit.
Les cavaliers parlaient par le chuchotement maussade.
De temps en temps, comme en sentant le danger, sur le lac cacardaient les oies.
Quelqu'un grognait d'une voix rauque dans la partie vers Otar-bay :
_Vous ne vous plaignez pas, l'imbécile! Ou tu imagines, que je de toi, d'un tel cornichon, demanderai, comment à m'entrer? Que je peux de quoi on ne peut pas? Est bouché et fais que t'est dit!
Dans une grande yourte brûlait vivement le feu dans le foyer, la flamme par le reflet violet dansait aux yeux du brebis lié selon les pieds.
Le vieillard berger, en crachotant sur le morceau, aiguisait avec savoir-faire le couteau.Aklima pour ne pas voir le sang, voulait partir. Mais ici Akbala effrayé est venu mortellement.
- Eh bay!. Le malheur chez nous dans la maison.
-Plus bientôt, Aklima, écris lui :Akyne-agha, à vous veulent tuer. Écris!
- Quoi tu... Quoi tu, Akbala! Je ne peux pas. Je crains!.
- Écris! - Akbala a ordonné,mais il était difficile l'objecter, en plus Aklima s'est habitué à compter dans tout sur la soeur aînée.
Elle a écrit la note.
Kaysar est venu au-delà d'Akbala :
- La maîtresse! Toi attendent pour que tu répandes le koumis...
- Quand tu donneras à l'akyne le bol, sous dessous le tu mettras..
.Elle a mis à lui à la main la note.
- Je ferai...
- Choisis ensuite de deux chevaux plus bons. Tu avec les iras. Regarde pour que l'akyne-agha parvienne avec succès à la ville!
Le vieillard le berger n'intervenait pas dans leur conversation.
Il continuait à aiguiser le couteau, mais ici Akbala s'est rappelé une ancienne croyance : par heure, quand des proches le danger menace à quelqu'un, on ne peut pas répandre le sang.
- Cesse, - elle a dit au vieillard. - Et le couteau - enfonce dans la terre...
- Hé, la fifille, - le vieillard a répondu. - toi, je vois, a oublié, comme chez nous il faut faire cela. „- l'Ion par le bond rude a planté le couteau, mais non à la terre, а aux cendres grises du bord du feu.
De l'effort, de l'attente du danger imminent Aklima tremblait, et tout le reste passait devant elle comme dans le rêve.
Elle sortait de la yourte et revenait de nouveau.
La conversation à atar cela éclatait, s'éteignait.
S'est fait entendre ensuite un court cri, et quelque chose est tombé lourd. D'otar est sorti Yerken.
À côté de lui par la toupie tournait Kaysar.
«A eu le temps, -, joyeux frappé le coeur d"Aklima, -Eh, omnipotent ! Aide le, ne le laisse pas...»
Et soudain le hurlement acharné :
- Ont tué! Ont tué!
Aklima hors de soi est sortie de la yourte.
S'est cachée dans l'obscurité - et dans quelque temps s'est fait entendre le bruit des sabots d'un cheval pressé.
Le piétinement s'éloignait.Aklima a fondu en larmes.
Sur elle sanglotement est venue Akbala et l'a emmené à la yourte.
-Où est-il?Où est ce vieillard?, - Akbala ne pouvait pas attendre.
Selon la même ancienne croyance il fallait couper le brebis notamment à ce moment-là, à la minute de la libération pour conduire le danger de celui-là, à qui elle menace.
Elle a arraché le couteau et, n'ayant pas secoué les cendres, a pris la tête à deux mains ferme le brebis et donner un coup de couteau par la gorge.
- Eh, Allakh! Garde-le... Aklima,en pleurant, lui faisait écho :
- Eh, Allakh!Eh,Allakh!.
- Ne pleure pas.
Kaysar a choisi les meilleurs chevaux..Le tantôt est devenu calme.
Deux se sont mis à la poursuite.
Les autres ont porté Tokai, l'ont mis au tarantass, sur qui Farid est venu, - Tokai ne pouvait pas marcher, il a retroussé le pied à la chute et a brûlé dans le feu.
Il a été emmené au volost chez l'aide-médecin.
Aklima s'est couchée à côté de la mère.
Mais seulement devant le lever du soleil elle réussit à s'oublier par le sommeil léger, qui n'apporte pas ni le repos, ni les calmes.
Ont rattrapé?N'ont pas rattrapé? Cette question tourmentait sa toute nuit. Quand elle a ouvert les yeux, sa mère et Otar-bay étaient assis près du foyer.Et est fort en dehors pour que et dans la yourte soit audible, on grondait Akbala:
- Je pensais - le malheur noir nous passe! Et ilest et encore une merde a conçu.
_Vit ,_ tout le temps lèche les dos étrangers! Baba!
_À un tel - jalik sur la tête, et pour que les mots n'ose pas dire! Elle sois maudite, une telle vie!
Sa voix s'est approchée.
On voit, Akbala déjà épanchera insuffisamment dans la solitude la colère et le chagrin.
En continuant à se disputer, elle est entrée dans la yourte.
Otar-bay, sans se tourner vers celle-ci, a dit :
- Quand allakh veut punir mortel,il lui envoie la femme-sotte. Écoute, la sotte! _Tu as oublié sur la menace du Bec-de -lièvre ?Et oublié, oui?
Il a promis que nous essuiera à la poussière de voyage.
_Mais tu trembles déjà ? Écoute-le plus! Je vous connais, vous par une ficelle sont confondus.
Non sans raison tu tournais deux jours, comme si chez toi le hérisson sous le fessier! Tu en effet, d'avance connaissais tout!
_ Tu penses, ils me consultaient ?
_ Se tait vraiment! J'en effet, devine toutes tes idées d'avance. Tu devant eux es recherché les faveurs pour qu'il t'avait kaperatip...
Tu pour cela et Aklima veux leur fourrer, oui ?
_ Et tu imagines qu'ainsi vraiment Il est facile de devenir kaperatip ?
Aklima,qui était les yeux fermés, a tressailli. Maintenant il s'agissait d'elle. "Fourrer",-a dit Akbala. Vraiment sans faute celui-là, à laquelle va la rendre la femme à Otar-bay, ne sera pas semblable sur cet akyne avec les yeux rêveurs et courageux.
La vieille - la mère des deux soeurs - a soupiré et a trouvé nécessaire entrer en conversation :
_ Je ne connais pas, il est facile de devenir kaperatip ou difficilement commencer kaperatip.
-Mais écoute, le mien gendre. Tu peux devenir au moins le sultan, seulement pour allakh ne nous mêle pas aux affaires, ne nous vends pas. Se lève, Aklima! Nous partons d'ici, la fifille! Se lève...
C'est pour d'Aklima il ne fallait pas répéter.
Elle et comprenait qu'il faut partir plus vite.
- L'aoul resta derrière, dans le brouillard. Ils ont poussé sur le grand-route conduisant à la ville. Kaysar a arrêté le cheval, et Yerkenk a tendu aussi les rênes. Par derrière, du côté du lac, s'approchait les claques des sabots - voici les persécuteurs sont parvenus aussi à un grand chemin. À l'oreille expérimentée il était facile de définir qu'à la poursuite se sont mis deux. Deux - cela non et est terrible, mais en effet, ils sont armés sans faute,
_Eh,bay! C'est par le corbeau galope,rauque,_ a dit Kajsar, qui, certes, connaissait bien tous les chevaux célèbres dans la circonscription.
- Ici nous n'avons pas de cheval pour qu'il ne rattrape pas.sous son bras deux trous chez lui.
La fatigue ne connaît pas, au moins le jour et la nuit galope.
Kaysar était content du cas de montrer la compétence à la personne célèbre.
_Et mince des trous tels ?
_ Les trous comme les trous. Comme les ouïes chez les poissons.
Il par dedans d'eux respire plus profondément,c'est pourquoi la course chez de lui un tel.
Tout cela chez nous connaissent.
Comme leur position était dangereuse, Yeken ne pouvait pas se retenir du sourire moqueur, mais Kaysar dans l'obscurité ne l'a pas remarqué.
_ Comment allons-nous maintenant?,-a demandé à Yerken.
_ Il faut rouler du chemin.
En avant après les collines - le lieu d'hivernage d'Elemes.Et après ce, - Oulykoul', Kisaktam, Bouratal, Tas-Beket, de là j'avec les yeux liés parviendrai à la ville. Sont allés, Akyne-agah!
Kaysar a roulé à gauche et a pris le galop. Bai avec l'astérisque sur le front qu'allait sous Yerken, échauffé et méchant, s'est mis aussi par le galop. Kaysar, s'étant approché, a prévenu :
- Agah, lancez le cheval fouettement de loup...
_Alors du piétinement ne sera pas audibleKaysar et Yerken moins que se sont éloignés de très loin du grand-route et là ont passé en coup de vent déjà deux persécuteurs.
Kaysar ne pouvait aucunement trouver le lieu d'hivernage.
_ Où ici Elemese,et où Oulykoule.. Le brouillard tout est plus dense, l'obscur tout est plus épais.
Yerken selon la conduite du garçon a compris qu'il ne connaît pas, où aller, et a honte devant lui. Il éperonne de plus en plus souvent le cheval, tourne son cela dans un sens, à l'autre.
А la steppe sourde silencieuse méchantement a tapi dans l'obscurité. Ni le son. Ni le feu,quand même quelconque l'astérisque leur a cligné de l'oeil du ciel.
_Agah, moi s'est trompé, - a avoué, enfin, Kaysar dissipé.
_ça marche,- a consolé lui Yerken. - Jusqu'au matin nous viendrons quelque part. Nous laisserons celui-ci fouettement de loup , mais nous mettrons feu aux chevaux. Le mien bai tout le temps cherche rouler à gauche. Nous lancerons peut-être?. Quelque part amenera. Et? Comment tu penses?
- Nous lancerons, agha. Moi déjà rien ne pense pas?, chez moi la caboche a commencé à tourner de cette errance.
Yerken a livré les rênes. Bai a hésité, comme en contrôlant, si en effet on lui accorde la liberté,ou cela semblait seulement,et est allé ensuite, en prenant à gauche.
Pour Yerken il n'y avait pas déjà steppe ténébreuse de nuit. Il est parti aux idées. Sur le destin du chanteur Birjan, pensait le poète du destin de Birjan, qui récemment, dans la collision avec le Bec-de - lièvre, a appelé comme son père. Selon la légende il est devenu fou à la fin de la vie, et Akhan-seri a perdu aussi la raison. Pourquoi ?. Pourquoi tout richement doué, les hommes supérieurs finissent ainsi tristement- Que pouvait comprendre dans leur vie celui-ci grossier, méchant Tokai? Tokai, qui s'est habitué à être considéré seulement avec la force... Mais quelque chose dans ses mots a expliqué à Yerken, pourquoi Birjan après ce cas avec assidu de bay par le laquais avec le pochtaba et ne s'est pas remis, «de la tristesse a perdu la boule», - a dit Tokai.
Et comme le leu de Birjanou, le favori national, le rossignol de l'Arc, ne pas s'ennuiera, si sous les yeux de ses gens quelque commissionnaire a fouetté par kamcha!
Est-ce qu'il y avoir le composer après cela les mêmes chansons fières, fines et tendres?
Quel, proprement, pour le poète la différence entre la tristesse et la folie ?
Et qui des meilleurs poètes de la steppe a évité le sort semblable?
Ni Birjan-sal, ni Akhan-seri; ni même Abay.
Yerken voulait écrire le poème sur Birjan.
Il sentait chez soi-même assez de forces et savoir-faire afin que - après plusieurs vers - se mettre à un grand objet. Le sujet pour celui-ci était clair .Il n'allait pas reculer de ce cas original, qui s'est passé aux temps anciens.
À la fête chez de volost - Janbota_ le dombra de Birjan obligeait les gens à se réjouir, être triste, penser de la vie.
Et le commissionnaire autre de volost, rivalisant avec Janbota, a appelé le chanteur chez le maître, celui-là a refusé, et pochtabay lui a donné un coup de fouette, a arraché des mains le dombra.
Janbota n'a pas intercédé pour lui! Les mots irrités étaient démolis vers lui par Birjan : «Comme permettre toi pouvait pour que pochtabay mauvais à tout le peuple m'ait battu par kamcha?»
-Eh,bay,il ne faut pas tiens!, ne chantez pas ainsi hautement, - a entendu Yerken la voix de Kaysar.
- Je ne serai pas.
S'est frayé un chemin, - il a répondu.
«janbota» appellent cette chanson dans le peuple. Il y a longtemps est absent.
à vivant étant en mauvais termes de volost.
Pochtabay est aussi dans la terre, et personne ne connaît,
où sa tombe, a disparu, comme le chien... «Tu humilier, Janbota, m'a permis! Tu à la boue me piétiner, du chanteur, a permis!»
Qui se rappellerait maintenant qu'il y avait un tel Janbota ? «Tu à la boue me piétiner, du chanteur, a permis!» - il y a combine du désespoir,la douleur, la colère dans les mots de Birjan.
Il a condamné à la honte éternelle et pochtabay, et son
fils Tokai connaît cela, c'est pourquoi et s'échauffe, au moins tâche de montrer par tout l'aspect, comme s'à lui cracher sur cette honte.
La colère de Birjan faisait naître les mots, mais les mots
conduisaient pour eux-mêmes la mélodie, qui et sonne aujourd'hui par l'accusation.
Ne s'achève pas méchamment ce qu'est parti le temps de volost. Il faudra faire beaucoup pour que la vie devienne propre et clair, comme le
ruisseau à la steppe.
Et qui connaît - peut être, la colère et le désespoir de Birjan aggravait encore et ce que pendant le chant et l'accrochage avec pochtabay y ont jeté un coup d'oeil en cachette des yeux de quelqu'un rapides surprenants...
_ Dites, agha, - Kaysar a interrompu la marche de ses idées.
_Vous à cet escogriffe avec la lèvre déchirée, cela Tokai- la gorge coupaient
_ Comment?
_Il est tombé ainsi, comme mort...
Non, penses-tu! J'ai frappé avec sa côte de la paume à la tempe,
- Hein? Il est mort ?
- Non, seulement la conscience a perdu. S'éveillera.
- On regrette! Il fallait ainsi pour que crève. On dit, ce brigand peut répandre le sang humain. Mais maintenant, peut, au moin s boiteux sera. si Dieu le permet, le tendon à lui brûlera...
Par le pied il s'est trouvé direct au feu.
Yerken a jeté un coup d'oeil à sa partie, mais l'obscurité s'est condensée avant l'aube, et il la tête bai ne voyait pas devant lui-même, non que du compagnon.
Le garçon s'est tu, et Yerken a oublié ici la conversation courte avec lui. Devant ses yeux il y avait une jeune fille à l'entrée à la yourte,
un peu éclairé par la flamme, mais il suffit quand même pour voir sur sa personne et la tristesse, et le sourire éphémère, et contenu la peur.
Combien différents les sentiments. - et à la part une seule de la seconde - peut exprimer le visage.
Il veut penser que cela à son arrivée s'est réjouie, et a eu peur - à cause de ce danger, qu'il subissait.
- Écoute, tu écrivais la note ? - A demandé Yerken.
-Chépluqu!J'illettré, - a répondu Kaysar invisible.
- Chez nous est en visite la soeur de la maîtresse.
Voici Akbala-apa l'a obligé. Akbala-apa tel entêté, tous voient les yeux chez elle!Et la soeur ne voulait pas l'écrire d'abord. Pleurait.
Comme dit, je peux lui écrire tels mots : Akyne-agha, veulent vous tuer :
Kaysar n'a pas deviné l'appeler, et Yerken s'est gêné demander.Mais peut- être, et il vaut mieux qu'il ne econnaisse pas son nom ? Elle et restera pour lui comme le symbole de la beauté, le bien, la féminité.Et pourquoi - il restera ? Est-ce qu'ils ne se rencontreront plus jamais ?
L'obscurité a commencé à se diffuser.
En avant - selon-sur le bord du lac marécageux - se pressaient les yourtes de l'aoul. À côté d'eux erraient les vaches de différents couleurs, pâturaient côte à côte les brebis et les chèvres.
Bai sous Erken s'est secoué,est allé facile par le lynx fière, au moins derrière il avait une nuit difficile, le long chemin.
Kaysar aussitôt s'est inquiété.
- Quoi c'est votre bai s'est réjoui ainsi ?Il ne nous aurait pas conduit pas à son aoul.Nous ne viendrons pas peut-être,agha ? Nous roulerons ?
Yerken n'a pas eu le temps de répondre.
Bai a henni, ayant remonté haut la tête.
_Oui, bien,- a dit Erken.
- Au moins nous apprenons le chemin jusqu'à la ville.
Sur le bruit des sabots d'un cheval,le hennissement bai des yourtes ont arraché les gens. Ils examinaient les voyageurs inconnus.
_Alors quoi? Depuis de toute éternité chez les Kazakhs il ne convient pas de se lever de si grand matin - l'est encore même pas s'allume en rouge, seulement en tout petit peu est devenu rose à peine le ciel.
Les yourtes s'approchaient. On pouvait déjà entendre :
- Apirpaou[xxiv], regardez, ce bai - notre!
- Notre, notre. Voyez - l'astérisque sur le front.
- Seulement - quels des gens ?.
Les cavaliers sont arrivés, les hommes ont eu le temps s'éloigner. Qui à la yourte, qui pour la yourte.
En effet, comme la noblesse, qui se trouvera encore ce cavalier dans les vêtements municipaux, dont il a besoin ici.
Sont restées unes femmes - que pour se renseignent quels sont ceux voyageurs, voient,qu'est-ce que se soit après.
Temps est tel-parfois préférable, quand dans l'aoul il ne se trouve pas des hommes.
De fumant à l'air de la yourte grise la femme a surgi et, ayant vu les inconnus, s'est lamentée :
- Eh,bay!Eh,bay!
_Le cheval est venu,mais le maître est absent!Où est le maître?.Ou est-il passé? Ont tué ?
- Oh, de quoi parles-tu?, son mari n'a pas, tiens ? - A dit tranquillement Yerken. - Qui le tuera ? Qu'il est le bandit ou barmitache[xxv] ?
- Chépluqui! La personne, comme les autres. Est-il vivant, mon mari ?
- Est vivant, vivant!.Tantôt même arrivera au galop ici.
De même yourte est grimpé un petit garçon en haillons est allé à dix.
S'est étiré, a gratté le ventre et, ayant tordu la bouche, a fixé les yeux sur les voyageurs. Brusquement il a saisi bai par la bride.
- Descends, descends! -D'une voie perçante il a crié. - notre cheval!.Le notre! Descends, rien à foutre sur notre cheval!
Kaysar a touché le cheval et a repoussé le gamin.
Yerken au-dedans lui a remarqué l'homme,qui regardait prudemment à cause de la yourte en tâchant mieux d'examiner
les visiteurs suspects, entendre, avec quelles nouvelles ils sont venus. Ils a appelé cet homme et en détail a interrogé, quels ici se sont installés dans le voisinage les aouls, et où le chemin à la ville. Il se trouva, dans cinq verstes - le bourg russe.
_Jengey[xxvi], cesse, - a dit Yerken continuant à se lamenter à la femme.
- nulle part ton mari ne disparaîtra pas.
Et le garnement mets chez ce garçon.
Nous parviendrons au bourg, et nous rendrons là vos chevaux, il en arrière et les amènera.
Étant parti, Yerken s'est tourné- regarder,si quelqu'un ne les poursuivra pas. On voit l'aoul - selon tout, pas trop de paix...
L'aoul de brigand. Mais parmi les yourtes grises semblables
au fumier séché mis à des tas, était tranquille.
Les gens regardaient après lui et, probablement, discutaient de ceux-ci; l'apparition inattendue. Peut être, sont considérés comme les amis de Tokai?
Le gamin, leur guide, se comportait comme un méchant
louveteau, étant fait prisonnier.
Yerken a pensé - on regrette le gars, on regrette qu'il est venu au monde dans une telle famille,où le sang du grand-père, de méprisable pochtabay, coule dans ses veines.
Et le père ? À quoi peut apprendre un tel père, comment Tokai ?
Le gamin, leur guide, se comportait comme un loup vicieux,qui tombe prisonnier. Il suffisait derrière Kaysar pour la gorge et non en plaisantant l'étranglait.
Ou, s'étant replié adroitement, battait le cheval par le talon à l'aine. Blanc avec frayeur rebellait, faisait un écart, a perdu la tête se mettait au galop. pour Kaysar, il est clair, il n'était pas simple ainsi jeter le de la selle.
Mais cela lui embête, et il par une bonne fois ou deux fois a fouetté par selon les cuisses nues d'écervelé.
Celui-là hurlait, sifflait, sifflait, se disputait sur toute la steppe.
Est glapissant ensuite riait triomphalement et commençait tout d'abord.
Dans le bourg, près du bâtiment de local sovdepo,
les cavaliers s'étaient empressés.
Le fils de Tokai , ayant changé de place sur bai et en conduisant le deuxième cheval dans le prétexte, en guise d'adieu a crié :
- oh là!Mon cul! à vos pères!. Si mon père vous rencontre - vivant ne serez
pas!
... De l'aoul vers l'aoul, en embauchant les chevaux frais,
Yerken et Kaysar seulement vers le soir sont parvenus à la ville,
jusqu'au Kara-Otkelya.
A emmené loin de côté leur bai par le signe l'astérisque sur le front.
Non de passage à la maison, Erken est parti à la fois
pour la rédaction du journal "Tirchilik" ("la Vie"). récemment né kazakhe . Chemin faisant il a fait involontairement l'attention:quelque chose est beaucoup de dans la ville des ivres.
Mais, demain quelque fête orthodoxe. Et chez les russes ont un proverbe :qui est content de la fête, celui-là est ivre à la veille.
À la rédaction était assis le secrétaire - Karim.
Un de ces de deux,lesquels avec l'éditeur et comptabilisés pour tout l'Etat.
Ils étaient de service alternativement, un le jour, l'autre le soir.
Pour qu'il y avait toujours quelqu'un, qui pourrait accepter le visiteur, parler avec lui, aider à écrire la note. Les salaires n'étaient pas.
Ni chez les secrétaires, ni chez le rédacteur.
Au moins Yerken, comme le fils véritable de la steppe, s'est habitué la selle, mais quand même lui maintenant est tombé avec plaisir sur la chaise, qui, au moins, ne se remuait pas sous lui, ne cherchait pas tourner quelque part.
Karim a arraché la tête des épreuves crues, sentant l'encre.
_Eh-eh,a comparu, le nomade infatigable, le poète,l'éditeur, le commissaire de l'instruction!
_Eh bien, a créé partout, dans tous les aouls, le pouvoir Soviétique ?
- Partout, partout, ce n'est pas qu'il faut, - au ton Yerken lui a répondu.
- Et sain il resta ?
- Presque que... Écoute, Karim...Voici –Kaysar il m'a aidé à sortir d'un grand ennui.Et c'est pourquoi à l'aoul il ne peut pas revenir.
_Toi accepte le garçon pour le travaile.alors que lessez-le vivre chez toi, tu connais ma maîtresse.
- On peut accepter.Mais toi est savant ? - Il s'est adressé à Kaysar qui était accroupi modestement presque près de la porte.
- Non... N'apprenait pas encore.Yerken a défendu :
- Illettré - Eh bien, qu'importe? ?
_Tu apprendras à lire et à écrire en même temps.
- Il est clair, - a dit Karim. - Eh bien, Kaysar, tu seras mon adjoint. Ce n'est pas de refus? Prends voici ce papier et souffle dans l'imprimerie.
Comme tu sortiras, tu rouleras à gauche. La troisième maison d'ici. Là existe le pigiste, le vieillard, Gizzat-agha. Tu lui rendras.
Kaysar a salué et en se taisant s'est mis à courir aussi accomplir la première commission éditoriale.
_Alors ... Maintenant à la maison tu resteras assis ?
_Tu écriras sur le voyage ?
_je te crois! Quelqu'un espère dans les aouls que nous - pas pour longtemps.Il faut les affliger. L'article sera.Et mes vers a reçu ?
- Deux vont dans le numéro de demain. Et le troisième!. Tu veux, bats-moi, tu veux - tue, mais c'est le délire quelque, et non le vers!
-Gaffe un peu! -faussement s'est étonné Yerken. - j'ai envoyé exprès tout trois.Et tu,il paraît impers, a appris à comprendre les vers.
Il ne devait pas demander, quel de trois a mis au rebut Karim. Lui-même sentait que dans ce poème du mot ont résulté indolent, inexpressif, les lignes trébuchaient, comme les chevaux s'attachant, et n'exprimaient pas ce que l'auteur voulait dire.
Mais les plaisanteries par les plaisanteries,mais pour Yerken Karim était toujours plus premier auditeur et le juge des vers, bienveillant
et chicaneur, qui ne pardonnait jamais une mauvaise ligne, une mauvaise rime ou l'idée vague.
Ils ont échangé par les nouvelles, ont parlé de celui-là,
quels documents vont dans le numéro de demain, et qu'écrira notamment sur ce voyage d'Yerken.
- Et maintenant vas, - a dit Karim et a incliné de nouveau sur les épreuves. - pour le plus ancien allakh ne m'empêche pas.
Où cela convient pour que le travail souffre à cause de propos en l'air sur quelques vers.
Piétine plus bientôt à le sien sovdep,[xxvii]chez les commissaires. Ils là ont été enroués déjà des discussions.
À sovdep Yerken a trouvé les presque mêmes conversations qu'il y a deux semaines. À la fois lui ont communiqué :
- Hier nous délibérions ici, et quelqu'un a décroché par la pierre à la fenêtre., traîne dans le coin, le caillou entier...
A contenté à Efrem. Maintenant il est assis avecles yeux liés, comme après une bonne ribote.
Il est bon, au moins la balle n'ont pas lancé.
- Que vous tout sur mon oeil ? Je de vous, les merdes!, non demande le paiement pour l'oeil., enfin,conviendrions : obligeront l'épouses de marchands et tous autres richards ouvrir les boutiques ?.
_Nous obligerons ou non, je demande ?
_Et comme tu obligeras ? La force chez toi afin leur forcer ?
- Alors , laisser le choix,créer notre bataillon.
-Tiens, a suffi!Mais où est l'arme ? Que tu nourriras les combattants ?
- De quoi discuter ici ? Le pain est nécessaire à la ville ?
- Est nécessaire.
- Le pétrole est nécessaire ?
- Donc toute cela sous clef sur les stocks chez les bourgeois.
- Mais sans toi nous ne connaissions pas cela.
La position, en effet, était complexe, si ne pas dire - acharné. Le chemin de fer est absent.
Aucun lien avec la Russie éloignée révolutionnaire près de la petite ville couverte de steppe - est absent aussi.
Le pétrole., les allumettes, le combustible, le sel et le pain, le pain!.
Des conversations - toute cela ne s'ajoutait pas.
Sovdep a pris la décision : retirer les marchandises, qui marchands cachaient jusqu'aux meilleurs temps.
Mais il était plus facile prendre la décision, que lui accomplir. Sovdep a frappé les citadins solvables d'un impôt sur le total trois millions des roubles.
Les moulins - à vent, à vapeur, aqueux - on réussit à nationaliser, mais les stocks du grain fondaient.
On n'avait rien à moudre plus.
Toutes les institutions administratives se trouvaient sous le contrôle sovdep.
Mais la position restait toujours anxieux, comme a compris
Yerken étant revenu du voyage selon les aouls.
Ils sont restés longtemps longtemps après minuit, et ainsi jusqu'à rien ne se sont pas mis d'accord.
Yerken allait lentement à la maison selon les rues calmes de nuit.
Les fenêtres dans les maisons ont éteint il y a longtemps.
Seulement un s'est trouvé, dans qui il y avait une lumière.
On dénonçait de là les voix, quelqu'un a entonné la chanson, mais ici l'a coupé.
Voici également jusque tard dans la nuit ils s'éternisaient à Omsk, où alors apprenait Yerken.
Seulement les discussions chez eux étaient les autres.
Sur la poésie. Sur la beauté. Sur le courage et l'humanité. Sur les poètes et les peintres, qui deviennent la voix du peuple et ses yeux.
Combien on cassait le pic au nom d'une belle Mona Liza! Le grand Leonardo était amoureux de sa création et ne s'en séparait jamais.
Les autres tentaient d'expliquer sa partialité seulement par l'admiration devant la beauté féminine, l'inclination vers la perfection.
Le peintre en effet, — la personne vivante, et dans sa poitrine chaud le coeur de l'homme.
Mais la discussion, à total, était non sur cela.
Sur la personne triste d'une jeune femme qui a perdu récemment le mari sur l'instant un seul a scintillé le sourire, et pour ce sourire énigmatique déjà quelques siècles les gens se cassaient la tête. Et Yerken cassait, en se rencontrant avec de beaux yeux sombres.
Pour lui-même il a déviné cette énigme. À la vie chaque jour, chaque heure est exceptionnel. Non selon une forme ils sont taillés. Des saules de la vie de la personne la joie non une seule, le chagrin non un seul arrive.
À peine saisissable le sourire sur la personne de la femme
regrettant - voici qu'était l'essentiel pour le peintre, et Yerken ainsi était assuré de cela, comme si le Leonardo lui-même se divisait avec lui par les projets secrets, en créant Mona Liza...
Le pourquoi a souri par le sourire doux éphémère la jeune femme triste?
Les meilleurs jours de l'amour passé à celle-ci s'ont été rappelés?
Ou a scintillé l'espoir du futur?
On ne sait pas, et personne jamais n'apprend cela.
Mais seulement on avait ouvert les nuages condensés du chagrin, et s'est frayé un passage vers elle le rayon terne solaire.
Mais pourquoi à toi maintenant sur l'esprit est venue cela Mona Lisa?» - s'est adressé à Yerken.
De lui-même n'a pas de sens de se cacher:
c'est la jeune fille inconnue qui ont scintillé sur l'instant à côté de la yourte éclairé par une faible flamme du feu, elle, sur la personne chez
qui étaient la peur, et l'espoir, la joie, et le doute, - voici qu'a inspiré les souvenirs d'Omsk sur Mona Liza,sur Djokonda immortelle.
_Chacun, qui écrit - indépendamment du fait, grand il ou petit, - doit avoir Djokonda la sienne.
Il ne connaît pas le nom de cette jeune fille et jamais de celle-ci, peut être, ne rencontrerait plus, mais comme il est bon qu'elle existe, et maintenant
- Là, au bord du lac du Kzyl-môle - se réjouit que l'akyne praticable et Kaysar réussit à partir de la poursuite.
Étant venu à la maisonYerken a bu d'un seul trait le verre
du caillé froid laissé par la maîtresse, et s'est assis vers la table.
Étant venu à la maison, Yerken a bu d'un seul trait le verre du caillé froid laissé par la maîtresse, et s'est assis vers la table.
La Lampe-cinqrègle scintillait à peine, ayant rétréci jusqu'au coin sombre le monde immense, qui contenait à lui-même l'énigme de Mona Liza,
et l'escogriffe le bec-de - lièvre, et une belle jeune fille dans la maison de l'Otar-bay strabique, et la pommette poussée d'Efrem, et les conversations à sovdep sur le pain et l'arme.
-Ne serait-ce que couches, commissaire,- la maîtresse a grommelé après la cloison.
- Tu connais, vous ne donnez pas de nos jours le pétrole...
Yerken rien n'a pas répondu. Il seulement a vissé un peu la mèche et a avancé la lampe plus près.
Dormir à lui on ne voulait pas, au moins il et a passé presque les jours dans la selle. Il connaissait dans lui-même cet état de la réceptivité aggravée, quand les mots commencent à apparaître - un mot après l'autre, et naissent l'image, l'idée, le sentiment...
Apparemment, il écrira de la jeune fille qui a frappé son imagination.
Mais sur le feuillet il par la ligature arabe a déduit "le Pain". Il pensait à ce pain,auquel était sur les stocks,et marchaient côte à côte les gens affamés., il écrivait du pain, et les lignes se levaient sur le feuillet - la ligne après la ligne, et de toute façon, c'était un poème sur la jeune fille peut-être
pour la jeune fille, parce que de temps en temps Yerken s'arrachait et tâchait de s'imaginer, quel personne, quand elle lira voici cette ligne
ou voici celle-ci chez elle sera
la cinqrègle triste a commencé à fumer, quand il a fini sur le pain.
Mais s'arrêter Yerken ne pouvait pas déjà, et la main elle-même a déduit sur un autre feuillet «Le Pleur de la lampe». Les pleurs des lampes scintillant faiblement, s'éteignant, saignées à blanc - demandaient la permission sur le papier.
Dans la porte ont frappé. Une fois, deux, trois... Sur le lit a remué la maîtresse.
- Le commissaire, toi-même, toi vais ouvre. De nouveau, exactement, tes amis. Voici et hier ils sont venu. Dirait pour que non; se baladaient pendant la nuit. Je crains et...
Yerken a passé à la véranda. Que là un tel est arrivé qu'à dans le sovdep ne pouvaient pas attendre jusqu'au matin?
Il a rejeté le verrou et en se dépêchant d'inscrire la ligne née s'est dirigé à l'inverse vers lui-même...
- Arrête! - s'est fait entendre chez lui après le dos.
Il a tressailli de la surprise. Il s'est tourné. Deux armés étaient sur le pas de la porte, avec eux
- Farid aux yeux globuleux, vite il est parvenu du Kzyle-môle à l'inverse à la ville!Dès maintenant il ne tendait pas la main pour la salutation...
- Tu es arrêté!.S'est achevé votre sovdep!
Aux derniers éclats de la lampe chez lui-même dans la pièce d'Yerken a déposé sur la table l'argent pour l'appartement.
Farid, ayant vu les papiers, s'est approché, a pris le feuillet, sur lequel était écrit "le Pain", et l'autre -en inachevé «nous pleurons les lampes».
Il s'est tourné vers Yerken :
- Tu pensais, si s'est enfui du Kzyl-môle, et est parti du tout de nous ?. Voici à toi le pain! - il a mis et lui a montré la nique. «Le pleur de la lampe» ? «J'étais faite naître pour qu'aux gens brille...»
-hé! hé!! Akyne!
Yerken se taisait. Il n'a pas prononcé le mot dès cette minute, comme le cri rude : «arrête!»l'a arraché du monde des vers. De la rue - de loin - est arrivé le coup de feu solitaire de fusil.
Les feuillets avec les vers de Farid a mis à la poche. Bien au moins, les vers ne disparaissaient pas. Yerken tout se rappelait là de mot en mot.
Dans la rue galopaient des selles, par les groupes avançaient les gens armés. «S'est achevé votre sovdep ?»non, tu mens, Farid!
- Marche, commissaire!Un peu de nerf! Au règne de la liberté!
Près de la sortie de la maison le kamcha douloureusement l'a fouetté selon
à la tête non recouverte. Le bout a contenté selon le front, et le sang inondait du filet chaud à lui le gauche oeil, coulait vers les coins des lèvres.
Cela pour la première fois dans la vie d'Yerken était appris par le goût du sang personnel, lequel était salé...
Quelqu'un a osé lever cela pour la première fois à la vie vers lui le kamcha, et c'était le fils de marchand Farid, tel décisif et brave avec la personne sans arme a fait.
Est devenu déjà clair.
La sonnerie des cloches malléable enveloppait la ville.
Du minaret de la grande mosquée sur une principale place sonnait solennellement azan[xxviii].
«À Allah akbar!. À Allah akbar!.» Ils ne contredisaient pas aujourd'hui, а faisaient écho l'un à l'autre - ces voix des ennemis de vieille date,de l'eglise orthodoxe et la mosquée musulmane Il semble, personne cette nuit ne dormait dans la ville.
Le peuple a renversé sur la rue, et un tel attroupement d'Erkeboulan, peut-être, observait seulement ce jour-là, quand est arrivée ici la nouvelle sur le renversement du roi blanc.
Sur la place ont rassemblé beaucoup de détenus,de partout de villes.
Était terrible regarder : sur eux : battus, ensanglantés, bouffis...
Les vêtements sont mis en lambeaux.
Yerken n'est pas venu quelque peu à la tête que lui-même, lui, doit être, a l'air non mieux.
Dans la foule il y avait beaucoup de tels, qui seulement hier arrachaient soigneusement les bonnets, en se rencontrant dans la rue avec
quelqu'un de sovdep. Les propriétaires des moulins et les ateliers des cuirs, les marchands, les officiers -tous eux sont venus sur la
place pour qu'ils profitent du spectacle de la défaite, car ils croyaient, l'ennemi.
Et chacun cherchait à tour de bras, frapper plus fort le prisonnier, frapper de manière dont les dents hors, pour que le sang du nez...
Les gens émaciés crachaient et se taisaient.
À Yerken a saisi par les cheveux le marchand familier et râlait de la fureur, tandis que la sentinelle ne l'a pas chassé pour qu' il
retienne pas le mouvement de la colonne. Mais celui-là a eu le temps - d'emporter quand même la touffe des cheveu, les quelques boutons, rompre le col de la chemise.
Six mois en arrière Yerken environ un mois a demeuré dans l'appartement, chez le marchand, celui-là avait la fille :
la jeune fille molle avec le cou court et les poitrines, comme les cloches sur les églises.Par les yeux de huileux elle regardais tendrement aux hommes, auxquels passaient avec hâte devant, si avec elle se
heurtaient dans la rue. Le marchand fourrait ouvertement la fille non réussie au locataire, répartait à lui du charme et la joie,
qui attendent celui qui liera le destin à sa fille.
Yerken a craché,et déménagé de l'appartement.
Et maintenant le marchand le payait pour l'offense portée.
Yerken se taisait. Il faut tenir ferme, de quoi cela coûtait!
Il croyait, il connaissait, que cela pas encore la fin.
La lutte, la lutte pas pour la vie,mais la mort était encore en avant.
Et la prison par le longueur dans neuf mois et neuf jours - était aussi en avant.
Le capitaine en second Serbov, le monarchiste selon les persuasions, interrogeait Yerken. Sur la table devant lui était un fin élégant kamcha - le stack:
- Toi est bolchevik ?
- Le bolchevik.
- Le commissaire ?
- Le commissaire.
- Et encore, il semble, le rédacteur de feuille ?Il semble!. Pourquoi cela lui semble, quand par tout à
Kara-otkele on sait pertinemment qu'Erkeboulan –
le poète et le rédacteur du journal nouveau de "Tirchilik".
- Oui, moi le rédacteur. Cela non le mensonge.
- Tu fais la guerre pour le pouvoir soviétique ? Tu reconnais que vous avez passé le congrès de district de sovdep ?
- Mais nous ne cachions jamais cela.
-Et parmi ceux qui dispersait le zemstvo[xxix]c'était toi?
- Oui, c'était moi.
- А pourquoi tu contre de zemstvo ?
- Parce que le zemstvo a levé la main sur la fidélité au Gouvernement provisoire et a demandé à délégués de servir à lui. Et nous n'avons pas reconnu ce gouvernement.
- Ainsi... Il est clair. Mais en effet, tu, autant que je sache, et contre la création de la branche de district de l'Alach-horde te produisais. Tu les dispersais aussi ?
- Oui, aussi.
-Mai pourquoi, laisse me dire, tu te produis contre les tiens?
- «contre les miens»... Qui au moins comprend un peu l'essentiel des événements, celui-là ne dira pas ainsi... Alache sont non les miens. Les nationalistes imaginent que la liberté pour eux créera le khanat, où pour les bays seraient encore plus libre, que plus tôt ? L'Alach-horda est pas leur parti. À moi avec eux non en passant. Moi contre eux.
En agitant avec le stack, en produisant les anneaux de la fumée, en jouant le porte-cigares massif, de temps en temps en se renfrognant,pendant trois heures il a été interrogé par ce beau capitaine en second.
Persuadait, menaçait.
Trois heures il y avait devant lui un poète,sans céder à la persuasion, sans s'effrayer les menaces.
Les serbes le regardait énigmatiquement.
Ces jours devant lui ont passé les dizaines des gens.
Il y avait tels,
Qu'en premier interrogatoire perdaient tout le courage, se brisaient et disaient même plus qu'ils savaient.
Celui-ci - d'après les autres.
Mais l'envoyer au poteau ne conseillent pas à la fois. Il, vous permettez, le poète!
Et dans cette steppe sauvage - le poète quelque chose comme vivant sacré. Son meurtre peut provoquer le mécontentement chez les Kazakhs
locaux, les repousser d'eux d'alachardinces, qui et sans celui-là se servent pas trop de l'influence.
Mais peine avec cet Erkeboulan, en apparence,il faut beaucoup!
_ Tuer - tu ne tueras pas, mais le serrer on peut et il faut.
Les serbes étaient provoqués par l'escorte et a ordonné ici, chez lui dans le cabinet, mettre le détenu aux fers.
- Je souhaite... ayant souri, le capitaine en second a dit,
- je souhaite que les chaînes se trouvent solides et n'ont pas été usés jusqu'à tes jours...
- Et moi... a souri aussi à Erkeboulan.
- Ce jour-là, quand les chaînes seront sur vous, trouvez que je vous ai souhaité le même.
Les prisonniers logeaient dans la chambre froide, sur le plancher en pierre.
Ici, où pourrait se placer avec peine la personne vingt-trente,
se trouvait d'eux plus de cent.
Les fers étaient non sur tous.
Sur tous les fers ne suffisait pas simplement, et les autorités de prison, et le capitaine en second Serbov les réservaient pour spécialement peu conciliant.
Encore dès les temps royaux dans la prison se sont gardés
les blousons de prisonnier et le pantalon de rayé, noir avec jaune, la toile grossière.
Yerken s'examinait incrédulement dans ces vêtements.
Il était prêt à donner de la tête contre le mur à l'idées sur les humiliations, par qu'il est été soumis par les ennemis. Mais il se retenait soi-même.
Orel en prison, le lion souffrant dans le carreau dans les chaînes de fer, - les en effet, sont prêts à échapper aussi chaque minute dans la volonté.
Il se reprochait amèrement lui-même et les compagnons pour ce qu'ils ont permis de préparer et faire cette révolte contre-révolutionnaire.
Dans la chambre parfois éclataient les discussions orageuses, quelqu'un tentait de rejeter sur quelqu'un la responsabilité de tout l'arrivé.
Dans tels cas Yerken disait que sont coupables - tous.
Il n'y avait pas expérience. La prudence a refusé.
N'ont pas manifesté le vigilance révolutionnaire. Ils tenaient les conversations comment obliger les marchands à ouvrir les boutiques, où obtenir l'arme pour le bataillon, les officiers cachés jusqu'à un certain temps et les alachardinces ont réussi à les prendre au dépourvu.
Par les minutes Yerken n'espérait pas déjà que reviendra un jour à cette vie, qui restait après cette oubliette odieuse!Quelquefois,incapable de plus souffrir à la place, il a sauté, a sursauté, a saisi par la grille de fer et s'est rétabli vers la fenêtre.
Il a vu seulement un petit terrain - les pelouses vertes et le ciel bleu clair au dessus de, et même les verges grossières rouillées de la grille ne pouvaient pas abîmer cette verdure vivante et l'azur transparent.
Sans s'arracher, regardait le terrain Yerken, et il semblait que sur toute la lumière est absent
d'un plus beau coin. Le sot!.
Combien de telles pelouses il rencontrait à la vie et passait indifféremment ou passait devant. Il lui semblait, il par la poitrine sent la fraîcheur de l'herbe... Mais c'était l'humidité du mur de prison.
Le poète enchaîné maintenant plusieurs fois par jour se serrait contre la fenêtre, sans craindre que quelque garde peut attaquer à lui - approcher vers les fenêtres est plus strict il était interdit, c'était une des violations les plus graves du régime de prison.
Il connaissait déjà :quotidiennement, presque quand et quand, selon la pelouse l'oie blanche avec la litée considérablement se produisait.
Les oisons - encore maladroit, avec le duvet jaunâtre tendre, en passant ridiculement, en tiraillant les queues, duraient cérémonieusement pour la mère et l'arquebuse.
Ensuite ils sont devenus plus indépendant, et les mères déjà fallait parfois pincer de quelqu'un d'eux une fois ou deux fois pour obliger à obéissent.
Si Yerken tournait la tête à gauche - là, les pas de tout à cent cinquante, la route conduisait en long riviérette. Selon lui sur les boeufs, sur les chevaux, sur les calèches, embarqué par le fumier séché, du matin au soir avançaient les citadins.
Dans la chambre on étouffait, humide.
Seulement tous les matins au seul guichet on dénonçait le vent frais de steppe. Parfois se faisait entendre la roulade de l'alouette.
Le coeur à Yerken commençait à serrer, et il, faire la sourde oreille aux fers grondant, se jetait vers la fenêtre; s'enlevait... Peut être, et il était stupide de risquer de recevoir la balle au front.
Mais il non dans les forces refusera ces "promenades" risquées, comme il les appelait.
Depuis quelque temps il remarquait sur la pelouse pleinement jeune fille elle se promenait ici, en regardant fixement les fenêtres de prison. Le gilet noir de peluche, la robe blanche de soie avec les volants, sur la tête - la toque noire étonnamment seyant vers elle ornée des plumes du grand duc, mis il y a un peu de travers. Grande et mince...
L'ayant vu pour la première fois,Yerken a perdu le repos.
C'était elle n'est-ce pas?Si non cette jeune fille vue dans l'aoul par le soir sombre anxieux ? Elle ou pas elle?À vrai dire, sa personne était mal visible d'ici. Les yeux, comme le cassis,le poète a inventé les cheveux noirs soyeux, les traces de la tristesse sur la personne propre - toute cela, tout a achevé de dessiner dans l'imagination fougueuse.
Et en tout cas Yerken n'admettait pas l'idée que ce peut être quelque autre jeune fille. Non, celle-ci, qui dans la maison chez Otar-bay écrivait la note : «Agha, ces gredins vont vous tuer».
L'écriture ne se renforçant pas semi-enfantine. Tuer - les baguettes et les crochets encore plus incertain, voit, comment tremblait chez elle la main, quand elle déduisait ce mot terrible contre-nature,Yerken, ayant serré les dents, a tiré péniblement sur lui-même la grille de fer, mais de grosses verges tétraédriques ne cédaient pas.
Les prisonniers se sont inquiétés :
-Qu'est-ce que tu foutais là? Que s'est passé ?
Yerken de rien n'a pas répondu.
Qu'il pouvait leur dire, a réussi à expliquer quoi que, qui cette jeune fille et qu'elle pour lui signifie.
Les jours duraient péniblement longtemps,mais les nuits étaient encore plus terribles,et quand on réussissait à s'oublier par le rêve anxieux, le rêve s'interrompait bientôt du cliquetis des fers, des coups sourds sur le plancher par les crosses.
«A-d-ieu, ca-ma-ra-des! »Parmi ces voix changées par le pressentiment de la mort prochaine, Erkeboulan a reconnu une fois la voix d'Efrem, celui-ci, à qui ont poché l'oeil, et les amis le consolaient qu'avant le mariage vivra.
Efrem en effetallait bientôt se marier avec la fille d'ouvrable du fondoir. Disaient que les lièvres blancs en banlieue, après le bois, où plus tôt se réunissaient les mayovkas[xxx] secrètes fusillent.
Et il n'y avait pas déjà rêve, et les idées revenaient de nouveau, comment ils ont admis pour que la gradaille les ait pris au dépourvu, et où maintenant Kaysar,si on réussit à se cacher Karim.
Parfois sa colère, la haine, et l'amour demandaient la permission aux vers, et les lignes commençaient à se former dans la tête.
Il écrivait de la liberté, qui était privé, sur ce qu'il y a d'aimer peu de liberté,
il faut encore et savoir se battre pour cela.
Le temps dans la chambre de torture rampait, est exact le char attelé par bœufs. Erkeboulan parvenait une fois d'eux au Kara-Otkele du bourg, où pour lui il n'y avait pas chevaux. Quelque variété était apportée par les interrogatoires.
Tout était plus persistant que les serbes, en effet, et, en voyantl'inutilité des efforts, le stack déjà usait, et non seulement jouait leur et il est significatif par-le : «Peut être, et tu veux crier- adieu, les compagnons? Ton obstination amènera à cela finalement» Mais dans la cabine Yerken racontait de cela facilement, est spirituel, - comme enrage des serbes, comme d'escorte demande à Yerken - "le commissaire" pour qu'il intercède pour lui,
quand les rouges de nouveau viendront...
Après les plusieurs interrogatoires se taisaient neutralisé, ayant accroché les mains à genoux et ayant fixé les yeux à un point. Yerken, connaissait que l'on ne peut pas désespérer,mais seulement lui-même savait, de quoi se trouve - se dominer et amuser les compagnons selon la cabine par les récits de Serbove.
Ayant mis sous la tête le coussin bourré de la paille pourrie, le poète s'est installé à la dure.
Et soudain - a sauté et s'est jeté vers la fenêtre, bien qu'examine seulement la pelouse et la route.
Voici maintenant, à ce moment-là, il y avoir l'apparaître.
Comme il a deviné! À peine il s'est serré contre les verges de fer, sur le terrain devant la prisonsur le terrain devant la prison il y avait une jeune fille. Mais aujourd'hui elle n'était pressée de manière d'habitude.
Pourquoi s'empresse ainsi ? Où ? Comme regarde aux fenêtres!
Et qui est cette femme en kamichok[xxxi], qui a accouru à celle-ci, a saisi sévèrement par la main et a commencé à prononcer.
La jeune fille ne la répond pas. Il semble, elle n'entend pas.
Reste - regarde les fenêtres de prison. Sur complet au galop a assiégé à côté de la femme du cheval more quelque zighit.
Il a agité les mains, en montrant en arrière, quelque chose disait agitato. Mais la jeune fille lui n'entendait pas, et de rien ne lui répondait pas.
A jeté un regard circulaire encore une fois sur les fenêtres et quelque peu à la fois s'est attristé.
Et lentement, comme en disant adieu pour toujours à quelqu'un, s'est tournée vers la femme en kamichok.
Les doigts chez Yerken se sont desserrés, et il est tombé sur le plancher en pierre, et est sourd ont tinté les fers.
Les prisonniers se sont alarmés
- Qu'est-ce que c'est ?.
Dès ce jour il pendait deux fois plus longtemps sur la fenêtre, mais plus et n'a pas vu la jeune fille.
Est arrivée l'automne. Les oisons sont devenus tout à fait grands et n'avaient plus besoin de la tutelle maternelle.
Ensuite et la neige est tombée, ont frappé les froids coupants de l'arc. Et la jeune fille dans le gilet de peluche et la robe blanche de soie? Quoi qu'elle était habillée maintenant?Yerken en pensait en réalité.Et dans la nuit elle venait à lui, une telle, comme il la voyait une fois, près de la yourte, au bord du lac du Kzyl-Môle, et un tel, par quel elle se promenait en long des murs de prison, venait présent et inventé.
Elle ou pas elle? Qui elle cherchait ici ? Est-il possible?
Est-ce qu'elle le cherchait? À cette idée sur la rencontre n'ayant lieu pas, qui devrait lui porter bonheur, le coeur du poète se remplissait de la douleur. Et il connaissait, il sentait que jamais ne guérira pas déjà de cette douleur.
- Quand je me délivrerai seulement de ces vagabonds!.
Otar-bay a prononcé cela au lieu de la réponse à la salutation polie, a prononcé hautement, ne se gênant pas du tout que le voyageur est entré déjà à ota et s'est arrêté irrésolument devant la porte.
C'était l'homme grand des années la pie,
il a acquéri la barbe fournie, dans la barbe, à la lumière vive de cinquante linéaire le lampe,
on pouvait examiner les nervures en argent.Le printemps se trouvait froid, et il était dans la pelisse vaste, sur la tête le bonnet aux oreillard «koulachkin», sur les pieds - les bottes encombrantes gonflées d'humidité attachées d'en bas avec les ficelles et les courroies non tannées.
Les vagabonds de nos jours a divorcé en effet beaucoup.
La famine ont chassé de ceux-ci des foyers natals, et ils sont allés par le monde. Mais tous ces désastres, comme on voit, contournaient par la partie du maître de la yourte.
On voit, kaperatip - ce non cela que quelque cocher privé de droits, par qui malmene qui veut.
Les nouveaux coussins et les couvertures, nouveau du feutre dans la yourte. Ancien il y avait ce, lequel Akbala ne s'entendait pas bien avec le mari.
- D'une bonne vie comme si deviennent les vagabonds! -elle pour seulement lui dire quelque chose à l'inverse a dit.
- que se moquer et grogner, appellerait la personne vers dastarkhan.
Elle a gardé le silence un peu, en lui donnant la possibilité - maître du logis - corriger quoi que l'inadvertance et manifester l'hospitalité.
Mais il n'a pas pensé se servir de cette possibilité.
- S'assoyez, - a dit Akbala. - Buvez du thé.-elle lui a tendu le bol.
- Sur le dasrakhan, comme le troupeau devant le coucher du soleil, se répandaient kurt[xxxii], irmichek[xxxiii], étaient grands morceaux de la galette fade. Devant Otar-bay blanchissait le morceau de sucre.
À côté d'Akbala, à côté de la femme âgée étant assise au voisinage de la place honorable, le voyageur du sucre n'a pas remarqué.
Il s'est trouvé non avide jusqu'à la nourriture, ne s'est pas jeté, comme on pouvait attendre, sur le pain et l'irmichek. Seulement un petit morceau de galette a mangé et a bu seulement deux bols du noir. .
- Merci...
Il disait d'une manière saccadée, court. D'abord il craignait dont à Otar-bay ou à Akbala l'apprennent selon l'extérieur.
Mais si lui maintenant, un an après, on réussirait à jeter un coup d'oeil au miroir, il et n'a pas appris soi-même. Et la voix ?
La voix sonnait aussi d'une voix enrouée. Neuf mois et neuf jours dans la prison, et ensuite voici - trois mois des errances selon la steppe. Par un chemin de détour pour éviter les rencontres dangereuses pour lui avec les kolchaciennes et alachardineces, il allait au sud, où, d'après ce qu'on dit, se sont affermis les Conseils.
- Penses-tu? - A décidé de violer le silence Otar-bay-doit être, et tu vers nachagi[xxxiv] as été donné ? Tous, qui a oublié l'odeur du foyer natal, disent même - vers nachagi je vais...
-Mais vous avez deviné. Je recherche en effet les miens nagashis.
- Eh bien, je pense, ils - tels que ne connaissent pas, où mettre bien, hein?
- À propos du bien je ne connais pas. Mais dans ces bords, j'entendais, ne souffrent pas de faim.
-Ah! Tu entendais... Disent... a ricané méchamment Otar-bay.
- Se sont dispersés selon la steppe les vagabonds de prison - uns les nachagis cherchent, les autres vers jien[xxxv] s'établissent...
_ Tu travaillerais mieux, plutôt que de vagabonder!
Il a mordu avec éclat du sucre.
- Et vous n'est pas besoin du travailleur?
- Pour moi tout l'aoul travaille.Le vagabond pourquoi?
- Je par le cocher peux...
- Pour que sur le chemin égorger le maître et voler ses chevaux?
Tu connais, qu'est-ce que c'est kaperatip?Je les nourris, les gueux.
- Tu nourris! - ne s'est pas retenu Akbala._ gloire à allakh que chez toi toi-même ne s'avéra pas les parents affamés. Ou ils près de ta yourte crèveraient avec la famine.
-Allakh m'a délivré, par contre chez toi soit.Une telle est assis voici sur mon cou...
Par un oeil il vrillait la femme mais par l'autre - a fixé les yeux sur
la femme âgée, qui en se taisant était assise pour dastarkhan, mais aucunes régalades ne touchait pas, seulement du thé a bu.
Dans la voix d'Akbala sonnait le mépris non dissimulé :
_Ne s'inquiète pas.
Elle ne va pas mourir de faim.
_Je la nourrirai de sa part, et tu es engagé à me nourrir. La mère a oublié aussi l'odeur du foyer natal, parce que chez la fille va. Chez cette fille, qui tu avec tes larbins as vendu en mariage.
_Aklima-jan portera à bras la mère! Mais toi ne touche plus, n'ose pas toucher par sa langue ignoble.
Il est bon que maintenant personne d'eux ne tournait l'attention au voyageur, personne n'a pas remarqué, comment a tressailli chez lui la main tenant le bol vide, ont brillé ses yeux étant jusqu'à cela tout à fait indifférents.
En effet, si cette femme âgée - la mère d'Akbala, et elle va chez une autre fille... Donc son rêve était appelé par Aklima!
Adieu, Aklima!Il déjà une fois lui disait adieu.
Et maintenant cela-pour jamais..
Il s'est obligé à écouter, en espérant encore entendre quelque chose sur Aklima,il s'est obligé à écouter, en espérant encore entendre
quelque chose sur Aklima.
Akbala a oublié la présence de l'étranger. Après chaque nouvelle sa moquerie âcre, irritée adroite le strabique baissait la tête tout plus bas et plus bas, il s'est noyé simplement dans le flux des mots terribles.
Mais elle enivrait par la haine chez lui et par la possibilité d'exprimer cette haine tout, jusqu'à la fin.
Mais voici Akbala s'est arrêté pour un peu se reposer.
Otar-bay, humilié et piteux, a gardé le silence un peu,
Et ensuite, on voit, on lui voulut arracher le mal au moins
sur quelqu'un:
_Eh, qui êtes-vous? - Il s'est adressé vers marcheurTu a le belete[xxxvi]?
_Si il y a - montre.
- Et s'il te montrera le belete, que tu dans cela belete analyseras ?
- On avait levé de nouveau Akbala.
- Je n'analyserai pas, ainsi je comprendrai selon l'aspect que pour belete...
- Et toi-même, toi qui un tel pour que des gens contrôler ? Peut être, - toi est d'aoul ? Ou ourendik[xxxvii]?
- Moi - kaperatip.Et qui est plus fort – caperatip ou ourendik, c'est encore inconnu.
_ Quel est tu kaperatip! Toi malheureux obéissant pirkanchik Myrzakel'dy de volost et le hadji Kal-jan.Pirkanchil,pirkanchik, voici qui est toi! Le mot tu n'oses pas dire. Ils à eux-mêmes prennent la peluche et le velours, le sucre, le thé,et à toi, au con, donnent l'indienne et mampci[xxxviii]. Comme au chien l'os.Les meilleurs morceaux laissent,et à la prison pour eux, pour tout,tu t'assoiras.
Otar-bay ne s'est pas trouvé que répondre, c'est pourquoi a gaspillé à la femme par le bol. Mais a gaspillé prudemment pour ne pas la casser sur le samovar.
- Vous m'en direz tant!que vous êtes rongés?
- Est entrée en conversation la mère d'Akbala. - je serai peu de temps à vous à la peine. Demain je partirai chez Aklima-jan, dans les gens transmettait pour que je l'aie pris à la maison. Pleure, dit-on, le pauvret, se consume de chagrin...
Tout était clair... Seulement dans quelles mains maintenant souffre et se jette, et se déchire sur la volonté, comment un grand oiseau blanc, Aklima? Que peut être amer du destin de la jeune fille qui est tombée
entre les griffes
des chacals de steppe, aux griffes des oiseaux charogneux ?
Tout était clair. Un est inconnu seulement.
Cette jeune fille que venait au mur de prison et quelqu'un cherchait à cage à poules des fenêtres, - c'était Aklima? Ou l'autre? Quelqu'un sur le cheval crâne more l'a emporté alors!Et même si cela était elle.
Quel maintenant la différence?Là, où flambait le feu, il y avait des cendres. Là,où florissait l'arbre, sont les feuilles jaunies traînées dans la boue.
Là, où il y avait un portrait de Djokonda, le badigeonneur ivre a travaillé comme le pinceau.
Il ne pouvait pas plus se trouver dans cette maison.
Il devait rester tête à tête avec le chagrin, dans qui personne non dans les forces pour le consoler et qui personne ne pouvait diviser avec lui,
- Merci... Je pars. Adieu, - il doucement a dit et s'est dirigé était vers la porte.
- Apyrpaou! - s'est exclamé avec étonnement Akbala.
- Où vous à une telle noir? La nuit sur la cour. Les loups...
Mais est plus terrible que n'importe quels loups à la steppe - les brigands. Restez, se déplacez.
- Eh,eh! Au loup moi-même la gorge morderait.
Et au brigand - quel capture de moi.
Il a regardé encore une fois à Akbala en a pris congé par le regard et est sorti.
Akbala a tressailli. En effet, il y avait déjà tel... l'année dernière - ici dans la yourte, de cette place - lui a dit adieu silencieusement un bel homme-poète aux yeux noirs, qui a rejeté par un seul coup Tokai.
Non, cela ne peut pas être? À Tokai était vingt quatre, vingt cinq.
Mais à cela des pies, il y a moins de. Mais les yeux, les yeux!
Un peu étonné,un peu riant, un peu triste. Ses yeux.
Mais était audible, celui-là ont mis en prison et ont fusillé au point du jour.
Mais peut, par quelque miracle s'est sauvé?
Alors il est clair, pourquoi il a blanchi... Dieu veuille!,fasse le ciel que ce le soit. Disparais Otar-bay par son bien volé,ses coussins et son bétail. Disparais de son kaperatip! Disparais tout!.
Fasse le ciel seulement que cela soit lui, le poète, la voix de steppe.
Mais le voyageur est sorti, est resté debout pour que les yeux s'habituent l'obscurité. Au contraire, à la même place, il y avait une grande yourte.
Mais de l'orifice de fumée, comme alors, n'ont pas volé les étincelles.
On n'avait personne à rejeter le rideau. Il n'y avait pas feu, il n'y avait pas cette belle personne, qui ce feu sur l'instant a enlevé à l'obscurité.
N'était pas une série et Kaysar, qui dirait : «Akyne-agha... Nous irons, nous irons,Akyne-agha». Qui connaît, où est maintenant Kaysar.
En s'appuyant sur un gros bâton noueux, il s'est mis en route.
Dans l'aoul soupiraient bruyamment les vaches endormies. Les chevaux entravés craquaient non loin de l'herbe, renâclaient. Après lui est paresseux, plus par devoir, aboyaient les chiens dérangés.
Il n'y avait pas ici Aklima, et l'aoul lui semblait vide et froid, comme le cadavre.
„Les idées amers'' étaient ses inséparables satelliteets dans trois jours, quand il s'approchait à l'aoul, où comptait recevoir l'aide pour parvenir, enfin, au sud, chez les siens. Il y avait un matin précoce.
Selon un haut ciel bleu clair nageaient les nuages faciles.
Un petit jambage des chevaux ont amené sur l'abreuvoir après de nuit engrais.
Le gardien de chevaux sur roux à courte queue la jument-troistrou de vol,
en agitant le long kourouk coinçait dans l'eau des poulains.
Soit que les poulains craignaient l'eau, soit que leur plaisait simplement le jeu avec le gardien de chevaux, mais ils couraient le long du bord,
hennissaient fin, et il fallait d'un grand travail les obliger descendre à la rivière.
Le gardien de chevaux a remarqué au bord de la personne à pied, qui serrait d'lui-même les bottes, en allant passer évidemment la rivière à gué.
- Eh!,he!La barbe noire! Ne se déshabille pas! Je te transporterai maintenant. Tu que, as perdu la boule ? Ou tu tel fier que ne veux personne demander rien?
Le barbu, sans lui répondre, a tendu de nouveau la botte, a attaché avec les courroies la semelle, mais le pouce et resta à sortir à l'extérieur.
Le gardien de chevaux a dirigé chez lui la jument rousse.
Le voyageur a pensé d'abord que s'est trompé, ne peut pas être, et maintenant a vu que - non.
À califourchon sur la jument rousse était assis Kaysar.
Mais à lui garçon n'a pas appris.
- Ou que tu vas?,le vieille cloche?
- Quelque part doit être ici le mien nagachis.
- Et qui ?
- Son nom est Bayken.
- Akylbek Bayken ?
- Oui, oui! Lui!
- Oy-bay! Oui moi par le gardien de chevaux dans son aoul, au moins par la génération d'une autre place.Mais cet aoul qu'est visible au delà de la rivière, est son aoul et se trouve.
_ Et si les maisons de même Bayke ? S'il est sain ?
_ Sur! Et encore comme est sain!
Vers grand toy se prépare maintenant. L'année d'avant est morte sa femme, et il à la femme a pris la jeune femme...
Donc elle pour lui a fait naître le fils. Bien, mon vieux. Je me réunissais tout juste à l'aoul. Je te donnerai maintenant le cheval.
Autrement Bayke écorcherais vif de moi...
_ Mais comme t'appellent, le garçon ?
_ Moi ? Kaysar. Le bolchevik Kaysar... L'année passée j'avec un poète, avec Erkeboulan, ai été donné au Kara-otkele. Depuis ce temps-là m'ont surnommé le bolchevik.
_Et tu au Kara-otkele dans le parti es entré ?
_Eh mais!Quel là! Un jour,-est absent - du demi-jou -le sous-chef était dans le journal, chez Karim.
En fait c'était pas il mais ce poète m'a défini sur le travail.
C'est une longue histoire,agha. J'après vous un jour la raconterai, si voulez écouter.
Kaysar n'a presque pas changé pour cette année. Se sont faites entendre un peu chez le garçon les épaules, la main est devenue plus grand.Mais bien le même ingénu,un peu turbulent... En général les gens dans les aouls ne changent pas, - dix ans passera, mais tu les rencontres dans la même pelisse usée, dans le même bonnet, et tu tiens la conversation,quasi s'est séparé hier.
Sur le tantôt Kaysar est revenu,en conduisant dans le prétexte du beau cheval chaud clair-bai avec le chanfrein blanc.Le cheval était sellé.
- Accepte,agha! Peut être,a entendu? C'est le coursier célèbre, le plus célèbre coursier chez Baeke.
- Pourtant il connaît dans la circonscription des meilleurs chevaux et en est fier, comme ceux lui appartiennent.
Trois jours allait selon la steppe Yerken en tête à tête avec son chagrin. Maintenant,ayant senti à peine sous soi-même le cheval, s'est transfiguré.
La pelisse étriquée frottée sur lui était même.
Le maintien est devenu l'autre. Chez lui se sont redressées les épaules, le poète s'est secoué, comme un jeune aigle royal avant le décollage,et si Kaysar l'a remarqué à ce moment-là, à lui et à la tête n'est pas venu dire -mon vieux.
_Ils ont passé sur ce bord - Kaysar chassait le jambage à l'aoul, est arrivé le temps attacher les poulains pour que l'on pouvait traire les juments.
Bai nageait, en gonflant largement les narines, et a posé le pied à terre - et est allé au grand train à la fois, en concernant à peine ses sabots.
_Tu paries de et bai! Ce n'est pas pour rien que s'en vantait en vain Kaysar, non appelait en vain comme son frère du vent!
Yerken on fut obligé de retenir le cheval pour que le garçon puisse le rattraper.Kaysar est allé côte à côte, et bai maintenant ne se dépêchait pas de dépasser la jument enjouée rousse,ceux
rôdaient côte à côte, et Kaysar racontait :
- Vous, doit être, ont entendu sur Erkeboulan,agha?Le poète célèbre.
Chez nous chacun connaît ses vers.
Particulièrement les jeunes filles l'en raffolaient.
Au moins en secret, au moins à la porte, au moins à la fente à la yourte, - pourvu que par lui sur lui jeter un coup d'oeil.
Aimait sur le dombra jouer.
Est assis,les yeux chez luibrillent, et les doigts - tagada, voici comme celui-ci bai sous vous. Mais bay ne l'aimaient pas, il les ennuyait beaucoup par son vers, et encore - par les discours se produisait dans les aouls.
Tuer voulaient une fois, chez nous dans l'aoul du Kzyl-môle.
Pour ce qu'il disait la vérité.
- Il toi au journal,on disait, cela a arrangé.
Mais pourquoi tu as laissé ce travail ?
-Oh, allakh! Est-ce que je jetterais moi-même?
Sous-chef je suis devenu au soir, mais le matin le journal ont détruit.
À moi une fois- un autre lointain selon la nuque ordonnaient de nettoyer.
Ils cherchaient Karim, mais n'ont pas trouvé.
- Et ce poète ?
- Lui ils, selon le malheur, ont arrêté. Dans la nuit ont pris, à la maison. Tenaient longtemps dans la prison. Uns disent - l'ont tué.
Il leur a dit rien,voici ils et l'ont fusillé suis, où tous fusillaient, après le bois.
Mais j'entendais l'autre. Comme s'il réussit à courir.
Comme si, quand fusillaient, Yerken est tombé - pour une seconde plus tôt, que se sont faits entendre les coups de feu.Prétendumentl luimarche quelque part à la steppe, pénètre chez les mêmes bolcheviks, comme lui-même. Seulement je pense, le mensonge cela.
S'il était vivant, nous connaîtrions ses nouveaux vers.
Et nous n'entendions pas les nouveaux vers.
- Peut-être, maintenant peu lui importe, - il a répondu - Mais s'il est vivant, entendrez absolument.
Alors qu'est-ce qui s'est passé avec toi ensuite?
- Comment ensuite... Errait selon les rues, comme le vagabond.
De son aoul j'ai détalé, là-bas je ne pouvais. Alors où aller ? Heureusement, j'ai rencontré dans la ville Baeke. Je ne connaissais pas, qui est lui. Il m'a nourri. Ont lié conversation. Il s'est trouvé l'ami de ce poète,de Yerken.
_ M'a pris voici chez lui-même. Je pâts ici les chevaux, Où,ou que tu vas? Toujours celle est une telle folle! Où est tu!
Kaysar est allé au grand train à la poursuite à la jument pie et l'a enveloppé chez les autres chevaux.
Le jambage est entré dans l'aoul, les juments se sont dispersées. Les gosses d'aouis ont commencé à poursuivre les poulains pour les attraper et attacher.
À côté d'une grande yourte au milieu de l'aoul il y avait un homme âgé.
Il regardait fixement au cavalier, qui était assis sur son cheval.
Souyunchi[xxxix], Bayeke, souyunchi! - de loin a crié à lui Kaysar, dans cela il resta le même Kaysar, à lui faisait le plaisir - apporter aux gens la joie. votre parent est venu!
Yerken a sauté du cheval, a jeté le prétexte et s'est empressé chez le vieillard,lequel en accédait aux désirs vite, ayant mis les mains.
Les hommes se sont embrassés.
- Le proscrit, mon chéri, - disait doucement Bayeke, sans le livrer, - Comme s'est alangui selon toi! Où tu disparaissais ainsi longtemps, mon Yerkech?les yeux de ton vieillard s'embuèrent de larmes en t'attendant. Je connaissais que tu viendras. Si tu es vivant, tu ne passeras pas devant la maison ton Bayeke. Tu vois , je ne me suis pas trompé.
En neuf mois et neuf jours dans la prison d'aucun larme n'a pas laissé tomber Yerken. S'est serré le coeur du poète, quand il a appris sur le triste sort, qui a compris Aklima, mais en ce cas il a retenu les larmes. Mais ici le coeur n'a pas subi. Il n'avait pas honte des larmes. À côté de lui il y avait un ami.Bayeke tapait tendrement d'Yerken sur le dos, selon les épaules,il disait quelques mots. Il était simple le vieillard d'aouliene, mais il connaissait que le poète il faut parfois voici si amicalement encourager.
Et alors s'adoucit son âme. Le poète devient tendre et mou, comme le plomb fondu. À vrai dire, de ce plomb on peut couler et la balle pour la rencontre des ennemis.
-Je vois, je vois... répétait Baykene. - je vois que tu t'es ennuyé du vieillard minime. Et j'en effet, étais venu chez toi, au Kara-otkele, oui, étais venu.
Mais les gredins à la prison ne m'ont pas lancé! Là où m'aller a rejoint avec Kaysar, Eh bien, bien, bien, se calme... Alors toi, Kaysar que? Ainsi jusqu'ici tu ne l'apprends pas, chiot stupide? Toi regarde, Erkech, voici le con,n'est-ce pas?
Kaysar devinait vaguement, qui est ce barbu.
Il se rappelait, chez qui au Kara-otkele le vieux Baykene l'année passée venait. Ils alors racontaient tout le chemin l'un à l'autre sur Yerken. Ayant appris, enfin, à qu'il a donné le cheval sur ce bord pour passer dans la rivière, Kaysar est descendu de la selle, s'est jeté vers lui.
- Erke-agha!
_Doucement.Allons à la yourte. Il faut être plus prudent, - a dit Bayken, en regardant tout autour de tous les côtés.
À côté des yourtes il y avait des trépieds, et des chaudières faisait tomber épais la vapeur. À côté d'eux se souciaient les femmes, s'agitaient et faisaient du boucan les enfants. Et les gosses est plus aînés, ayant attrapé les crabes, galopaient entre les yourtes. Quelqu'un des adultes, ayant livré les juments et ayant attaché les poulains, regardait à l'écart de la yourte de Bayek, et deux hommes se dirigeaient de loin vers celle-ci pour saluer le visiteur.
- Tu m'as appris, Bayeke, peuvent apprendre les autres... A ditYerken. - tu es droit, il vaut mieux que je se cache des yeux...
Dans la yourte Bayken a dit :
- Aujourd'hui chez moi de celle-là. Le fils est né chez un tel vieillard, comme moi. Le papier,Yerken, est venu. Te recherchent. Nous devons bien penser, comme te cacher. Et pour le moment... Kaysar! Tu connais qui est notre visiteur?
_Le maître du logis, nous devant celui-ci nous arrêtions l'année passée au Kara-otkele.Il, misérable, est tombé malade dans le chemin.
À lui mettront maintenant le lit. Il se détournera vers le mur, sera et être malade.
Yerken a eu le temps de se coucher et se couvrir à peine par la pelisse, comme dans la yourte il y avait déjà des gens. Chacun avait une question: qui est un tel visiteur de Bayken, d'où par la génération et où se dirige.Baykene à tout répondait, comme se sont mis d'accord.
Yerken était, ayant couvert la personne par ouchanka, buvait une gorgée le koumis d'un grand bol mis à côté de lui, et, quand quelqu'un des visiteurs passait à la yourte, est très naturelgémissait. Être voici ainsi, en simulant le malade, quand tu étais longtemps privé des gens, quand tu te cachais longtemps, а faisait du bruit en dehors et se séparait par celle-là, était le vrai tourment.
A venu Kaysar :
-Akyne-agha!. Voici vous regarderiez! La lutte va... Abekaie a saisi Bayseke, a enroulé, a tourné - et c-o-mme le gaspillera sur la terre!Le miserable même se lever n'a pas pu aussitôt. Abekaie a reçu la victoire. Voulez encore le koumis, akyne-agha ?
- Encore le koumis...
Joyeusement chez nous aujourd'hui, il y a longtemps n'était pas ainsi. À bayge celui-là participe par le corbeau râlant. Se rappelez, Erke-agha ? Chez lui deux trous sous les souris, il dans eux respire plus fortement. Par le corbeau aujourd'hui par le premier viendra. En effet, Bayeke bai avec le chanfrein blanc ne lance pas. Lui le maître de toy. Il ne faut pas, incommodément.Et il y avait voici un désarroi, n'est pas ? La viande voulez ?
- Donnes la viande.
Était audible dans le mur de feutre, comme souffre sur les laisses bai avec le chanfrein blanc, comme est tourmenté que ne l'acceptent pas à baygi, et comme il veut prouver à tout qu'il n'y a pas ici de cheval, qui réussirait à le dépasser.Alors Yerken - s'imaginait mentalement, quel il les chansons a chanté, si pouvait à tout, sans se cacher, prendre aux mains le dombra. Il leur montrerait, - comme c'est absent chez lui des nouveaux vers!.
Est venu de nouveau Kaysar.
- Eh j'aussi, sur le oreille- rousse, participerai... Sur tout le galop la pièce de la terre je prendrai par plusieurs, si Dieu le permet, les nez donnera au matin!. Du thé voulez ? Donne vous du thé,akyne-agha ?
- Donne du thé.
- Bai derrière le mur a henni avec indignation. Aucun des chevaux passionnés par bayga[xl], cela n'a pas répondu.
Quand s'est assis le soleil et les visiteurs sont partis, Bayeke et encore six ou sept hommes sont entrés dans la yourte. Excepté le mollah, tous étaient les habitants de cet aoul. La cinqrègle de Bayeke a mis plus loin du malade karaotkels pour que la lumière ne lui fasse pas mal aux yeux.
Le mollah avec noir takiye[xli] sur la tête trônait à la place honorable. Bayken s'est adressé poliment à lui :
- Molda-eke, nous vous demandons de donner le nom à ce gamin, le gamin, le coupable de toy[xlii],à qui allakh a envoyé comme la joie au vieux père.
-Eh, Bayeke! Vous me croyez le choix ? Mais peut être, vous avez déjà un nom pour le petit ?
- Nous avons pensé, molda-ekai... En effet, chez tels vieillards, comme moi, cadet - le favori, le coquinet... Il y a un nom. Je voudrais l'appeler par Erkeboulan.
Le mollah a dit :
_ Qui objectera, si est telle la volonté du père et la mère ?
Un des vieillards venant est entré aussi dans une fois -
- Maintenant, trouve, chez nous dans l'aoul trois Erkeboulan. De mon petit-fils - le fils de mien cadet - aussi par ce nom ils ont appelé.
- Eh, connaître, où est maintenant lui - notre plus premier grand Erkeboulan, le premier de tous les trois, - a soupiré quelqu'un. Yerken, étant toujours par la personne vers le mur, on ne voyait pas, qui notamment, а selon la voix il n'a pas appris.
Le mollah s'est levé de la place et a serré la prière correspondante. À bras chez Bayeke reniflait le bébé.
- Allah akbar!. À Allah akbar!laylakha ella allakh[xliii]! - le mollah du mot de la prière soigneusement prononçait. - ton nom - Erkeboulan, Erkeboulan, Erkeboulan!
On prononçait trois fois le nom de nouveau-née, comme il faut selon le rite
- Oui Allah omnipotent de la santé, la prospérité et la longévité par tout enverraà tous Erkeboulan, - a dit Bayken. - Oui ils seront forts par l'esprit et sont heureux dans les initiatives.
- Omin...
L'aoul a cessé, fatigant par bruyants soucis de toy. Le rêve a rejeté les gens où s'est trouvé. Le ronflement était dénoncé de différentes parties. Les femmes ont fait un petit somme à côté des foyers, s'étant roulé, comme les cailles dans le nid.
Dans la yourte, sans allumer le feu pour ne pas attirer aucune attention, le vieux Bayken tenait la conversation calme avec Erken.
- Eh bien, Erkech, maintenant dis - où tu te diriges, de quoi tu as besoin. Tu connais ce que dans mes forces, je toujours pour toi ferai.
- Je connais cela, Bayeke... Avant tout je dois aller ici, non loin. Si on peut, livrez avec moi Kaysar.
- N'est-ce que cela? Que demande le peuple? ?
- Il y a plus de rien.
- Quand tu veux aller ?
- Si on peut, cette nuit.
- Alors choisis qu'il t'est nécessaire.Revêtez!Malgré que,je le vieillard, mais ai gardé quelques vetements dès de jeunes années. Les bottes prends avec les bas de feutre, les nuits encore froid se trouvent. De drap gris chapan chez moi il y a, demande la permission directement à toi sur les épaules. Avec le linge comme? Il y aura un linge. Ouchanka jette plus loin, tu prendras le mien malakhay[xliv]. Du cheval de quel ?. Bai, peut-être, je ne te donnerai pas. Trop lui considérable, les conversations iront. Sur Kaysar je dirai - est allé te passer jusqu'au ville. Et quand toi en arrière ?
-Pendant cinq jours je pense me tourner.
Yerken écoutait le vieillard et pensait, comme les mots les plus simples - prends le mien malakhay avec le linge chez toi comme - peuvent exprimer les sentiments les plus profonds humains. L'amitié. L'amour. L'aide de compagnon. La volonté d'assumer un risque.
Il a quitté l'aoul avant le jour. Côte à côte sur la jument claire-rousse allait Kaysar. À peine ils sont partis ainsi que pouvait parler, sans craindre que quelqu'un entendra et fera l'attention au départ secret, Kaysar a commencé à louer le cheval sous Erken, - aussi roux, est plus sombre seulement, que sa jument.
- Eh, connaissait Bayeke, de quel cheval à vous choisir! Sur cela en automne, selon la neige nouvelle, trois loups ont cloué. le, en effet, non jorga[xlv], mais le lynx marche bien. Et où nous allons, Erke-agha ?
- Pour qui ont marié Aklima ?
- Eh-he... cela de la génération jannace, gchi maintenant sur le Kara-koine. Otar-bay strabique jusqu'à la mort veut devenir kaparatip - voici lui et a vendu la pauvre jeune fille au neveu du Kaljan.
-Et où il y a celui-ci jannace ?Kara-koyne est où ?
- Leurs pâturage,
mais nous n'avons roulé ainsi, si nous voulons là-bas... Cela - à l'écart de Kyzmonchak-Syrgaly.
- Combien il y avait Aklima l'année passée, tu ne connais pas ?
- Comme à me ne pas connaître, nous grandissions ensemble, ensemble pour l'eau au lac allaient. J'ai dix-huit déjà,et elle - pour une année est plus jeune que moi.
Yerken plus rien ne demandait pas à Kaysar. À la voie, sur un bon cheval, lui était pensé toujours bien. Combien l'avait des amis, contre qui il luttait pour le pouvoir Soviétique. Et voici - il resta un, a perdu avec eux tout lien. De plusieurs du Kara-Otkelya et la Kzyl-jara/chaleur/ ont traduit à la prison d'Omsk. Lui-même, il est le fugitif, le vagabond... Kolchak encore dans la force. L'Alach-horde encore dans la force. Non en vain en effet a dit Bayken : «le papier, Yerkech est venu, te recherchent». Donc on peut au sud seulement dans Betpak-Dalou, par mort désagréable dans le désert. Qui sera son conducteur ? Ici vraiment et Kaysar n'aidera pas.
Il aura le temps ensuite de consulter avec Bayeke.
C'est un tel vieillard! Il inventera quelque chose, il trouvera toujours la sortie, si l'affaire concerne à Yerken.
Ils allaient chez Aklima. Yerken ne connaissait pas même - pourquoi ?
Qu'il peut changer? De quoi il peut l'aider? Mais en fait ne la voir pas ne peut pas. La maladie quelque... Une fois par la nuit noire seulement sur l'instant a scintillé devant lui la jeune fille - et est entrée pour toujours dans sa vie. Elle se trouvait devant lui et maintenant, ne partant nulle part déjà, et il voyait de nouveau sur sa personne aiguisée et la peur, la joie, et la frayeur, le chagrin, et tous ces sentiments se rapportaient à lui.
Peut être, ainsi chère était à lui Aklima, parce qu'à cet instant court est apparu entre eux quelque secret... À cette minute il pour la première fois et jusqu'à la fin a compris toute la complexité humaine.
Non, non par l'esprit a compris - il comprenait tout et plus tôt, et a senti par tout le coeur.
De grands peintres du passé, les poètes, qui ont connu l'essentiel de l'être et savaient transmettre par le mot miraculeux n'importe quel mouvement de l'âme humaine - dévinaient celle-ci
Le secret, chacun à sa guise.
Mais la jeune littérature kazakhe encore la comprend seulement. Et si juger par le plus grand compte - mais seulement un tel compte est conduit dans la poésie, - cela les vers personnels plaisaient de moins en moins à Erken. Eh bien, l'apparence chez eux est parfois. De tels chiffons bigarrés, pour qui - le vide.Et toutes les comparaisons élevées et emphatiques ne coûtent pas un mot de Bayeke, quand il pensait,quel cheval de lui donner au voyage. Et en effet, tu ne diras pas qu'a regretté bai. Non, il se souciait pour Yerken. Le cavalier sur un tel cheval luxueux attire l'attention,mais le poète rebelle courant était connu par le trop.Alors comme transmettre cela pour que les gens puissent estimer l'âme du vieillard, un haut sentiment, qui par lui déplaçait, quand il a dit: «Peut-être,moi le bai ne te donnerai pas».Tu ne te débarrasseras pas ici par les exclamations delsours - Eh toi, mon ami! Ta noblesse est grande, comme cette steppe!
Peut être,Yerken et exagérait les manques. Mais il pouvait penser des nouveaux moyens de l'expression. Être l'initiateur de la nouvelle littérature kazakhe... Parfois une telle idée par rapport à elle-même lui semblait la gaminerie impardonnable arrogant
Mais il voyait et l'autre - que plusieurs l'imitent que ses trouvailles dans les vers quelque peu sont utilisées à sa guise par ceux qui a élu la voie difficile de la littérature. C'est pourquoi sur lui se couche une grande responsabilité. Si le temps l'a élu est s'il retiendra une telle charge aux épaules? En effet, à lui seulement a vingt cinq. Il comprenait ce que s'est achevée, est partie au passé l'époque poétique, dans le chef de qui il y avait un grand Abay. Les temps modernes sont arrivés à la steppe, ils sont accompagnés ni le craquement triste de la vieille araba et ni la démarche paresseuse du chameau.Alors comme tu exprimeras cela ? Mona Lisa,Eugueny Oneguin - a devenu pour lui par la même réalité, comme Aklima,voyant une fois.Et comme faire pour qu'elle devienne même proche pour les autres, pour plusieurs gens ?
Yerken voulait encore une fois la voir. Alors que, si... Soudain il au lieu d'une telle jeune fille fière, étonnamment propre et indépendante dans la beauté verra l'esclave sans voix ? Non, non! N'amène pas allakh voir, son résigné, humilié...
... Surj aylaou ils sont venus dans un jour. Au bord du lac allongé, sur une petite distance l'un de l'autre, il y avait des aouls. Il semblait, tout a disparu ici. Ne fumaient pas les foyers. Nonon ont appatu les gens. Ils ou se sont cachés, ou ont jeté tout et sont partis. Selon la steppe sans toute surveillance errait le bétail. Dans trois aouls Yerken et Kaysar tentaient de trouver la couchée pour que demain avec le matin commencer les recherches, mais personne, aucun maître, n'a pas lancé à la yourte.
- Passez, passez plus loin... On ne peut pas.Variole chez nous.
Enfin, lui s'est trouvé le berger solitaire avec un petit troupeau. Il a montré, où il y a un aoul, qu'ils recherchent.
-Voila... Voyez, deux yourtes?Un de celles mi-démonté cela là.Seulement peu probablement qui trouverez chez eux.Uns éteintaitent, les autres vagabondaient.
Yerken a frappé sombre-roux avec les talons et a pris le galop vers les yourtes blanchissant en avant. Étant arrivé, il n'a pas commencé à attendre, quelqu'un le rencontrera ou ne rencontrera pas, а a sauté immédiatement avec suant, dans le savon, le cheval et n'était pas presque arraché par le rideau, l'entrée à la yourte.
Ayant fixé les yeux stupidement aux cendres du foyer s'éteignant, était assise la femme âgée, celle-ci, qui il a vu récemment chez Otarbay.
À droite la partie de la yourte était séparée par le rideau bleu clair de soie. Derrière cela quelqu'un respirait difficilement, comme si de la longue course continue.
kaysar s'occupait en dehors des chevaux et est entré un peu plus tard.
Sans lever la tête, la vieille a demandé :
- Qui êtes vous, mes enfants? Partez rapide. Probablement, vous ne connaissez pas que chez nous - kara-chechek[xlvi] ?
Ils ont échangé des coups d'oeil.
la variole noire.
- Non, nous connaissons, jeneche, - Yerken a répondu.
- De sorte que, la vie ne vous est pas du tout chère, que maudit du malheur noir ne craignez pas ?Qui êtes vous tels ?
_ Mon nom Yerken,mais le compagnon est appelé par Kaysar. Brusquement a tressailli le rideau bleu clair, là, après lui, la respiration pour une seconde s'est cachée.
- Eh,Kaysar.Je connais Kaysar ,- la vieille a dit. - mais en tout cas je ne peux pas vous lancer chez moi-même. Ainsi dacdir[xlvii] ordonnait...
Derrière le rideau quelqu'un a poussé un cri.Yerken n'a presque gémi de la douleur, qui a serré son coeur. Cette voix enrouée souffrant... Si par un tel il s'imaginait la voix d'Aklima. Il l'écoutait dans les rêves, comme autrefois à Omsk - écoutait le piano, qui savait se réjouir, être triste, et désespérer, et espérer... Aklima..Donc elle est vivante . Ne veut pas qu'ils partent. Dans cela cri on ne pouvait pas analyser des mots, mais Yerken a entendu clairement «ne partez pas! Ne jetez pas!»
- Écoute, Kaysar,- il a dit,- contre la variole m'implantaient, dans la prison même deux fois faisaient l'inoculation.Et toi comme ?
- Eh, Yerke-agha! Est-ce que vous ne voyez pas ma peau fouillée ? Aucun variole ne me prendra.
- Alors,jenchai, nous couchons chez vous, si permettez, comme de nous on peut ne pas s'inquiéter.
La vieille n'objectait plus. Elle en se taisant s'est levée et a porté le samovar se refroidissant. Kaysar aussitôt a disparu derrière le rideau.
- Aklima, cela moi, Kaysar.
- N-gy...
Même à une telle minute, à la frontière de la vie et la mort, la femme mariée ne doit pas entrer en conversation avec les hommes étrangers, il fallait être retenu, et tous ses sentiments s'exprimaient dans l'interjection courte - «ngy». «ngy» - signifie : je t'ai appris.
- Aklima, tu m'entends ? Eh bien, comment toi, natal ?
- Ngy... «je t'entends. Si dire est honnête, il ne m'est pas très bon».
- Kaysar! - a appelé Yerken. - Pars de là. Ne l'inquiète pas, laisse. Vas-y.
Kaysar est sorti. Il a entouré des mains la tête et a pleuré, en sanglotant hautement.
- Plus doucement, Kaysar.
Mais le gamin ne pouvait pas se retenir.
- Yerke-aghas, moi ainsi... Était content ainsi, quand a entendu de vous que nous allons chez Aklima. Est-ce que je pensais que... Que...Ah! - la voix chez lui est tombée, il a enroulé vite-vite par la tête et est sorti de la yourte.
Derrière le rideau s'est faite entendre de nouveau l'exclamation. Malade quelque chose demandait, sur quelque chose insistait. Peut être, elle l'appelle ?Yerken n'hésitait plus. Le danger lourd qui ont surplombé au-dessus d'Aklima, éliminait la nécessité de respecter les convenances. Il a passé là-bas, vers elle.
Sa poitrine se levait difficilement et tombait, elle râlait à chaque soupir. La personne était fermée par le châle rouge à la raie. Yerken l'a pris pour le coude - oui, les doutes ne pouvaient pas être... La main tout est couverte par les fermes escarrifications. Se battait anxieusement la veine bleu clair près du poignet.
-Aklima! Toi ne désespère pas! Tu te remettras. Je te cherchais - et voici, a trouvé.Je serai ici,tant que vous ne serez pas bon. Tu veux pour que je reste avec toi, Aklima?
- Ngy, ngy...
Depuis hier Aklima est devenu particulièrement mauvais. La variole noire l'étranglait, mais la jeunesse - ne cédait pas, la jeunesse luttait avec la maladie. Ayant appris les premiers éclats de la variole, le mari Aklima, non en passant à l'aoul, a détalé sans tourner la tête à la ville. Son frère cadet, sa soeur, resté dans la yourte voisine, sont mort. Chez le malade Aklima marchait la veuve sans enfants de l'aoul voisin, lui donnait la nourriture et faisait bouillir le thé, était assise pendant la nuit au chevet. Avec l'arrivée de la mère d'Aklima, la veuve ne se montrait plus. Peut être, elle est morte il y a longtemps ?
L'apparition inattendue d'Yerken et l'ami d'enfance Kayara a ému la malade. Aklima s'est sentie soudain jeune,belle, forte. Elle était de nouveau cette jeune fille, qui, une fois ayant vu l'akyne célèbre, a gardé la mémoire lui. Mais pourquoi, pourquoi il lui est devenu cher ainsi ? En effet, elle presque ne le connaissait rien, voyait seulement à la fente étroite, comme luiassis à otar chez la soeur et par l'élégance négligente tambourinait sur dombra quelque mélodie. Non, le mensonge qu'elle presque ne le connaissait rien. Elle connaissait ses vers, elle sur lui connaissait tous. Comme elle alors espérait qu'il y aura un soir jovial insouciant avec les chansons,par le dombra, par les jeux.Donc est sorti ainsi que le poète chez eux dans la maison n'ont presque tué. Elle n'espérait pas un jour le rencontrer de nouveau. Et on constate, et il l'en pensait. La cherchait et a trouvé!
- Peut être, retirer de la personne le châle ? Alors tu n'étouffes pas ainsi.
-Ngy...
- Bien, je ne serai pas.
Aklima ,on voit, s'est calmée un peu. La poitrine chez elle ne marchait pas déjà ainsi impétueusement.
Il la cherchait et a trouvé aux minutes les plus sans issue... Yerken-agha! Quelle jeune fille ne rêve pas sur tel zighit, comme Yerken? Tu heureux t'es trouvée, Aklima. Au moins et pour quelque temps, et par l'heureuse. Le destin t'a réduit avec le poète, quand à lui a été nécessaire ton aide, et comme tremblait chez toi la main, quand tu déduisais les mots terribles : «Akyne-agha, veulent vous tuer...» Moil'a sauvé alors de la mort certaine, et maintenant il est venu pour me sauver du tourbillon noir. Lui-même, il a dit que sera avec moi,tant que je ne me remettrai pas, je ne me lèverai pas sur les pieds. Mais le poète - tout peut, il est tout-puissant, comme sacré. Si demain je serai beaucoup mieux, je recueillerai les survivants zighits, j'appellerai les jeunes filles ce sera childekhana[xlviii], en effet, j'en effet viens au monde une seconde fois. Akbala, toi appelle d'avance tous, qui tu verras.Yerken avec dombra que s'assoira à côté de moi. Eh, les jeunes filles! Vous êtes venus déjà ? Comme vite vous avez répondu à mon appel. Je suis contente de vous. Je me suis ennuyée sans vous dans la maison de l'odieux. Yerke-agha, commencez, s'il vous plaît. Chantez, je vous demande, "Sourcha-kyz"... «Quand à toi, aimée, je me suis rappelé, ayant embrassé le coussin, a pleuré à chaudes larmes». On peut s'appuyer contre toi, l'agha ? Comme le dos brûle!. Kaysar, toi est où ? Maintenant tu ochante, chante "Karakoz"!.
_Tu chantais bien cette chanson. Chante, comme autrefois, à pleine voix.« Aux yeux noirs, tu m'as quitté, comment à m'être maintenant, comment à m'être ? Eh bien que toi ?.
Ayant baissé la tête, était assis à côté d'elle Yerken et écoutait ses mots. Maintenant il ne la rendra pas à personne. Léonardo de Vinci ne se séparait pas du portrait de Mona Liza, et il ne quittera pas Aklima. Quand elle se remettra et se renforcera, ils pénétreront ensemble dans Betpak-Dalou, au sud, vers. Comme osait rendre Otar-bay minime à quelqu'un à son Aklima!. Crachera cela sur de vieilles lois, s'ils empêchent son bonheur avec Aklima. Eh, allakh, aide la. N'admets pas pour qu'elle parte. Et comme il pouvait douter - si elle marchait selon la pelouse en face de la fenêtre de prison. Quelle autre jeune fille oserait entrer ainsi catégoriquement ? Seulement Aklima.
- Ne pars pas, Yerkech,- elle a dit - ne pars pas, Kaysar,Akbala, ne pars pas.
Le délire s'est achevé.Aklma est tombée dans l'évanouissement.
Yerken jusqu'au matin est resté à côté d'elle, rien sans voir autour de lui-même, rien sans entendre, Aklima couchaut doucement. Il s'est levé silencieusement, en la craignant de déranger, mais ici sa mère s'est approchée à elle et le cri perçant de la vieille femme a expliqué tout. Personne et jamais ne dérangera plus déjà Aklima.
Dans la vie de chaque personne il y a un calendrier des années mémorables. Cette nuit-là, à côté d'Aklima mourant, le poète connaissait, pourquoi une jeune femme avec la tête s'est cachée par le châle, - ne voulait pas qu'il voie sa personne défigurée par la maladie. Il tenait sa main, couvert par les croûtes, comme l'écaille, et pensait qu'aucun l'écaille de variole, aucune souffrance ne peut supprimer la beauté de jeune fille fine, qui il a vu une fois dans l'aoul, sur le bord du lac du Kzyl-môle, est-ce qu'elle pouvait mourir ?
Dès cette nuit a passé beaucoup d'années.
Le mot du poète sonnait selon toute la steppe kazakhe, le mot du poète a circulé et est éloigné pour ses limites. Sont restés derrière les chemins passés dans les combats pour le pouvoir Soviétique. Et maintenant ni le sabre, ni le revolver, il а tenait en main le portefeuille en maroquin bourré d'importants papiers d'affaires.
Terrible il y avait un temps. Fier il y avait un temps difficile et jovial. Il ne fallait pas en écrire par un vieux vers habituel, et le poète cassait ce vers, il trouvait les nouvelles combinaisons extraordinaires des mots, et dans le rythme de ses lignes se faisait entendre le battement de plusieurs coeurs. Il aspirait au fourré de la vie, il tâchait de voir tout, tout comprendre, et pour les plus simple, rien non remarquable extérieurement les événements compris par lui, était réflexion des changements, passé dans sa steppe natale après Octobre.,
La gloire stable bruyante est venue à lui. Cependant le poète, si seulement lui le vrai poète et le vrai homme, - doit être capable d'apporter et la gloir, et tout que lui est lié. Dans les vers,écritant déjà par le maître mûr, les critiques trouvaient la multitude de dignités.Alors cela ne plaisaient pas au poète- lui-même. Il ne criait pas aux toits de cela pour qu'il n'y avait pas impression, comme s'il s'enorgueillit de l'exigence et l'exhibe. Mais il voyait leurs manques et connaissait qu'on pouvait écrire plus facilement, plus vivement, est plus profond et est plus fort.
Construire la voie selon la neige intacte - il est plus difficile, qu'aller pour quelqu'un la trace à la trace. Le poète avait des élèves. Il y avait des imitateurs sincères. Il était fier de son élèves,mais les imitateurs lui livraient beaucoup d'émotions désagréables. Particulièrement ces derniers temps ils préconisaient le poète qu'il n'a pas écrit. littérature? non, non seulement. Le compte était exact : en l'exaltant impétueusement, ils exagéraient alors la signification des oeuvres. Alors ceux-là ressemblaient aussi à la littérature, comme sa vieille pelisse étriquée -le chaban astiqué du drap fin, lequel lui a donné Bayeke.
Le poète ne pouvait pas pardonner que jusqu'ici ne s'est pas mis à un grand travail. Un tel livre intégrerait tout le stock de ses observations et les méditations, comprendrait les progrès immenses dans les destins du peuple de steppe. Il ne pouvait pas pardonner que sur plusieurs n'a pas écrit - que
Il fallut voir et éprouver. Sur la création complexe, polyèdre - et de vie dans celle-ci mangeait de la paresse - des images, il rêvait encore vingt-quatre an d'adolescent, quand devinait seulement cette voie, qu'à lui il faudra passer dans la littérature. Soit craignait que n'a pas encore mûri pour un tel travail et peut abîmer tout par la hâte. Soit le temps, jusqu'aux bords, rempli des événements, ne lui laissait pas la possibilité de s'asseoir pour un grand livre...
D'une manière ou d'une autre, le poète jamais ne l'oubliait pas. Avec les années et Mona Liza,et Oneguin, et cette jeune fille qui a passé rapidement dans sa vie de plus en plus souvent l'inquiétaient et demandaient : «tu as oublié tout? Pourquoi tu n'écris pas ? Tu dois écrire». Si est exactement,que cette jeune fillesimplement une foi a passé rapidement dans sa vie? Non. Comme l'écho du soir, en se répétant plusieurs fois, se jette dans la montagne du rocher vers le rocher, et cela répondait toujours au premier appel Aklima est entrée catégoriquement et impérieusement dans sa vie, a obligé à la nouvelle manière à jeter un coup d'oeil sur plusieurs événements et les phénomènes. Peut être, il et a commencé à écrire autrement parce qu'une fois, là, au bord du lac de Kzylg-Mola : elle l'a apparu pour un instant.
À lui se rappellera quoi, sur quoi penser. Il pourrait décrire tout éprouvé avec ce jour, quand au Kara-otkele la nouvelle sur le renversement du roi blanc est venue, et il, aidait à installer Yerken par un des premiers, l'étendard rouge. Il a éprouvé tout : et la fierté des victoires, et des douleurs de défaites. Sa mémoire avec tout netteté tous les détails gardait les marquesdu temps.;
Non, on ne peut pas trop longtemps se réunir pour le chemin des réflexions „- si tu réussiras à surmonter demande adieu-ni plus court,ni plus léger,il est plus facile.
"Le tourbillon": le nom du livre est venu soudain-même il semblait ,mais en effet, combien il pensait sur elle, se préparait à cette minute, quand pour de stage d'ouvrier il restera en tête à tête avec la page blanche. Le plume du poète devenait tendre et bon, quand il se rappelait les amis et les collègues.Donc quand mais marche le récit il y avait des ennemis, le poète, sans hésiter, se jetait au combat avec l'ardeur du jeune Rerken chaud.
La page après la page de livre était écrite d'idéal à la lumière. Que s'est levé ici! La parenté de ceux qui dans "le Tourbillon" a reçu et a reçu selon les services, a levé la persécution enragée. Les plaintes et les menaces, les potins, les dénonciationsles anonymes se répandaient sur la tête du poète. «Zchy, qu'il y a une arme plus fort ta plume ignoble», - rappelait un.«Prends en considération non par un tel cassaient-compagnie», - écrivait l'autre. «Eh, toi! Marche et regarde tout autour, je toi promettais la rencontre»,- troisième.
Quand lui est particulièrement difficile et est triste devenu, le poète prenait aux mains le fidèle dombra, la compagne constante de ses réflexions, ses voyages dans le passé. Non, il ne doutait pas... Il connaissait que se trouve sur le droit chemin, et réfléchissait maintenant deuxième.le livre du "Tourbillon", la critique sur le premier volume par rien au poète n'a pas aidé. Si quelqu'un la grondait méchamment, les autres - aussi impétueusement n'épargné pas.Les milieux n'étaient presque pas.
L'extérieur se sont condensés les crépuscules, mais il ne veut pas donner de la lumière. Après la fenêtre grandissaient deux pommiers, Était août, et les branches l'arbre par le poids des fruits penchaient bas à la terre. Brusquement, comme cela arrive souvent dans la ville, emplacement près des montagnes, s'est abîmé le temps. Ont surplombé les guenilles sombres des nuages. L'orage roulait sur les sommets, le dépôt l'a donné, et devait se répandre à l'instant l'averse,le mains du poète de plus en plus souvent s'attardaient sur les touches inférieures domba. Une telle conquête merveilleusement fusionnent d'une belle manière et est d'accord sonnent les deux cordes, et cette harmonie rappelle quoi qu'au poète sur plusieurs ne pas encore déviné :sur les secrets de l'écriture. Sur leur conception tout part :la vie, et toute la vie il se trouve insuffisamment.
Donc l'harmonie est pas du tout le son identique de deux cordes, l'unisson non primitif, а l'accord, la réciprocité!Sans tel accord des mots est absent ni la poésie, ni les proses. Et l'obtenir avec les années tout il est plus difficile, parce que tu deviens pius austère, plus exigeant chez soi-même.
Est sourd sonnait dombra.Peut être, et le sorcier de la chanson de Birjan-sal réfléchissait voici aussi à un grand sacrement des sons et les mots, en restant en tête à tête avecdombra? Sa robe de chambre vaste de la laine de chameau a bouffé sur le dos du coup de kamcha,en queue de qui on cachait le plomb. Insolent pochtabay a arraché des mains du chanteur le dombra.S'est déchirée la corde.Il semblait, que cela n'a pas tinté, а a gémi. Le gémissement du désespoir.Et Janbota de volost n'a pas intercédé, a coupé grossièrement le chanteuralors qui te demandait de s'immiscer dans les affaires d'autrui ? Il est clair, est-ce que serait que le volost,pour n'importe quel chanteur, même si cela et avait Birjan-sal lui-même, se quereller avec autre de volost ?
Et le pochtabay?Par ce coup il a attiré la honte éternelle non seulement sur soi-même, mais et sur toute la génération. Quoi coûtait cet son fils - Tokai, l'escogriffe avec le bec-de - lièvre. Mais son fils, le petit-fils de pochtabay?Tout à fait grand maintenant.Si a déménagé quelque part à la ville, avec kamcha, avec honteusement célèbre kamcha ne marche pas. Mais aujourd'hui pour méchants pour les affaires lâches kamcha n'est pas nécessaire.
Les doigts du poète se tenaient toujours sur les touches inférieures. Chantait d'une manière monotone dombra.«Tu humilier, Janbota, m'a permis...» On voit, il depuis longtemps tambourinait inconscientement notamment cette phrase.
Le poète se rappelait que Birjan possédait une haute voix de stentor, et, en obtenant la même hauteur du son, il est imperceptible pour lui-même tournait et tournait du fendage, et la corde a bouffé.
Dans la rue se sont allumées les lanternes, et la lumière est tombée à la pièce,où était assis le poète. Et bien que maintenant il ne chante pas les vers, mais a tendu en tout cas une nouvelle corde.
Et dombra s'est ranimée de nouveau dans ses mains.
[i]Comité révolutionnaire
[ii]conseils des députés
[iii] aoul
[iv]conseils des députés
[v]clochards
[vi]forte moitié de l'humanité.
[vii]Traditionnelle robe de maison matelassée de laine -en Ouzbékistan
[viii]Chapelleries des peuples turciques
[ix]Les noms des tribus kazakhes du Moyen Horde.
[x] fouet - armes rider
[xi]Littéralement: wagon de feu
[xii]Distorsion: Commissaire:
[xiii] Distorsion: Coopérative
[xiv]les femmes mariées étaient pliées sur le diagonalle mouchoir blanc
[xv] nappe forme rectangulaire , qui a exposé la nourriture, entre les peuples turcophones d'Asie centrale
[xvi]Akbal - Enfant - (blanc littéralement) la lumière; Ultugan - un fils; Dametken - espoirs trompés.
[xvii]Kara Otkel - nom Kazakh Akmola (Tzelinograd), où se trouve aujourd'hui la capitale du Kazakhstan indépendant a augmenté - Astana
[xviii]- L'augmentation à propos, vers le nom, exprimant la surprise, la frayeur.
[xix]tresse de femmelle
[xx] Diable
[xxi]haute chariot à deux roues
[xxii]Distorsion: Commis
[xxiii]deux anges qui suivent l'homme et la notation de ses actions, bonnes et mauvaises.
[xxiv]l'exclamation de la surprise
[xxv]Celui qui s'occupe du vol du bétail
[xxvi] ici : la tante
[xxvii]conseil des députés
[xxviii]Appelle les musulmans à la prière
[xxix]conseil de district,
[xxx] collecte illégale de travailleurs révolutionnaires, organiser
hors de la ville le jour du 1er mai;
[xxxi]Après la naissance, la jeune femme passe à la troisième genre de coiffure
[xxxii]fromage; préparer des petits morceaux
[xxxiii]- Des morceaux de caillé secs.
[xxxiv] Les parents du côté maternel
[xxxv]les parents selon le père.
[xxxvi]licence, un permis de séjour
[xxxvii]déformé:brigadier
[xxxviii]Monpasie, cannes de bonbon
[xxxix]cadeau pour annoncer la bonne nouvelle
[xl]c'est un sport équestre traditionnel pour les peuples turciques
[xli]les chapeaux de kazakh
[xlii]chiot
[xliii]l'objet de culte
[xliv]chapeau grande,aux longues oreilles
[xlv] stimulateur
[xlvi]la variole noire
[xlvii]Docteur