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Ахмет Байтұрсынұлы
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Aouezov Moukhtar «Le destin d’une orpheline»

23.11.2013 1506

Aouezov Moukhtar «Le destin d’une orpheline»

Негізгі тіл: «Le destin d’une orpheline»

Бастапқы авторы: Aouezov Moukhtar

Аударма авторы: not specified

Дата: 23.11.2013

La route pierreuse s’étendait près de la montagne Arcalic. Celle était  triste, nue et montagneuse et l’Arcalic frappait  les yeux de loin en expirant l’espoir aux grottes fatiguées.

Le sommet étroit de la montagne accompagnait  la route plus de 10 milles. Mais ici on cherchait le silence. L’Arcalic ne déféminisait seul contre le vent absorbant ni à la partie nord, ni à la partie sud.

En hiver la montagne se couvrait par la neige, devenant rond comme un œuf.

 Ici les tempêtes se sifflaient furieusement et sans cesse, et le problème major souvent était l’eau: l’orage blanc pour les animaux et  la malheur noir pour les gens.

Dans les provinces prochaines d’Arcalic la pauvreté et la famine ont été visité intempestif. Est arrivé à cause d’héritage des ancêtres, et proprement ici, parce qu’il n’y avait autre endroit.

Donnant un petit peu  l’espoir que la terre de pied de la montagne était fertile et les gens la cultivaient qui à son tour nourrissait les gens.

Les voyageurs de la route grande et pierreuse trouvaient leur abri chez des autochtones, surtout à la mauvaise saison pleine de froid.

La seule porte d’Arcalic s’appelait Kuchicpaya. Kuchicpaya était l’ancêtre des autochtones. D’après la légende il était Batir (leader).

Non loin de la route paraissait le tombeau construit par les pierres non charpentées. C’est le tombeau de Kuchicpaya et chacun qui passait ce lieu,  prenait la connaissance de lui, du parcours de Kuchicapaya. Les mémoires sur Kuchicpaya se gardaient finement par les vieillards; faibles et faims-les chroniqueurs vivant de la steppe.

Ils n’essayaient  pas de rendre beau le cœur de Kuchicpaya avec des  mots, ils gardaient seulement pour que le cœur batte. Néanmoins les autres réalisaient   cet éloge.

Si les moutons du propriétaire sont déjà au foyer au soir, et si on peut se reposer, si tu es une invité et si tu as fait plaire au maitre, en prenant la nourriture de lui pour tes chevaux et tes bœufs, et si il ya le thé au foyer et finalement  si la casserole lance grâce au Dieu l’odeur de la viande, s’assoies Bon homme et écoutes!

D’habitude l’invité  fatigué et froid de la route, sommeillait, mais écoutait et par les oreilles et par le cœur.

Kuchicpaya est mort assez jeune, quand il avait 21 ans. Dès l’adolescence il connaissait à la perfection le soile et les chocpar, la selle et le gourdin, il rêvait devenir  le leader, se guider des hommes battant, de participer aux invasions militaires.

Il était inventif (débrouillard), habile, très fort, il était toujours le premier dans les luttes. Il n’avait pas peur ni des gens, ni des bêtes, ni des fantômes, même si de la nuit épouvantable, ni des prédictions mauvaises.

C’est pourquoi il est devenu “batir”.

La « fleure noir » (la maladie)  venue de la sud a fait tombé à l’héros, ainsi ne pouvait aucun géant.

Jour et nuit, il était dans son lit et délissait. L’ennemie ancienne du héros a su qu’il est malade et a dit soi même “Est arrivé mon temps”.

Il est venu à la maison (aoule) de Kuchicpaya et s’est moqué du malade, de plus au jour, il a volé le cheval fortement aimé par Kuchicpaya. Le nom de cheval était Kizil-Besti.

Kuchicpaya a reçu cette mauvaise nouvelle. Badir s’est fâché, est levé ne sentant pas la douleur, s’est habillé le Chekmen (le surtout cousu par la fourrure de chameau) et s’est dépêché à la maison (aoule) de son concourant, il est entré au moment où le concourant se vantait par le cheval enlevé et par son acte illégal.

On connait bien le caractère de Kuchicpaya; il était prêt de se lutter jusqu’à la mort contre le voleur, même si contre des servants et des groups d’armés.

Les ascacales (membres de la tribu) se sont embarrassés et lui ont convaincu  de ne pas répandre le sang de la tribu auquel il appartient. On lui a rendu le cheval et pour qu’on oublie l’offense grave, on lui a donné un nouveau surtout assez cher et se le sont mise en route avec honneur.

Kuchikpaya allait près d’Arcalic, à ce moment la « fleure noir » est apparu en causant dommage mortel du héros.

Son zecmen (le surtout)  s’était absorbé totalement par le pus des fleures déchirées.

On dit que Kuchicpaya a pu s’aliter, le visage vers  le Kaab. Selon la tradition musulman, il a étreindu la terre et a fait ses adieux la vie.

Mais la terre n’a pas oublié comment il l’a étreindu, c’est pour ça le rocher d’Arcalic est très morne (sombre), c’est pour ça, en hiver, il  se couvre totalement par des verglas et ne donne pas des nourritures aux animaux, et d’autre part chasse les gens avec ses vents forts et rend aveugles avec ses tempêtes.

Il n’accepte pas le fait que Kuchicpaya est mort jeune, est mort avec la fâche ne satisfaisant son âme brave.

Voilà  ce que les pauvres  racontaient sur la route pierreuse, de plus ils étaient fiers qui sont les successeurs de Badir.

Leur vie était assez lourde, la seule lumière était la gloire de Kuchicpaya : sa mode de vie, ses habitudes, même si  sa meure cruelle etc.

Janvier finissait. Le jour froid mourrait précieusement. Le ciel était pur. Seulement à la couche de soleil les découpures de nuage comme la niche des grillons, nageaient. Parmi d’elle, l’œil terrible du soleil regardait sous des cils. Un peu plus haut pareils des bouffées, s’étaient suspendu les nuages purpurins au dessous. Le ciel vivait ayant leur influence.

Et au coin était suspendue la lune seule. Elle regardait avec peur,   derrière du rideau brumeux.

Toute la journée, il fesait beau, mais dans la porte de Kuchikpaya il faisait mauvais à cause de la tempête de neige.

La neige fraîche tombait avec des flocons rouges et violets. Les ombres s’étaient étendues comme les muscles gonflés.

Il semblait que les ombres rampaient, rampent et absorbent la rouge de la neige.

Le phaéton partait tranquillement par la route d’Arcalic.  Allaient deux personnes bien habillées.

Parmi ces deux personnes, on va connaitre tout de suite  le maître. Il avait porté sur le vêtement chaud un zekmen noir et de velours,  comme chapeau portait un nouveau malaghac (type de chapeau), aux  pieds des chaussures de chevrov, avec tout ça  les chaussettes aussi de velours.

Il avait près de 30 ans.

Il avait  une belle carrure et une face ronde. Dans ces yeux piquants et dans les cils toujours mornes étaient caché la cruauté et le mépris. De plus, n’était pas difficile de comprendre, qu’il est galant en jugeant leur lèvre gonflée.

Il était mirza (chef, gérant) Aghan : le gérant du district. Il rentrait de la ville en finissant là- bas ses affaires. Les affaires étaient les mêmes : il a emmené les taux recueillis à la maison de trésor.

Le servant Kaltay aimé par le gérant l’accompagnait.

Mirza était sévère envers de lui, à son tour Kaltay était le « chien fidèle » et le clown quotidien.

Bien sûr, il volait, mais il était très rus et surtout il  était utile pendant des aventures de nuit. Pour Mirza était ordinaire de recevoir des services agréables et non prévus par il.

Tout au long de la route Aghan n’a rien dit, il est possible de croire qu’il était soucieux par des soucies des gens, en effet il est le maître du  district. Mais Kaltay savait bien que dans quel districts planaient les pensés du maître. Il imagine que son maître est avec telle ou telle femme, et ainsi tout au long du jour.

A Dieu ne plaise, on l’inquiétera. Il va single avec le gourdin et va faire sortir du phaéton.

Au soir près d’Arcalic, Mirza a fait froid du vent, est devenu vif, a commencé à rouspéter.

Kaltay a tiré la selle des chevaux en disant :

-Peut être jusqu’aujourd’hui dans Kuchicpaya « la fleure noire » vaguait, si elle si hurle.

Sur la colline, dans le loin on a apparu deux tombeaux et les voyageurs en enlevant les mains ont marmotté rapidement une prière.

Les tombeaux étaient nouveaux, les sables autour d’eux  n’ont pas pu mener à brunir, mais il y avait des traces de neige, qui étaient pareils à la « fleure » (maladie).

Le vent sifflait cruellement, il semblait qu’il est fâché, parce qu’il a vu quelques choses dans ces lieus.

Pendant une seule nuit en sifflant le vent va couvrir   les mémoires sur les gens dormis sous les tombeaux.

Demi-mille près d’ici est apparu une petite et seule maison d’hiver. Celle paraissait quittée, déserte (inhabitée) est liée à la terre, n’ayant aucune différence avec le tombeau. Le toit et les coins étaient détruits, la neige avait couvert les trous. Seulement le petit chemin était ouvert.

Kaltay a pris la direction vers cette maison. Autant on approchait, autant celle était épouvantable. En face de gueule a été ouvert un trou où il y avait plein de neiges comme des bouffés. A côté de la haie détruit, il y avait un veau très maigre, près d’un an et des moutons en apportant des morceaux de neige sur leur dos.

Tu as des frissons dans le dos quand tu penses  du malheur arrivé à cette maison.

En descendant du phaéton et en nettoyant la neige sur le zekmen, Aghan a dit :

-On est où ? Ici on ne peut ni dormir, ni s’asseoir. Est-ce qu’il n’y avait pas un autre lieu  plus confortable.

En laissant les chevaux, Kaltay  a répondu en riant :

-Sois patient, et tu verras où tu vas te coucher.

Il s’est penché autant que permettait la taille et son nez.

Kaltay est tenu solennellement sa main et ils sont entrés dans cette cabane, ont palpé la porte et se sont fourré en glissant dans la cabane. La  cabane avait deux chambres. La petite fenêtre à peu près à la mesure de la main s’écalerait le couloir.

Peut-être ici  personne ne demeurait. La chambre sévissait comme une grange à foin.

Les mures d’agile, il y a longtemps, que n’étaient pas blanchis et étaient salés, dans les coins il y avait le givre « d’argent ».

Près du trépied, ont été noués l’agneau nouveau-né et le veau totalement pauvre ayant sur son dos la couverture de feutre.

Peut-être la chambre vivante était plus active. Le pôle crevait les yeux. A côté du pôle était mis le lit en bois. La teinture du lit était écorcée, mais les couvertures anciennes sont très usées et les oreillers ont été placés avec soin. Près de la porte ont été mises deux coffres. Voilà,  tout l’avoir.

Il nous semblait que le verre de la fenêtre elle respirait, avec chaque vague du vent se couvrait du vapeur.

Ici était sombre, seulement  les charbons donnaient la lumière, mais assez faible.

Qui habitait dans  cette cabane : sombre et pauvre ? Trois femmes. Elles se sont assises à côté du pôle, comme les oiseaux câlinés. L’une d’elles avait 80 ans, une vieille femme, l’autre près de 40 ans et la troisième était une fille de 13 ans.

La vieille était la grand-mère, avec sa belle-fille et sa petite-fille.

Malgré que l’aînée avait un visage faible et maigre, en même temps : courageux. Sa face était   non famine : le grand nez, le visage brutal. Sous les cils rares regardaient les yeux incolores. Mais dans les rides profondes, il y avait non seulement le chagrin, mais aussi des traces des souffrances et des offenses, ainsi que la persévérance non répondue du pauvre qui est capable de porter une charge lourde qu’aucun héros ne puisse.

Au contraire, le visage de la belle-fille était effrayant et prudent. Les yeux noirs et purs étaient fixés extraordinairement et regardaient vers une seule direction comme folle.

Mais elle n’était pas folle, elle était aveugle.

Et seulement la cadette Hazizan maigre et fine, ayant un visage rond et tellement agréable qu’on ne pouvait pas de ne pas regarder sans cesse, était légère, rapide comme une chèvre, et le chagrin non enfantin dans ses yeux la devenait plus belle. Plutôt, ce n’était pas un chagrin, c’est une supplication : naïve et émouvante comme son lit préparé.

Leur chagrin était commun, elles sont devenues orphelines.

Elles ont vue la tempête avec les yeux ouverts en restant seule avec les tombeaux froids. Sous ces tombeaux de terre ont été dormis leurs relatifs : le père et le frère de Haziza. La cause de mort était le thyphus. La grand-mère appelait plein d’espoir les âmes des ancêtres, mais malheureusement ils ne les ont pas  aidés. Après les funérailles quelque chose a endommagé les yeux de la mère et elle est devenue aveugle.

Oh mon Dieu !- a crié la veille pour quelle faute ? Autrefois elles avaient été aussi pauvres et seules, n’avaient pas utiles à personne dans cette steppe lointaine.

Mais Kuchicpaya soi-même  aussi était seule.

Au soir autour du pôle chaleureux ces trois femmes gonflées comme les oiseaux se souvenaient la vie passée, la vie belle où ils étaient 5.

Et voila ont apparu les invités inétendues et riches avec des chapeaux étroits.

La mère de Haziza en la touchant doucement a demandé ce qui est : les invités. La fille a répondu à voix basse.

-Je ne sais pas, ils sont des inconnus.

Près de la porte les invités ont avancé et ont assis dans la place honoraire. Mirza Aghan a lu un surah (une partie) de Coran. Ensuite les invités ont salué aux maîtres de la maison, et âpres l’aîné des invités a adressé à l’aînée du foyer.

Grace à Dieu ! Le Dieu toujours vous donne la bien être en faisant entendre de mettre la table.

Les femmes sont devenues muettes et en voyant les invités si rares, mais après sont devenues vives. Elles ont allumé la lampe de pétrole. Haziza a préparé rapidement du thé.

Tout ce qu’il y avait dans la maison : un seul morceau de beurre et du pain d’orge, est mis sur la seule nappe nouvelle devant les invités honoraires. La vieille comme un vraiment ascacale parlait tranquillement aux invités.

Aghan l’écoutait en même temps en poursuivant en secret Haziza.

Kaltay racontait avec plaisir les nouvelles passées dans la ville et dans le district, et après du thé la vieille parlait plus et les invités étaient silencieux. C’était le gré du Dieu que le gérant a visité cette maison, il parlait courageusement et professionnellement, ainsi personne ne puisse.

Dans la voix non ordinaire de la vieille, il y avait et la fâche, et la douceur, et le chagrin, et la joie, et la douleur et l’espoir. Elle protestait contre le destin, mais tellement quand on pensait qu’elle chantait une légende ancienne, et son expression du visage changeait comment se changeait le rocher pendant le vent.

Mon chéri, - disait-elle, Mon chéri. Tu vois toi-même, tu comprends ce que nous respirons, je suis  au seuil de mort, je n’ai pas de force pour vivre, même si pas de force pour mourir.

Quoi je peux ? Seulement parler. Ma belle-fille est aveugle, elle a besoin d’une personne, qui va l’aider. Qui nous nourrit ? Qui mène le souci de travail ? Ma petite-fille ?

Elle a pris tout souci, mais elle est très jeune,  tout ça  est difficile pour elle.

Comprends ce que je dis, je dis tout ça, pour que ton cœur batte à chaque fois quand tu passes près de notre foyer et toujours tu vas te nous souvenir.

 Sois toujours gentil envers des gens qui sont pareils à nous. Et ne panses jamais qu’ils appartiennent à autre aoule, ils sont autres.

Et à chaque fois où les autres en voyant ne disent des gros mots et respectent la mémoire de Kuchicpaya. Mon chéri je ne comprends ces hommes lâchés, comme vraiment femmes, comme les chines. Ils font plaisir aux personnes dont a la peur. Si ce type de « courageux » apparaissent dans notre maison, croissent leur-mêmes comme les maîtres, ils sont vraiment vantards. Ils sont voleurs mauvais.

Le sable des tombeaux de mon fils et mon petit-fils étaient nouveaux, quand les membres de notre tribu ont décidé de partager notre avoir et nous, nous : les femmes aussi ont donné aux autres. C’est clair, on ne vis longtemps, on est seul. C’est pour cette raison, ces froussards se sentent bien, ils nous offensent. Par exemple : Smagouli, mon beau-frère.

Mon fils a partagé même si le dernier avec lui comme un homme très proche. Mon fils a caché son mauvais caractère, il faisait son éloge, il a été dépendu de mon fils, toujours attendait la charité. Et quand mon fils est mort, Smagouli a volé notre seule chèvre létiaire. Il a saigné un mouton pendant les funérailles pour que ne porte des dépenses. Ma belle fille a envoyé un homme chez lui en priant, mais il a répondu qu’elle n’est pas le maître, dois cesser de crier.

Si mon fils soit vivant il n’osait jamais. Dans son foyer était toujours la lumière et dans la casserole pauvre s’endurcissait le bonheur.

Il était si secret, connaisseuse.

Laisse, la terre soit légère  sur toi ! Mon fils ! A cause de ces tristes sires, il est mort.

Écoute-moi mon chéri.

Mon beau-frère a un fils  s’appelle Dusaint, mais on l’appelle Bavard, il sait seulement cancaner, pendant toute sa vie il n’a rien dit sérieux, n’a fait une bonne affaire, il est aussi très avare, n’est pas du tout hospitalié, si il y a une invité il devient trop triste, il va tuer sa femme si elle va oser de préparer un repas de la viande, il va crier et réclamer que sa femme le fait faillite.

Si tu l’écoutais tu t’épanouiras. Une fois en automne est venu  Chubaradir un homme de la tribu tobiktine. Le Bavard n’a pas permis de rester pour une seule nuit dans sa maison en argumentant qu’il n’a pas de place libre pour les autres, de plus, pas de nourriture.

On sait bien que les tobiktines sont très hospitaliers, humanistes et nous méprisent.

Cette homme tobiktine ne pouvait oublier cette offense et c’est pour ça ils ont apparu la nuit, on a détruit la maison du Bavard ont emmené les 5 moutons assez gros et ses deux chevaux.

Quand tu penses que le Bavard devait lutter contre  ceux, mais no ! Car il était froussard, et il a pensé qu’il va être prié de son dernier cheval.

Le lendemain il est arrivé chez mon fils en disant :

Mon frère les tobikines te connaissent bien, et ils respectent ta parole, est-ce que tu peux demander de rendre le vol.

Bien sur mon fils l’a accusé.

On te connait, tu n’a aucune hospitalité, seulement devant ta femme tu es héros. Pour toi un pôle de viande est plus cher que le gérant.

(Agghan a sourit indifférent.)

Tu n’a ni force, ni pensée, mais tu combats avec chaque personne, tu crois que cela va t’enlever. Tu a le droit de vivre dans l’Arcalic ? Où habitait Kuchicpaya. Que tu veux ?  Demander à qqn  une chose qu’il n’a pas : «  cela signifie de se le devenir comme l’objet de moquerie ».

Voilà mon cher, tu vois comment était mon fils.

Dusaint-Bavard a cédé sa tête.

Outre toi je ne peux prier quelque chose.

Mon fils est allé pour rendre l’avoir volé. Plus de 20 jours il demandait aux ascacales. Le voleur était d’un aoule riche. Les ascacales ont eu l’envie pour que Bavard les ait donnés sa fille de 9 ans à un membre de la tribu tabiktine. Mon fils a donné son accord, et est rentre avec le vol.

Maintenant Bavard est parant aillé avec eux.

Mais mon fils est tombé malade sur la route, il est tombé sur le lit, il est mort, de plus, il a emmené avec le cadet : notre dernier espoir.

Voilà leur remerciement. Ils sont enlevé notre chèvre letiaire et nous ont obligé de garder silence. Ce n’est pas la fin. Avant un jour de la mort, mon fils a pris un papier et un crayon et a écrit en regardant dans les yeux du Dieu, combien dettes il y a et les autres envers de lui. Il connaissait et lire, et écrire comme le molla (ecclésiastique musulman), de plus il n’aimait pas d’être libre, il pouvait aider et au forgeron, et au commerçant et même si au médecin. La moitié de l’avoir j’ai dépensé pour ses funérailles et pour compenser les autres dettes. J’ai donné les dernières sous. Mais est apparue une dette pas écrite sur le papier. Quelle dette ? Trop cher, plus de 3 maux. Le propriétaire de cette dette voulait le plus, mais qu’il était-t-il ? Il était Marden ayant le nez aquilin appartenant à la tribu tobiktine (mirza Aghan soi-même aussi ayant le nez aquilin et monstrueux, est caché, Kaltay a maîtrisé son sourit, mais la vieille a considéré que le gérant est fâché contre les tabiktines.)

Je ne refuse pas, si mon fils a promis, je crois mon fils.

Seulement je puisse ramasser tous les dettes. On avait la chance de le convaincre, si Bavard n’existait.

On n’était pas encore éternué, quand il nous a pressés. L’avare a pensé que Marden va arriver à son but. Si on ne le revoie pas la dette puis on va rester faim.

Et quoi avait pense le Bavard. Oh mon cher, ma langue a la difficulté de le dire.

Meurt de souris-joue du chat. L’année passée a été mort la femme de Marden, l’année passée Haziza est une bonne femme, tu vois ça, tu comprends bien. Aghan et Kaltay ont regardé caché. Ils s’étaient couchés en s’appuyant sur les doits, et leurs visages étaient soucieux, il semblait fâché.

Aghan avait ouvert ses lèvres grasses, il semblait, qu’il s’était étranglé. Je n’ai pas eu la patience, j’ai fâché, j’ai maudis ces mauvaises personnes. Mon cœur est devenu triste, je ne savais comment mon cœur n’a pas éclaté. On a pleuré armement, on est devenu triste, mais on a prié.

Qu’est-ce qu’on peut faire ? Etait le troisième jour quand nous ont dis que le Nez aquilin n’est pas encore parti. Il était invité chez ces parents aillés assez cher, et maintenant la femme de Bavard fait l’intermédiaire, inquiète notre fille.

Pourquoi elle fait ca ? Elle dit à ma fille: «  Tu es cruelle, tu ne plainte pas tes mères. Comment tu peux gérer l’économie comme un homme. L’époux c’est un soutien pour toi et pour tes mères. Tu va te marier avec une personne riche, tu va oublier comment on pleure, comment on reste faim ».

Voilà elle était si rusée cette chienne. Elle était prête de lier en roulant Haziza à Maden. Mon Haziza se marie avec ce Nez aquilin. Mon cher tu dois savoir on est les successeurs immédiates de nos ancêtres, notre foyer était l’un des aoules avancés, il est possible que dans les veines de mes fils saignaient le sang de Kuchikpaya, crois mon cher, un jour Kushikpaya va rentrer (la voix de la vieille  pour la première fois a tremblé).

Ils n’ont pas peur que l’âme de mon fils va se fâcher et les punira, ils ont des comptes et c’est peut-être sur notre malheur.

Gloutons insatiables !

Ils pensaient que Haziza va être marié grâce à ceux et ils vont obtenir un pouvoir sur nos animaux. Et nous allons les demander pour nous aider, dans ce temps la nous allons descendre au tombeau vivant.

Haziza est très naïve, elle est enfant, elle va écouter cette monstre : la femme de Bavard. Elle ne comprend pas la cruauté humaine Oh mon Dieu, c’est le temps de ma mort, je ne peux plus, j’ai pas le droit d’un dernier repos, je n’ai pas donné ma dernière dette, je dois vivre.

Pardon pour mes mots fous.

La vielle a finis son conte : chagrin et pauvre.

Elle est devenue triste, a nettoyé les larmes par la main.

Mais il n’y avait pas de larmes, ce sont finis depuis longtemps.

Derrière de son dos, la belle-fille pleurait, et il semblait qu’elle cherche avec ses yeux fous les invités.

Mirza Aghan a prononcé quelque mots en devenant plus sombre, mais il était connaisseur et amateur de telles paroles, il sentait inconfortable, mais si il avait honte de les exprimer.

La vieille n’a pas écouté qu’est-ce qu’il a dit.

Elle a compris seulement que le monsieur est fâché, elle s’est inquiété peut-être que monsieur est ennuyé.

Le gérant l’écoutait sans intervenir, sans se dépêcher et regardait Haziza avec attention. Mais il ne faut pas lui dépêcher, peut-être il a écouté multiples plaintes et problèmes dans le district et cela, non plus n’était pas étrange. C’est pour ça, il ne se dépêchait pas, c’est déjà bien, qu’il a  écouté tout ça avec patience. La vieille était très contente, elle pensait de l’avenir. Son dos sont vouté par des années et du destin. Son cœur faisait froid de la prédiction mauvaise, mais dans son image totale, il y avait une modération tranquille.

Elle était belle comme un vieux cheval, même si la mort avait peur.

Haziza a préparé un bon repas de la viande que la grand-mère l’avait ordonné.

Le dernier  morceau de la viande : les invités ont mangé avec appétit. La grand-mère était contente, regardait comme il mangent.

Grand-mère : bonne et sage ! Elle n’avait pas vu, ce que Haziza avait vu, n’avait pas senti ce que Haziza avait senti : la mère aveugle de Haziza non plus comme la grand-mère.

Quelquefois la mère lui a appelé, a pris sa main et n’a rien dis. Est-ce que les invités écoutaient. Ce n’est pas sure qu’ils sont compris que est-ce que fait Smagouli, que est-ce que veux Dusaint.

L’invité aîné touchait par son visage insatiable à Haziza, et très finement pour que la grand-mère ne voit pas.

Haziza sentait qu’il veut dire une mauvaise chose par ces yeux, de plus il disait.

Elle avait honte et elle s’était dégoûté en regardant et en comprenant. Et l’invité cadet l’a montré en secret avec les yeux et les cils pour que la fille comprenne  qui la regarde. La fille avec honte a cédé sa tête et est allée à l’autre chambre. Elle tremblait dans l’obscurité.

Les invités ont mangé la vinade, on nettoyait leurs bouches, ils se sont préparés à dormir. Haziza a préparé le lit pour eux, les invités sont sortis dans  la cour.

La vieille les a regardé avec honneur et pensif et a dit à sa petite fille :

Ma petite. Leurs chevaux ont besoin  de nourriture. Prend la lampe et les montres où est la nourriture.

La fille avait peur de sortir et elle s’est tue pour qu’elle n’ait rien écouté.

La vieille a répété :

Sorts, sors ma fille, ils vont penser que tu es non éduquée.

Montre-les le respect.

Haziza s’est approchée de sa mère, elle l’a touché. La fille a pris la lampe et est sortie.

En ce temps Aghan et Kaltay marmottaient dans la cour en tournant autour leurs chevaux.

-La fille ne comprend rien, Chien !

-Est-il possible que je ne suis pas pédophile. La fille est merveilleuse.

En voyant Haziza ils se sont tu et se sont séparés.

Haziza a accompagné Kaltay à la grange à foin.

L’entrée de la grange à foin était pareille à la tanière d’ours. Cela avait un plafond assez bas et on ne pouvait marcher sans se baisser.

En se baissant Haziza a montré à Kaltay la nourriture et a élevé la lampe pour qu’il voit bien.

En souriant malicieusement a dit à l’oreille de Haziza que le but n’est pas la nourriture des chevaux, c’est autre chose.

-Nos chevaux ne mangent pas cette nourriture.

Haziza est épouvantée et elle était émouvante. Personne ne lui disait une telle chose. Puis elle a compris que le servant fait la blague et elle a crié :

-         Vous pensez que je ne comprends pas ? Tous sont vos taux, allez vite ! On ne vous permette pas de vous nous moquer.

Elle a mis la lampe  par terre et a couru vers la maison.

-Oh, attends, écoutes ce que je dis !-a dis Kaltay.

Mais la fille ne l’écoutait pas, même si elle n’a pas tourné.

 Mais devant la porte de la maison elle a heurté à Aghan.

Il a touché la fille, l’a pris facilement par les mains et a emmené vers la grange à foin.

Elle n’a pas pu ouvrir sa bouche,  en effet Aghan en a ouvert par ses lèvres grasses.

Kaltay a étendue rapidement la lampe.  La flamme rouge a vacillé et a étendu. Kaltay en prenant la lampe, il est sorti et est dirigé vers les chevaux.

Dans l’obscurité il écoutait la pleure et les cries sourdes.

La sombre était partout. Le vent hurlait. La gelé cruelle fouettait avec ses long fouets.

La terre froide se fendait sourdement. Des coudes d’Arcalic on écoutait ainsi la voix sourde que le rougissement d’une bête qui était affreux.

Kaltay a couru vers la porte. Ici l’a rencontré Aghan. Mirza était triste. Ils sont entrés dans la maison ne disant rien. Mirza Aghan s’est couché le plus tôt. Il s’est couché sur le lit près du pôle.

Haziza ne se souvenait pas, elle s’est couchée longtemps dans la grange à foin, insensible, ayant la conscience troublé. Elle a réveillé à cause du froid.

Elle tremblait, elle ne comprenait longtemps ce que c’était passé. Elle travaillait couvrir soi-même par  instincts par des morceaux des pailles.

Puis elle s’est souvenue et a crié très étrange.

Même-si, elle n’a pas pu de se toucher. La douleur sourde qu’elle n’avait jamais sentie. Elle n’avait pas de force.

Même-si elle n’avait pas vécu d’aller chez ses mères et crier, de les voir.

Ils vont l’accuser, maudire, on va se souvenir son père. Elle n’est plus Haziza, n’est pas la lumière, n’est pas une fille, n’est pas la seule consolidation.

Soudain elle s’est rappelée que peut-être sa grand-mère la va chercher. Mon Dieu aide-moi !

En soupirant longtemps elle s’est levée, mais a eu peur que peut-être on va écouter sa voix. Elle est sortie de la grange à foin et en tremblant est sortie de la cour.

Le vent a frappe son dos et l’a emmené vers les steppes inconnues.

Aucun ne pouvait la trouver.

- Vas-y ! Vas-y !-disait le vent.

Personne ne peut t’arriver. Vas-y, ayant l’âme pur,  enfantin, fier, la fille de ton père, la petite-fille de Kuchicpaya courageux.

-Eloignes-toi à tes chagrins, à tes malheurs, à ta souffrance, à ton honte, au mensonge.

-Pourquoi rêver ? Tu ne sais pas rêver, tu sais seulement pleurer dans le silence à cause de l’offense cruelle.

En ce moment-là, tu ne peux pas non plus ça. C’est ton destin. Il est avec toi, il t’accompagne. Cela est écrit sur ta tête.

-Vas-y, n’arrêtes pas !

Le vent a pris la douleur, et la peur de l’âme de Haziza. Mais le froid liait ses pieds, la neige aveuglait.

En écoutant le rougissement de qqn, il est possible c’était la tempête ou l’âme de Kuchicpaya, elle pensait seulement d’arriver aux tombeaux. Arriver et les embrasser.

Elle n’aura non plus aucune dette envers des autres comme son père.

Mirza Aghan en ce moment-là, s’était couché dans le lit, chaleur sous la couverture de cotonne.

Mais il ne pouvait pas dormir, il se sentait mal.

C’était le temps pour que la fille rentre à la grange à foin, mais elle ne venait pas.

Les femmes ont murmuré au coin. La vieille est préparée de sortir dans la cour.

Aghan l’a arrêté, et à la place d’elle, Kaltay est sorti. Il est rentré avec la lampe allumée et l’a mise sur le pôle. Les femmes ont couru vers il.

Il a demandé sans penser :

-Est-ce qu’elle n’as pas encore rentré.

Les femmes ont été étonnées. Kaltay a raconté à la vieille ce qu’il a été passé.

-J’ai pris les pailles. Je pense qu’il est le temps donner l’eau aux chevaux, je l’ai demandée, est-ce qu’où est le puits.

Elle est venue avec moi. On est sorti  de la cour, il faisait de la tempête, elle n’est pas froussarde, elle m’a accompagné jusqu'à le puits. Bien sûr, je l’ai dit de rentrer. Je pense qu’elle aura froid à ma faute. Peut-être elle est perdue. Les femmes ont crié.

- Ma foie, bien sûr, elle aura froid. Oh mon Dieu combien de malheur.

La vielle en prenant la béquillé et en portant les vêtements a couru vers la porte, sa belle-fille derrière d’elle.

Aghan a sorti son visage rouge sous la couverture et en criant  a dit à Kaltay :

-Idiot ! Allumes la lampe, cours, cries, cherches. Vite  bête !

En sortant  de la porte trois voix appelaient Haziza. Les femmes criaient très fort. Est-ce qu’on peut crier plus fort que le vent ?

La neige ne permettait pas de se bouger, ouvrait les yeux et les bouches. La vieille a prié.

-Oh ! Des âmes, ne la laissez pas, la montrez la route.

Je vais sacrifier mon mouton blanc pour vous.

L’aveugle aussi est agenouillée et a prié.

-         Kaltay a pris le cheval  et a dirigé vers la steppe en criant. Et le chevalier et le cheval et la lampe sont disparus dans la tempête blanche au même temps. Les femmes sont restées à attendre et à prier.

Kaltay n’est pas rentré tôt. Il est rentré tout seul, avec la lampe étendue. Et le cheval, et Kaltay ronflaient.

-Je suis perdue moi-même, je vous  ai trouvé avec difficulté, elle n’avait partout. Cheytan ! (satane).

Jusqu’au matin les femmes ont attendu. Plus souvent elles sortaient, appelaient, pleuraient, priaient  le Dieu. Mais le Dieu n’écoutait pas les prières de ces deux femmes.

On a trouvé Haziza au midi.

Elle était arrivée aux tombeaux et était couchée entre ceux. Son vêtement était déchiré. Au dessus des genoux il y avait les traces de sang. Mais  le visage pur et enfantin ne portait pas des traces des souffrances. Il semblait qu’elle a dormi tranquille et profonde, elle ne voyait pas dans son rêve comment les gens vivent.

 


 

 

 

 

 

 

 

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