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Ахмет Байтұрсынұлы
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Maïline Beïmbete  «Rauсhane la communiste»

23.11.2013 1662

Maïline Beïmbete  «Rauсhane la communiste»

Негізгі тіл: «Rauсhane la communiste»

Бастапқы авторы: Maïline Beïmbete

Аударма авторы: not specified

Дата: 23.11.2013

I

Quand tu jettes ta vue en dehors sur l'yourte enfumée faite des rapiéçages, il semblera involontairement que quelque chose là flambe.  La fumée s'élevant en nuages vient de toutes les fentes.

Le kazan formidable se noireit au milieu de l'yourte. Le feu brillant craquette au-dessus du kazan. Dans le kazan le savon se cuit en bouillonant et écumant. Ayant entouré la tête par le jaulyk et se ridant le front mouillé par la sueur la femme de Aynabaya Zeynep brasse la pâte élastique par une longue pelle.

Le vent d'automne souffle l'yourte avec telle fureur quasi il peut la détruire. Le vent gémit, s'entroduit dans les fentes et abat la flamme. La fumée épaisse et âcre ronge les yeux.

Cinq femmes ont pris leurs places autour de la flamme. Elles regardent dans le kazan sans détourner les yeux. Dès que le savon se cuit toutes les femmes prendront un morceau. C'est de la part de la coutume. Ensuite elles iront à leurs yourtes. Mais le savon se cuit toujours et il n'y a rien que veiller et s'empoisonner dans cette fumée infernale.

La vieille Ulzhan a essuyé les yeux par le bord du jaulyk et ayant regardé le chanrak (c'est une circle du plancher), elle a dit:

-    "Est-il le fin du monde venu?  Les jours et les nuits sont venteux et il ne met pas au beau."

-    Eh, chechey, maintenant les choses ne sont pas comme avant", -  a Kul'zipa continu les mots de la vieille.  "Je me rappelle que cela, cependant, n'a pas eu lieu, quand nous étions jeunes femmes... Les temps étaient joyeux. Les jours étaient sereins et clairs, la vie était meilleur... Je me souviens un pays d'automne où notre aoul est trouvé. Quelquefois petite chechey qui est belle-fille de Kuzel' noir et nous, nous sommes allées à la forêt auprès de Kos-Uter pour herboriser les sèches...

-    Eh, je crois que c'était là quand godiche-fiancé Meruert est venu. - a la vieille interrompu Kul'zip.

-    Tu as raison... Oybay-ay, le temps était admirable! Chrajlim1 était dans son été... Djiguites l’ont lorgné, ils se sont pourléché. Il semble que tu a été avec nous, chechey, n'est-ce pas? Nous avons pris une paie légitime du jeune marié et avons décidé de lui montrer Chrailim la nuit... Ouille, ouille, ouille! comme elle, pauvre, s'est mis à pleurer ! Elle s'est figée, s'est lignifiée. Je ne vais pas, crie-t-elle, assomez-moi, je ne vais pas le prendre un mari, ce dégueu. Elle n'a écouté ni sa mère familière, ni nous. Biy-agé a dû entreposer soi-même. Bon sang, comme il s'est mis en boule ! Il était tout en flageolement. "Essaie de ne pas aller !

-        crie-t-il. - Essaie de perdre ma face ! Je te poignarderai avec mes mains ! " Nous avons pris peur et sauté de l'yourte... Puis, baybiché est venue et nous a dit d'accompagner Chrailim au fiancé. Nous l'avons argué, alors qu'elle était plus mort que vif... Elle s'est suspise à nos bras, traînant les pieds de peu...

Uljan a remué le flamme, a farfouillé des branchages couvés et comme faisant le total de l'histore de Kul’zipa, elle a conclu:

Penses-tu que ç’est bien ? C'est une enseigne mauvais quand une jeune fille se met en travers de la route de ses parents, se dégonfle leurs bénédiction. De ce fait Meruert a achevé ses jours ainsi misérablement. Ayant mariée, elle a attrapé, dépérit et elle est morte. Pas de questions, est-ce qu'on peut réveiller l’âme des ancêtres? En ce temps-là les gens quelquefois avaient peur de colère céleste. En ce temps-là l'anathème coûta quelque chose. Et maintenant?

Il n'en est rien. Presque tous les jours de ma vie les filles s'enfuient à ses amants. Et elles ne veulent pas regarder les larmes des parents. Et il n'y a pas de châtiment qui les tienne d'avoir peur. Il arrive qu'elles sont là comme rat en paille, fondent une famille...

-    Pour quelle raison, chechej? Est-il possible que de nos jours l'anathème des parents a perdu sa valeur ?

-    Quand le fin du monde vient, les vieux disent que les musulmans sont démérités de la grâce d'Allah. C'est vrai. Maintenant avoir beau anathématises, il n'y a pas d'effet.

Kul’zipa a encore déroulé dans la mémoire quelque chose, et elle ne pouvait pas se défendre de ne pas partager avec ses amies.[1]

-    Puisque tu dis vrais, chechei, a-t-elle répété ardemment, remuant les braises.  -C'est vrai. Aujourd'hui, les damnations n'adhérent pas humain. Est-ce que nous avons répondues à l'homme quant nous étions jeunes? ! Pas de questions de sortir sans permission du mari... Penses-tu? Le pêche le plus effrayant était désobéir au mari. Et maintenant? Maintenant jeunes belles-filles valisent eux-mêmes des montagnes des yourtes... Avant venue ici, j'ai visité Myrza-ag et j'ai vu: Rauchane-Calin offensée qui filait sa quenouille, et le mari raccommodait des croquenots... Et il a commencé à me pleurer: "Redressez votre belle-fille ! La vie ne vient pas à bien. Elle ne veut pas m'écouter." Je lui dit : "Pourquoi t'estimes-tu ? Zhaglar a persuadé des benêts à dessein pour tu être choisit quelque part. Et tu montes dans un bateau. Penses-tu pour de bon que en Aoul il n'y a que tu pour choisir? Tu as vu l'heure?Es-tu la plus balaise ? Je vois que le vieux à quelque chose près pleurer et je parle à belle-souer: « Obtempérez à ta mari, ma chers bru ». Elle m’a volé dans les plumes - quel scandale ! "Je n'ai pas besoin du conseil de quelqu'un! - crie-t-elle. -J'ai coupé net et j'irai! " et j'ai pris le nord. Je n'avait pas dire que: "Oibai, ne t'excite pas! J'ai chez moi telle furiese. Vas, fait comme tu préféres ! Reçois le baptême, si tu veux, il m'est indiffèrent!" Et j'ai lâché mes pied...

-    Eh bien, que cette désobéissante dise... Qu’elle dise... - a Uljan dit avec danger et l'animosité.

Zeynep boude Rauchane aussi. Hier, en préparant cuire le savon, elle envoyer la belle-fille la quérir pour lui aider de porter l'eau, mais Rauchane n'est pas allée, elle a dit au'elle était occupée.  Maintenant, ayant appris que Kul′zipa en a contre Rauchane, Zeynep a entré en colère plus blanc.

-    C'est son mari qui est en donner de tous, un barguigner sale! S'écria-t-elle! -Il a à prendre ses grands airs publiquement, s'égosille, et il ne peut pas avoir sa femelle!...  C'était lui, qui l'a acheté ! Il lui a dévoué le bétail, c'est-à-dire qu'il est sa patron ! Il la donnerait sur les fesses tant qu'on veut!

Zeynep grattait la pille dans le kazan avec telle colère bleue, comme si elle a compté le faire défoncer de part en part.

Enbidouillant cette discussion, Kul′zipa n'était pas sûre que les femmes l'auraient apportées un appui. Maintenant, en voyant la colère de Ulzhan et Zeynep qui a attaqué de front Rauchane, elle s'est enhardit. Elle s'est fait longtemps ses dents sur cette poulette. Quelquefois Bakentaj a apporté de la ville à Rauchane le tissu de la robe. Alors Kul′zipa a demandé : "Si la pièce reste, donne-la-moi. Je coudrai une chemise à bébé. Et Rauchane a répondu : « Vous êtes richards, comment devriez-vous avoir honte de mendier des pauvres? » Ne voilà-t-il pas que le cas d'aujourd'hui. Nenni, Kul'zipa ne redevra pas! Elle reverra tous ! Elle était tellement furieux qu'elle n'a même pas remarqué la fumée attaquait ses yeux. Elle voulait faire une avanie, offenser cette crâneur plus blanc. Elle espérait de surcroît que Zeynep pour ses paroles la donne le plus du savon...

Oh, chechey,- a Kul′zipa commencé, si on parle de tous, le fin ne sera pas. Le monde a perdu la boule. Qu'est-ce qu'il ne faut pas voir, pas entendre... Hier, Daukara et votre beau-frère ainsi que d'autre djiguites ont réuni chez nous. On n'y a chanté, que l'âme mortifie ! Allah, le ciel vous en garde! On dit que les communistes assemblent le Congrès. Tous ceux qui iront à leurs congrès, seront notés comme les communistes. Mais ce qui est devenu le communiste, ne pourra pas voir la face de Dieu outre-tombe. Sainte Dyrginbaj-Halfa a dit : "Il est péché prier pour les communistes morts. On ne peut pas les donner une toilette mortuaireIls, il faut les jeter à terre dans un trou." Voilà ce qu'il a dit. C'est lui qu’il en sait beaucoup !

Ulzhan s’est empressée de maintenir Kul′zipa :

-    Et tu, kelin, connais-tu Karim de Kdyrbaia ?

-    Eh, est-ce lui qui vend les cuirs ? J'ai entendu qu’on lui a parlé ! Certain Karim a pris la peau de notre vache l'année dernier...

-    Là, là, c'est lui. C'est lui. Sa fille a été recherchée en mariage dans un clan de Sara-Kyz. Elle a grandit, est devenue une jeune mariée, mais le fiancé est mort. Ensuite, on l'a fiancé avec beau-frère. Ne voilà-t-il pas qu'elle s'est connu avec un de "toré"1 de la ville l’année passée. Ils ont rencontré, par conséquent, ils se sont acoquinés et ont décidé de se marier. Les parents quasi ne savaient rien et les frères préjugeaient. Une fois "toré" est venu pour la jeune fille. Il n'était pas seul, il est venu avec un milicien!

-    Ha, qu'ils soient infidèles ! Qu'ils soient athées ! Eh bien, dites-moi plus. Est-ce de la part de mère ?

-    Et la mère ? De quoi! Elle a crié, braillé, s'est agriffée à sa fille. Et la fille lui a dit: "Ta paix! Je n'ai pas besoin de toi. Je vais avec mon amour." Et elle a juché elle-même sur le briska chez le milicien...

-    Astapyralla! Dieu me préserve! Quelle horreur, quel scandale!

-    Maintenant, on dit que cette fille était arrivée à son aoul native. Et tous se sont tenus les gorges avec l'étonnement.

-    Elle a mis bas tous les vêtements. Elle s'est attiféee comme un maboul. Elle a porté les vêtements ajustés. Elle ne servit à rien, une julent bretaudée. C'est devoit être les vêtements de communistes. On a dit qu ‘elle a commencé à

porter la croisette...

-   Que dit-tu, chechey ? Est-ce vrai ? Pourquoi on n'a pas écarté cette effrontée sordide ?

-   Mon yeux! Comme puet-il l'écarter ?! Viens-y de toucher et elle dénonce à son communiste ! Et il emprisonnera à toute pompe... C'était Biy-aga aux yeux globuleux qui a désapprouvé et il a été pris par la peau du cou et remit dans la cabane. Il fait de la prison maintenant...

-   Oh, lala! Tu dit la vérité chechey. Les temps de troubles sont venus. Tout a bigorné... Pendant nos jeunes années on n'a pas osé jeter un peu les yeux sur Biy-aga, non pas que l'emprisonner...  Nous n'avons jamais enjambé le seuil de sa maison. Nous avions honte de lui mettre les yeux. Nous avons été dans nos petites chaussettes et n'avons jamais bu le koumis dans son yourte. Comment était possible?! Oh, que le temps ait été glorieuse !

-   On dit qu'il était impliqué dans le vol, a Riach poulette observé soigneusement, ayant accroupie près de l'entrée.

Les femmes âgées, s'accroupissant autour de la flamme, toutes ont tourné vers elle. Et Zeynep l'envisageant a fait claquer la langue;

-   Pourquoi t'accroupi, impudique?  Fichtre, comme tu zieute ! Pourquoi t'es enhardi-tu, mocharde ?

-   La jeunesse moderne est à l'affût de commérages, a Kul'zipa ricané.

-   Allah soit loué que cela n'arrive pas à Russes. Et ces gens, - Zeynep a regardé la poulette encore un fois et s’est mise à mélanger la masse dans le kazan, - ils passeront aux communiste immédiatement.

Riach a éclaté, étouffés par la colère, et des larmes ont monté ses yeux.

-   De quoi! ? Et J'irait ! Est-ce qui sont allé à Russes étaient moins bonnes que moi? !

Elle s'est levée d'un saut et est sortie de l'yourte.

Les vieilles ont fait claquer la langue méprisant. Zeynep a gratté plus furieux le fond du kazan avec une pelle.

-   Eh, qu’elle soit merdeuse ! Attends, le mari arrivera et je l'apprendrai à enfiler les cordons de ta peaux ! Si je ne l'apprends je ne serais pas Zeynep !

-   Astapyralla! Comme ose-t-elle dire les cinq lettres, une petite vilaine!

-   Bien... Il est évident que le fin du monde approche...  Vieilles femmes ont hoché les têtes effondrement.

L'heure de la prière de midi est venu. Vieilles femmes, ayant encapsulé des pièces chaudes du savon dans les jupes, sont rentrées aux yourtes.

II

Le compagnon sur le briska est allé vers l'amont sur la route caravanier noir. C'était Baken. Rauchane, sa femme portant le jaulyk a été assis à coté de lui.

« Toré », qui est arrivé hier au gouverneur d’aoul a ordonné Baken faire parvenir une femme à l’exécutif de volost où une grande réunion de femmes a fallu avoir lieu. Ce n'a pas vu en Aoul que le mari voyageait avec sa femelle sur le briska. Baken a pansé comme cela. Autre chose, si c'est nécessaire de visiter repas d'enterrement ou les parents de la femme, mais la femme comme ça, à sa [2]gré ou le caprice de quelqu'un d'autre, sortit de la maison quelque part - où avez vous vu? En fait la femme de Tmakbai est valétudinaire sur le dos par deux ans. Et Tkaùbai lui-même est un chenapan. Il dénie toutes les traditions. Ayant appris que les guérisseurs citadins soignent maladies de ce genre, il la charrie chaque jour à la ville. Tous les gens d'aoul lui rire aux dépens: " Regardez, disent-ils, le misérable s'est familiarisé avec sa femelle! Il a peur de sa femme ! Il ne l'ose pas désobéir !"

Parmi ceux qui volontairement gouaillent Tkambai, Baken était. Parfois il a dit :

-   Misérable ! Pense-t-il que si sa femme meurt, il ne retrouvera pas une autre ? Il devrait avoir honte des gens ou il la charrie en arrière pour le spectacle...

Et maintenant il charrie sa femme lui-même au vu et au su de tout le monde d'aoul. Et nulle part ailleurs, mais en plein dans le voloste. Il est certain que les gens leur rient aux dépens: Est-ce que ce misérable est allé à la boustifaille? Comment n'a-t-il pas honte de voyager avec sa femelle ? Regardez comment elle s'est vautrée!" On commencera à parler de toutes sortes. Il n'avait pas le temps sortir de Aoul, que les commérages avaient déjà arrivés à ses oreilles. Kul'zipa a claironné urbi et orbi en aoul: "Eh bien, le diable a attiré Myrza-aga! Il a pris peur que la femme chahuterait! Il est pour la porter à la ville..." Et quand il attelait le cheval la femme de Kairbai s'est radinée et a commencé dire les cinq lettres: «  Donnes- nous quelque chose de l'extraction de ta femme! » Voilà qu’elle soit vipère ! Pense-t-elle qu'il va à voloste pour produit? Ces temps ont passé depuis longtemps. Les gens dépensent beaucoup de salive...

Baken pétri d'amour-propre et emporté a fait rage du ressentiment et de l'indignation. Il a pensé mal de "toré" malencontreux, qui avait allé au président du conseil d’aoul hier. Almyray, est-t-il tombé fou?! Pourquoi faudra-t-il confondre les femelles? Que dira-t-il quand il les réuni?

Il n'y a rien plus cher que la tranquillité pour Baken. Tu te lèveras le matin, jeteras en foin à la bête, t'affaireras; puis, te fatugueras en peu, entreras la maison, tomberas à la cuisse de ta femme, prendras du thé sans se dépêcher, jusqu'à tu recharges tes accus, et quand le jour tombe, tu te coucheras, dormiras son content, de bon coeur. Baken ne rêve pas à plus.

Baken toujours était le pantouflard. Kazakhs nomment ceux comme lui le chien popote. Il n'a pas voyagé aux aouls comme d'autres hommes et il n'a contesté jamais sur quelque chose et n'était pas intéressé aux nouvelles d'aoul. Il n’est pas allé aux rencontres, élections, réunions. Et il repoussait répondre la question: "Te cantonnes-tu à la maison?". "Est-ce que je n'ai pas là vu ? Personne ne nous donnera pas un mot..." Baken n'est pas allé à réunion d'Aoul où les listes sur l'impôt agricole avaient composés. Est-il facile à un homme sur une étape sans marcher sur sa cour, tout à coup se rendre immédiatement à une « longue » route avec la femme portant le jaulyk blanc, pour la honte lui-même et la risée de bons ?

Baken l'a pensé pendant toute la route avec l’aigreur et le dégoût. Ses pensées se sont confusées. Sa front s'était couvert par la moiteur. Il s'est senti comme il avait pris part à quelque chose très honteux et fangeux. Et à la vue de passants, même si les gens étaient inconnus, il a baissé sa tête...

Des nuages ​​colorés bouclés flottaient dans le ciel d'automne. Le soleil badin s'est caché derrière eux comme belle fille sous une couverture et puis il s’est monté à nouveau. Il apparaît qu’il a agacé Baken. Le soleil déjà affaissé et embu cependant tapait de la sorte que Baken habillé chaudement et fermement, était en sueur. Cependant, qui le sait, s'il a pris chaud du soleil, du scandale ou du mouton racorni et grave ce qui correspond à le s'habiller seulment en hiver.

Ayant sorti par-delà une tombelle de Batyr, il a arrêté le cheval et a mis pied de l'araba. Dès aoul il était soufflé, bourru s'il s'avait mis mal avec sa femme. Et il n'a jamais regardé en arrière. Maintenant, tout à coup, ses yeux ont rencontré les yeux de Rauchane, elle souriait.

-   Eh, c'est une bonne chose de voyager de cette façon !

-    Dit-elle. -Combien de choses je viens de voir ! Combien de voyageurs, nous avons rencontré ! Et quand nous sommes allés passé le village, je ne pouvais pas déchirer mes yeux. Apyrmai ! Il n'est pas rassemblant à notre aoul, qui s'est noyé dans la boue, mais ce village est si propre, soigné. Et des maisons blanches ont tendu... exactement les oies. A quoi bon ! – a Rauchane respiré. -Oui.. Il n'y a que plus misérable que la femme. Elle a toujours des démarches. La femme est assis toute la vie à côté de l'affût, le kazan enfumé et ne voit rien bien.  C'est le destin des hommes n'ont rien à se plaindre. Ils voient tous, roulent ses bosses...

Elle a quitté un fichu duveteux et elle s’est levée sa face au vent. Sa sourire doux a dissipé une humeur de Baken.

Rauchane a respiré encore une fois. Les pensées tristes au destin de femme ne sont pas sorties de la tête. Pourquoi les femmes ne sont-elles pas égales aux hommes ? Pourquoi les femmes ne peuvent-elles pas visiter les places dont les hommes visitent ? Qui peut remédier à cette injustice ? Rauchane n'est pas considéré comme honteux d'aller, portant jaulyk blanc, avec son mari sur le briska. Et son embarras était désagréable.

Baken s'est trouvé près d'un cheval, a peigné la crinière par cinq, tapoté arrière-main et biglé sa femme. Sa face rose, les yeux souriants, le discours calme et judicieux lui étaient claires et agréables. Et avant s'il était en colère, il a suffit à sa femme de sourire, regarder dans ses yeux, car il a dégelé et a commencé à rire.

La même chose est venue pour cette fois. Et quoique ses pensées aux vieiles coutumes, porcins et rimeurs d'aoul l'accablaient pendant toute la route, dont les serraient poursuivre, mais c'était suffisant de le regarder et il a oublié tous ses affronts et mécontentements et était prêt à lui remplir tous les caprices. Et maintenant, il n'était pas contre s'asseoir à côté d'elle sur le briska et regarder le monde ensemble.

-    Ma femme! -Baken a dit gaiement. - Peut-être tu es obstiné et méchant pour d'autres gens, mais pour moi il n'y a que plus cher et plus aimable que toi. Laissez les potins tout ce qu'ils veulent, mais tu et moi, nous allons rire... D'ailleurs, tu ne vas pas seul. On dit qu'on réunit les femmes d'autres aouls. Donc, il n'y a rien de pleurer. Et tu n'iras pas à quelque part toi-même. Est-ce vrai ?

Ils étaient déjà gais quand ils sont venus de Kurgan. Baken était assis maintenant à côté de sa femme et elle souriait...

III

L'exécutif de voloste s'est trouvé dans une maison en bois sous le toit bleu. A côté de la maison trois ou quatre arabas se sont trouvées. Les femmes âgées emmitouflées dans fichus duveteux ont été assis autour.  Quelques hommes se sont morfondus sur la place. Comme d'habitude, tout le monde les a regardé - Baken et Rauchane. Baken a lu dans leurs yeux, pas de la sympathie, pas de la malignité: " Et tu, misérable, as porté aussi ta femme ici".

La vieille sans dents avec les lèvres creusées a regardé droit, avec mépris sur Rauchane, descendant du briska, puis elle a tiqué et commencé à chuchoter avec une autre vielle femme grêlée à côté de lui.  De quoi ont-elles parlé? Peut être "nous sommes les gens âgées, nos temps a passé et nous nous en bats les couilles. Mais pourquoi voyage-t-elle cette poulette? » Rauchane n'appelé pas l'attention sur cettes vieilles, mais Baken a pensé qu'elles parlaient là-dessus et il avait honte encore une fois.

Le paysan râblé comme un boeuf avec barbe de bouc, aux yeux globuleux a demandé à Baken:

-    De quel aoul as-tu venu, cher?

-    D'aoul de Tasybai.

-    Eh, cela veut dire que tu a porté ta femme à la réunion... Oui- et... quoi qu'on en dise mais le Pouvoir Soviétique démusele les femelles chiquement. Maintenant, elles seront... Tiens bon maintenant!

Il a regardé malicieusement sa vieille grêlée comme un crapaud.

-    Oibai, kudai, - a la vielle piaillé comme elle aurait se blanchi.  -Est-ce que je suis allée ici à mon gré? C'est pour notre Damatken familier... C'était lui qui avait notée! Comme puis-je oser porter une jeune fille à la réunion ? Elle n'a franchi jamais le seuil! Voilà...

-    Ferme-la, le chien! - lui a son mari coupé la parole.  -Comment je t'ai enseigné ? Tu dois dire que Dametken est malade et tu es allée à la place d'elle. Est-il comprend?

La vieille a commencé à ciller responsablement.  Elle a compris qu'elle avait lâchée le mot.

-     Oui sa... Je suppose qu’ils ne diront à personne, a-t-elle babillé. - Si le voloste moi demande, je lui dirai comme ça...

Un homme noir aux yeux globuleux était nommé Yermak. Dans son temps il était un gouverneur d'aoul et un biem-juge. Il n'a pas accumulé beaucoup d'argent mais il avait le pouvoir et a réglé les destinées d'aoul.  Tout cela a resté au passé. Maintenant, il était timide et peureux. Mais il n'a pas plu le pouvoir. C'est pourquoi il ne perd pas le cas rire en sous-main ses méthodes.

Quand il a parlé des faits et actions répréhensibles de gouverneur présents, biy a fait attention aux vieux bonnes temps.

-     Dieu de miséricorde, c'était un temps d'or, non réfléchi. Parfois Bokbasar, Kordabay et moi, nous avons embrayé en triomphe. Le premier jour nous avons nécessairement dormi chez Japake honorable. Mon yeux! C'est la dette sacrée visiter l’homme considérable ! La femme de Japeke, Bikasap-baibiché était une ouvrière pour régaler. Je me souviens l'année quand les élections avaient lieu, le voloste nous a invité. Eh bien, Bokbasar et moi, nous sommes allés. C'était l'automne. Alors, aoul de Japeke s'est trouvé dans un ravin. Nous sommes venus sur le déclin du jour. Dieu du ciel, comme ils étaient heureux pour notre arrive ! Baibiché a remit tous le viande existée dans une chaudière... Tu t'imagines, puis un plat énorme avec une viande grasse fumée était présenté devant nous. C'était une montagne entière! Nous avons bavardé et mangé. Nous avons mangé et parlé. On est venu pour prendre le plat, mais seulment quelques morceaux ont resté. Nous avons tous avalé! Mince de ?

Ayant pensé au passé Yermak s'est pourléché, s'est radouci et puis il est rentré au temps présent et s'est renfrogné immédiatement, a fait le nez, s'est contorsionné.

-     Est-ce que le monde vit aujourd'hui ? Les gens souffrent ! Tous s'en est allé en eau de boudin ! Nous avons passé ici beaucoup de temps si nous étions enchaînés aux arabas, mais pas un salopard ne convoque pas au thé.  C'est fou que le monde soit effronté!

Apyrmaj, y a-t-il que faire au-delà de porter les femelles aux réunions?! Eh bien, nous avons les apporté, à quoi bon? Ou as-tu vu que les réunions de femelles avaient lieu? Probable le fin du monde s'approche...

Yermak s'est démoralisé immédiatement, il a respiré lourdement et a commencé à tirailler le barbe de bouc.

La vieille femme grêlée a fait un signe de tête docilement:

-    La chose la plus blessante était un ordre de porter notre fille à la réunion. Ils ont dit comme ça : "Portes"! Nul doute que c'était Aoulnai qui ont ordonné. Qu'il crève plus vite! Il l'a noté pour nous contrarier!...

Yermak a regardé avec menace sa vieille femme et a dit: "Ferme-la!"

Un jeune homme déjeté, décharné avec une face clair qui était le secrétaire de l'exécutif de voloste est sorti et nous a invité au secrétariat.

Yermak a rabattu sa vieille femme de côté.

-    Regarde, - a-t-il dit avec menace,- si le voloste te demande, tu dois dire: « Dametken est malade, afin de ne pas d'engager votre colère, je suis venue moi-même avec mon vieil homme. N'oublie pas! "

La thibaude était étendue dans la chambre large d'exécutif de voloste. Les femmes ont pris les places timidement en demi-cercle. Rauchane et Baken ont été assis près du seuil. Yermak et sa vieille femme sont entrés en dernier, il s'est tenu en peu. Il s'est ettendu qu'on l'aurait invité à prendre une place d'honneur, mais ayant vu que personne ne lui a fait attention, il a pris la place près du porte.

Plus de trente femme et dix homme sont venus. Les faces des femmes ont exprimé une chose: nous avons vécu notre âge et mintenant nous somme tous de même. Rauchane était la plus jeune.

Une longue table était ici, au coin de la grande chambre.  Le président d'exécutif de voloste, le secrétaire et belle kazakhe noiraude mis choses citadines étaient à table.

Elle a été assis près du président et a passé en revue certains papiers.  Rauchane l'a suivi sans détourner les yeux. Elle était plue par tous: comme elle s’est tenue, comme elle a lu, comme elle a maintenu le stylo dans ses doigts tendres et comme elle a écrit.

Un jeune homme fauve qui était le président a sorti de la table après porte, a recraché nasybaj (le tabac pour chiquer) et puis il a chuchoté de quelque chose avec la jeune noiraud et il a dit à tous le monde:

-    J'annonce la conférence de femmes de voloste de Bostandyk est ouvert. Il est nécessaire de donner mandat à la présidence pour conduire la réunion.

Les femmes se sont regardées. Personne ne l'a compris pas et certains gens ne l'ont même pas entendu parce qu'ils étaient occupés de leurs conversations. Tous à coup la voix indignée a été entendu du coin gauche:

-    Allah m'en garde si je prends une seul pelote! Cette chechej noiraude fait tout un pataquès sur moi inutilement!

La femme a fait la moue avec l'affront et a commencé à dire quelque chose mais le président d'exécutif de voloste l'a interrompu:

-    Je vous prie de rester vos conversations!

Les femmes ont fermé ses bouches immédiatement et ont regardé en biais un jeune homme sévère.

-    Eh bien, les femmes, choisissez deux gens pour conduire la réunion.

La poulette noiraude, qui était à table, a regardé avec l’attention tous ceux qui avaient réunis. Son regard s'est arrêté à Rauchane.

-    Comment cette femme s'appelle-t-elle?.

"Dieu nous en préserve ! Serra-t-elle élit à n'importe ou?!" Baken a pensé avec l'angoisse et ayant se glacé il s'est trémoussé, a cillé rapidement.

-   La dame, épargne-nous, nous sommes les gens pauvres.  Nous n'avons pas même le chariot ; pour venir ici, nous avons demandé le cheval de Tmakbaj...- a-t-il parlé.

La poulette à table et le président d'exécutif de voloste, regardant Baken désorienté ont commencé à rire.

-   Nous ne choisissons personne par force. Nous voulons deux personnes pour conduire la réunion. Est-il comprend? Choisissez vous-même! La poulette a expliqué encore une fois.

On ne sait pour quelle raison Yermak a souri et a désigné Rauchane.

-   Cette poulette est convient à mon avis. Je propose lui donner mandat...

Ce coup tordu de vieux madré (il a laissé sa fille à la maison et a porté sa femme caduque au lieu de sa fille) a agité Baken et Rauchane.

Rauchane a voulu refuser, mais elle a hésité. Elle a plu la poulette noiraude du premier coup d'oeil.

Comment vous nommez-vous?-la noiraude a demandé gentiment.

-   Je m'appelle Rauchane.

-   Y a-t-il des objections à l'élection de Rauchane au bureau ? - le président d'exécutif de voloste a demandé aux gens réunis.

Ils ont comprend ou n'ont pas comprend de quoi il s'était agit, mais tous le monde a fait un signe de tête avec l'agrément.

Rauchane a tâché de rester à sa place près du seuil, mais elle a été invité instamment à la table et a fait asseoir près d'une poulette noiraude. Rauchane vibrait, ses mains et jambes se sont lignifiés, elle a brûlé, son front était couvris par une moiteur...

La poulette portant des vêtement citadins était nommé Mariamme. Elle était une administratrice du bureau féminin et elle est venue ici pour conduire la conférence de femmes de voloste.

On n'a attiré personne au bureau et alors le président d'exécutif de voloste a pris la place du secrétaire de conférence et Mariamme était le président lui-même.

Elle a annoncé l'ordre du jour et s'est mise à faire le rapport. Mariamme a dit vivement de la vie de kazakhe sans éclaircies en aoul prérévolutionnaire, elle a dit qu'on avait été fait danser la femme, on l'avait été marié par force à mal aimé, mais le Pouvoir Soviétique a liquidé l'arbitraire de femme, l'a rendu égal aux hommes, a mis son veto à la dot, la polygamie, le mariage par force. Il y avait même apparence que les femmes n'ont compris rien au début, mais le discours bouleversé de la conférencierère a commencé progressivement arriver à eux. Certains personnes ont fait claqué la langue avec la commisération et la sympathie.

-    Mais l'égalité n'arrivera pas en soi-même, - Mariamme a continué. Les femmes effondrées doivent battre eux-mêmes pour ses libertés. Le Pouvoir Soviétique se donne un mal de chien pour valider l'égalité en droits. Mais un effort est peu pour pouvoir. Les femmes doivent faire la preuve eux-mêmes l'égalité avec des hommes par les actions, elle doivent faire la preuve qu'elles ne déférent ni tête ni travail des hommes. Les organismes du Pouvoir Soviétique se trouvent en tous aoul. Cependant, y a-t-il des femmes dans ses organismes? Il y a peu de femmes. Il est évident qu'on peut rencontrer des personnes seules intelligentes, mais la majorité est asservi aux pénates. Beaucoup de femmes ne franchissent pas le seuil de l'yourte, ne vont pas aux réunions, ne prennent pas la part dans la vie publique. Elles ont honte, un timide effroi... Les maris et les parents sont en donner à cela. Ils barrent ses femmes et filles, ne les permettent pas, tâchent de les tenir à maison, entre quatre mur. Il est temps de finir ce arbus bravement! Du moment que les femmes sont égales avec des hommes, c'est-à-dire qu'elles doivent participer activement aux travaux publics comme les hommes!

Ayant fini le rapport, Mariamme a demandé si personne veut lui poser une question, mais les femmes ne se sont pas ouvri les bouches. Alors Yermak a demandé.

Dites-moi, doivent-nous porter nos vieilles au logis ou n'emporte ou encore?

Mariamme s'est mis à rire:

-    N'ayez pas peur...vous les porterez au logis.

Le fait que pas une femme n'a dit un mot a attristé Mariamme. Il était évident qu'on n'aurait rien fait marcher les vielles. Il y avait même apparence qu'elles ont voulu une seule liberté. C'était de retour au logis pour tirailler une toison, filer sa quenouille et prier Allah.

Mariamme tristée a regardé Rauchane et a souri:

-    Peut-être, voulez-vous dire quelque chose?

 Rauchane s'est tenue immobile. Elle vient de venir à bout de sa confusion. Et maintenant elle était demandé d'intervenir avant tous. La timidité l'a pris encore une fois, plus encore que lorsque elle s'avait approché de la table. Malgré cela elle a compris qu'elle a dû dire quelque chose. Elle a pensé avec une attitude de vaincu qu'elle a dû dire quelque chose du moment qu'elle avait invité à table. C'est l'usage ici. Rauchane désorienté a arrêté sa place avec tremblement. Ses lèvres ont sursautés. Sa bouche a été sec. Ayant compris que sa femme commençait à dire, il s'est glacé aussi. Oh, Allah, ne reste pas avec sa courte honte...

-    Que puis-je dire? - Rauchane a commencé. Si vous voulez je vous dirai quelque chose.  Tous ceux que cette femme a dit est la vraie vérité. La jeune fille de bij-aga aux jambes torves a été marié par force récemment dans notre aoul. Le fiancé a soixante ans. Erkejan a pleuré, n'a pas voulu le prendre un mari.  Alors, elle a été pris sur le briska et porté par force... Tous cela s'est fait sous les yeux d'Aulnaj... Mon mari a commencé à aller au mariage, mais je l'a arrêté et a dit: aie honte des larmes de jeune fille! Et Yerkezhan avait un djiguite aimé. Chacun l'a su. Mais il est un pauvre homme et Bij-Agha a refusé de lui donner sa fille. Il a ambitionné la bête. Mais la femme n'a pas besoin de la bête, elle veut son mari. Son élu. Voilà mon empaillé est assis, mais nous nous plaisons et vivons en bonne entente, gaîment...

Tous le monde dans une chambre a commencé à rire. Mariamme a souri aussi, mais elle a rappelé à l'ordre.

-    Je viens de dire quelque chose... Mais je viens d'oublier. - Rauchane a resté capot. -Bah! La femme ne sortit pas de la maison pendant toute sa vie. Et elle ne sait et ne voit que aoul. Mais quand je suis allée ici je voyait beaucoup. J'ai même vu mon village, de que je n'avait su rien. Dès avant j'ai pensé que le président de la voloste était inaccessible comme des étoiles dans le ciel, mais aujourd'hui je suis assite près de lui à table. C'est-à-dire que les femmes peuvent devenir humains si elles voyagent. Pourquoi pas? Il est évident que les femmes ont les mêmes cervelles que les hommes ont. Nos grand-pères ont dit autrefois : « Une bien femme peut faire humain du mari mal!" Il est clair qu'ils avaient des raison de le dire... Oui- et j'ai voulu dire ceci: Quand nous sommes arrivés ici, l'homme qu’il soit voici, - Rauchane a montré Yermak, - a été assis près de sa charrettes et vantait qu'il avait quitté sa fille écrit pour la réunion la maison et avait porté ici sa vieille...

-    Ojbaj, chérie, comment? ! Notre Dametken est tombée malade – ont Yermak et sa femme braillé d'une seule voix.

-            Que tu sois une petite vilaine! Jeune, jeune tu bavardes plus qu'assez! - ont les vieilles murmuré. -Pourquoi s'interess-t-elle à d'autres gens ?!

Puis Mariamme a intervenu encore une fois. Elle a plu le discours de Rauchane et elle l'a félicité.

-    Il y a bequcoup de femmes comme Rauchane, - a Mariamme dit. - Elles peuvent travailler au même titre que les hommes. Il vient que les femmes doivent être embauchées au travail soviétique, ils doivent être enseignées le travail. Alors les femmes ne céderont en rien aux hommes. Rauchane peut devenir la chef de femmes ilotes d'aoul. J'applaudis son discours!

Mariamme s’est mise à battre ses mains. Le président d'exécutif de voloste et quelques hommes ont applaudir aussi. Ayant vu comme sa femme était bénie et applaudie il a été au septième ciel.

Rauchane a été choisi comme une boîtiere pour le conférence, et il avait besoin de choisir une autre femme, mais tous les femmes avaient vieilles et alors le président d'exécutif de voloste a proposé de choisir la fille d'Yermak. Le vieux s'est chagriné, a chachuté. Il a commencé à exhorté de l'envoyer faire fiche au lieu de sa fille mais personne ne l'écoutait pas. Ainsi, la fille d'Yermak Dametken a dû d'aller avec Rauchane au conférence dans le district.

IV

La ville. Les maisons à un étage et les maisons à triple étages.  Le monde passent de long en large par les rues étroites, directes. Aussière qu'ils sont venus à la ville, elle a pensé qu'elle était tombée dans le monde absolument différent.

Ils sont allés par deux chariots, Mariamme était au premier, Baken, Rauchane et Dametken étaient au second.

Dametken et Rauchane ont été assis côte à côte. Elles ont regardé autour d'eux sur les côtés et ont échangé quelques mots, se sont communiquées.

-    Regardes, Dametken! Regardes ! Ojbai, qu'elle ait l'air empaillé ! Est-ce qu'elle s'est fait couper les cheveux? !

-    Et la robe, regardes...

-    Mascara! Quelle honte !

-    Elle a des jambes nues, comme elle trottine!... ça me plie !...

-    Damnation! Tire-toi, chajtan!

Quelque chose a pétaradé, a tonné à côté d'eux. Baken a bousculé Rauchane à l’épaule:

-    Dehors, dehors ! L'araba est sans cheval !

Allah... C'est une sorte de sorcellerie...

Cinq chameaux sont allés à la queue au milieu de la rue. L'automobile sonnant a passé devant eux. Ayant pris peur les chameaux se sont jetés de côté. Rauchane et Dametken ont sursauté. L'automobile a passé si vite, que Rauchane n'a pas avisé des gens. Elle a fait remarquer seulement une femme avec des lèvres peintes...

Les cheveux se sont arrêtés.

-    Voici est mon appartement. Venez chez moi, - a Mariamme dit souriant.

Les jambes de Rauchane se sont engourdies et elle les a bousculé difficilement.

La femme et l'homme ont passé bras dessus devant eux et ont lorgné des compagnons étrangères avec étonnement. Rauchane en a resté assis. La femme était efflanquée, haute comme le grue, avec le nez bossu et des yeux blanchâtres comme le sel. La face était pâle comme elle a été givrée par une marine, les lèvres sont rouges sang et fardés. Rauchane n'a pas résisté et s'est mise à rire.

-    Que Dieu ait fait une caricature à cette pauvre!...

Mariamme a habité dans une de chambres derniers d'une longue maison en maçonnerie.

Sa décoration s'est composée du lit de fer au coin, la table et quelques chaises. La pile de livres étaient sur la table près de laquelle  l’album photo s'est trouvé près.

Mariamme s'est affairée. Elle a porté un seau d'eau pour les visiteurs pouvaient se laver après la voie. Elle a accommodé vite le thé, a mis le couvert, a mis des plateaux avec des bonbons et d'autres douceurs.

En ce temps-là la femme noir, grêlée avec les yeux ovins et ayant saluée Mariamme, elle a commencé à parler. Elle a bredouillé fervemment, volubilement. Les mots opaques comme "le journal", "le spectacle", "la soirée" sont sortis de ses bouches. Le bavardage de cette femme noir a étonné Rauchane.

-    Est-ce que cela signifie que le spectacle aura lieu aujourd’hui? – a Mariamme demandé encore une fois.

-   Pourquoi pas? Bien sûr! Et le concert aura lieu après le spectacle ! Et j'en prends part. Et Batsai dira des poèmes « Une femme libre ».

Et les nouveaux citadins infinis ont coulé encore une fois.  Mais tout à coup la femme noir a souri mystérieusement et a dit :

-   As-tu écouté? Il est venu...

-   Qui ?

-   Abil ! Soit dit en passant, il a demandé de toi. J'ai dit que tu aurais retournée bientôt... Quand t'arrives au spectacle tu le verra sûrement.

Mariamme s'est rougie, s'est décontenancée et s'est bouclée et ils ont pris du thé restant silencieux.

Après le dîner Rauchane et Dametken rétamées ont commencé à dormir mais Mariamme a répliqué bravement.

-   Que devenez-vous? Une fois que nous sommes arrivées à la ville, il faut regarder le spectacle.

Baken avait déjà quitté ses habits et s'avait couché. Rauchane a su que son mari aurait les boules si elle part, mais elle n'a pas résisté la demande de Dametken passionnée. Mariamme a invité Baken au théâtre, mail il a repoussé:

-   Je ne veux pas... Je suis fatigué...

Les falots se sont allumés comme les étoiles. Les gens sont allés en foule comme les glaçons pendant débordement. Rauchane et Dametken ont passé le long dans la rue, regardant de côté et d'autre avec curiosité et se sont trouvées face à face avec passants à l'infini. Rauchane a trébouché une fois et s'est même affalée.

Rauchane s'est arrêtée près du magasin avec des vitrines gais et a résilié planté sans avoir valeur pour détourner le regard.

-   Apyrmaj, pourquoi on n'a pas été porté cet étoffe à l’aoul?

Et Dametken s'est approchée du vitrine, a fixé avec étonnement:

-   Regardes...c'est la même robe de satinée rouge comme la femme de Nauchabaj a.

-   Elle est belle-fille d'une classe huppée. Il est évident qu'ils sont allés ici spécialement...

-   Que la peluche soit!

-   Oui, tous les vêtements sont coûteux...

-   Jésus! Que les talons de chassures soient grands. Très hauts! Comme les porte-t-on?!

Dametken a regardé en arrière avec inquiétude.

-   Oh, Rauchane,qu'est-ce que faire ? Où Mariamme est-elle? Nous l'avons laissé passer.

-   Qu'est-ce que tu dis?

Ayant perdu le souvenir de magasins et marchandises, elles se sont mites à chercher Mariamme et ont perdu pieds complètement.

-   Dametken, chérie, sais-tu d'où nous sommes venues?

-   Nous sommes venues du côté, - la fille a montré.

-   Non! Je pense que nous sommes venues d'autre côté...

Les femmes ont tourné en rond, ont regardé de côté et d'autre et elles ont compris qu'elles s'étaient trompées de chemin.

Un jeune homme portant des vêtements citadins est sorti précipitamment du côté. Rauchane l'a regardé avec l’espoir. Mais il a visé du coin de l'oeil à eux et a passé dessus.

-   Dametken, je pense qu'il est kazakh. Peut-être, faut-il demander la route?

Un jeune homme s'est retourné :

-   Et où allez-vous ?

Ayant assuré qu'il était le kazakh en fait, les femmes se sont jetées devant lui. Il avait petite moustache sous la forme de mouche et des lèvres épaisses. Il avait la face grise et était déjeté.

Rauchane, soufflant difficilement a dit:

-   Nous sommes venues ici d'aoul aujourd'hui. Mariamme nous a porté à la réunion de femmes... Nous sommes allées à la pièce, ont regardé les marchandises du magasin et ont perdu Mariamme. Nous ne savons pas que faire maintenant...

Djiguite a souri avec condescendance. S'affichant il a pris du poche un paquet de cigarettes et l'a proposé aux femmes:

-   Fumez... n'ayez pas peur. Si vous avez besoin de Mariamme, je la trouverai maintenant.

Ces mots ont apaisé Rauchane immédiatement et pour ne pas faire l'injure du djiguite galant elle a pris une cigarette du paquet et l'a collationné.  Elle a donné d'autre cigarette à Dametken. Le fille a secoué la tête et avait même un haut-le-corps, mais Rauchane s'est mis une cigarette dans son bras.

-   Il est incommodément de refuser, - a-t-elle fait remarquer, quand un jeune homme qui est ton contemporain offre quelque chose...

L’homme inconnu s'est épanouit, a souri et a commencé à parler facilement et aisément.

-   Ah, tu dis vrai, djengej! Ha, vous avez tombé juste! Un donne et d'autre prend. C'est un charme de la jeunesse. N’est-ce pas, djengej?

Il s'est approché de Rauchane et elle s'est dérobée avec ambarras, mais, ayant compris qu'elles n’auraient pas trouvées Mariamme, elle a abattu son orgueil et a pris l'aspect de l'assujettissement. Djuguite a dit quelque chose avec vivacité, a ri, a badiné, ainsi il s'est serré contre Rauchane plus étroit et enfin il l'a pris par sa main.  Rauchane a sursauté, s'est échappée, a ballotté.

-   Non mais! Pourquoi désordonnez-vous vos mains?! –a-t-elle crie.

Djiguite s'est mis à rire :

-   De quoi as-tu pris peur, djengej? Il est dans l'usage d'aller bras dessus ici. Autrement - c'est une honte !

-   Et pourquoi ne voulez-vous pas aller à Kazakh ?

-   Je répète, c'est une honte si ne pas aller bras dessus! Djengej, tu dois comprendre que les gens rirons. Ils diront : "Regardez-les, ils avancent cahin-caha comme les tout-fous.

Rauchane n'a pas su que répondre et a regardé Dametken avec embarras.  Maintenant elles allaient le long de la rue mal illuminée et il n'étaient pas possible regarder les faces des filles. Rauchane a pensé in petto qu'il était importuné Dametken d'aller avec djiguite parce qu'elle était une célibataire.

-   Dans ce cas il est préférable de vous allez bras dessus avec sette fille, - a-t-elle dit...

La maison à un étage s'est trouvée au coin de la rue. Les falots flavesçaient tout autour. Le monde s'est massé devant l'entrée. Certains entraient, d'autres sortaient. Dametken, Rauchane et un homme inconnu, ils se sont approchés du porte.

-   Dans cette maison nous trouverons votre Mariamme, a djiguite dit et a glissé en premier dans la foule. Rauchane et Dametken ont glissées auprès de lui.

 Elles sont entrées dans le hall spacieux, plein de gens. Tous marchaient bras dessus deux par deux ou trois par trois en rond, comme dans un jeu bruyant de « Han Kubelek ». Tous ceux que Rauchane avait vu jusqu'ici était rien au respect de ceux qu'elle a vu ici. Elle a fait remarquer beaucoup de kazakhs ici.

-   Mariamme est sortie quelque part. On dit qu'elle viendra vite. Et nous serrons dans le buffet en attendant, l’homme inconnu a proposé et a pris sûrement Dametken sous le bras. La fille bronchait comme un chapelon insubordonné, mais maintenant l'attitude d'homme avec la face grise n'était ni infâme, ni étrange parce que tous dans l’halle marchaient bras dessus. C'est à dire qu'il est d'usage

dans cette ville, a-t-elle décidé...

Une grande chambre carrée s'est déclenchée avant eux. Il y avait des fenêtres avec hauteur de humain et les miroirs jusqu'au plancher. Au milieu de la chambre il y avait des fleurs dans les pots et auges. Quand ils sont entrés Rauchane a regardé avec étonnement que le djiguite traînassait la fille kazakhe très noiraude et après eux certaine femme avec les yeux ronds et le jaulyk sur sa tête avançait cahin-caha, béant.  "Ha, cela signifie que les femmes sont allées au spectacle", a Rauchane pensé in petto, mais s'approchant du miroir elle a vu son image et s'est mise à rire involontairement.

Le djiguite les a fait asseoir à la table et le Russe avec une longue moustache dans la ménager blanche a accouri à eux à ce moment.

L’homme avec une face grise lui a murmuré quelques choses drôles et le servant nous a porté six boutanches noirs avec une gorge serrée et trois verres épais.

Rauchane et Dametken ont échangé des coups d'oeil avec étonnement.

Il apparu comme le djiguite était très content et fière d'être parmi deux jeunes femmes. Il a levé sa tête, a pris une boutanche et souriant, il s'est mis à remplir les verres par quelque chose d'ambre et rocher.

-   Qu'est-ce que c'est, chéri? – a Rauchane dit.

-   N'ondulez-vous, djengej. C'est un koumys citadin. Allez donc faire boire un coup...

Le djiguite s'est mis à rire, a conné les verres de femmes par son verre et a bu tous entièrement.

Rauchane a voulu boire longtemps et le mot "koumys" a provoqué une soif. Elle a touché son verre avec ses lèvres et s'est sentie immédiatement la flaveur saumâtre et inconnue.

-   Ojbaj! Je ne boirai pas cette vilenie!...

Mais un jeune homme s'est mis à exhorter les femmes de faire boire deux verres de la bière par force. Il a bu trois boutanches tout d'un coup, a recouvré sa gaieté, s'est rougi et parlait sans arrêt de tous. Il a donné impression de bonhomme, bon diable et tous les deux femmes l'ont écouté béant.

Tout à coup il s'est reprendu et a dit subitement:

-   Vous ne savez pas que je sois! Je crois bien! Sâchez que je sois un instructeur du bureau payeur du district. J'encaisse cent et cinquante roubles chaque mois. Je m'appelle Abdich...

Dans  l’imaginaire de Rauchane cent et cinquante roubles étaient militasse. « Il est clair qu'il soit un grand sachent » - elle a pensé in petto. Il était étonnement que tel grand sachent ait perdu beaucoup de temps à eux et a condescendré aux parlés aux femmes d'aoul.

-   Est-ce que cette poulette est-elle recherchée en mariage? – a-t-il désigné Dameken.

-    Elle est recherchée en mariage, - a Rauchane répondu.

-    Et, bien, est-il votre mari non aimé ?

Rauchane n'a pas su qui  le fiancé de Dametken ait été. Et la fille

n'a pas su lui-même que son fiancé ait été bon ou mal. D'ailleurs, elle s'est rougie et est restée silencieux. Abdiche a continué sans attendant la réponse :

-    Et aujourd'hui il est égalité en droits! C'est le temps qui est arrivé. Les femmes ne doivent pas s'isoler, avoir honte. T'amuses-tu et te promenes-tu avec ce qui tu plais.. Le temps réprouvé quand on a marié à non désiré a fini. Aujourd'hui les femmes ont une liberté absolue!

Il a approché la chaise et s'est tenu à Dametken. Ensuite il a couvert sa main par sa paume et s'est mis à aviser et remuer les anneaux trouvant sur ses phalangues.

-    Ojbaj, ça sonne! La fille a souri avec gêne tâchant de retirer sa main.

-    Vous exagérez ! La pigeonne, je ne vous ai fait rien de mal pour souffrir. - Abdiche a souri et a emprisonné la main de la fille.

-    Ah, vous êtes voici! - la voix de Mariamme s'est entendu au dos.

Rauchane s'est levée d'un saut de la chaise. Abdiche s'est retardé de Dametken au plus pressé.

-    J'ai vous cherché en tous lieux! – a Mariamme dit. -J'avait courue même au logis. J'ai pensé que mes visiteurs s'étaient trompées de chemin...

-    Eh, si ce n'était que moi, - Abdiche a remarqué et s'est mis à dire comme il avait sauvé les visiteurs de Mariamme.

Ils sont entrés en troupe à la salle de spectacle. La musique a sonné. Les gens ont pris leurs places densément, la ligne près de la ligne.

Rauchane, Dametken, Mariamme et Abdiche ont été assis au milieu. Rauchane a recouvré sa gaieté et sourait tous le temps. Maintenant, assis à côté de Mariamme, elle se sentait très confiante.

La musique s'est arrêtée. La lumière s'est éteindue. Le rideau s'est ouvret. La bois fourré a pris naissance avant les yeux de spectateurs.  Les montagnes ont remonté dans le mirage au lion du horizon.  Le lac a bleuit éclatement. Les manades ont brouté tout autour...

Ayant oublié tout Rauchane a regardé la scène avec fascination...

V

 La conférence de femmes du district s'est ouverte le jour troisième après l'arrivée de Rauchane et Dametken. La salle du théâtre était pleine. La majorité de femmes réunies étaient les femmes entre deux âges. Il n'y avait pas beaucoup de jeunes filles et poulettes. Mais on pouvait rencontrer les vieilles caduques de loin en loin.

Quand la présidence a été choisie, Rauchane a été nommée encore une fois. De même qu'alors, dans le voloste, elle a dû s'assoir à la table longue avec les directeurs de conférence. Cependant, par rapport à la réunion de voloste, il y avait un certain nouveau : les femmes se sont réunies plus beaucoup et il n¢y avait pas d¢un homme dans la présidence.

La femme russe était première qui a prise la parole. Après, un jeune kazakh s'est monté à la tribune avec un sac de cuir sous son aisselle. Rauchane l'écoutait avec attention. Elle s'est intéressée à ceux qui ce djiguite disait, cependant elle n'a pas compris un mot et comme il a apparu à Rauchane tous son discours s'est composé d'un mot "signifie".

Une femme est allée le long des galeries avec une laisse et a commencé à donner des papier aux assistants.  Elle a donné une grande feuille pliée en quatre avec des grandes lettres moulées à Rauchane. Est-ce que je dois faire? Elle a louché les voisins. Les femmes dans la présidence ont déplié ses feuilles et se sont penchées sur eux. Alors elle a aussi déplié sa feuille et elle a vu dès l'abord certain photo au milieu. Mon Dieu; qui est ça? Est-elle une vieille sans dents?... Raujgan n'a pas d'abord reconnu elle-même.

Un employé du journal l'a rencontrée dans le bureau de femme hier et il a noté son nom et prénom. Elle a dit son nom mais elle n'a pas osé dire son prénom. Alors Baken l'a aidé ayant dit que le prénom de sa femme est Chokparbaeva.

A l'instant même le russe avec des cheveux longs l'a fait asseoir sur la chaise et s'est affairé autour d'elle en disant qu'il la photographiait. Et aujourd'hui sa photo a en effet  apparu dans le journal.

Encore une femme a rapporté en kazakh. Elle parlait très simplement et clairement et ses paroles “qu¢une femme kazakhe qui a été vendu comme le bétail doit avoir une vraie liberté”, sont tombées dans l'âme de Rauchane comme le commandement du vaticinateur. Beaucoup de gens dans la salle aussi écoutaient l'orateur avec tumulte. Mais il y avait des gens mécontents. Ils se chuchotaient, regardaient de tous les côtés et ils repiquaient eux-mêmes habituellement en signe d¢attendrissement- Rauchane en assissent à la tribune sur la scène, voyait tout ce qui se passait dans la salle. Ses yeux se sont tombés sur une jeune femme vêtu simplement mais avec soin. Rauchane a plu sa minois ronde avec rougeur. La tête de la femme a été couvert d¢un châle soyeux. Elle écoutait et notait quelque chose de temps en temps.

Rauchane avait ses yeux fixés sur cette femme.

Après les rapports la présidente de la réunion a demandé si les délégates avaient des questions et personne n'a répondu de nouveau comme dans le voloste. Seule

-    la femme dans une châle soyeux s¢est relevée de sa place et en regardant ses notes elle s'est mise à poser des questions l'un après l'autre...

Le soir, après la réunion on buvait du thé chez Mariamme. Ensuite une hôtesse est sortie pour faire ses affaires et Baken est allé à abreuver le cheval.

Rauchane et Dametken se sont emmerdées dans la chambre, elles sont sorties dans la rue et se sont assises sur le selle près du porte cochère. Elles se sont mises à se souvenir de tous ceux qu'elles avaient vu et avaient enduré pendant deux jours derniers.

-   Ils se trouve que nous avons habité comme dans obscurité.

Nous n'avons pas même une idée du monde. C'est maintenant que j¢ai compris que la vie est intéressante, a dit Rauchane en soupirant.

Deux hommes marchaient le long la rue. En passant outre le selle, ils ont basculé tout à coup et se sont approchés de Rauchane et Dametken.

-                                                 Bonjour, jengej !

Il s'est trouvé que c'était Abdiche. Un djiguite inconnu et trapu était près de lui.

-                                                 Et bien, ma chère, permettez-moi de presser votre main gentil, a dit Abdiche en s¢assissant près de Dametken.

                          Les femmes maintenant ont commencé à lui parler comme à une vieux connaissance.

Ce temps-là, ayant fait toutes les affaires, Baken a repassé la porte cachère.

Rauchane a appelé son mari, l'a présenté à Abdiche, a dit que c¢&tait lui qui les avait aidés cette première soirée quand ils se sont perdus dans une ville étrange.

-                                             Pourquoi restons-nous assis? - a demandé Abdiche. -N'est-il pas préférable de faire une promenade ? Peut-être vous, vénérable, - a-t- il hoché la tête à Baken, - irez avec nous ?

On n'a pas objecté. Après tout, la ville est toujours pleine de tentations.

Abdiche a pris Dametken bras dessus et il est allé en avant. Un djiguite trapu a trottiné en derrière, mais à bientôt il est arrivé près d¢ eux et il s'est accrocher à la fille de l'autre côté.

Alors Rauchane a croché Baken bras dessus. Il s'est mis à refuser, il s'est retiré, mais Rauchane a dit à son mari : il n'y a rien à faire, c'est une habitude de cette ville. En marchant elle comblaient Abdiche: apparemment Il était agréable et jeune, et d'ailleurs, il gagnait d'argent.

Abdiche s'est arrêté près de la maison en briques à un étage au coin de la rue.

-                                            Voulez-vous, mon honore, venir ici et boire quelques bières ? - a-t-il proposé.

Baken était flatté : "Un homme qui gagne d'argent", c'est à dire un chef important a nommé Baken respectueusement honore et l'a même invité à boire de la bière. Pour la première fois il avait la chance de déguster cette boisson chez Murache, quand ce dernie avait été élu comme le chef du voloste et dès lors il avait bon pour l'âme d'un seul mot « bière » .

Ils sont montés àu premier étage et sont entrés dans une longue chambre d'angle. L¢ampoule électrique était allumée faiblement. Sa chambre paraissait sombre dans une miroitement rougeâtre.

Ils se sont installés à une table ronde. Abdiche a tapé un coup et une fille rousse en bataille dans une ménage blanche a immédiatement couru à eux.

-   Une demi-douzaine de bière! - a dit Abdiche.

-   Fait-la tomber à plat ! - a grimacé Rauchane, - Nous ne la boirons pas.

Un homme trapu a poussé Abdiche:

-   Des douceurs pour les femmes.

↑ Ce n'est pas de refus, - Rauchane a souri.

-   Oui, jengej ! Je vous tirerait de l'huile d'un mur! -Et Abdiche a lancé à la volée sa casquette sur la table.

Peu après six bouteilles de bière et deux bouteilles de vin de porto ont été alignés en rang sur la table. On a versé le vin aux femmes, et les hommes ont commencé à boire de la bière. Ayant drainé les gobelets deux ou trois fois, tous ont ranimé et la conversation devenait de plus en plus joyeuse. Rauchane interrompait les hommes de plus en plus fort, et Baken s¢est mis à dire des tels bourdes que Damictin taciturne et sérieuse s¢est déridée et s'est mise à rire tout à coup comme le soleil derrière les nuages.  Abdiche comme par mégarde lui s'est approché de plus en plus près, il a pris sa main et il a même tâché de l¢embrasser une fois.

Un homme trapu a pris la place près de Rauchane. Chaque fois En versant encore du vin chaque fois, il l'a appelée gentiment « jengej »-« tante », comme par mégarde il a touché ses mains. Quand après des longues persuasion le dernier verre du vin a été bu, le trapu a pris la main de Rauchane sous la table et il l'a serrée. Et elle échauffée par le vin a louché le djiguite, s'est mise à rire et elle a aussi serré sa main.

-   Honorable, si bouvons-nous du eau-de-vie? - le trapu a-t-il demandé Baken.

-    Oh, cher, c'est votre volonté, - a répondu Baken, en riant. -Les rênes sont maintenant dans vos mains...

Baken s'est enivré évident, cependant il a bu trois petits verres de vodka l'un après l'autre. Maintenant il ne tenait pas debout, il a voulu aller à l'extérieur, il s'est levé avec peine, il a chancelé, il a tâché de rester debout, mais il a frappé le mur, s'est effondré sur le sol et déjà allongé sur la terre, s'est mit à rire à toute la salle. Il même essayeait de murmurer quelque chose, d'expliquer quelque chose, mais il avait la mâchoire lourde...

Rauchane se sentait fantastique cependant, mais ensuite elle a eu des nausées, ces yeux étaient porcelaines, elle a été pris de vertige...

 Elle ne s'est pas souvenue combien de temps cet oubli capiteux continuait. Ayant ouvert ses yeux, elle a vu que Abdiche embrassé et baisait Dametken.

-            Que fais-tu, ribaud? - a-t-elle crié.

-    Ne fais pas des papouilles à une fille d'autrui! Elle n'est pas ta fiancée ! Laisse-la en paix!

Elle a voulu se lever, voler au secours de la fille, mais alors quelqu'un l'a serrée dans ses bras en derrière.

-   Laissez-les en paix, jengej ! - a chuchoté le trapu à son visage. -Laissez-les s'amuser ! Et nous nous amuserons aussi !

Il s'est serré contre elle, a reniflé difficilement et l'a adhérée avec ses lèvres humides. Rauchane a tressailli de dégoût. La biture est sortie immédiatement de sa tête, elle a poussé avec force le trapu dans la poitrine. Il n'a pas attendu tout à fait cela, il a basculé et il est tombé sur la table. Les bouteilles et les verres sont tombés avec charivari et vacarme sur le plancher.

-   Quelle horreur?? Qu'est-ce que se passe ici? - s'est faite entendu une voix forte en derrière.

Rauchane a retourné et vu un policier-Kazakh.

Le trapu s'est levé et en roulant ses yeux, a tâché d¢embrasser Rauchane encore une fois. Un policier l'a arrêté.

Rauchane a repris ses sens enfin. Elle s'est pendue le manche d'un policier et s¢est mise à pleurer.

-    Défendez-nous, mon cher ! Soustrayez-nous de ses... salopards !

VI

Rauchane s'est réveillée et a levé sa tête. Elle regardait autour de soi avec étonnement pendent certain temps, n¢en comprenant rien, a frotté ses yeux et a regardé autour d¢elle encore une fois. Baken dormait plié, dans la roupane sur le lit près d¢elle.  Oui, oui, le même comme toujours, son mari Baken. Et la balafre sous l'oeil et un grain de beauté noir sur son nez et les moustaches rares en broussailles serrés, qui s'étaient toujours hérissées,-tous cela était très familier à Rauchane.

Elle s'est tournée vers l'autre côté et elle a vu Dametken. La fille échevelée et aussi dans la roupane ronflait béatement. La courtepointe était sous elle, l'oreiller se trouvait sous sa tête...

Le lit de Mariamme s'est trouvé dans le coin gauche de la chambre. Encore une photo était sur le mur au-dessus du lit près de la photo de Mariamme. Un homme vêtu galant des moustaches ras regardait tendrement la hôtesse de la photo. Ces photos Rauchane a fait marqué le premier jour de l'arrivée. Mais alors elle a lancé un coup d'œil rapide sur elles. Et maintenant ellle ne pourrait pas se détacher, de plus elle les regardait, ses pensées devenaient plus claires, le brouillard dans sa tête dissipait et les événements de la dernière nuit se rappelaient de plus en plus clairement, Rauchane a tremblé. Qu'est-ce que s¢était passé? Les visions vagues ont nagé sous ses yeux: ils marchaient bras dessus, voici était la bière, la table encombré des bouteilles  Abdiche en rejettant des cheveux longs, rit faux, choque des verres, propose de lever un verre de... Le plus Rauchane s¢est souvenue, le plus la colère l'a gagnée. Tout à coup, sans savoir pourquoi, elle a sauté et s'est jetée vers la photo sur le mur. Elle lui a déjà étendu les bras branlants, mais alors son regard est tombé sur une autre photo sur laquelle Mariamme souriait. Rauchane a repris ses esprits. Encore un moment, et elle mâchurerait la photo de djiguite étranger ! "Le ribaud ! Il est clair qu'il est le même gueux que Abdiche. Il est évident qu'il aussi veut courtiser une fille pure, innocente ! Ils n'ont pas la conscience, ces éduqués!" a-t-elle pensé avec fureur. Il lui semblait que si elle a mâchuré la photo de ce gommeux, elle défendrait Mariamme et jugerait le gommeux. Mais à ce moment une autre pensée est allée à sa tête: Mariamme est tout à fait inhabituelle, certaine femme spécifique. Personne n'osera pas la faire ce que ces deux gommeux nous ont fait. C'est à dire il n'y a pas de raison pour mâchurer la photo. Il est possible que cet homme est son parent familier ou même son oncle ou son frère. Comment expliquera-t-elle puis son action à Mariamme?

Et ayant baissé la tête Rauchane est rentrée au lit. Elle sentait une lourdeur inhabituelle dans son corps, elle avait mal à la tête, il battait dans ses temples. Ses mains et pieds tremblaient, qu'après une maladie éreintante. Elle s'est couchée près de son mari et s'est mise à penser. A ce moment elle a imaginé les accident différents de sa vie passée.

Elle est une jeune fille de tout point. La djengé-tente en badinant et en riant, lui courit et la demande sunchi - un cadeau pour nouvelle heureuse. Il a apparu que le fiancé était arrivé. Il faut se réjouir de son arrivé. La jeune fille à laquelle on demande en mariage doit être gaie. Et elle se force à sembler gaie et gentile, fait tous les instructions des tentes tapageuses... Le fiancé est Baken. Pendant le première rendez-vous, il dit qu'il aime passionnément Rauchane et promit de l'aimer, la chérir et ne pas l'offenser jusqu'à son lit de mort. Cinq années ont passé et Baken n'a pas altéré son mot une fois. Il l'a aimé et ne rien l'a refusé.

Ils avaient un mal: Allah ne leur a pas donné les enfants. Après avoir appris que certains baksy-chaman connaît un remède contre l'infertilité, Rauchane a voulu s'adresser à lui et quand elle a doucement parlé de cela à son mari, il a pris des argent à titre de prêt de Alimbaj sans mots inutiles, ayant promis de donner un seul veau à l'automne et il a porté sa femme au guérisseur-thaumaturge. Il n'y a rien pour rajouter... Et maintenant, pendant ces jours, quelle que soit l'autre homme a pris sa jeune femme à la Conférence ? Est-ce que c'était facile ? On a parlé beaucoup de choses quand Rauchane avait été élue à la réunion de voloste. Certains ont chuchoté à Baken que les communistes les faisaient divorcer. Et Baken sérieusement alarmé n'a pas voulu écouter rien de la réunion. Il a tâché de dissuader sa femme. "Pourquoi avons-nous besoin de tout cela, ma chérie? – a-t-il dit timidement. -Est-ce mieux de s'asseoir à la maison?" Toutefois, Rauchane a décidé d'aller, et Baken n'a pas osé lui répondre. Il s'était damné pour sa femme. Il n'est pas clair pourquoi l'aime-t-il de ce manier? Quelle est la raison ?

Dès avant Rauchane était seulement forcé d'écouter de la ville. Ne voilà pas elle a tout regardé par ses yeux enfin. Quand elle revient à aoul, les conversations et les histoires serrent assez pour toute l'année.  Tout lui a apparu étonnamment intéressant et bien. Il apparaît... que la nuit d'hier a lavé tous heureux et bon. Ce peut-il que ayant crié tant miracle comme la ville, un homme n'a pas pu oublier ses merdes et vilenies. Pourquoi dans la ville habite-t-ils les gens comme Abdiche fichu?  Eh bien...mettons qu'il est grand chef avec éducation et il gagne d'argent. C'est à dire qu'il doit décorer la ville, lui veiller, mais il se conduit comme un misérable... Est-il possible que tout le monde étudié se conduit comme ça?

Rauchane était pris dans ses pensées parce qu'elle ne pouvait pas comprendre comment l'éducation et l'abus peuvent coexister. Tout était nébuleusement et mouvant et maintenent elle a faite une seule conclusion - "tous les hommes étudiés sont les dégueulasses". Pour quelle raison? Est-ce vraiment ? Il n'a pas pu le comprendre. Ayant décisivement perdu le fil de ses pensées, elle a aplati ses cheveux par sa paume et s'est tournée contre Baken. Il dormait. Elle a miré sa face pendant longtemps et tout à coup elle se l'est ferment collée et l'a baissé dans deux joues.

 

VII

Quand Rauchane et Dametken sont allées à la conférence, le repos avait lieu et toutes les déléguées et visiteurs se sont massés dans la chambre d'entrée. La plupart de femmes comme Rauchane venaient d'aouls. Un grand homme disgracieux s'est traîné auprès la poulette de même manier comme Baken.  Deux vielles tantes ont alertement cherché quelq'un et ont percuté tous les gens. Une de femme en passant a regardé droit sur Rauchane.

-    C'est que vous vous êtes présentées!

Quelq'un a pris le coude de Rauchane. Elle a soursauté comme le cheveux alarmé et a tourné le dos, mais il a vu Mariamme et s'est fortement rougie, ayant baissé ses yeux. Cependant, Mariamme n'a fait semblant de rien et immédiatement a parlé de l'actualité. Il a apparu que un kazakh a chachuté et a voulu prendre sa femme à maison sans attendant la conférence. Musralieva a intervenu bien. Le sujet était le même - c'était une place forte de la femme d'aoul.

-    Tu pourrait intervenir mieux - Mariamme a dit. - Peux-tu intervenir comme alors à la réunion de voloste? -J'ai parlé de cela à Abdile. Il s'est réjoui beaucoup et a remarqué qu'il y avait beaucoup de femme de ce type parmi les femmes kazakhes et il a fallu les éduquer correctement et les actionner au travaille. Il semble que tu ne sais pas Abile. Il est quelque part ici. Allons! Je te présenterai.

Et, tenant Rauchane par le coude, elle l'a conduit quelque part. Rauchane s'est arrêtée près du porte fermé et a fait échappé sa main.

-   Mariamme!

Mariamme s'est retournée avec étonnelent:

-   Peux-tu dire quelque chose ?

-Oui.

-   Eh bien, parles !

Rauchane s'est mise à rire.

-   Parles, parles, n'aie pas honte. Tu ne dois rien celer. Nous sommes des amies...

« Parler ou ne pas parler? » Rauchane a pensé. Et si a-t-elle Mariamme les boules? Elle est aussi étudiée. Et comme on dit, tout ceux qui portent les chapeaux ont le même honneur. Sont-ils tous les gens étudiés même comme ceux deux ? Si on ne croit pas que les savants sont des gens, qui est humain? Est-ce que Ryspaj est humain? Il a deux femmes dans aoul et les tient comme les esclaves. Et qu'est-ce que c'est humanité ? Si ces gens avec grands ventres comme Ryspaj sont humains, quoi bon attend de la vie ?

Tout n'est pas comprend. Elle ne peut pas retrouver ses petits elle-même. C'est à dire qu'il faut demander Mariamme: elle a l'âme brave et pure. Elle tout comprendra et ne mentira pas.

-   J'ai une honte de parler de cela, - a Rauchane dit avec confusion.

Mariamme l'a regardé et a vu dans sa face la confusion et la peur et a souri avec agréation.

-   Il n'a pas honte de rien. Parles!...

-   Et auras-tu les boules? Alors... mais voici est la chose : je ne veux pas faire connaissance... avec ce gjiguite...

-   Pourquoi? !

-   J'ai peur... J'ai peur d'hommes étudiés... Ils n'ont ni honte, ni conscience. Je ne les crois pas...

Maintenant Mariamme s'est mise à penser.

-   Bien... Je comprends que tu peux penser ainsi. Il est très possible que tous les hommes étudiés tu maintenant apparent être de ce type. Mais ce n'est pas vrai. On peut trouve un bon drille, un ami constant, le coeur aimant justement parmi les hommes étudiés.  Le cas d'hier t'a traumatisé beaucoup. Je sais. Je n’a pas parlé de ce sujet car j'avait peur de t'offenser. Et si à vrai dire, je me plus scandalise de tout cela. Après tout, je t'ai apporté ici n'est pas pour un courrier facile comme Abdiche tu peut offenser. J'ai voulu tu montrer notre ville pour ouvrir tes yeux sur le monde. Parce que tu dira de tout vu aux femmes d'aoul et elles te suivrons. On ne peut pas juger tous les hommes étudiés comme Abdiche. Ces deux sont juste salopards. Ils ont voulu utiliser la liberté des femmes à leur avantage. Et en fait ils ont des ennemis d'égalité en droits. L'idée même eux semble être sauvage et scandaleux. Ils ont raclures qui se sont acoquinés accabler non seulement les femmes mais tous les gens pauvres et doux et accumuler à l'aide de leurs sueurs la richesse. Il y a beaucoup d'homme comme Abdiche dans notre environnement. Ils ont pénétré dans les établissement soviétiques et mangent le pain soviétique, font des crasses par épaulées. Mais le Pouvoir Soviétique ne dorme pas, il dénonce ces gens, les dépouille une peau faux, ne les donne pas une vie tranquille. Et quand les yeux des petits gens ouvrent, quand les femmes prennent part dans la vie publique à l'égale d'hommes, lors il arrivera le fin de ces charlatans.

Mariamme parlait longtemps et fervemment et Rauchane absorbait chaque mot avec avidité.  Ayant fini ses paroles, Mariamme a souri et dit:

J'ai aussi t'en a voulu et ensuite j'ai pensé: je suis en donneur de tout, pourquoi vous suis-je restée seuls? Mais tu a tiré un bon enseignement. D'autres fois tu t'observeras. Eh bien, allons à Abile.

Et elle a tiré fermement Rauchane par le bras.

Abile n'était pas grand, rougeâtre, avec les yeux en trou de bite et très jeune homme. Mariamme lui a présenté Rauchane et il a souri de l’ air aimable, a mit la main au bonnet, lui a tandu la main. Rauchane a dit bonjour avec courtoisie.

-             C'est lui duquelle tu m'a parlé...

-   A Abile regardé Mariamme. -De quel aoul es-tu?

-    Je suis d'aoul de Sabyn-kulia.

-    De Sabyn-Kulia ? -Abil a redemandé. -Alors, c'est l'aoul où je vais aux élections nouvelles. C'est chouette!... Qu'est-ce que dis -tu si nous la présent comme le président du conseil d'aoul ?

-     Il peut.  De tout point! – l’a Mariamme patronné immédiatement.

Rauchane s'est mise à répiquer:

-    qu'est-ce que vous dites? Ou vais-je aller?

Abile et Mariamme se sont mis à rire et ont commencé à la persuader. Ils ont rencontré Baken dans le couloir. Mariamme l'a présenté à Abile et a joyeusement annoncé :

-    Il n'est pas exclu que votre Rauchane deviendra le président du conseil d'aoul!

Baken en est resté coi.

VIII

La première neige légère pure a couvris la terre par tel feuil qu'elle n'a pas atteindu aux chaussettes des galoches de cuir. Les flocons de neige dansaient lentement en couvriant tout autour.

L'araba en criant de tout aoul s'est approchée vers le porte cochère de Baken.  Le cheval était beau, bai.  En gras homme est descendu de l'araba et a mis bas le treuh et a secoué la neige. Ensuite il a caressé et a relevé sa moustache serrée. Ses petits yeux plissaient et on ne saurait comprendre soit qu'ils riaient soit qu'il étaient en colère. Baken s'est pressé le saluer.

C'était Demecine d'aoul voisin. Depuis le temps que Rauchane est devenue le président du conseil d'aoul il allait chez nous fréquemment. Autrefois il avait invité Baken et Rauchane chez lui. Beaucoup de gens de son aoul ont désapprouvé que le président du conseil d'aoul était la femme, mais Demecine a marqué à toute force sa bonne attitude à Rauchane.

-   Elle n'a pas coupé l'herbe sous le pied de personne. Et elle n'a pas fait du mal à personne, - l'avait-il patronné pendant les élections. - Le pouvoir la fait autorité. C'est un temps d'aujourd'hui. Et si le pouvoir peut, ainsi soit-il...

Demecine est descendu ses talons, s'est accoté le porte cochère par son dos, a mis nasybaj derrière sa lèvre. Il a questionné Baken en détail sur ses affaires, sa maison, sa santé.

-   J'étais pour vous visiter quand une affaire m'a essuyé... - il a dit rien moins que soit dit en passant.

-   -Que est-elle une affaire?

-   Eh, Baken, voilà que le monde soit d'aujourd'hui.  Ils ne peuvent pas vivre sans se faire des crasses... Comme on le sait, ma fille n'a pas marié le fils d' Itamgain. Eh bien...Donc petit enfant sait aujoud'hui que les femmes ont la liberté. Mais la famille d'Itemgain est malicieuse, ils se tiennent les vieilles traditions kazakhs et ils ne savent rien du pouvoir nouveau. Ils ont déposé une requête soi disant que j'avait vendu ma fille pour le bétail. Eh bien! Je veux prendre de kelin le document que j'ai donné ma fille en mariage sans toutes sortes de kalym, de son gré...

C'était un faux brutal et Baken l'a su bien. Demecine donc a reçu ce vieux cheval gros du marieur pour "sut-aky" (c'est une droit du lait de mère). Et tout le monde savait que, outre le cheval, Demecine a pris quarante-sept têtes du bétail pour sa fille. Mais s'il a eu une attestation qu'il n'avait pas pris le bétail, cela semblerait les paroles oiseuses. Et pour se faire c'est assez avoir le papier avec le timbre de Rauchane. Eh bien, si le timbre de ma femme peut être utile pour tel bon homme comme Demecine, Baken est prêt lui aider. Pour lui Il n'y a personne plus voisin et cher que Demecine dans tous les aouls. Si tant pis d'autres gens renifler sur lui, tout de même ils ne méritent pas se trouver là ou Demecine jette ses galoches!

-    Si c'est l'affaire, je dirai à ma femme tamponner. A qui encore puis-je aider à l'exception de vous!

Demecine a ricané avec plaisir est a caressé sa moustache encore une fois.

-    Allons à la maison, - Baken a proposé. -Je vais donner l'ordre à cuire la viande.

-    C'est bon! Ne pas s'en faire! Kelin est autorité maintenant. Sûrement elle fait les affaires du bureau à longueur des journées. Elle n'a pas le temps... Je me trouve chez vous non pour la première fois. Nous préparons sogum peu à peu1. Ta jengé a donné l'ordre remonter: « Laisser mes beau-frère et kelin goûter ses portions ». Eh bien, arrivez-vous chez nous...

Baken flatté a souri et il a même glapi du plaisir. Il semblait qu'il a maintenant pris conscience quel grand homme il était devenu. Même les gens honorables le peuvent régaler.

La sonnerie du porte s'est entendue. C'était Rauchane qui était sortie pour prendre l'eau. Elle a vu Demecine et s'est arrêtée.

-    Est-elle la kelin saine ? Est-ce que tout est bien dans la maison ? -Demecine a souri.

-    Merci... -Rauchane lui a répondu sec. Et en ajustant le foulard, elle s'est addressée à son mari : -Je vais pour prendre l'eau, il faut abreuver les veaux. Peut-être, tu appeleras toré. Il faut signer certains papier...

Elle a nommé Jaquesylyk comme toré. Il était un petit garçon de tout point, mais pendant les élections il a été choisi comme le secrétaire de Rauchane. Il était attentif à son travail, studieux et a fait des affaires bien. Mais on ne sait pour quelle raison Baken l'a pris en grippe immédiatement.

Quand il arrive chez eux et commence à dépouiller les papiers et parler à Rauchane, Baken prête l'oreille à leur conversation et ne tourne pas le dos... Quand Rauchane devrait faire le circuit de tout les aouls de son conseil pour établir la liste de tous les habitants, il n'a pas osé la laisser partir avec Jaquesylyk et il a accompegné sa femme à route lui-même...

-     Oh, ton chiot m'a cassé les bourrettes ! - Baken a murmuré. -Ne peut-il pas se présenter lui-même sans appel? !

Rauchane n'a rien répondu et est allée.

-     Hey, ma femme, attends ! -Elle s'est arrêtée. -Notre visiteur a l'affaire pour toi. Aides-lui!

-     Qu'est-ce que l'affaire est, kain-aga? – a Rauchane demandé.

Demecine, caressant sa moustache, a expliqué tout en détail.

Il souriait obséquieusement et regardait Rauchane avec honore.

-     On fait cela pour me faire déborder... Pour me faire déborder... –a-t-il respiré. Tenant la palanche sur l'épaule, se déhanchant à peu

Rauchane s'est mise à penser. Cet été quand ils ont habité sur djalliau près Kos-Tamara, Demecine a annoncé qu'il mariait sa fille à Karej, et peu de temps après il a porté le bétail. Cet accident avait lieu sous les yeux de tout aoul, se trouvant près du lac. Il se rappele au moment quand Rauchane est allée pour prendre l'eau, en trouvant près du puits elle a vu de ses propres yeux comme Demecine se conduirait le bétail devant lui.  Alors les femmes se sont causées encore.

-     On dit vrai. « La fortune lui vient en dormant ». Regardez : Demecine a mis la main sur richesse à la fois!

Cependant, à ce moment là Rauchane n'était pas le président du conseil d'aoul, mais on dit non sans raison qu'il faut donner tort aux yeux pour ceux qu'ils voient. Et elle a vu tout cela de ses propres yeux en réalité. Comment peut-elle donner ce document soi disant qu'il n'y avait pas de bétail? Mariamme lui a suggéré très sévèrement: "Allez! ne pas fait une faute, si tu tamponne le timbre aux document faux tu flanqueras en l'air sa tête. Et Abile qui est allé aux élections, lui a parlé de la même chose en tête à tête pendant longtemps. Alors les bavasseuses ont fait des ragots que Rauchane s'isolait avec un homme étranger... "Fait gaffe! - Abile l'a prévenu. -Ne tombe pas dans les mains des charlatans. Ne te planque pas dans les affaires douteuses». Et cela n'est pas qu'une [3]affaires douteuse, il est évident que c'est une piperie. Elle a vu de ses propres yeux une vache mêlé avec ventre. Les gens disent qu'il a aussi reçu ce cheval gros comme kalym. Non, elle ne pouvait pas tamponner le timbre.

Rauchane a respiré, a dandiné beaucoup la baille et a demandé:

-    Kain-aga, déculottez-vous! Avez-vous pris le kalym pour la fille ? Est-ce vrai?

-    Peu t'emporte! –a Baken crié.

-    Il est apparent, kelin, que tu ne m'a compris pas,- Demecine a souri.

-    C'est pourquoi, kain-aga? Tout est très clair.

-    Alors pourquoi demandes-tu ? -Baken furieux s'est entremi encore une fois -Tamponne le timbre et tout le monde descend!

Rauchane s'est renfrognée, a perdu ses couleurs. Si elle ne tamponne pas le timbre, Baken aura les boules à boule. Il est un homme secret, pointu. Il boudera et serra en colère pendant longtemps. Ce moment là, quand Rauchane a été choisie comme le président du conseil d'aoul, Baken s'est changé beaucoup, il a devenu nerveux et douteux. Rauchane n'a pas voulu avoir des crosses avec son mari, mais elle aussi n'a pas pu apostasier sa dette pour sa tranquillité. Si elle se conduit pusillaniment aujourd'hui et tamponne le timbre sur le parier faux et la piperie s'ouvrira, alors comment regardera-t-elle en faces des gens?  Et qu'est-ce qu’elle dira à Mariamme et Abile, qui l'en ont cru ? Il est horriblement même imaginer cela. Et, ayant rebectant les bailles sur la palanche, Rauchane a coupé bravement:

-    Excusez-moi, kin-aga, mais je ne peux pas tamponner le timbre !

Baken et Demecine ont zieuté les yeux avec étonnement. Alors quoi-quoi, mais ils ne s'attendaient pas une telle réponse.

Rauchane a retourné et, en agitant les bailles, elle s'est dirigée vers le puits. La fille d'Ajnabaj a ratissé la neige près de l'entrée dans la maison. En passant devant, Rauchane l'a interpellé:

-    Yerkejan, allons pour l'eau !

La fille a jeté un chat, a suivi Rauchane heureusement, mais sa mère a commencé à crier.

-    Pourquoi te flottes-tu à cette femme dissolue!? –a-t-elle cri. -Ne t'approches-tu de lui! Ecoutes-tu? !

La soirée quand on a allumé la lampe, le secrétaire Jaquesylyk est venu. Dastarkhan a été étendu, le samovar bouilliait bruyamment. Ayant se mis en boule et abrillé sa tête par la fourrure, Baken couchait au cion.  Rauchane était placée près de la poêle avec kazan et a mit le fumier au flamme. Jaquesylyk a pris par habitude l'écrin du coin auprès la poêle, a retiré les papiers et s'est mis à l'oeuvre. Baken est sorti sa tête de la fourrure, a regardé le garçon avec détestation et tout à coup il a dit:

-    Si tu commence à gribouiller, arrives la journée. Rien à baguenauder les nuits et troubles les gens. Masses tes papiers!

Jaquesylyk a regardé Baken avec étonnement. Rauchane a quitté sa place.      

-    Ne fait pas attention! Écris!... - elle a dit.

-             Il n'écriras pas! -Baken s'est relevé de la place.

-   J'ai dit.

-    Il écrira! On a amassé beaucoup d'affaires. J'ai été choisi pour ne pas tenir les papiers sous clef dans l'écrin!

-    Hé, t'arrêteras-tu ou non?

-    Non, je n'arrêterai pas, et que serra? Me battras-tu? Essaies un peu! Je collerai le pet immédiatement et l’enverrai à vrai endroit!

Baken s'est mis à trembler. Il s'est levé d'un saut. Il n'était jamais en tel rogne de sa femme. Pendant toute la vie il a levé la main sur Rauchane une fois seulement mais il ne l'a pas battu, et il a seulement culbuté le jaulyk de sa tête... Maintenant sa face a été contracté de la vacherie... Rauchane s'est blottie après le dos de Jaquesylyk...  Baken s'est ébranlé, a enfilé les bottes près du seuil et a déboulé de la maison, en traînant la fourrure du mouton.

Une petite lampe palpitait faiblement. La fumée s'est tordue par le fin veine de la mèche. La pénombre surplombait tout autour. La tempête de neige a hurlé après le mur. Le vent a jeté la neige dans la fenêtre, a frappé au porte, a balayé les bancs de neige.

Jaquesylyk a couché sur son ventre et s'est mis à écrire.  Rauchane s'est placée près de lui sur ses talons. Elle n'a pas remarqué elle-même que les larmes roulaient sur ses joues...

IX

Baken n'était pas la maison pendant trois jours. Tous ces jours il était chez Yermak. Kul'zipa a couru de la maison à maison et a fait les ragots.

-    Je vous a dit qu'elle s'était inscrit dans les communistes! Le fait est là! Elle a jeté à la porte son mari, myrza-aga... Et elle a encore menacé le mettre à la cabane... Bon sang! Où fait-on cela?!

-    Et son mari est aussi empaillé, ballot, il l'a bien mérité, - on l'a répondu.  - Il n'a fait que la flattait. Les gens ont dit qu'il a fallu la coincer dès le dédut, la prendre dans les mains forts. Mais ne pas la porter à la ville.

-    Et que pouvait-t-il, le misérable? Elle l'a obligé, obligé ! Elle n'a ni conscience, ni honte! Si il ne l'a pas obéi - elle sortirait de la maison, point barre! On ne peut pas l'arrêter!...

Certain femme a demandé confidemment:

-    Chechej, s'est tu qui sait tout.. Dites-moi, est-ce vrai ce qui passe entre eux... Eh bien, entre Rauchane et ce garçon... Y a-t-il quelque chose?

-    Oh, c'est vrai! - Kul'zipa a accepté immédiatement. -Kelin est dissolue. On peut lui attendre n'importe quoi.

Et Baken ne rentrait pas toujours à la maison et il est devenu de plus en plus onéreusement et ennuyeusement pour Rauchane.  Elle n'a même pas allumé le poêle, le pain n’a grimpé pas dans sa gorge. Ayant peur de caquetage des gens, elle n'a pas laissé s'approcher le secrétaire de près la maison. Elle n'a pas fermé l'oeil de la nuit. Et quand elle a commencé à sommeiller, Rauchane a sursauté de la peur: Baken a apparu sous ses yeux et il semblait que Baken pâle ballottant de la méchanceté la gagnait ayant emprisonné ses poings. Elle n'a pas pu avoir confiance dans les moments quand il l'a cajolé, l'a aimé. Il semblait que s’il avait la volonté, il l'aurait mordu sans penser...

Rauchane excédée s'est levée le matin, s'est brossée les dents, a fait le ménage dans locaux destinés au bétail et est sorti après le porte cochère. C'était le jour de gel clair. La niege a reposé par une couche épaisse et solide. Le traîneau a passé. Deux femmes sont venues du puits avec des bailles. En passant Rauchane elles ont détourné les têtes.

-   Elle est évident qu'elle regarde son matou! -Rauchane l'a entendu et a perdu ses couleurs.

-   Qu'est-ce que tu dis, chechej?! - Elle a demandé, en courant.

La femme a soulevé sa tête en l'air de défi.

-            Zest! Il ne faut pas s'accrocher cette effrontée...- a-t-elle murmuré et d'autre femme a détourné aussi et est allée au large.

La fureur s'est saisie Rauchane. Maintenant elle détestait ces bavasseuses plus fort que l'ange du mort Azrail. A ce moment elle a pensé: non seulement ces deux, mais toutes les femmes d'aoul sont contre elle. Maintenant personne ne lui dit pas de l'âme comme par le passé, une femme ne partage pas ses secrets et chagrins avec elle. Et quand Rauchane les rencontre elles détournent restant silencieux ou rognonnant, comme si elle est leur ennemi farouche. D'autres femmes en parlant, brocardent ouvertement, bafouent, crachent leurs venins. Elles changent son chaque mot. Et Baken a quitté sa maison et soi disant qu'il a jeté de l'huile sur le feu. On a chuchoté dans aoul entier. On l'a taxé de beaucoup de péchés! Il y avait le travail pour tous les cancanier... Rauchane a compris que cela ne pouvait plus continuer.  Il faut se remettre ensemble avec Baken et le rentrer à la maison.

Et Rauchane est allée pour son mari. Il avait quelques hommes près de la maison de Kairbaj. Ils parlaient de quelque chose, mais ayant vue Rauchane ils se sont tus et l'ont fixé avec curiosité. Kairbaj a remarqué fort avec dérision, l’air de défi, délibérément :

-    Ha, qu'est-ce qu'il ne faut pas voir !

-    Baken l'a gâté, comme il l'a gâté! –a d'autre fait chorus. - Est-ce que d'autre homme aurait admit sa femme ballotter sous les yeux de tout le monde! Il aurait frotté ses oreilles !...

Un djiguite roux, remuant rien moins que a parlé pour Baken.

-    Pourquoi lui avez-vous montré vos dents? Dans ce cas quand on menace du rapport et de la prison chacun s'effarera...

Kairbaj a fait éclater son indignation :

-    Il n'y a pas de personne mort du rapport. On peut m'acculer à Sibérie si elle était ma femelle je l'aurais zébrer la peau et point barre! Son mari est de pacotille, s'est Pourquoi elle déménage.

En passant devant Rauchane a écouté ces mots. Le roux a secoué les puces de Kairbaj, soi disant tout doux! Elle entendra ! Mais il a élevé la voix:

-    Laisse l'entendre!. Quelle affaire!... Est-ce que je m'est effaré la femelle ? Je dis que je veux !

Avalant le morceau, tremblant de colère et offense, Rauchane est entrée à la maison d'Yermak.  Baken était seul. Il a couché s'en roulant en boule, se nichant dans la fourrure par sa face. Les fenêtres étaient glacées et le soleil traversait difficilement par les glaces poudrés. La croule volante était dans la chambre.

Quand Rauchane a vu son mari rabougri comme le orphelin au coin de la maison étranger, son coeur s'est compressée et s'est mis à languir.

Les larmes chaudes ont dégoutté sur ses yeux. Elle s'est approchée de lui, s'est mise à genou.

-    Alerte! Allons chez nous!

Sa voix tremblait. Elle a levé sa fourrure, s'est tenue penché, s'est accrochée à la face de son mari. Les larmes ont roulé sur sa joue.

-    Mon chéri!... Assez ! Tu a promit de ne me jamais blesser. Je ne peux pas vivre comme si... seule. Quelle existence!... Serrement de cœur... Je n'ose pas lever les yeux. Levés!...Allons chez nous...

Rauchane s'est serrée contre son mari, l'a baisé fervemment, lui a embrassé les genoux. Elle était au tel désespoir qu'elle s'est donnée la parole de ne pas lui répondre en rien. Mais Baken était irréductible. Il ne s'est pas même remué. Il était gris, sombre, avec les yeux délavés de la miséricorde , il a avalé le morceau et a regardé quelque part au-delà. Même la roche aurait fusée mais Baken était muet.

Le porte s'est déclenché et Kul'zipa est entrée dans le nuage de gel. Les chaussettes des galoches de cuir se sont renversées. Elle s'est approchée de la poêle et s'est accotée par le flanc. Elle a levé sa tête et a pris la place. Kul'zipa a dit malicieusement:

-    Est-ce que tu ne peux pas laisser en paix le pauvre homme ? ! T'es-tu alanguit?

Rauchane s'est mise même à trembler.

-    T'occupe pas! – a-t-elle crie. - Il est mon mari!

-    Ton mari? ! Ton mari ? Tu as beaucoup de mari... - la vielle a remarqué sardoniquement.

-    Mets la en sourdine, la corneille! Que tu mordes ta langue ! Comme oses-tu salir un homme dans le vide?! Comprends-tu que tu dis? ! Sais-tu quelle diffamation tu dis? !

-    C'est à tu que tu mordes ta langue! - Kul'zipa a enragé enfin. Es-tu mon père que tu ouvres ta gueule dans ma maison?! Gueules chez tu, dissolue ! On ne peut pas faire cela ici ! Que tes yeux soient impudiques! Que tu sois saloparde merdeuse...

Rauchane s'est mise même à pleurer de la fureur. Elle s'était rabattue maintenant sur les costumes vaseux de Kul'zipa avec plaisir ! Mais est-ce que le président du conseil d'aoul peut se conduire dans ce manière? Ayant surmonté sa méchanceté, elle s'est mise à houspiller son mari :

-   Lève-toi, allons chez nous... Cette maison n'est pas mien, mais elle se devoit à toi. Si tu boudes, fais-moi sorti... Et habites seul...

Baken s'est relevé lentement, sans désir.

-   Je dis, allons...

-   Ferme-la! Je ne vais pas aller nulle part !

-   Et je ne vais pas sortir sans toi.

-   Dégage!... Ta paix!...

-   Eh bien, si je ne te laisse pas en paix, me battras-tu ? Sus à! Je suis ta femme, je supporterai, je ne m'opposerai pas... Mords-moi si tu veux, mais vas à la maison!...

-   Va te faire foutre! -Tout à coup Baken l'a bousculé dans la gorge. Rauchane est tombée sur le dos. Kul'zipa souriait vindicativement. Rauchane s'est lévée, se sentant que tout flambe dans sa gorge.

-   Passe! C'est à toi à décide. Sus à! Mais juste rentres à la maison! Elle s'est ruée à son mari encore une fois, mais Baken l'a donné des coups de pied par tel force qu'elle est tombée sur le plancher. Jaulyk est tombé de sa tête. Tombant elle a donné de la tête contre le seuil et le bruit a apparu dans sa tête, mais elle n'est pas presque senti la peine.  Elle a arrangé ses cheveux ébouriffés, a pris le jaulyk et en tremblant elle a adressé la parole à son mari:

-   Vas-tu? Ou non ?

Baken pâle est resté silencieux.

Rauchane est sortie. Elle n'a pas fait remarquer quand elle s'est trouvée dans la rue. Kairbaj et son ami, en parlant, se sont trouvés près de la maison. Rauchane s'est cambrée et a les regardé en face dans le feu de sa colère.

-   Et bien, Rauchane, est-ce bien d'être le président d'aoul? – a le roux montré ses dents caustiquement.

Rauchane s'est étouffée de la détestation.  Il semblait que le coeur a sauté à la gorge et les lèvres s'est lignifiées exactement. Ayant regardé Kairbaj, elle a dit bas :

-   Kain-aga, tout l’aoul a supporté un impôt depuis longtemps. Même Baka-ata qui est pauvre a suporté un impôt complètement. Vous devriez avoir honte! Vous avez beaucoup de bétail et ne payez pas à temps!

Kairbaj a changé de visage:

-   Ne sois pas impudente, kelin! C'est à moi qui aurai honte, non à toi!

-   Ah mais!... Elle a rappelé de la conscience ! – a certain des hommes murmuré.

-   Pourquoi ? Et j'aurai honte aussi. Les gens peuvent penser que je masque les hommes d'argent, les dédouane... D'ailleurs vous, kain-aga, m'avez donné l'information fausse de votre bétail. Vous avez cent et cinquante vaches, mais selon la liste vous avez cinquante simplement. Il apparaît que vous avez caché cent têtes du bétail. Et les pauvres doivent payer les carreaux cassés au lieu de vous... C'est pourquoi vous devez supporter un impôt aujourd'hui. Autrement j'informerai l'exécutif de voloste pour on envoyera l'homme pour décrire votre bétail complètement!

Kairbaj a tremblé dans sa culotte nettement. D'autres ont échangé des coups d'oeil aussi.

-   Je vois que tu, kelin, es de mauvais poil aujourd'hui. Bien sûr, c'est Baken fou qui est en donner de tout. Je vais dire mon chien d'aller à la maison! - Kairbaj a brocardé.

-   Personne ne vous demande pas être conciliateur, - a Rauchane répondu sèchement.  -Si nous voulons, nous nous remettrons ensemble nous-mêmes. Nous nous passerons sans vous. Faites vos affaires - supportez un impôt aujourd'hui! Autrement, donnez tort à vous! - Et elle est allée à sa maison.

-   Ouille, ouille, ouille, qu'elle soit sévère!... Elle a une fureur plus que Beinsenbaj truculent de voloste soit!... Demain elle nous obligera fourrer les deux pieds dans une botte! - les hommes se sont mits à bruire, à secouer leurs têtes...

Dans la maison, Rauchane placée près de la poêle s'est mise à pensé. Une petite hutte ténébreux  qui a été chaude et confortable par le passé maintenant semblait froide et étrangère. La poêle carde et pelée, la caisse noire avec la serrure rompu et une vieille thibaude avec les rapiéçages sur le plancher en terre et un grand bol ébréché, et tout le vaisselle sur le support de bois près du seuil lui ont semblaient peu attrayants. Elle a regardé tout d'autour maussadement avec antipathie. Hier, tout cela était habituel et aujourd'hui tout cela a emmerdé, l'âme n'a voulu rien. « Eh bien, est-ce que je suis en donner ? Elle a partagé et froid, et faim. Elle a travaillé à l'égal de lui. Il peut m'abaisser comme une femme, mais non le travail... Maintenant, j'ai été choisi comme le président du conseil d'aoul. Il est possible que dans les yeux des gens il semble sauvagement que la femme prend tel charge. Mais je ne m'a pas proposé, ils m'ont choisi eux-mêmes. Quand Mariamme a parlé de cela au première fois, Baken s'est trouvé près de moi. Personne n'a pas conservé la langue, s'il a désire, il disait :"Je ne veux pas pour ma femme être le président du conseil d'aoul! Et puis, quand il y avait des élections, Taskara, Biaga et d'autre gens se sont égosillés:    "Nous supportons le propos de l'instructeur. Jusqu'à présent, tous les aulnaj étaient les hommes, mais il y était peu de bénéfice de leur travail. Ce cas nous tâcherons de choisir la femme. Nous voterons kelin Rauchane avec plaisir". Et Baken est resté silencieux encore une fois et n'a pas dit un mot. Au contraire, il radiait. Et est-ce qu’il peut maintenant? Pourquoi boude-t-il ? Est-il en colère de Demecine ? Est-ce que je l'ai déshonoré à la suite de la jeunesse ou l'absurdité? Si je suis en donneur, pourquoi ne dira-t-il pas directement ? Est-ce que j'ai donnée la cause pour épigramme et malignité à Kul'zipa?" - Rauchane a pensé avec blessure.

Certaine femme est entrée. Les tifs se sont montrés de dessus le jaulyk, elle était ébouriffée, misérable, elle a grelotté. L'oeil droit s'est engourdi, la face était bleu. Elle s'est descendue sur le plancher, a été adossé à la poêle et a sursauté avec hoquet.

Ma belle-fille, chérie... On dit que tu s'es inscris dans les communistes, porter la croix à son cou et...seigneur Dieu! Qu'on dise de toi! Et je me suis aussi levrée aux commérage, je me suis tenue à distance de toi... Et maintenant je suis ici par force. Baybiché ne me donne pas vivre. Elle dresse le mari contre moi, commende me battre. Il me tisane beaucoup tous les deux jours. Et il m'a battu de rien aujourd'hui... Je ne peux plus comme ça !... Je ne sais pas qui est-ce qui ces communistes, mais j'ai entendu qu'ils prennent sous sa protection les femmes. S'il en est ainsi, fait-les me prendre sous la protection. Fait les me défenre de ce monstre et je suis consentante pour tout, même si on m'oblige recevoir le baptême.

La femme a soulevé le bas de la robe et s'est essuyée les larmes sur ses yeux.

-    Je n'ai pas le pouvoir... Il m'abattra à mort... Aides-moi, kelin, familière, sauves-moi si tu peux...

Rauchane n'a pas dit un mot. Comment puis-je aider à d'autre s'il est le temps de demandé l'aide moi-même. Son coeur flambait de la blessure et l'honte. Après tout, Baken ne l'avait pas touché par doigt, n'avait pas dit un mot gros. Et aujourd'hui il l'a donné des coups de pied. Il l'a donné des coups de pied dans la gorge! Après cela de quelle intimité, de quel amour s'agit-il? Qui sait si Baken aurait pensé de cela, mais Rauchane a pensé de cela immédiatement. En franchissant le seuil de la maison de Kul'zipa et elle s'est contraindue de peu pour ne pas dire: "C'est assez! Je ne te veux plus voir!"

-    Personne n'a pas le droit de battre la femme, chechej, - a-t-elle répondu. - Mariamme m'a dit beaucoup de fois qu'on accuse les hommes pour tannées et polygamie... Quand mon secrétaire arrive je le fait écrire le papier à la cour.

Fait, mon chérie comme tu sais. Mais je te prie, sauves-moi, défends-moi de ce mal... - a  la femme hoquetant dit...

X

Le courrier d'exécutif de voloste est arrivé au galop avec une paperasserie à midi passé. Il a pris sa place confortement et s'est mis à faire l'éloge de Rauchane:

Seul votre nom est sur bouche de notre président. Les gens comme Rauchane sont rares, -a-t-il dit. On peut lui donner toute charge et elle fera tout comme il faut. Eh bien, je le suspecte pour rire: "Il est possible que la kelin vous a donné dans les yeux, c'est pouquoi vous la félicitez". Et il répond sérieusement: "Ce n'est pas le cas, Uali. Ces femmes se sont retrouvent rarement parmi les kazakhs. Crois-moi, peu de femmes pourrait venir à bout d'affaires qu'elle fait". Voilà!

Le courrier a sauté gaiement de l'histoire à d'autre. Tout à coup il s'est mis à dire que son cheval en cours de route s'est fatigué complètement, et on n'a pas voulu le changer dans aoul voisin.

-    Eh bien, à ce moment j'ai donner un coup de gueule. "Holà! -j'ai dit. - Ouvres tes yeux! A qui parles-tu? Je suis le pouvoir ! Je suis le Président du voloste. Je présenterai ses doléances au voloste et il jettera à tous les vents toute ta cendre!" Le misérable s'est effaré, s'est mis à tourner et a fait les brides au cheval immédiatement. Eh bien, Uak, c'est à dire moi, j'ai pris la place sur le cheval frais et a accouri à aoul de Sajgel. Et Yermak marie sa fille...

Rauchane a sursauré:

-    Fait-il mariage? Quelle fille ?

-    Aînée. Ce qui est allée à la réunion avec vous. J'ai regardé le fiancé et a pensé in petto: "Il est évident que tu, le géotrupe es cinquante ans..." Il s'est barbifié, les cheveux gris sont sur les tempes. A ce l'occasion que je me trouvait là, il m'a donné le tchervonetz. J'ai pris les argent et est allé pardelà...

La nouvelle a affolé Rauchane. Quand ils revenaient de la ville, tout à coup Dametken s'est mise à parler et a partagé avec Rauchane son mal. "Que je sois misérable ! – pleurait la fille amèrement. - Mon père veut me marier une seconde épouse pour un vieil homme. » Rauchane lui a compati: "Pourquoi n'a pas tu dit un mot plus tôt? Pourquoi n'a pas tu dit cela dans la ville? Elles se sont mises d'accord qu'elles serraient restées en liaison et si elle, Dametken, est forcé marier, elle informera Rauchane de cela et la dernier sollicitera l'aide de Mariamme... Et maintenant elle malheureuse comme les pierres est mariée un vieux.  Et elle serra une second femme. Bien sûr, non par son choix. Mais personne ne demande pas son acceptation.

Àu fin de son long discours, le courrier a dit une autre nouvelle :

-    Oui, vous avez besoin de venir à l'exécutif de voloste demain.

-    Pour quelle raison?

-    La réunion aura lieu. On réunit tous les présidents du conseil d'aoul.

Rauchane s'est réjouie on ne sait pour quelle raison. Ayant raccompagné le visiteur, elle a mis la trousse de papiers, a pris les bailles, la palanche et s'est empressée prendre l'eau. Le soleil pourpre-rouge a surplombé le déclin. Le gel chatouillait, grinçait. Les colonnes de fumée ont coulé de chéminées au-dessus d'aoul. En pressant les gens conduissent le bétail efflanqué à l'abreuvage. Quelqu'un est sorti la cendre, quelqu'un a porté le fumier. Badinant des longs bras de la fourrure, Kairbaj complaisant allait chaloupé à sa rencontre Rauchane. Passant Rauchane, il l'a regardé en dessous et s'est arrêté, tapant sur le bâton par sa gorge:

-    Kelin, chérie, qui est arrivé à toi?

-    Le courrier d'exécutif de voloste.

-    Il est intéressant, pourquoi est-il arrivé?

Rauchane s'est emportée:

-    Il a porté l'ordre sur faire la recette des contributions immédiatement. Il est ordonné faire la liste de débiteur et la faire tenir à l'exécutif de voloste. Je vais là aller avec la liste demain.

Rauchane est allée à la rivière. Kairbaj l'a fait un peu plus deux pas.

-    Kelin! Holà, kelin!... - Et il s'est arrêté, mordillant ses lèvres, a murmuré avec ennui: - Oh, que tu aies fait des affaires!...

Baken était parmi ceux qui coupait la trouée dans la glace. Ayant vu sa femme, il a brusquement détourné et est allé à aoul.

-    Holà, holà! -Rauchane l'a appellé. Mais Baken ne s'est pas tourné. Les gens sur la rivière, en oubliant des affaire, regardaient le couple curieusement. Dans un moment de colère Rauchane a jeté la palanche de son épaule et les bailles ont boulé tonnant sur le glace...

L'hargne forte a pris Baken subitement. Rauchane n'a rien entrepris sans consultant son mari d'avance. Elle a fait comme cela quand elle était choisi comme la déléguée d'exécutif de voloste ou elle allait à la ville ou marchait être le président d'exécutif de voloste.

-   Tout cela a été fait avec l'agrément et au su de Baken.

Quand les élections ont fini, certains des amis de Baken ont envié à Baken.

-    Maintenant sa femelle est la cheffesse, - ont-ils dit. -Maintenant elle fera tout ceux que tu veux.

D'autres hésitaient :

-    Eh bien, peut-être dans le premier temps cela soit, et puis quand elle connaît le goût du pouvoir, alors Baken ne lui approchera pas...

Les discours des amis n'ont pas troublé Baken, mais les caquetages de femme ont blessé son coeur. Kul'zipa traînait Rauchane dans la boue plus de tous.

Cette iaga a chuchoté à certain :

-    On dit qu'elle s'est acoquinée un grand toré. C'est pourquoi elle a été choisi...

Et elle a insinué à d'autre:

-    Il est évident que torés savent où les auront couché quand ils arrivent chez nous à l’aoul...

Bien sûr, personne ne disent pas quelque chose comme ça à Baken et Rauchane, mais la gloire mal promeigne rapidement à travers le monde.

Au début Baken s'est fait du souci, il ne s'est pas conduit habituellement, mais tout à coup soit s'acoquinait au bavardage fou et nul, soit était en goût de grande nombre des visiteurs honorables, importants et ils se sont adressés avec leurs affaires à Baken, mais non à sa femme. C'est pourquoi il a recouvré sa gaieté, a redémarré, s'est senti gaîment et sûrement. L'assurance a basculé vers confiance à soi dans peu de temps et ensuite dans la morgue. Avant il a consulté avec sa femme, soigneusement lui a passé d'autres plaintes et requêtes, mais puis a commencé à gérer, commander, sans l'examiner l'affaire, ne voulant pas écouter les objections. De plus en plus, il a négligemment jeté à sa femme :

-    Fais tout ce qu'il demande !

Rauchane s'est faite des soucis, s'est dépitée :

-    Comprends-tu, pauvre, je n'ai pas deux têtes, mais une seulement. Pourquoi je dois sacrifier ma tête pour les affaires vaseux?!

-             Que comprends-tu dans les affaires? La pensée de femme est bref

-    a Baken tranché. -Fais ce qu'on dit !

Ce changement avait lieu dans lui progressivement et non sans motif. Peu de temps après Rauchane a été choisi comme le président d'exécutif d'aoul, les manieurs d'hommes de Tasybek se sont réuni chez Kairbaj et, en fichant la viande de l'agnelle grasse, ils discutaient cet événement. Baken a été invité. Aksakal Ajibek ayant se rappelé de ses affaires dans le bon temps passé, tout à coup s'est adressé à lui et s'est même accroupi.

-    Mon Baken cher... Ton père, Chok-parbaj regretté, si pauvre soit-il, grâce à parent et les gens d'aoul n'est pas mort de la faim et pendant les déplacement il n'était pas en arrière d'autres. Jusqu'à aujourd'hui, nous, les descendants d'un ancêtre, vivaient dans l'amitié et l'unité, comme il est fidèle aux enfants... Maintenant les temps ont changé. Tout s'est retoutné. Comme on dit, la tête devient les pieds, et les pieds devient la tête. Passe ! Nous n'avons rien contre le nouvel ordre. Jusqu'ici, cependant, les aouls ont géré leurs propre destin. Seul Allah sait qui nous ettend dans le futur...

Ici un vieil homme s'est arrêté et a soupiré lourdement. Les voix étaient entendu immédiatement :

-    -C'est vrai.

-    Aksakal dit la vérité !

Et, ayant soupiré; secoué sa tête, un vieil homme continuait :

-    Ecoutes-moi, Baken cher. On a dit dans les vieux jours : "La femme regarde son mari, et mari regarde ses pieds".

Et bien, plus encore : « Le monde gouverné par la femme se trouve dans l'obscurité. » Ces trublions sont venus et ont commencé à troubler le monde, démentir les traditions très anciens. On a annoncé: « Il faut choisir l’ homme pauvre comme le président du conseil d'aoul ». Bon, personne ne soutient. Mais s'ils ont besoin de kedej, ainsi, c'est à dire, n'es tu pas le kedej ? Quand on t'a cerné et appelé le nom de la kelin, cela nous a traumatisé fortement. Certains djiguites ont voulu galoper à la ville, chercher la vérité. Mais je les ai persuadé, les a fait arrêter. J’ai dit : "Soyez sans inquiétude. Vous tartinez-vous. D'abord nous parlerons à Baken. Si c'est fait avec sa connaissance et le consentement, il ne faut pas lever le bruit. Kelin est notre, en fait. Elle n'irait pas contre son mari. Ce n'est pas facile de gouverner le monde. Dans ce cas il faut conseiller avec le monde, que tout ait été avec l'agrément. Si Baken prend tout souci et la responsabilité dans ses mains et kelin serra nommé aoulnaj, de quoi plus avons-nous besoin?" Et voilà tes frères aînés qui tous sont les gens honorables, ayant réuni ici aujourd'hui, ils veulent recevoir ta répondre: si tu fait les cent pas et barbote ou tu enfin devient le djiguite et gouverne ta femme?  Si les gens ont donné la rêne, alors, bien sûr, non à femelle mais à toi. As-tu compris?! Eh bien, que penses-tu ?

Et, ayant posé une question sans ambages, le vieux a triomphalement regardé en arrière, rein moins que donnant la question:  « Qui est génial, que je l'ai pressé ainsi?! »

Tous les présents ont meuglé approbativement:

-    Le vieux est plein de sagesse !

-    Les gens intelligents qui gouvernent le monde disent comme ça!

-    Que les hommes aient été braves dans le passé !

Baken est venu à ces réunion rarement. Pouvait-il supporter que c'était lui qui aura été au centre de l'attention?!  Le sueur a engagé Ajibek honorable comme dans le bain, et il s'est essuyé sa face avec bas du tchapan.

Et, dans l'entre-temps Baken a été houspillé et tiré de tous les côtés :

-    Oh, ne presses pas les gens, dis quelque chose !

Et, alors, sans savoir qu'il faut dire, Baken a murmuré timidement:

-    Je ne sait pas vos affaires. Mais je suis un hôte de

ma femelle et ma maison.

-    Holà ! Il est apparu qu'il est djiguite!

-    Qu'il soit le garçon ! Tu as du dire cela immédiatement !

ont tous gueulé.

Demecine, en tordant sa moustache soignée et regardant

par ses yeux de côté et d'autre, a dit:

-             Tu, Baken, parles plus clair. Sursautes-toi, sois un homme ! C'est assez à toi d'être clampin. Nous savons que tu es hôte de ta femme. C'est un peu maigre. Sois encore un hôte de son timbre ! Que kelin ne tamponne pas le timbre pas un de papiers! Promis cela à nos alksakals, et ils toi donneront leur bénédiction!

Baken, désorienté, a donné le mot d'homme et le vieillard Azhibek lui a donné sa bénédiction...

Dès ce jour-là Baken est né à nouvelle. Il est devenu sévère avec sa femme. Il s'est conduit soi disant que la rêne du conseil d'aoul avait passé à ses mains.

On ne pouvait pas reconnaître Baken. Pendant toute sa vie Il ne s'était pas entremis dans tous les affaires. Quand on choisirait sa femme comme le président du conseil d'aoul, il a réalisé son activité et a pris part dans toutes les chamailleries et zizanies. Et assez tôt tout le monde s'est installé pensée que Baken était le maître des destinées de la région.

Ce qui Rauchane a réfusé tamponner le timbre au papier de Demecine avait prise sur Baken comme la bourrade du couteau. Il était prêt de simplement rafler le timbre et tamponner le papier. A peu près deux fois il a fait comme ça. Mais ces derniers temps Rauchane s'est abruptement transformée, elle a commencé à protester de plus en plus fréquente: "Ne t'entremis-tu pas dans mes affaires! « Je sais moi-même que je fais..."

-   Qui es-tu? - Baken s'est même hérissé une fois.

-   Je suis moi. Je suis le président de huitième conseil d'aoul. Je représente le pouvoir ici! - Rauchane a répondu fièrement.

-   Est-ce que tu n'es pas ma femme ?

-   Ma femme. Eh bien, alors quoi ? Si je suis ta femme, est-il signifie que tu dois gouverner toutes les affaires? ! Ce travail a été donné à moi, mais non à toi.

Oh, que Baken ait entré en colère ! Les gens silencieux et méticuleux soient quelque fois terribles dans le colère! Dans ce cas il sortira! Sortira et ne rentra pas! Il a voulu quelque fois sortir de la maison mais Ruachan toujours câline et attentivement a dissipé sa blessure, l'a pondéré, l'a persuadé.

Pour cette fois tout était diffèrent. En sortant de la maison Baken a espéré que Rauchane l'aurait galopé, s'est jetée sur son cou, s'est mise le baiser, pleurer, dire qu'elle ferrait tous ses ordres et désires.

Mais Rauchane n'a pas fait cela.  De plus quand il s'est levé d'un saut, tout à coup elle s'est cachée après le dos de Jaulyk. C'était pourquoi Baken est sorti de son caractère entièrement. Qu'elle ait trouvée le protecteur! Qui est-il, ce Jaquesylyk?!

Il a courri chez Yermak en colère, sans comprendre quelque chose. Tout le monde sait quel homme Yermak est: il est assis pendant tous les jours près du siège, fait des ragots. Sa femme et lui, ils sont en accord. Là ou cette instigatrice est, le bruit et la querelle éclatent. Et maintenant, ayant donné dans leurs mains, Baken entravé et éreinté par meurs ragots et calomnies, il est allé à la fureur avec la désespérance et l'hargne.  Une fois il s'est levé d'an saut, en criant:  " Il est préférable de lui dévisser le coco!" Mais peut-il faire, tel méticuleux et traqueur! Si Yermak et Kul'zipa aient provoqués Baken, il ne ferra jamais cela.

Quand Rauchane est venue et l'a prie rentrer à la maison, Baken a couché juste assez au paroxysme de la colère effrénée. Il a rien moins que fouetté sa colère, donnant lui-même le voeu: « Je ne jamais l’appelarai ma femme et ne la regarderai en face!" Baken qui avait une taie sur l'œil, n'a pas réagi sur prières de Rauchane. Et il l'a même donné des coups de pied ce qu'il ne s'était jamais autorisé dans sa vie.

Mais la défaillance et la timidité du caractère toujours donnent signe de vie. Quand sa femme abattue par lui allait au porte avec désespérance et les larmes sur ses yeux il a dégelé, s'est radouci, il s'est senti telle miséricorde qu'il soit prêt se lever d'un saut et l'a interpillé: "Ma femme! Halte-là! Attends! "peut-être qu'il aurait fait comme ça s' il la regard de Kul′zipa qui se situait à la poêle ne l'a pas mis au pilori...

Il ne lui a pas répondu. Il n'est pas rentré chez lui. Et pourquoi ? Est-ce qu'il veut se séparer de Rauchane à jamais? Dieu m'en garde, pour rien au monde ! Il n'a pas admit cela même dans ses pensées, même quand l’hargne bouillonnait dans lui quand il a battu à rien Rauchane qui était allée pour assumer. Il s'est déjà fait tort pour ce qu'il avait fait mal et lâchement. Qui était la raison de la mésentente? C'était Demecine! Et qui est ce Demecine ? Baj ! Il est brasseur d'affaires d'aoul ! Il est ex-juge portant le symbole royal sur le caisson ! Ah bas! Est-ce que Demecine a fait état de Baken jamais? Allons donc! Il a brandillé par la canne au-dessus sa tête! Oui, oui, Baken a galéré chez lui presque dix ans. Si mettre bas de lui le bonnet de kalgan on peut voir les marques de cette canne. Alors, alors...pourquoi s'est-il déchaîné comme ça? Pourquoi s'est-il mis s'employer pour lui ? Oh, le fou !.. Oh, baluchon !...

Baken était en colère contre lui-même de plus en plus. Comment a-t-il pu offenser Rauchane si cruellement ? Oui même sur les yeux de Kul'zipa misérable.

"Je suis en donner, mon chérie, a-t-il dit à sa femme in petto.

-    Ne boudes pas, j'irai à la maison aujourd'hui.  Je te calmerai, te conforterai..."

Il a commencé à rentrer chez eux, que c'était Kul′zipa avec tout un tas de nouvelles :

-    Mascara! L'horreur ! On dit que ta femme a été appelée par le voloste... On dit qu'il la s'est ennuyé... Pour parler... Pour parler seul à seul... Et encore on dit que...

Il n'y a pas un fin de ces "on dit" de Kul'zipa, et après chaque "on dit" tous les ragots se trouvent, les ragots qui font les gens se sentir mal.

"Il est très possiible qu'elle a été appelée à l'exécutif de voloste. Mais elle n'ira pas seul sans m'a dit... Il est signifie qu'elle viendra encore une fois. Alors nous nous remettrons ensemble" a Baken pensé avec l'espoir. Il a plu cette pensée et il a regardé le porte sans retournant les yeux et a ettendu l'arrivé de sa femme.

Le soir est venu. La lampe a été allumée. Les baguenaudiers ont commencé à passer de maison à maison. Un est venu et d'autre est sorti... Mais Rauchane n'est pas venue...

Le lendemain dans la matinée Baken est montée sur le toit de la grange d'Yermak et a regardé autour de lui, comme s'il cherchait quelqu'un, et tout à coup il a vu Rauchane portant le châle de bourre sur le traîneau attelé par le hongre bai et a été conduit par Jaquesylyk.  Le coeur de Baken s'est glacé.

-    Ah, que tu sois... –a-t-il dit avec l'ennui et involontairement.

Sentant la vacuité terrible, il a erré à la maison.

XII

L’exécutif  de volost n'est pas tout à fait très loin. Elle est partie aujourd'hui et elle va revenir demain. Ce n'est pas la question. Le fait que sa maison propre lui a paru étrangère et inconnue du premier coup  pesait et alarmait Baken.   Tous les baluchons ont été faits, emballés, cordés. Comme avant le départ. Qu'est-que cela signifie?  Pourquoi n'a-t-elle pas dit un mot en partant? Ou bien?..

Comme un ahuri, Baken a flâné toute la journée autour de sa maison. Il ne parlait à personne, ne passait chez personne. Les habitants d'aul passaient outre, parlaient de quelque chose, riaient, et il semblait à Baken que tout le monde riait de lui. "Venez-y! Je vous en ficherai! - a Baken dit à on ne sait qui. - Que ma femme arrive! "

Baken à regardé le chemin tout le jour. Il se figeait en remarquant un voyageur au loin. Enfin avant le crépuscule est tombé le hongre bai a apparu. S'étant réjoui Baken s'est dirigé vers la maison et il a glacé tout à coup. Seul Jaquesylyk était assis sur les traîneau.

-   Oh, oh, où est ma femme?

-   Elle est partie à Orembourg... pour étudier...

Baken a été troublé. Il s'est approché des traîneau en titubant. Puis il s'est ébranlé à Jaquesylyk. Le secrétaire babillait quelque chose, expliquait, mais Baken n'entendait rien en ce moment. Comme s'il est devenu sourd. Jaquesylyk, s'étant effrayé, a reculé, mais Baken, étant devenu furieux, s'est jeté sur lui et a commencé à le frapper, frapper, frapper. Où il frappe, pourquoi il frappe, même qui est-ce qu'il frappe - un bétail,  un homme ou un chien, - il ne comprenait déjà rien.  Quelqu'un saisissait ses bras. Quelqu'un le tirait par sa courroie. Bruit, pleurs, jurons - tout s'est mêlé...

Il s'est déjà éveillé avant le jour. Il a fouillé avec sa main du côté du poêle: personne n'était près de lui. Seul! Alors il a commençait à se rappeler de ce que s'était passé hier.  "Orembourg", "Les études", "Bonjour" - seuls ses trois mots ont émergé à son mémoire. Mais ils étaient suffisants pour comprendre que s'était passé tout à coup. Baken s'est mis à pleurer comme un enfant.

C'était certainement Kul’zipa qui est venue pour le visiter et le plaindre la première.  Comme un mollah près du malade elle s'est assise au chevet et a commencé à répéter fastidieusement de corruption de Raùchanne, de mouvais temps qui sont venus et que malgré tout cela l'ossature de la piété n'avait pas encore chancelé dans des auls.

-   Ne te désole pas. Tu n'es pas encore vieux. On peux se procurer de telle chipie chevelue où qu'on aille, - consolait Quùlzippe. - Au contraire, remercie Allah que tout s'est arrangé de telle manière... C'est bien qu'elle est partie elle-même.  Autrement nous te persuadions de l'abandonner.

Ensuite des foules de vieilles, de jeunes femmes, d'adolescents, d'enfant se sont mis à venir. Et tous regardaient Baken avec pitié et sympathie. Une des femmes faisait la maison, balayait le plancher, une autre allumait le poêle, portait de l'eau, préparait du thé, la troisième s'est mise à blanchir.  Tous ne faisaient que manifestaient avec zèle de soin et d'attention.  Baken n'a jamais éprouvé tant de compassion et de bienveillance dans cet aul.   Il observait et s'étonnait.

Puis  "les hommes honoraires" de l"aul sont venus - Ajibeque, Démécine, Kahirbai avec tous les larbins. Tous parlent de même: "Comment la jeunesse s'est corrompu!",  "Quels temps terribles sont venus!"

Mais ceux-ci ne sont pas venus sans raison. Ils pensaient de son prétexte.

Ayant appris que Raùchanne étais partie aux études, les "honoraires" ont commencé à penser du nouveau président du conseil d'aul. Le valet de ferme Sadout a été nommé comme suppléant de Raùchanne. Toute sa vie, l'été et 'hiver, il travaillait comme valet de ferme chez des koulaks russes.  Abille a appuyé très instamment sa candidature aux élections et il avait conseillé Raùchanne plusieurs fois: "Prends garde de ne pas travailler seul comme des vieux aulnais. Rappelle-toi qu'il est ton suppléant. Travaille ensemble, instruis-le". Raùchanne a retenu ce conseil et a tâché d'appeler Sadout à travailler, mais Baken objectait catégoriquement! "Je ne laisserai s'approcher ce baptisé de ma maison!" Alors Sadout restait donc en marge. Maintenant d'après la loi les affaires du conseil d'aul devait passer à lui. Les barbes blanches et les barbes noirs se sont alarmés: "Comment peux-t-on mettre le sceau entre les bras de Sadout? Non, il faut réfléchir comme il faut à tous, autrement nous ayons beaucoup de malheur." Mais certainement cela n'était que prétexte, parce que "les hommes honoraires" ont décidé d'élire comme suppléant du conseil d'aul au lieu de Raùchanne Baken lui-même.  Pourquoi pas, s'il est membre du Conseil?

-    Le bien est venu à ta maison. Ta femme a eu la folie de ne pas l'apprécier.  Mais nous ne voulons pas tu priver de lui à cause de cela. Que ce poste reste à toi. Nous sommes réunis ici pour t'assigner comme aulnai et te bénir pour le bon travail, - les vieux ont déclaré.

Baken ni s'est réjoui, ni s'est chagriné. Tout lui était déjà égal.  Ajilbeque a prononcé la bénédiction. Tous les autres ont passer pieusement leurs mains sur leurs visages. "Les honoraires" ont tenu Jaquesylyk pour incertain et ont élu mollah Iskendyr comme secrétaire de conseil d'aul. On a aussitôt rédigé un procès-verbal au nom de tous les habitants de Huitième Aul  et on a chargé les plus persistants et les plus habiles atkaminers-affairistes Demecine et Jousoupe de porter le procès-verbal au comité exécutif  de volost pour le confirmer.

Ainsi  Baken est devenu le président du conseil d’aoul. Mollah Iskendir s’ est mis au travail, en ayant léché le bout du crayon. Toutes les affaires du conseil se sont trouvées  aux mains du groupe des habiles et ignorants.  Les documents et listes composés du temps de Rauchane ont été révisés aussitôt. Bien sûr on a découvert que les listes avaient été composés improprement, qu’on avait écrit plus grande quantité des bestiaux, qu’on a eu en fait. On a composé ces listes à nouveau pour faire plaisir aux roublards d’aoul et aux richards et on a envoyé ces listes à l’exécutif pour le nouveau président à signer. Toutes les affaires ont été faites à bras des «hommes respectables» «très intéressés aux biens du peuple». Très souvent Baken n’a eu l’idée de la plupart de documents. En effet il n’a pas su signer. Tous les documents ont été signés par le mollah agile Iskendir. Le cachet s’est trouvé dans la pochette, qui s’est trouvée à Iskandir même...

Baken a été le président trois moins. Tout ce temps le paix et la quiétude ont prévalu dans l’aoul pour les personnes identique à Demecine.

Il a eu beaucoup d’abus et on a appellé Baken en justice on a le mis en prison et condamné à trois ans de prison. 

XIII

L’homme maigre au visage noir et avec la barbe épaisse noir est entré dans la rédaction du journal gouvernamental. Il s’est tenu, il a piétiné en ayant regardé autour de soi, depuis il s’est approché un jeune homme qui s’était assis sur le bord et il a demandé:

-          Est-ce la rédaction?

-          Oui, c’est la rédaction.

-          Alors... je voudrais présente le fillet pour le journal ... Comment est-ce que je peut ce faire?

-          Très facile. Assez-vous et écrivez.

-          Mais mon écriture n’est pas très belle. Et je ne sais pas écrire assez vitement. Mon cher, je suis... sorti de la prison. Et j’ai appris à écrire tellement en prison...

Un jeune homme – collaborateur de la rédaction – a regardé attentivement avec l’intérêt sur le visiteur étrange et approché une chaise à lui.

-          Assez-vous et racontez. Je vais écrire...

Le barbu s’est assis, il a essuyé les gouttes gros de son front.

-          Eh bien, je suis coupable en rien. Ces filous – Kairbai, Demesine, Jusup – ils ont profité de mon ignorance, ils ont poussé moi dans le feu. Ce que je n’ai pas compris que était gauche est que était droite, et je n’avait pas l’homme honnête, qui pouvait mettre moi sur la bonne piste. J’avais la femme, Rauchane, mais ces scélérats nous ont séparé. Elle a quitté. Écrivez tous par ordre, je vais raconter tout, je vais découvrir toutes leurs fraudes sales.

La femme a été assis sur la table du rédacteur en ayant incliné sur les documents.  Elle a écouté, prêté l’oreille et tout à coup elle s’est levée.

-          Monsieur, regardez-vous en arrière, s’il vous plaît. – Le barbu a regardé en arrière – Comment vous-appellez vous?

-           Mon nom est Baken , ma chérie. Je suis le fils de Shopkarbai. Mon père était le berger des beys* toute sa vie...

Baken a changé grandement pendant ces années. Ancien Baken gardait le silence presque toujours, il asseyait en s’étant gonflé est refrongé, comme il disait: «Devine, est-ce que je sens!». Mais ce Baken a déjà vu, a essuyé, a supporté quelques choses; il parle couramment et lestement. Il a légèrement utilisé les mots «l’ennemi de classe», «classe de prolétariat». C’est donc qu’il a appris quelques choses, qu’il est devenu un home différent.

La femme regardait longtemps attentivement au visage de Baken, depuis elle a demandé:

-          Reconnaissez-vous moi ?

Baken regardait attentivement en s’étant rappelé quelques choses.

-          Je suis Mariamme. – a-t-elle souri – Peut-il vous avez oublié ?

Baken a même sauté de son place en ayant perdu contenance. Il s’est jeté à Mariamme est il a donné timidement sa main.

-          Exusez-moi, ma chérie. – disait-il d'un air coupable.

-          Pourquoi, monsieur?

-          Exuse-moi... si tu m’excuserais, Rauchane peut aussi m’excuser. J’ai l’offensé très fort , ma Mariamme. Je ne pouvais pas être son ami. J'ai honte et j’ai mal. C’est ma faute.

Sa voie vibrait.

-          Prendrez la place, s’il vous plaît.

Mariamme  lui a  fait asseoir à la table, elle lui a écouté, elle a demandé quelques choses et a fait certains notes. Depuis, quand il a cessé, elle a demandé :

-          Savez-vous où Rauchane est ?

-          Je sais, qu’elle est allée étudier. J’ai écouté aussi qu’elle s’est mariée ... le Russe... Soit. Je n’en a pas accusé. C’est ma faute. J’ai l’offensé très fort...

-          Il s'en suit que vous ne savez pas tout. C’est aujourd’hui quand Rauchane arrive à notre ville.

Baken a demeuré, il a failli tomber de la chaise. Les larmes se sont montées aux yeux.

-          Comment ? Mariamme, mon cœur, j’ai la prière dernière. M’aides à le voir encore une fois.

Le train est arrivé le soir, les lumières sont déjà lui. Beaucoup des personnes rencontrantes s’attroupaient sur le quai. Baken et Mariamme ont été parmi ces personnes. Baken était comme l’ âme en peine jusqu'à ce que le train s'est arrête et les passagers ont commencé sortir des wagons. Tout à coup à la fenêtre le visage de la jeune femme bronzé a apparu. Cette femme a été habillée à la mode de ville, elle avait la valise rouge en maroquin dans la main.

-          Voici ! C’est lui ! – a crié Baken qui faillit pleurer et il se démenait à travers le quai.

Mariamme et Rauchane s'embrassaient.

-          Salue cet homme aussi. – a Mariamme dit.

Rauchane a regardé en arrière, elle a vu Baken et son visage est devenu pâle et triste. Elle a courbé la tête, elle a donné sa main et dit doucement :

-          Bonjour...

Baken serrait sa main et répétait :

-          Ma chérie... Rauchane... Pardonnes-moi...

Mariamme les a conduit chez lui. Toute la route Baken regardait Rauchane sans détacher le regard.

Rauchane! Est-ce lui ? Il avait trois ans, quand elle était simple, peu marquante femme d’aoul. Une de beacoupe des autres. Maintenant ... La différence entre Rauchane du présent et Rauchane du passé était incommensurable. Cette Rauchane a su beaucoup, elle a étudié les choses différentes, elle a appris les doctrines de Marx et Lénine, elle est devenue la communiste vraie.

Rauchane n’a rien demandé à Baken. Il est possible qu’elle n’a pas oublié l’offense vielle ou il y a eu la raison autre. Elle ne faisait que jetait les regards sur lui.

On faisait le lit à lui dans la chambre séparé pour passer la nuit. Il asseyaient seul longtemps très pensif comme il ne comprenaient pas        si les toutes ces choses seraient passés en réalité ou en rêve.

Depuis la porte a grincé et Rauchane est entrée la chambre. Baken a sauté confusément mais elle a fait lui asseoir vitement en mettant son bras sur son épaule.

-          Tu es très maigri ... – elle a aperçu  ayant embrassé son cou et s’est serrée à sa joue. – Connais-tu maintenant qui est ton ami est qui est ton ennemi ?.. As-tu compris tout ?

J’ai  compris, me bonne amie... Je sais... J’ai compris le vrai juste. Je vais racheter mon tort après de notre pouvoir... Et je sais que je dois faire ... – marmottait heureux Baken.

1929

 

                                                            

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



[1] Les dames n'ont pas désigné des maris des filles de Aoul nommément, mais elles ont leur donné des surnoms. C'est pourquoi Kulzipa s'appelle Meruert comme "Chrailim", ce qui signifie "belotte".

2 Les femmes ne sont pas appelées hommes aînés par nom et elle leur avons aussi donné des surnoms selon leurs statut.

 

[2] 1Officier. Dans ce cas c'est un ouvrier soviétique.

 

[3] 1La viande préparée pour l’hiver.

 

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