Si vous avez l'occasion de rencontrer d'un freluquet solidement bâti, aux yeux globuleux, avec la personne jaune étiolée,alors comme chacun sachiez , cela est Moukouche, le fils d’Arystan-bay.
D'ailleurs, il lui-même est prêt à soi-même rappeler, dès qu'à l'aoul quelqu'un des mandataires sera déboulés à l'improviste.
-Il commencera à courtiser à la fois et vraiment ne s'écartera pas loin sur un pas.
- Ha!,il est bon qu'enfin tu es venu, chéri! Nous vraiment t'avons attendu avec impatience!,-il dit, en mettant sous toi, comme on dit les Kazakhs, le coussin de la flatterie.
- Pour le pouvoir soviétique je suis prêt à servir jusqu'à la dernière goutte du sang!, - il chaleureusement déclare une autre fois.
Mais si et après cela tu exprimeras par mégarde l'embarras, Moukouche commence à se battre la poitrine.
- Absolument moi en effet, le pauvre-militant! Moi en effet- Moukouche, le fils d’Arystan-bay! Ont entendu ?
Et alors il te faut confier, que devant toi en effet et il y a ce Moukouche.
Pour la première fois je l'ai rencontré au conseil d'aoul. Les militants et les komsomols de l'aoul alors faisaient le plan de production du kolkhoze. Et soudain le glaçon exactement furibonde aux crues s'est frayé au logement
- Où est le mandataire? C’est vous, non? - quelqu'un s'est approché de moi.
- Alors, qu'est-ce qui ne va pas?
-Voilà le hic! je suis un pauvre-militant. Dans ces bords tous me connaissent. Je suis Moukouche, le fils d’Arystan-bay! Dans la conférence notre kolkhoze doit diriger un représentant. Je demandais de me diriger, mais notre président ne souhaite pas.Il était en général un lnuisible .
Son grand-père faisait le pèlerinage vers la tombe du prophète. Je ne me calmerai pas,en attendant qu'arrache son voile et jusqu'à lui licencie...
Moi pas tout de suite compris et pour cette raison a donné quelques questions. Alors Moukouche en déplacement s'est jeté dans la gueule du loup:
- Mais c'est la bureaucratie!,- il a crié. Cela la déviation droit et de gauche! Mais je connais, où à moi s'adresser! Je et sur vous trouverai la justice!
La kolkhoze parvient par ses affaires lui-même. Si n'importe quel mandataire leurs commence à commander,sur quel travail il y avoir être des paroles? J'ai tenté d'expliquer cela à Moukouche, mais il et n'a pas commencé à écouter. Seulement s'est enflammé encore plus :
- Non,non, c'est la courbure évidente! Vous - courbé!
Sois toi au moins trois fois propre et honnête, mais, si
t'accusent à quelque chose semblable, tu te perdras forcément.
Quand Moukouche s'est éloigné, j'ai commencé à y interroger chez réuni, mais tous seulement échangeaient des coups d'oeils et gardaient le silence. Enfin le garçon de ferme- Dosan s'est indigné :
- Ben, quoi tous se taisez? Dites donc!
-Et toi-même, comment? -lui ont attaqué les autres. Docan a regardé en arrière et, s'étant persuadé que Moukouche est parti en effet et ne se trouve pas sous la porte, a dit calmement :
-Trêve de Moukouche de crâner sur nous!Il est temps de le déduire sur l'eau claire! Vous connaissez, qui il est ?
- Oui, nous autres, certes, connaissons! - ont soupiré tous.
Mais ici la conversation s'est tournée brusquement à une autre partie. Des affaires urgentes chez tous était selon la gorge. Sur le nez - les semailles. Il faut finir le plan de production coûte que coûte. Dire, ainsi, sur Moukouche était la faute de temps.
Pour l'explication de la décision du Comité Central du parti aux aouls ont déferlé les moniteurs et les mandataires. Il me fallut visiter encore une fois dans le kolkhoze "Enbeque". Le conseil d'administration du kolkhoze s'est installé dans la maison d'une pièce en bois. Le long des murs il y avaitent des chaises. Le président du kolkhoze s'est trouvé un jeune hardi cavalier Salim. En saluant, il m'a tendu la grande main calleuse avec noueux, les doigts tenaces. Je l'ai examiné de la tête aux pieds et a décidé : «Sans faute le garçon de ferme ancien». Ainsi il s'avéra : du questionnaire j'ai appris que Salim travailler comme valet de ferme depuis dix ans.
- Je connais art de lire et d'écrire. Seulement s'est libéré l'année passée du salariés agricole. Les membres du kolkhoze ont été choisi par le président,eh bien,voici et je travaille, - me 'sest présenté Salim.
Un autre membre du conseil d'administration s'est trouvée haut en couleurs, visible de lui-même, la jeune personne habillée selon - municipale, l'instituteur, - comme il m'a dit, - arrivant a la kolkhoze pour la liquidation de l'analphabétisme.
- Le compagnon Salim est très occupé,des soucis à revendre, - il a dit.
Sur la table était la feuille du papier. Par dessus par de grandes lettres tortues était déduit : "le Rapport".
«La Kolkhoze" Enbeque "s'est préparé aux semailles du printemps sur pour-cent », - j'ai lu dans ce rapport.
ll y avait en bas une même tortue signature"Salim". Les doigts maladroits, toute la vie ayant affaire seulement avec les fourches à foin et la pelle, étaient tracés de travers par quelques lettres.
- Il y avait chez nous un tel militant - Moukouche. Ont entendu peut-être?
Et souri Salim.
À ce nom j'ai prêté l'oreille:
- Eh bien, ainsi où est- il?
- À la maison. Du kolkhoze est sorti. Maintenant l'exploitant individuel. Ont passé la réunion en général d'aoul. Moukouche est venu.
Il comme se serait apaisé, est devenu raisonnable.Je n'ai pas l'a remarqué une ancien assertivité. Et cependant, il a trouvé à part entière le temps me s'approcher et confidentiellement chuchoter :
- Il est très bon, qu’ils sont venus. Vous attendiez avec l'impatience...
Après l'exposé par le premier a levé la main Moukouche :
S'il est permis de sortir du kolkhoze et vivre avec l'exploitant individuel?
-Et qui vous dit ,que n'est pas permis?- On avait levé ici Salim. Moucouche est devenu gris. A écarquillé les yeux, comme une génisse bouc. S'est tordu par tout le corps, a arraché à la tête de kalgan[i] ouchanka et avec la force a claqué sur le plancher. La poussière s'est levée, comme d'un vieux feutre pourrissant.
- Salim bouche à moi la bouche! Le mot ne fait pas dire! C'est la courbure! Cet arbitraire! La bureaucratie! Je me plaindrai!. - il a crié.
- Sur quoi se plaindre ? Personne ne te serrait.
Et se sont mis à parler ici déjà à tous.
Les membres du kolkhoze "Enbeque" aux réunions fréquentes se sont faits la main ainsi dire qu'ont étalé Moukouch entièrement. De leurs paroles orageuses j'ai compris :
1. Son père - Arystan-bay - le semeur de discorde et le roublard. Était en temps et lieu de bay le larbin et acceptait les pots-de-vin.Moucouche a suivi les traces du père.
2. Avant la formation du kolkhoze Moukouche tenait tout l'aoul dans la peur.
3. Il y avait chez lui dix-huit goals des bovins, et dans la kolkhoze il est entré avec trois. L'autre bétail a vendu, a égorgé, a distribué.
4. Étant le membre de la kolkhoze, semait entre les kolkhoziens la discorde et la révolte. Constamment tous excitait l'un contre l'autre.
5. Interprétait sa guise la lettre du Comité Central du parti et a emmené avec lui-même douze familles de la kolkhoze.
6. Répandait sur l'organisation des kolkhozes les faux bruits et les inventions nuisibles...
Sur tout cela dans la réunion de total d'aoul a dit crûment à Moukouche. Moucouche s'est déchaîné,s'est fâché tout rouge, comme le chameau enrage.
Cela et droit, et la déviation de gauche! Cet abus de pouvoir! C'est la courbure! Cette déformation! La violence sur l'exploitant individuel! Je proteste! Je me plaindrai! Moi...
- Cependant, lui ont répondu court :
- Se plains, combien de tu désires! Mais maintenant - disparais!
Douze pauvres,passé consentant à l'instigation de Moukouche, ont reconnu la faute et ont demandé la réunion de nouveau de les accepter a la kolkhoze. Leur demande ont satisfaitent.
Quand je partais, près de l'enfourchure des chemins s'est rencontré avec Moukouche.Il aussi allait quelque part sur le canasson bai et l’encourageait par ses talons,et se m'étant égalé, a crié :
- Le camarade, toi, je vois, courbé. Tu conduis la propagande incorrecte parmi les exploitants individuels. Par la force tu les conduit à la kolkhoze!
Moucouche est persuadé : une fois,quand je m'occupe de la propagande parmi la population,alors aussi courbé.Et j'ai pensé sur moi-même : ce bistouille, suspendue au-dessus des étiquettes de ligne comme « courbé », «le déviationniste droit», "le gauchiste", "le bureaucrate", en cracher, déjà plusieurs brouiller les idées à la tête.
1930