Әдебиеттi ешкiм мақтаныш үшiн жазбайды, ол мiнезден туады, ұлтының қажетiн өтейдi сөйтiп...
Ахмет Байтұрсынұлы

23.11.2013 1381

Maïline Beïmbete « Un pas»

Негізгі тіл: « Un pas»

Бастапқы авторы: Maïline Beïmbete

Аударма авторы: not specified

Дата: 23.11.2013

À l'heure du crépuscule cinq habitants de l'aoul se sont réunis près de l'étable Alekaie.

Comme en automnal il faisait froid. Le vent pénétrant soufflait tout le jour, mais vers le soir calmait, et beau froid piquait la personne.

Dans l'aoul  comme en soirée est bruyant, s'affairer auprès de gens, hennissent les chevaux, meuglent les vaches, voix chevrotante des brebis. Les femmes récolter le lait, les hommes cherchent le troupeau, herbager les brebis, les jeunes filles-poulettes, en grondant les seaux,récupérer  l'eau.Quelqu'un maudit à un inconnu. «Soit que toute ta génération disparaisse!» - quelqu'un souhaite à quelqu'un, «Pour que tu toi-même se dévisser le cou!» - l'autre lui répond immédiatement; encore quelqu'un pas par un bon mot, commémore des rejetons de quelqu'un jusqu'au septième genou; quelque part pleurniche l'enfant : « Mamie, gri-gno-liet!» Et tous ces cris, le juron, les pleurs disparaissent sans laisser de trace, en se dissolvant à l'habitude à la vanité du soir de l'aoul de steppe.

Il semblait, cinq hommes à côté de l'étable se sont arrêtés simplement pour admirer par le tableau si gentil à leur coeur: une telle vie, doit être,  leur se présentait comme  le paradis; ils ne rêvaient pas de rien le meilleur, et si tout cela restait éternel, inébranlable, ils seraient contents de tout dans le monde.

En appuyant la poitrine sur le bâton blanc,en bas,sur les sourcils, a tiré son chaud treoukhe[i],se tenait lui-meme Alekai. à côte de lui, les mains dans ses poches, en mâchant le tabac et en crachotant air vainqueur de tous les côtés, ,se tenait Joumagoul-le fils, aux joues roses,  luisant de la graisse.

- Eh bien et alors?, tu dis, qu'ont fait avec de volost?-a demandé Alekai. Joumagoul  a recraché le chewing-gum et a fini :

- Dès que la matraque du pouvoir a échappé de la main Sarsen-bay, Syzdyk, le fils d'Omar, est allé au grand train à la ville, s'est rencontré avec les régents. Là en effet, est assis Kourdegey, étant autrefois ex-volost.Il encore, tu te rappelles, Akram a tiré de la prison... Et maintenant une bonne place occupe. Syzdyk,il paraît impers, connaît  celui-ci, quand il était encore un juge. Tu voit, quand celui-là encore par le juge était. Eh bien, comme un vieil ami, et il l'a fait tous...

-Sort que lui dévisseront exactement?

- On dit, oui. Les affaires, semble, vont transmettre à son candidat. Mais le secrétaire de Comité exécutif volost objecte catégoriquement. Dit,  le fils de bey...

- Mais qui est celui-ci, le secrétaire?

- Le fils Ibray, de l'aoul de Beysen.

- Hé, je connais, je connais.

C'est le plus idiot, qui vivait chez Sateke, était le professeur et tentait d'interdire ourazou[ii].Il a passé dès le début pour le semeur de discorde et le taquin. Est arrivé, ainsi qu'a commencé à troubler le peuple. Ah, mon Dieu bienveillant, quel supplice! La populace ignoble a commencé à lever la tête! Cela signifie, ont vécu jusqu'à bon, s'il en est ainsi,que le rejeton Ibray s'est avisé de diriger par le peuple!.

Et soupiré Alekaie. On voit, de vieux bons temps se sont été rappelés par lui. Les affaires, qu'il réglait, quand il était le juge-bey, et Akhmete - de voloste.

-Ah! ha! , est passé le temps d'or!.

Nourgalie en se taisant écoutait la conversation du père avec son fils.Il

enseignait dans cet aoul. Ceci de petite taille, trapu,en noir face un hardi cavalier. Sur lui le manteau vieux frotté. Sur la tête - la casquette. De dessous de la sortent de longs cheveux crépus.

Le secrétaire de Comité exécutif volost est appelé par Aman-bey. Il est la connaissance ancienne Nourgali. Autrefois apprenaient ensemble à l'échelle internationale, grandissaient ensemble, se moralisaient..

Ils étaient les amis et même les partisans des mêmes idées. Ensuite, quand ont commencé à enseigner, correspondaient longtemps. Dès l'enfance Anane-bay était le plus capable dans la classe. Tout nouveau il apprenait toujours plus tôt de tous. En racontant Nourgalie, il toujours donnait à tous ses estimations. Aux yeux de Nourgalie Amane-bay était le premier chanteur,l'animateur, l'instructeur.

Aujourd'hui Nourgalie déteste Amane-bay. Il considère, qu'Amane-bay a trahi leur amitié ancienne, a écrasé leurs camaraderie.

L'année passée Nourgalie enseignait dans l'aoul d'Ousken-bay: c'est le plus joyeux aoul dans tout la circonscription. Ici, comme on dit, il y avait des jeunes filles - l'amusement pour l'âme, et le koumis - l'amusement pour la chair. Dans cet aoule  Nourgalie ne vivait pas - était au comble du bonheur.

Mais quelqu'un a expédié secrètement à Volispolcom[iii] la plainte, à ce qu'on dit, l'instituteur non tant d'enfants apprend, combien pour les fills  court,les  arakhs boit, aux cartes joue... Le Président Volispolcom l'a provoqué, a réprimandé forcement et a décidé de lui déménager une autre place. Arrive la séparation avec l'aoule aimé et avec ses tentations toutes. Que l'attend à une nouvelle place - allakh sache. S'est perdu Nourgalie, s'est mis à courir chez un vieil ami Amane-bay, a commencé à implorer:«Aide... Ne me touchez pas de la place». Alors Amane-bay, au lieu de compatir et aider, a commencé à prononcer :

 -On ne mélange pas le travail et le sentiment.

Pour de tels cas,n'est pas que seulement te transporter, mais en général, on ne peut pas admettre à l'école tout près!

Dès ce jour Nourgalie a pris en haine - son l'ami ancien.Et une insulte à Amanbai se répandit bientôt sur ​​tous les communistes ou ceux qui sympathisaient avec eux. Il croyait qu'au parti vont soit que pour l'argent, soit que pour la place lucrative. Il soi-même se comptait comme un véritable héros national. S'amusait de ce que, sans tels, comme lui, les hardis cavaliers,des aoules  kazakhes depuis longtemps  auraient perdu originelle façon,de posage éternelle.

Alekaie a soulevé la tête et avec la moquerie évidente, a regardé l'instituteur s'emmitouflant frileusement en jour de glace à ,,paletot,,, comme le pêcheur russe étant mouillé en saison de pêche.

- Écoute! mollah, toi paraît-il apprendrait avec le fils Ibray?Et quels sont votre relations?

- Oui, nous sommes familiers...- a mâchonné Nourgalie.

- Mais je ne demande pas sur la connaissance. Je veux connaître, si tu pourras en cas de nécessité quelque peu l'influencer?

 Et dans les mots, et dans le sourire moqueur d'Alekaie a scintillé le reproche:,,Est-ce que tu, la pauvre diable, est capable de quelque chose!,,.

 Nourgalie a compris que l'on n'a rien à éviter, le plus  avantageusement dire la vérité.

- Non.Nous sommes dans la querelle. Il pour la personne ne me trouve pas. En effet eux, tous, les communistes - les chefs.Regardez vers le bas sur nous.

- Peut-être, vous êtes pour rien dans la querelle, -est intervenu dans la conversation Erbosyn, -En effet, les communistes pas du tous contre les instituteurs. Qui dans cet aoul a ouvert l'école? Le communiste Jouman! Dans chaque lettre demande,,:Comment dans l'école? Si l'instituteur est bon?,, Soit que les communistes se querellaient avec les insituteurs, il n'écrirait pas ainsi...

Erbosyn jusqu'ici se trouvait indifféremment à l'écart et caressait la barbe. Il semblait, qu’il était occupé seulement par son idées. Et ce qu'il ainsi brusquement a touché l'instituteur,évidemment on n'aima pas ni Alekaie,ni son fils, ni soi-même Nourgalie. Tous les trois ont écarquillé sur lui les yeux.

- Tous connaît dans le monde Yerekaie, - a remarqué d'un air moqueur Joumagoul.

- Hé, lui en effet, l'enfant gâté du nouveau pouvoir. Le favori! Qui doit encore connaître, comme non il?, -a plaisanté Alekaie.

Les moqueries ont fâché Yerbosyn.

- L'enfant gâté moi là ou le favori -pas sur cela les paroles. Je pense, dans celui-là il n'y a pas de grand malheur, si je dis que je connais. À mon avis, les communistes pas du tous tels, comme cela présente

l'instituteur.

Voici Jouman est communiste,mais quand il va à la maison, - comme dit - avec les bois entre, avec les cendres sort. Aucun travail n'évite pas. Mais en effet, quel poste occupe! Il n'a pas son égal. Le chef considérable,alors devant personne ne se présente pas...

Alors peut, tu ne voyais pas encore simplement? Parfois il gonflé d'orgueil et les gens ne remarque pas. Qu'est-ce que sur cela tu diras? - voler dans les plumes à Joumagoul.

- Pour nous il n' était pas orgueilleux. Et si quelqu'un ne le remarque pas, alors cela, probablement, des bays et leurs larbins. À cause de cela personne le ne trouve pas puant.

- Eh, pour que tu échoues! Pour que les tiens mots abject résilier dans la gorge comme la pierre! Au moindre soupçon - immédiatement commencent à déchirer son prochain: bay, les pauvres! Eh bien que vous par cela obtiendrez?On voit,comment ton pouvoir Sovietique est comblé de bienfaits au pauvres! Le bétail ils à eux, peut-être, donnaient?Rouleau herseur donnaient? Ont frappé d'un impôt tous, chez qui a été mis en marche au moins cinq-six têtes de bétail, voici et tout est bon de ton povoir!L'année passée en temps a la réunion d'aoul, Jouman s'usait ainsi, comme le paradis est allé construire en un jour. Alors qu'a fait? Eh bien, il a ouvert l'école.

Voici et tout.Encore et encore le local n'a pas trouvé, alors que ma maison ne se sont pas établis.

Dans ta maison! - coupait Yerbosyn,- on croirait que tu les as cédé la maison gratuitement.Tu pour cela déchires l'argent!

Alekaie fait éclaté son indignation :

- Qu'il moud, ce chiot, se bourrant la gueule de la merde!Sans votre argent, moi comment, de la famine crèverais? Sur le territoire de campement serait en arrière? Ingrats! Le bien ne se rappellent pas! Je les ai cédé la maison pour qu'ils ses l'affreux apprennent, mais ils...

Joumgal a interrompu le père. Pourquoi les mots dépenser pour tels, comment Yerbosyn?Est-ce qu'il est digne d'une telle honneur?

 Qui est lui, cet Yerbosyn?Leur garçon de ferme! Le laquais,à qui et au seuil plus tôt n'admettaient pas! Et maintenant, tiens, ose objecter à bay?C'est à  son monsieur ancien?! Mon Dieu,quel scandale! La honte, la honte!.

En écoutant cette querelle courte, l'instituteur Nourgalie a fait pour lui-même la conclusion:Alekaie- une bonne personne respectable, chère, alors que Yerbosyn-désœuvré, la personne indigne et ingrat...

Du coucher du soleil se sont séparés selon les maisons.La belle-fille de bay- Koul'barcha se trouvait dans charretée de foin à côté du samovar, au tube celui-ci échappait la flamme vive. Dans le crépuscule la jeune femme dans l'éblouissement semblait d’une jeune fille céleste.. En tout cas, elle s'est montrée à l'instituteur notamment une telle. Nourgalie l'a admiré involontairement. Il voyait lui chaque jour, mais ne croyait pas qu'elle peut être telle beau. «Eh...il faut, peut-être,dé-ci avoir en vue», - il a pensé...

 

ІІ

Le marché était en plein boum,quand Joumagoul et Nourgalie sont entrés à la ville.

Au propre, c'était pas la ville,mais simplement un grand bourg. Sur la marché s'assemblaient particulièrement les russes des villages plus proches et les fermes et les kazakhs des aouls. D'ailleurs, ici se trouvent les kazakhs plus que des russes, et le commerce chez les kazakhs allait éveillé. Le bétail coupaient et la viande vendaient aux kazakhs, les kazakhs aussi vendaient le tabac et une autre bagatelle et le chiffon, chez les russes et les tatars le commerce allait plus grandement. Ils avaient une marchandise.

Sur deux calèches s'entassent les outres. On voit, cela de l'aoul un peu éloigné, sont venus avec le koumis[iv]. La femme a les yeux qui pleurent. Ils s'emmitouflent frileusement à la peau de mouton. Mais qui la chasse à une telle froid boire le koumis?Les gens vont et vont devant. La vieille aux yeux globuleux chacun arrête, répéte :

- Eh, racine, le koumis , jaksi[v]! Le koumis bon, le koumis en sucre!.

Bouillir, bouillonne dane le marché. Chacun veut gagner, où - cela arracher, quelque chose recevoir. Tels marchés - non la rareté

dans les bourgs.

Particulièrement là, où la coopérative travaille mal.

Le plus possible les animations à les parties de boissons du marché. Il fallu à deux se serrent les mains, comme aussitôt s'empressent de boire pour l'arrangement.

- Magarytch[vi]!- les russes disent.

- Magarych donne! - les kazakhs leur font écho.

Quelques personnes - les russes et les kazakhs pêle-mêle -

cela s'est installé à côté de l'araba et sirotent unanimement  vodka«Belogolovki[vii]». Ils ritent du froid et des cristaux de neige étincelant. Chaudement pour eux, joyeux, ils ont rougi, les joues flambent.

Au bout du marché il y a une calèche, à côté de celui-ci - deux bouteilles de vodka. Là il y a aussi le pain, la bulbe. Entre deux âges le kazakh avec la barbiche soigneusement coupée aiguë plisse et sans celui-là les yeux brides sourit :

- Allons-y, Ivan, nous buvons!. Une fois nous vivons dans le monde.

Ivan à la barbe rousse, ayant dévasté d'un seul trait le verre,

a avalé de travers,a retourné, a secoué par la tête et a murmuré à tout hasard

- Oui, oui!. Cela ainsi...

Ivan a regardé en arrière autour, s'est mis à hurler joyeusement :

- Eh, Joumagoulka.Vas-y!

En se dépêchant, en trébuchant, il s'est mis à courir chez Joumagoul.

Là buvaient aussi : Joumagoul, Nourgalie, leur vieux tamyr[viii] -forgeur municipal.Joumagoul, a versé à Ivan le verre remplir jusqu'au bord, deuxième a donné Nourgalie.

- Allons, nous buvons!

Ont bu. Et ont bu encore. Après la bouteille - la bouteille. Est bu bien des arakhs. Se coule bien des arakhs. Du compte se sont égarés. Se jettent de long en large les gens. Les passants regardent les pochards, sourient. Tu ne comprendras pas : soit qu'envient, soit que critiquerent, soit que se moquent. Le kazakh en barbe point s'est enivré des débuts est a commencé à harceler à Joumagoul :

- Toi - le fils be bay... Myrza! Quel diable tu est Myrza? Eh,si je devais Myrza! Comment je dis, Ivan?.

Sois moi Myrza, je serrerais tous les gueux voici ainsi...Municipalité rurale deviendrait... c'est vrai, Ivan? Chez Ivan est allé visiterais.... Ivan! Si je vais te voir, tu me donneras le kalatch[ix]? Tu à moi le kalatch,moi à toi - les vodkas... Ainsi? Comment?.

Joumangoule au départ écoutait docilement le délire ivre du compagnon de bouteille, mais bientôt sa patience s'est épuisée. En plus il était ivre aussi.

- Quel moi Myrza, tu ne m'apprends! - il a déclaré avec emportement.

- Non, c'est je vais vous apprendre!

- Où à toi?

- Et non seulement vous - votre père peut enseigner!

- Maintenez votre langue!

- Alors et pas mentienne!

Sur cela la discussion s'est achevée et à la marche sont allés les poings.

Nouralglie leur a séparé à peine et a tiré Joumagoul vers leur calèche. Joumagoul ivre ne souhaitait rien écouter, seulement s'enflammait encore plus.Nouralglie était a livré aussi, les yeux se sont voilés, tout a balancé autour, a flotté, mais, en séparant les bagarreurs, il un peu s'est désabusé et a compris à la fois que traîner ivre dans le marché populeux est vraiment la plus dernière affaire. A Dieu ne plaise que quelqu'un voit du Comité exécutif Volost, alors malheur à lui, immédiatement expulsé de l'école.

Deux jeunes garçon, en état d'ivresse Nourgalie ne s'est l'aviser pas  attentivement ,ont passé devant lui avec un sourire condescendant.

_Eh,de quelle façon esthétique gésit- il?

Et en effet,était Joumagoul pittoresquement : s'aplati par terre, a dispersé les mains-pieds et se caserant en briska. Un des passants a écarquillé les yeux. -_Holà, c'est vraiment le  même instituteur de l'aoule!

Nourgalie s'est détourné précipitamment. Non cela - les conversations de la fin ne sera pas.

_Mirza se bourrer la gueule - passe encore.Mais l'enseignant tellement ballotte ivre sur la marché –Honte!- à percuté l'autre.

«Est-ce que je suis ivre ainsi? - A pensé sur lui-même Nourgalie.

-Pour de bon je ballote?Il a desserré des doigts, par qui s'est accroché aux rampes de la calèche, et s'est tenu debout à peine...

S'est éveillé Joumagoule et a levé la tête :

-Mollah, traîne des arakhs!

Le cheval allait par le chemin à la partie de l'aoul. Chez chacun dans la poche était dans le sein selon la bouteille de vodka. Ont commencé à boire directement sur la calèche.Joumagoule  a commencé à se remettre. Au départ il remuait à peine par la langue, mais peu à peu son bredouillement a retrouvé le sens :

- Moi Mirza. Le fils de bay. J'ai beaucoup du bétail. Le père est vieux, crèvera bientôt. Et alors tout le bétail - le mien... Deux cents chevaux. Vingt bons coursiers. Eh, mollah, tu connais mon cheval ambleur? À - l'haquenée! De la jument louvette.Soit que je volost, je partirais sur le trois des chevals ambleurs. Avec la sonnette! Mon char voyais? Le dot de ma femme. Alors comment, ma femme, belle? Et mollah? Hé! hé!Et  elle m'aime!.Porter moi dans son sein! Eh, mollah, dis!: quand je serai de volost, tu iras chez moi comme le scribe?

Les verres n'étaient pas, et buvaient déjà du goulot. Après chaque gorgée Joumagoul comme s'asphyxiait, était pressé, s'empourprait...

Le cheval s'est arrêté soudain.

Un petit vieillard rond s'est approché à la calèche:

-Cher Joumagoule, j'ai une l'affaire avec toi.

Joumagoul a écarquillé sur lui les yeux. Tentait de sauter de la calèche, se jeter sur le vieillard, mais Nourgalie n'a pas lancé. Puis Joumagoul s'est heurtée au vieil homme par une bouteille. La bouteille a survolé sa tête a frappé le panier, a été brisé en mille pieces.

- Eh, voilà qui s'appelle partir! - Le vieillard a dit, s'est assis sur le char, a frappé les chevaux et est parti.

Joumagoul a éclaté de rire hautement. À cet instant l'instituteur a pris en haine pour Myrza. Soit le rire idiot l'irritait, soit ce qu'a lancé au vieillard par la bouteille.

- Quoi tu faire le fou?A rougir, calme-toi, tu viens-ti?, - il a dit.

Joumagoul, en branlant la tête, a écarquillé les yeux sur l'ami, a mâché par les lèvres.

- Hé-hé comment crachera à lui à la personne! Pouah! L'instituteur, cependant, à la réponse n'a pas commencé à cracher. Peut-être, respectait quand même Myrza, peut-être a eu peur simplement. Il même de la méchanceté, n'a pas senti l'offense... Quelque chose lui a apparu, hésiter entre deux solutions, se confondait, il comme si échouait quelque part...

-Est encore qu'est-ce que c'est? Donc descendez!- s'est faite entendre la voix.

Nourgalie s'est éveillé, a ouvert les yeux. Il y avait déjà un soir. Le cheval s'est arrêté devant l'étable. Il y avait côte à côte Koul'barcha et non cela souriait pas, non cela se fâchait pas.Nourgalie a recueilli toutes les forces et elle a souri aussi. Myrza sans sentiments est tombé en travers de la calèche.

- Quelle honte! - s'est indignée Koul'barcha.

Dans l'autare[x] le samovar faisait du bruit.Nourgalie a pris un siège à côté de dastarkhan[xi], buvait longtemps du thé. Combien temps il buvait et qu'il disait, il ne sait pas. Sentait seulement, que buvait beaucoup, mais disait encore plus. Parfois il couler un regard à la belle-soeur du bay, et celle-là lui souriait étrangement, alors il sentait le tremblement vague et parlait avec le plus vif intérêt.

Koul'barcha l’a mis à la place honorable.Nourgalie s'est déshabillé, s'est couché. Elle a caché par son fouetté couverture et voulait partir, mais il l'a appelé.

- Jengey,vas-y!.

- Qu'est-ce que c'est? - Elle innocemment a demandé, s'étant incliné vers lui. Il l'a saisi par le coude,a siroté chez lui-même.

- Ouille,ouille, bay!.Ho-on-teux. - Elle langoureusement a tendu. -Si soudain verront?

Sa voix a sonné, cependant, faiblement, et l'instituteur n'a rien entendu.A attrapé la belle-soeur de bay...

Ensuite il s'est réveillé de nouveau. Dans la yourte il y avait obscurité, comme dans la tombe. Quelqu'un comme si léchait ses joues, le cou.

,,D'où s'est mis ici le chien?,, - il a pensé et s'est rappelée Koul'barcha dans son embrassements. Elle s'est serrée plus fortement.

- Que vous avez fait avec moi? Vous m'avez déshonoré,- elle chaudement a murmuré.

De nouveau les baisers, de nouveau les embrassements chauds...

ІІІ

Eh bien, l'instituteur, combien tu mets?

Efflanqué, maigre, comme l'allumette, le hardi cavalier noir,en battant les cartes, a dirigé le regard malicieux, enjoué sur Nourgalie.

- Sur cinq roubles.

- Mais en effet, cinq tu dois déjà...

- Eh bien, donc dix roubles.

- Aboule ton fric!

- Toi distribue, l'argents ne partiront pas.

- Hé, non.Cela ne se passera pas comme ça. À la dette je ne donne pas- Le hardi cavalier efflanqué s'est détourné du l'instituteur et s'est adressé à son voisin.

- Combien voulez-vous y mettre?

Des gens s'est rassemblés beaucoups. Les meilleurs hardis cavaliers de l'aoul se sont réunis sur le jeu de cartes. Jouait Joumagoul. Jouaient et les habitants de l'aouls.

Rester en dehors du jeu à cause de la pénurie d'argent semblait au professeur blessant, est plus bas que sa dignité. Il a pris en haine le ladre-banquier, comme le chien enragé. Nourgalie a touché la belle-fille de l'aoul au genou.

- Donne des roubles vingt.

- Jette, chéri, ne sortira pas. Tu n'as pas encore rendu ces trente roubles.

- Je recevrai le traitement - je rendrai.

- Ainsi ton traitement et seulement trente roubles.Le reste d'où tu prendras?

Les hardis cavaliers écoutant la conversation,s'est  mis en belle humeur. Quelqu'un juste pour le plaisir,a crié aux adolescents se pressant chez le seuil:

- Holà,les copains, appelez le cocher. Chez le professeur l'argent s'est achevé.

Le banquier a découvert deux cartes devant Nourgalie. Un de ceux s'est trouvé l'as de carreau.

— On n'avait pas de chance le professeur. Ait de l'argent lui — il y avait "un incendie" - quelqu'un des joueurs a souri.

Nourgalie s'est fâché, voulait sortir, mais ne pouvait pas s'arracher au jeu. Le banquier a découvert huit cartes, suivant -"Neuvième carré". Il l'a tendu prudemment du jeu, a louché un peu sur la carte et de la joie avec la force a frappé selon le feutre. Même la poussière s'est levée. S'est trouvé

- "L'incendie"!

-Hé, le professeur,pas de chance pour vous!Toi sans talent,- ont fait du bruit les joueurs.

Nourgalie a sauté et est sorti en courant à la cour.

L'air respirable - après la maisonnette crépie d'argile étouffante renfermée - instantanément a regonfledé lui. Nourgalie a déboutonné le manteau pour qu'il était plus facile de respirer, et s'est arrêté à la méditation. Il n'y a pas de sens de revenir. Personne ne lui donnera l'argent à titre de prêt. Le plus, peut-être, raisonnable -aller à la place de jeux,prendre un pot, faire le joli cœur avec les jeunes filles, avec les gonzesses.

À cette idée Nourgalie on s'avait rappelé en premier lieu Dil'da, la soeur Jouman. La jeune fille blanche de visage, tout à fait mûre.

Son rire, l'allure, les manières, la conduite - tout la distingue des autres pairs. Depuis que Nourgalie vit dans cet aoul, il la voyait vraiment  seulement une fois. Les parents de Jouman très cordial, les braves hommes.Ils trouvent les copains du fils comme tout formé , compété et leurs invitent  invariablement chez eux-même en visite.Vendredi passé ils ont invité et Nourgalie. Plus tôt, de loin, il d'une façon quelconque ne pas prêter attention à la jeune fille, mais l'a examiné l'autre fois de près.

Une petite hutte étroite était archicomblet. Quand Nourgalie est entré, l'air renfermé a frappé à lui à la personne. La lampe à suspension brûlait irrégulièrement. La petite flamme de la mèche s'est jetée, a tressailli, n'a pas éteint à peine.

Près du seuil se sont rassemblés les enfants. Ayant remarqué le professeur, ils se sont écartés et l'ont manqué. À la fois du four dans l'angle droit se sont placées côte à côte les jeunes filles et les gonzesses. Bord à bord vers elles se sont installés les adolescents.

- Le professeur est venu, - quelqu'un a dit.

Tous se sont présentés pour lui. Nourgalie un peu s'est attardé est tombé en face de Dil'da.

S'amusaient par le jeu «Mets la paume». Animateurs - la jeune fille et le hardi cavalier - marchaient selon des séries,en agitant les ceintures torsadés. Le tour est arrivé à Dil'da.

- Mettez votre paume,-a dit le hardi cavalier,ayant emménagé chez la jeune fille.

- Regrettez, battez plus doucement... La peau bouffera, - a souri Dil'da et à peine a mis dehors le stylo de dessous d'une longue manche.

- Qui est?

- La personne au contraire,- Dil'da a indiqué à Nourgalie.

Le professeur en souriant a tendu docilement la paume.

Les garçons étaient fouettés selon la paume par la jeune fille. Lippu, face plate, elle, astucieusement a enroulé la ceinture, battait à tour de bras, sans regretter, avec la jouissance véritable.  Nourgalie même a sursauté de la douleur.

-En voilà assez! Ainsi vous jusqu'à la mort clouerez, - il a dit.

Lippu a montré ses dents assez :

- Répondez, qui?

- La personne au contraire! - Nourgali aussi a répondu.

Envoyaient quelques fois Nourgalie et Dil'da conduisant à les uns avec les autres. Déjà chez les deux flambaient les paumes. Premier n'a pas subi Dil'da. Ayant tiré malicieusement à lui par les yeux, a imploré:

- Peut-être, l'autrui appellerez?.

Il a appelé aussitôt l'autrui. Le jeu se prolongeait.Jeune entre eux-mêmes causaient, chuchotaient, riaient, par les secrets se divisaient. Et soudain soit la jeune fille, soit la  gonzesse a remarqué avec minauderie:

- Quel agile! Tout à l'heure l'amour ont avoué,alors déjà qu'a voulu...

Et tous se sont apaisés.

Dil'da et Nourgalie, en étant assis l'un contre l'autre, un certain temps se taisaient. Premier la jeune fille s'est mise à parler :

- Vous, sembles, est venu des joueurs de cartes passionnés ?

Nourgalie a tressailli. Lui a apparu l'as de carreau.

«Si la femme de l'aoul a occupé vingt roubles, je prendrais toute la banque»,- il a pensé. Et un tel dépit l'a pris soudain qu'il a maudit entre soi-même et la femme de l'aoul, et le banquier, et tous les joueurs de cartes passionnés.

Alors Dil'da, n'ayant pas attendu la réponse, a demandé de nouveau:

- Est-ce que vous n'est pas le communiste?

-Mais pourquoi vous demandez ainsi?

- Simplement il m'est tombé dans l'esprit. En effet, le communiste ne doit pas jouer aux cartes. Mon frère et aux cartes ne joue pas, et aracks ne boit pas du tout.

- Vous voulez que je devienne pieux les sofas ?

- Et en outre ici les sofas? À mon avis, être coupé aux cartes, boire des aracks[xii] jusqu'à l'hébétement personne ne doit pas... Perdre tout jusqu'au dernier sou,je ne te raconte pas?

Donc Dil'da parlait de lui. Et sans celui-là méchant contre tout le monde, Nourgalie était prêt à faire explosion, raconter des impertinences à cette gamine et partir, ayant fait claquer la porte. Mais il n'a pas démarré, on ne sait pourquoi de la place. Il était assis obéissant, triste, comme le charmé. Il semblait, la jeune fille l'a enchanté du sourire et ces mots ingénus, l'a a privé la volonté. De sorte que, elle l'appelle à la confession        Eh mais! Veut,qu'il ait été corrigé?

Il s'est assombri.

- Vous ne voyiez pas mon frère?- Elle a demandé.

- Ne voyait pas.

- Il faut vous faire connaissance. Mon frère - bon! Quand il vient à l'aoul, tous se réunissent chez lui. Lui demandent le conseil, et il conseillera toujours quelque chose efficace, tout expliquera, racontera.

Dil'da racontait longtemps du frère. Il se trouva, il lui a appris à lire et à écrire. Et maintenant elle même lit un peu en russe. En tout cas, sur les revues et les journaux - le frère lui les amène à chaque arrivée - les diplômes lui saisit.

- Vous ne lisiez pas?Dans la revue «Égalité de la femme» s'écrivait comment un hardi cavalier formé a avoué à une jeune fille l'amour, et ensuite l'a trompé... On voit, le serment des hommes ne coûte rien, - elle a ri soudain.

- Vous calomniez les hommes. Pas tous les tricheurs.

- Certes. Je ne dis pas qu'eux tels. Et quand même la plupart tels, jusqu'à présent regardent la femme à l'ancienne manière. En effet les hommes sont plus perfidement des femmes. La perfidie, le mal - tout d'eux part.

- Eh bien, vous dites ainsi, comme si toute la vie était supportée par les offenses des hommes!

- Moi,je suppose ,que n'avais toléré les insultes spécials. Mais les femmes humiliées voyait beaucoup, et la douleur d'elles j'éprouve toujours, comme la sienne.

Nourgalie n'a pas commencé à discuter. Craignait que ne pourra pas. C'est pourquoi a accepté à la fois :

Oui, oui... Vous, certes, êtes droits...

Quelqu'un des adolescents étant assis plus près vers le seuil, a établi la chanson :

 

Soit ma ceinture mauvaise,en revanche - la mienne.

Je vous chanterai,dès lors qu’il insistent: «Chante!»

Comment est la vie, peut-être vous demandez, désiré ?

Eh, combien de mois je ne vois pas ton aspect!

 

Quand a brillé l'aube, ont commencé à se séparer. Dil'da, en disant adieu, a demandé :

- Demain chez nous passerez?

- Je passerai, -s'est réjoui Nourgalie.

- Venez. Chez moi beaucoup de livres intéressants,des revues, des journaux. Nous lirerions ensemble...

 

ІV

Le temps du soir. Dans la maison en argile est sombre. À la place honorable,ayant allongé les jambes, est assis Aman-bay. À côté de lui Nourgalie.De côté Jouman.

- Je ne vous accuse pas, - continuait Jouman – à vous ont fait fausse route différent les fripons de l'aouls et les coquins. Vous êtes devenus l'instrument obéissant par leurs mains. Ils en effet, n'avouent jamais les affaires louches. Ils doivent réaliser le sien, et pour cela ils ne faire pas le dégoûté par rien. Et pour eux est important de faire le professeur  de l'aoul le ridicule et puis l'apprivoiser chez lui-même. C'est pourquoi ils vous collent.

-Ouais.., - a soupiré lentement Aman-bay, mais garder le silence.

Jouman a fait quelques délais, a produit la fumée, s'est mis à parler de nouveau :

- D'une part, les professeurs de l'aouls se trouvent aux chausse-trapes à cause du manque de réflexion et la myopie. Pour qui a créé notre école?Où on doit diriger toutes les connaissances et les efforts du professeur? Comment il doit travailler et à quoi aspirer? Le professeur est engagé à tout connaître fermement. Si la personne ne connaît pas, pour quoi et pour qui il travaille, aucun sens de son travail on ne réussira pas. Ce sera simplement inutile. Mais plusieurs est demandé au professeur. Il est le conducteur de la culture dans l'aoul. Si nous voulons construire le socialisme, régler l'économie socialiste, nous sommes engagés avant tout à obtenir alphabétisation général. Pour cela une voie - les écoles.

Mais plusieurs nos écoles ne répondent pas à sa destination. L'année passée après de longs soins on nous réussit à ouvrir dans cet aoul l'école. En six mois d'hiver, il se trouve, les enfants n'apprenaient pas de réellement aucun jour. Il n'y avait pas local. Ont occupé comme l'école un vestibule de bay. Mais le printemps bay l'a adapté pour la gonzesse et a jeté les enfants à la rue. Ainsi quel profit d'une telle doctrine?Et les gens dans les aouls vivent déjà différemment - leur conscience a augmenté. Maintenant tous comprennent, qui à qui l'ami,et qui - l'ennemi. Personne dans l'aoul ne refusera l'affaire utile. Il faut seulement savoir diriger. Est-ce qu'il est très difficile de mettre d'un effort commun pour l'école? Dans cet aoul vingt cours. Quinze d'eux - les pauvres et les paysans moyens.

Si ces quinze maisons se mettent ensemble, - sans cérémonie l'école construiront. Il est important de commencer, allumer,entraîner à sa suite les gens.Qui va faire ce que ce  doit être dans ses cordes,comment non le professeur? Le professeur doit être le début de toutes les bonnes initiatives dans les aouls. Son affaire réveiller la conscience de classe, pointer les gens vers de bonnes affaires. Autrement il ne répond pas aux exigences, qui sont présentés au professeur soviétique.

Jouman, en finissant de fumer la cigarette, a regardé en dessous à Nourgali. Il semblait, il réfléchissait :,,Lui parvient ma parole ou je dis en vain?,, Nourgalie, suant de la confusion et la gêne, écoutait.

Aman-bay a choisi les pieds, a saisi les mots de Jouman:

Dis ou ne dis pas - mais les professeurs eux-mêmes sont coupables en plusieurs cas. Sont devenus paresseux. Plusieurs et la noblesse ne souhaitent rien, alors même les journaux et ils ne souscrivent pas.

De nos jours, quand le mandataire  venait pour la souscription, près de la plupart des professeurs même de deux roubles et cela ne s'est pas trouvés. Alors en effet, les pouvoirs tâchent - chaque année on annonce les nouveaux cours, cependant aller sur eux personne ne veut pas selon les affaires de famille.

Mais dans les aouls boivent, selon aux invités chancellent. Et en effet, il y a tels, qui s'ennuient du passé. Leur pouvoir Soviétique et toutes ses actions irritent seulement. De plus ils ne peuvent pas même expliquer clairement ce que notamment ils n'aimaient pas et pourquoi. Simplement se renvoyer la balle. À ce qu'on dit, celui-là a dit ainsi, celui-là ainsi a juré le pouvoir. Et si une fois a juré donc non sans raison. Alors, quel genre l'enseignant, s'il est à la traîne dans le sillage de tout le premier venu?Voila  nous prenons, par exemple, Nurgalie. Vous ,probablement, ne le connaissez pas, mais voici je connais bien.

 Nous avec lui apprenions ensemble. Les amis étaient. Souvent, il arrivait, rêvaient : «Ah, nous deviendrons les professeurs, nous recevrons le prétexte aux mains, nous nous déploierons - nous porterons la vérité au peuple». Alors en effet, c'était impossible, mais maintenant, ,sous le régime Soviétique, s'est réalisé toutes, desquels nous rêvions, quand allaient au séminaire de maître. Dis, que cela pas ainsi?

Aman-bay a jeté un coup d'oeil strictement à Nourgalie, et celui-là, ayant tressailli, a répondu :

- Oui, cela ainsi.

-Alors comment expliquer ton comportement actuelle?Pendant six mois à rien tu aus enfants n'as pas appris. Tu ne fais seulement que tu te

 rouler sa bosse ça et là sur les chevaux de Joumagoul et Daoul-bay,donc les déclarations, pétitions griffonner. Tu est devenu genre de  leurs envoyé. Alors comme tu t'es manifesté l'année passée? Tu de moi, bien sûr,tu te vexes. Mais est-ce que je te gronde non pour l'affaire? Est-ce que je blâme incorrectement ton comportement? Eh bien, dis? Et comment?

- Eh,tu es trop dur avec lui,- a ri Jouman.

- Non, - Nourgalie a objecté. - Laissez-le parle. Il est droit. Je suis coupable en effet. Pas seulement je se trompait, mais aussi la jeunesse dans l'aoul a déconcerté par son l'exemple. Confiez : je tout ai compris. Et non aujourd'hui je me suis rendu compte de cela, je déjà un deux-trois mois sens cela.

Il y avait un tel bon ange, qui est direct à moi aux yeux a dit sur tous mes péchés. M'a pris sous les ailettes, tâchait de me déduire sur la voie de la vérité.Beaucoup de choses sont devenues claires pour moi, et maintenant, même après votre discours, j'ai enfin ouvert les yeux . Eh bien, si je vous dis quelque chose,croiriez-vous?

Nourgalie,en scintillant les yeux, regardait alternativement tantôt à Jouman, tantôt à Aman-bay.

- Dis...Peut-être et nous confierons .

- C'est votre affaire, mais connaissez: dès aujourd'hui il n'y a pas plus d'ancien Nourgalie.Je suis maintenant un nouveau, différent Nurgalie. C'était comme être né de nouveau. Je jure que désormais je suis avec vous.Et je travaillerai main dans la main,coude à coude!

Aman-bay ardemment a sauté, a claqué de l'ami selon le dos.

- Mon gars, Nourgalie! Ah mais!Je n'ai pas perdu espoir de toi!

La porte doucement s'est ouverte. Dil'da est entrée.

- Pourquoi êtes-vous assis ici, dans l'atmosphère étouffante? Dans la rue il est bon ainsi,pour que vous se distrayez un peu!

Nourgalie était ému et se sentait ainsi, comme si a enlevé de lui-même la charge. Maintenant, ayant vu Dil'da, il et a perdu la tête: était absolument fou de joie.

-Mais vous connaissez cet ange, qui m'a sauvé? - Il a demandé avec enthousiasme.

- Nous connaissons! - a souri Jouman.

- Alors et qui, qui est? - S'est secoué curieux Aman-bay.

- Voici qui!- Nourgalie a montré à Dil'da. - Voici elle, mon ange gardien. Elle a d'abord dit à propos de mes erreurs.Puis a obligé ensuite à lire les journaux, les revues, les livres. Au départ je faisais cela pour lui, et ensuite vraiment pour mon propre bien. Cela elle m'a conseillé d'écrire à Jouman,de parler, causer avec lui.Je suis redevable à elle!

V

Une nouvelle école récemment construite. La pièce vaste avec quatre fenêtres. En rangs il y a des pupitres. Au mur - en face de l'entrée - le portrait de Lénine encadré par les couleurs.

Au peuple s'est réuni beaucoup: les vieillards, la vieille, la jeune fille, la gonzesse, les enfants - tout l'aoul dans la collecte. Nourgalie s'est levé, s'est appuyé par les poings sur la table, a examiné tous et s'est mis à parler :

- Aujourd'hui nous somme le quatre octobre. Notre grande fête - le septième anniversaire du Kazakhstan Soviétique. En avant encore une fête - la décennie Grand d'octobre. Vers ce jour nous aspirions à construire l'école dans notre aoule. Grâce à l'enthousiasme de la jeunesse et l'aide constante de tous habitants d'aoule nous avons tenu la promesse - ont achevé le chantier de construction vers la glorieuse fête de Kazakh.Nous aidaient constamment et le pouvoir.Fournissaient tous les matériaux de construction nécessaires alloués gratuitement, ont envoyé les pupitres et de différentes appartenances d'école et les allocations. De tous, qui prenait part à la construction de l'école, qui nous soutenait, je remercie au nom du conseil de l'école!

Les enfants se sont alignés sur la règle solennelle, ont crié «Hourra!» Ont applaudi par paume de la main.

Dans les rangs a passé la rumeur des voix. Certains étaient touchés par l'éloquence du professeur, les autres s'enthousiasmaient pour ce que le professeur, ayant refusé le congé de six mois d'été, est arrivé sur le lieu d'hivernage pour diriger la construction.

- Le hardi cavalier s'est trouvé! Tous a mené à la fin!

S'est levé Yerbosyn :

- Je veux dire voici que. L'année passée notre bay - il, à propos, assiste ici - s'est moqué de moi, dit-on, montrez-moi, qu'est-ce vous a donné le povoir Sovietique. Donc, je veux lui montrer.Alekaie, regardez en arrière, voyez maintenant que le pouvoir Soviétique nous a donné!

Alekaie a été altéré le sens, a appuyé par la poitrine sur le bâton, en maugréant :

-  Mais pourquoi t'accroches de moi, me manger vivant tu veux?

S'est levé gravement respecté aqsaqal[xiii] Kystaou-bay :

- Eh, les laïques! Il y avait un temps - nous regardions de travers la jeunesse. Les grondaient, s'en plaignaient. Disaient même que le monde s'écroule, et rien de bon on ne peut pas attendre déjà. L'année passée, quand le professeur est venu à notre aoul, j'étais s'est attristé tout à fait. Quelquefois Il me fallait aller chez Alekaie. Se sont rencontrés dans le chemin voici ce professeur et Joumagoul - le fils du bay.Du thé-sucre chez moi n'était pas. Voici je me suis adressé à Joumagoul - prête, dit-on, Il y a un peu. Comme il à moi gaspillera la bouteille de dessous de l'arack et n'a presque tué. J'alors contre le professeur me suis vexé fortement. Je ne pense pas qu'un homme va sortir de celui-ci. Heureusement, je me suis trompé. Et les temps sont venus pas du tout mauvais, et celui-ci, notre temps, et le professeur a corrigé. Alors quand le professeur a été corrigé, et la jeunesse est allée après lui. Aux cartes ont cessé de jouer. Sur les aracks ont oublié. À l'affaire ont été acceptés. Aujourd'hui nous ouvrons une nouvelle école. De celle-ci, certes, la jeunesse a construit,mais par la jeunesse qui insérait? L'enseignant! Et maintenant   remercie de tout coeur.Soit que t'accompagne, le fils, la chance! Oui se réaliseront tous tes bons désirs! Voici une telle bénédiction est donnée par moi à notre professeur.

La jeunesse s'est mise à applaudir. Il semblait, d'une telle rafale le toit décollera. Il y avait ensuite un concert: les écoliers chantaient, lisaient les vers.Les femmes réunies sur la fête, étaient assises isolément, un peu de côté.

 

 Parmi d'elles il y avait Dil'da. Elle expliquait quelque chose, sur quelque chose racontait. Une jeune femme curieuse a demandé en chuchotant :

- Yerkejan-aou, dit-on, que tu avec le professeur se marier. C'est la vérité?

- Alors comment? - a ri malicieusement Dil'da.

- Non, juste comme ça... Le meilleur hardi cavalier ne trouveras pas.

Leur conversation est entendue Koul'barcha. Et a pâli, et donc a jeté un coup d'oeil ainsi à Dil'da, comme si voulait la brûler par son regard...

Le lendemain ont commencé les études. Il y à eu beaucoup de soucis. Nourgalie, joyeux,animé, installait, aider les enfants sont assises, les enfants rassemblés à la classe. Ayant frappé à la porte, Dil'da est entrée. A souri :

- Je vous félicite!

- Merci! - Nourgali a répondu

 - Et toi avec plaisir! Passez, aide! Nous travaillerons ensemble.

 

1927



[i] Chapeau chaud pour hommes

[ii] la fête de musulman

[iii] Les comités exécutifs des conseils de canton des travailleurs, des paysans

[iv] du lait de jumen

[v]  Prévisions météorologiques pour la semaine en cours

[vi] cadeau de remerciement

[vii] ,,Tête blanche,,

[viii] racine

[ix] l'est et le sud Slaves pain blanc rond, généralement sous la forme d'un anneau

[x] la yourte jeune

[xi]  forme rectangulaire nappe, qui a exposé la nourriture, entre les peuples turcophones d'Asie centrale

[xii] vodka

[xiii] «barbe blanche» en uzbek, un homme âgé et respecté par sa communauté

 

 

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