Әдебиеттi ешкiм мақтаныш үшiн жазбайды, ол мiнезден туады, ұлтының қажетiн өтейдi сөйтiп...
Ахмет Байтұрсынұлы
Басты бет
Арнайы жобалар
Аударма
Mousrepov Gabite « Une nuit d'orage»

25.11.2013 1335

Mousrepov Gabite « Une nuit d'orage»

Негізгі тіл: « Une nuit d'orage»

Бастапқы авторы: Mousrepov Gabite

Аударма авторы: not specified

Дата: 25.11.2013

 

De nombreuses années de mémoire vivante aujourd'hui soulève un très loin déjà le matin d'hiver,quand nous étions à la maison, près d'arnaqués la porte de se gonds,  est envahit Kaysar.

_Entendu-tu,_en colere et  ressentiment  crit-il  à mon père, au lieu d'accueillir,_ C'est mon futur beau-père!, _donc,jusqu'à sa mort ne pas s'asseoir sur la selle de chevaux.- C'etait  Bek Bergen malveillant,_ quoi inventés? _ Il envoye a  moi messenger,il  exige  Kourentebela__ Le cheval de couleur roux. Son voix est coupee en colere. Et mon père était alarmé gravement.

_ Ce quoi, est-il avalé henbane? Pourquoi serait-il ce pris dans sa tête? Kaisar est agite sa main mechamment, il est astucieux, ruse et avide sans potions, récemment  rentre chez eux un mollah; il a fait un rite de circoncision a  fils de  Beekbergen âgé  cinq an. Puis, comme il faut,mollah demande au petit bâtard:dites-moi ,quel  cheval veux_tu?

Et celui n'hésite pas,sans pense, a exige mon cheval: mon Kourentebela, et  son pere Bek Bergen c'est levee ses mains  vers le ciel , dit: c'est le Dieu, lui -même,,nous a  indique son volonte par la bouche de garcon. Il faut, qu'il soit ainsi: il faut,que Kaysar amenne et je peux effacer ta dette: _vois-tu ?, comment et-il généreux mon beau- père?,il affirme, que j'ai  lui la dette  seulement deux vaches gestantes.

Kaysar pas trouver les mots, sauf ce qui a rappelé les nombreux ancêtres et descendants de   Bek Bergena et qu il s'adaptera a son bâtard.

Alors, pour nous, pour les les garcons, ce n’etait pas une nouvelle, que Kaysar a une fiancée dans l’aoul voisin. Mais aucuns de ceux n'est digne pas pour faire un don Kourentebela.

_comment  repondes-tu au messenger de ton beau- pè ma réponse.re?_Demande mon père.

_ Absurdité, absurdité, absurdité, non-sens, voila ma réponse. !!!

Kaysar s'arrête  un instant, puis il reconte encore:

_Doner son cheval unique?, et après  avec  sa a mariée marcher penible a pied jusqu'à village., et moi que faire? Lui conduire  chez moi par la main ?  Non, c’est inpossible, il faut, qu;il n’enseigne pas  a son bâtard.quand il  repondre a mollah, Et ca je dit au messenger.

_oui,  mais oui, - soupira père,- alors quoi ? Mon père a commencé une  conversation longe .si Kaysar vraiment peux taire sa jeune mariée, même si elle l'accepte,commenceront  inimitiés entre aouls., qui’ils  sont vécu dans la bonne entente de voisinage.Mais le fils a résisté .

 -Si mes voisins ne respectent pas la valeur et ont peur de querelle,il faut eux laisser se cacher dans leurs maisons comme une souris.-

- Et comme moi, je vais visiter mes voisin,chez ruse.Il faut ,que Bek Bergen la cherche moi et sa fille,

Il y avait un sillence.on voir, le père. ne sache pas comment faire et quoi dire,et s'il dit , est-ce qu'il est possible , que Kaysar lui ecoutera.Si  chez nous aimons  ses pairs et les ancienes et comme ditent les anciens .Kaysar de tel rare, qui a garde son esprit de réel chevalier , comment on peux lui convaincre.?

Mon père doutait , mais moi, j'etais  admiré par l'audace Kaysar, sa détermination. Et je voulais être comme lui: et pour que mes yeux soitent aussi noirs et vigilants, où brillera  le même étincelles de lueur rougeâtre.

 Kaysar a insisté:

_ comme je vois , – je perdre mon temps à ton maison, certains de ton fils pourront –ils m'emmener?   

 Au moins un.  Le père secoua la tête en hésitant:

_A quoi, mon fils âgés –sont les travailleurs chez Imich, ils sont tres loin, ce garcon, -le pere m'a regarde négligemment, comme tu vois, encore un chiot. Quel genre d'aide de sa part?

_on peux prendre ce baveuse, ton fils sera avec moi, en general tu peux répondre, ; en poursuivant nous, ils pourront visiter vous., mon coeur s'est arête:cet  fois ,que moi  prends l'activité de l'homme des risques - par conséquent,donc  qui vit en moi l'esprit du cavalier a quoi interprètent nos aînés! J'avais peur d'une chose - que mon père parle : «Non ...» Mais il n'a pas dit, et je l'ai essaie de ne montrer pas sa peur, est remonté son pantalon et renifla,d'un  manière.,comme si tout cela ne me concerne pas.

- Je sais que tu ne peux  pas me refuser - a dit Kaysar a père, et comme signe d'approbation cassé sur mon dessus.Kaysar est ouvri notre porte est laisser la maison des nuages ​​épais de l'air glacial. Mon père a  attendu jusqu'à ce que la porte est fermée et se tourna vers moi:

_Regardes!- commencera une querelle , tu ne confondes pas sur les pieds

  Maisje n'écoute pas, je pensais, j'étais considéré digne pour aider Kaisar.Comme un vrai cavalier et le           cheval doivent être un veritable. Le cheval roux avec une étoile blanche sur son front était célèbre dans la région. Il suffise de dire, <<aoul Kourentebela>> et tout le monde sait où il est. Les femmes d'aoul  n'osent pas aller son chemin – on doit céder la place, comme on faire , conformément aux coutumes anciennes.Et ce coursier peux faire des cabrioles et partir comme un soultan en traversent ton chemen .

Il faut que,le vrai cavalier soit un vrai chien.Kaysar a Kok-Daoul( Kok-bleu clair, gris  sorte de chien, daul (daoul- tempête). à partir de son  crête propage ses cheveux noirs et dur - un signe certain que ce n'est pas un chien simple. Les jours d'été  KokDaoul refuge de  chaleur dans son yourte, dans sa place d'honneur, et aucun des invitants  n'a pas concedé son lieu .En hiver Kokdaoul ne gémit à la porte,en prient un peu chaleur, dans le coin de la cour a été couvert chenil, tissé à partir de laine, et le chien reste  là par le temps froid. Et en tôt le matin - a commencé a  justifier son surnom: Tornade  gris. Il n'avait pas de peur  courir trop loin - à la steppe, les bosquets de bouleaux. Et si sur la  neige étaient grandes vestiges des loups, ou l'odeurs des bêtes - se précipiter à la maison , épinglant les oreilles, en sautant autour Kaisar, en aboyant. Entre tous les troi il y avait un comprendre mutuellement: entre Kaysara, Kokdaoula et Kourentebela.  Kaysar est sellé le cheval, et quand dans le village entendit le cliquetis rapide des hoofs, tous savent que, après un certain temps Kaysar revient, passe  un stepe à la maison, et sera attaché a  la selle un loup à maturité avec les dents découvertes de mousse frost et  sanglante sur son visage. Dans la ferme ,chez Kaisar, sauf le célèbre cheval et le célèbre chien-loup a été encore repéré une vache docile, des moutons, des chèvres , mais c'est bétail de la paix etaient sous la garde de sa mère âgée - Baden-Apay.Cette femme- elle était résolue dans ses jugements.

  _..Et – dit elle d'une voix forte, ne se souciant pas, d'accord  son compagnon avec eu ou non - Quel loup attaquera vers  Kokdaoula et vers et Kourentebela? Ce loup n'etait pas et ne soit pas  jamais. Un renard pour notre chenal - c'est juste comme une souris. D'autes fois,  comme si quelqu'un se disputait avec elle, elle est stupéfait.

-Si je bois du  thé, notamment indien. Et qui  boit d'autres infusions de thé - par conséquent, il boit l'eau de vaisselle.

Adultes qu'elle avaient su, avaient peur d'elle, mais les garçons d' aoul mieux qu'autre  quiconque etaitent  apprécié sa gentillesse.

- Mon cher Kaysar ,- Elle a appelé à son fils -. Toutes mes les stocks se terminent, il n'y a rien pour divertir  les enfants.Si  tu étais  dans la ville – achetera  un sac de campo- sampa( les sucrerie, des bonbons ). Ne l'oubliez pas. Baden-Apay , elle  nous a aimées, et nous le savions et nous n'avons pas peur de son  voix.En hiver  tous les gens  essyaient  de hacher les  bois de chauffage ou aller pour apporter la glace du lac et en été, pâturer ses agneaux et les chèvres . dans la maison seulement  Kaysar, qui est  adulte. Et petits-enfants -  elle n'a pas. Mais les chèvres et agneaux! Combien de  conflits d'arrive et combien chacun d'eux a eté frappé sur ses visage ,donc  pour decider  aujourd'hui tour de se baigner dans le lac  Kourentebela  a quoi. Chez  Kaysar ,comme convenu, je suis allé le lendemain ,pour la soirée. Ses amis étaient rassemblés, assiaient et buvaient du thé, en utilisent les serviettes.

Mon arrivée a provoqué un gaieté en générale. Moi a demandé _si j'allais avec  eux ,oui  ou non et que je vais faire si je perde, puis que faire? jeter la  jeune mariée et rechercher moi? On constaté- sur lequel cheval je vais aller à randonnée, si c'etait un jument bedonnant , oui ou non?

 En assurant, qu'oui, dupant autour: on dit , quand ce jument a passé, dix miles de distance on peut entendre son voix -il peut réveilerl'autre  aoul et mettre les choses sur la bonne voie et commencerà un pourchasse. Dans la salle surchauffée j'ai  à froid à la pensée, et du coup Kaysar les écoute et ne me prenne pas.Et inconnu, combien de temps se moquer les cavaliers,si n' intervenir pas Baden-Apay.

_ Qu'est-ce que vous tous  avez sauté sur un? il va aller! Il peut tener le cheval de Kaysar: alors c'etait aussi un avantage.C'est  pour la bonne chance, dans un cas, comme celui-ci, aurait impliqué un garçon sans péché. Tu vas aller, mon poulain - elle se tourna vers moi. – Asseyez, pour boire  du thé. On boive du thé pendent une longe temps, ll y  un longtemps été sombre,et puis nous comme treize cavaliers, nous avons  décidé qu'il était temps de partir.Le temps séparation Baden-Apay me pousse dans son sein qu'une poignée de bonbons et deux boule blanche dur - kourt. Pour ne dormire pas, l'heures de sommeil, il faut grizer, mordre ton kourt, il est acide,-  affamez - Obtenez le Camp- Nou. Le soir tombait une épaisse neige.Il est devenu plus chaud. Le vent en train de commencer. ll  tournait autour d'aoul, comme il ne sache pas de quel  côté aoul bondir. les cavaliers immédiatement , étiré ,leurs chevaux ont fait un grand loup-cervier . Ma jument,avec sa rate du solide , immédiatement est retrouvé dans sa queue. Pas de reste ... Il est bon - il y a six miles de distance, pas plus. Quand je suis arrivé au premire maison d'aoul natal, mes camarades déjà dépeché. Tout avait été accepté à l'avance, et donc conférés près des arbres longtemps. les cavaliers divisée, car se faufiler sur les différentes parties jusqu'à la maison Bek -Berguen. Certains  protégeront l'extérieur, d'autres pénètront à l'intérieur, attacheront les parents de la fiancée, et lui retiront- dès que possible- vite. Selon leur signe, j'ai et  encore d'autres cavaliers il faut , que nous immédiatement sautions vers eux avec nos cheveux.

Le vent est devenu plus fort. Notre tempête de neige a cette nature: Elle n'a pas réglé jusqu'à ce que ne couvre pas  tous les aouls en bancs de neige, donc ,il semble, que la fume descende dès sa sortie de la neige. Et maintenant le vent soufflait violemment, puis tout à coup se cache pour qu'attaque encore à plus grande échelle. Mais cette obscurité opaque neigeux était en notre faveur. Aucun fenêtre n'a pas allumé. Les voix de chiens ne pas être entendus. Les chiens s'étaient cachés pour échapper à la tempête de neige. Après tout, le matin, la tempête  va apaiser . Mais le matin, nous serons à la maison avec nos butin! Donc j'ai pensé .mais pourquoi quelque chose de qu'ils  partent, longtemps  ils n'ont eu appliqué la signe. Mon jument ,de rien faire a commencé à ratisser la neige,afin de se rende à l'herbe de l'année dernière. J'ai immédiatement à pris les lobes. Quel cavalier n'a pas nourisse son cheval à l'occasion. Le cheval  diligemment a creusé par onglons et  sa selle est rampé de ses mouvements ,pas de rien,il faut, qu'il mâche , les forces seront suffisamment  et sur ​​le chemin du retour ne soit pas en reste.Il est possible poursuivre.Un signe de Kaysar je n'attendre pas. Cependant par le siffle et fredonne de la tempête de neige on a entendu un cri strident. J'ai compris: ce n'est pas le crie d'une jeune fille,c'etait une femme, une vieille, sa voix  est fissuré.

_ O~-bay~-ah~ .. Canailles! Scélérats sans vergogne! Puis a été entendu la voix de Kaysar:

_ Lâchez-la! Tu ne vois pas - pas ça!-maintenant, ont crié les autres.

_  Attan! Ennemi!

_  Tournes!

_   Des tirs ont retenti - trois ou quatre. Qui est?: A qui de nous?:

- Chevaux! Qu'attendez-vous!

 J'étais pressé et je n'ai glissé pas immédiatement de la selle, mais et  il me semble, , comme toujours, assez vite mettre le bit, et puis était nécessaire de déplacer le siège, serrer la sangle Mon partenaire a conduit les chevaux jusqu'au  sombres maisons ,aboya, se dissoudra dans la tempête de neige

_Allez-y, allez-y ! Stuipide, stuipide!

Selon de nombreux  fréquentation sourd du troupeau je suppose, que tous les notres se précipitèrent pêle-mêle. Par conséquent,sorter- était nécessaire et pour moi. Mais ou?,je ne sais  pas... J'ai tiré le relais à droite et à gauche. Alors que ma jument a déchiré la neige, j'ai perdu ma direction et maintenant –même si me tue – je ne pouvais pas imaginer où etait mon aoul. J' essayé de passer en entendant les voix, mais le vent d'abord jetai, puis est  noyés les voix. sombrer dans des dérives, et je abrupte fait une embardée sur le côté.Ma jument tombait  dans les dérives, et je abruptement déviais  sur le côté.Jai comprie vite,que j'aurai perdu,perconne n'appelle pas, et ma voix pouvaient  entendre non seulement des amis, mais aussi des ennemis .Et la,sans eux...nuit, un desert triste... Un discordant blizzard hurlant. Non, ce n'est pas un blizzard. C'etaient  hurlement des  génies et des sorcières, des diables et  jettent en silence ses jambes, piquent ses visage avec les aiguilles pointues.Mais je tenu a toutes les forces pour rester sur selle. Mare, trébuchant, tombant toujours dans la neige, toucher son ventre sommets Kouraï de reine des prés. La jument allait`a la direction du vent. Je lâche completement les rênes. . Depuis l'enfance, nous avons entendu, si tu perdes, n'a perdu pas ton tête, laisses la volonté du cheval, et le cheval tu va apporte . Je me souvenais Baden-Apay a tiré la balle de kurt acide et seulement a mis sur la joue, quand ma jument est reniflée et sursauté , j'arrivais à peine à tenir sur selle...Les loups!.. Heureusement, pas des loups. à quelques measures d'avance, sur la neige était monture noire de puits.La cigogne a etait vu. La partie supérieure de la tête etait entré dans l'obscurité.Donc,quelque part pour moi elle de s'est retireé,mais pas ma maison. Près de notre village nous n'avons pas  cette puits. Car la jument  maintenant à grandes enjambées en tout confience et en plus fermeté, j'ai compris - sous les pieds un chemin. Et bientôt, je pouvais sentir l'adeur de fumée, l'odeur de la maison.chez nous, dans le désert - au nord - bâtiment d'hivernage est toujours un exemple: une cour spacieuse, clôturé et couvert, et dans la profondeur du cour - un squat mosaïque en torchis. Veux-tu entrer dans la maison, ailles long des murs,tu ne peux pas passer par les portes.

Attachant la mare dans la cour, j'ai poussé la porte, et elle difficilement, avec difficulté résisté. Hors de l'obscurité - pas pire que dans le désert - le cri a retenti:

_ Qui est là?

­_c'est moi

_ Qui est? ...C'est moi?

J'ai appelé, mais mon nom lui ne dit rien, a expliqué, puis a nomme mon père.

_ Et d'où  tu viennes?

_De la maison

_Pourquoi?

­_Alors...

_ Qui va simplement traîner à une nuit d'orage?

Je ne pouvais pas repondre à cette question , quand il m'a dit  en manière menaçante:

_ Certains voleurs dissolues ne siègent pas à la maison a telle nuit ...Il faut t'attraperer et lier ...

Dans ses mouvements, sa  voix, je comprends - il est jeune. Et puis hors de la salle sur la gauche ,on entendu  une voix de homme âgés:

-  Asylkhan! Qui est venu là?- Qui que ce soit,allez-y!Ma femme, donnes –moi la lumiere! Dans la chambre d'invitee a allumé la lampe. Asylkhan ,sans doute, le fils du propriétaire ,se dépêchant d'accepter  a l'invitation pas trop doucement  il me piquer à l'arrière de la tête,en  dépêchent d'accepter a l'invitation. Par année,il etait  de même âge comme notre Kaysar-set. Il  aussi, en recroqueville moustache, et particulièrement perceptible assombrissement sur ​​les bords des lèvres.La propriétaire etait un homme cinquante ans. Il a jeté sur ses épaules la fourrure,en bâillant les yeux fixés sur moi.On constate, Asylkhan etait son fils: ne les confondes pas!Les deux ont eu les pommettes hautes- grands nez, face d'écarlate. près de la paroi, après avoir recouverte d'une couverture  sur ses têtes, deux laics-les enfants-ressemble, et près de la large lit en bois dans le coin opposé  une femme. je me souviens encore grève Asylkhan  retour de la tête, mais je saluer très poliment.

- Oui, oui, bonjour, - dit-il -. Donc tu est a quoi?

Je sais déjà que mon nom ne dit rien, je l'ai dit, qui est mon père. Le propriétaire, mot à mot répéte les questions posées par son fils, et je répète mot à mot des réponses parce que les autres je ne n’avais pu penser les aures choses. Car  j'étais un infant  et a ce temps je n'appris pas encore inventer les adoultes. Quand il a demandé qui sera juste traîner dans la sombre nuit d'orage, je viens de dire:

_Nous avions voulu dérober une fille!- Le manteau de propriétaire est glissa de ses épaules, mais  il   n'avait pas remarqué.

_ Quelle fille? De quoi?

_ Je ne l'ai pas vu. Les cavalies on dit-la fille de Bek-Bergen.Sous les couvertoure il a eu un chortle en bas et j'ai compris-là couchent les filles, deux , et si les fille-donc n’attendes pas de bon. Le vieil homme me demandait comment Bii. Je ne veux pas dévoiler comme il était, et la conversation est passé bien: il - la question, moi- la réponse, il - la question,moi - la réponse.

_Eh,bien...Volé...?

_ Je ne sais pas. Je gardais les chevaux.

_Et là, arrives comment?

_ On a tiré. La poursuite était. Je suis perdu.

_- Il est allongé tous - fronce les sourcils broussailleux,  fils  de proprietaire- il est un vrai voleur, qui vagabonde la nuit. Nous devons punir lui  sa part.

Je ne comprends pas - il était sérieux ou  il plaisante. Mais là a intervenu maîtresse de la maison, une femme âgée  avec un visage, comme le visage de Baden-Apay

Elle a dit:

_ Ne les écoutes pas , mon fils , n'a peur ...Il y a longtemps ,que je n'avais pas vues  tes parents. Comme Dianne – est-elle belle et bien vivante? Je me suis calmé. Tout droit - c'est le nom de ma mere moi convencre, que tout soit bien , l'annonce dans une maison étrange, qui d'abord  semblait hostile. Et même moustache de proprietaire  tremblait n'a pas qu'un simple mécontentement, par cotre – un sourire aimable.

Mais se reposer, comme il s'est avéré, c'était tôt: . Sous la couverture a été entendu un chortle,qui

 ne cachait plus, et de deux corps est  soulingnés d'une tête.Les  deux pigtails de petite raileuse collait dans toutes les directions comme les deux queues de deux  chèvres noirs. L'autre - doit être plus âgés, plus gros - toujours caché, mais où elle se trouvait, la couverture est tremble.Quoi de si drôle? .. Et cette queue de cochon amarrée moi un l'oeil, me montre sa lange  et de nouveau est disparu sous les couvertures,comme elle n'etait pas l'a .La proprietaire, je pense, a décidé ,que la nuit est boulversé bien avant la fin du soleil et sa voix ne  sonnait pas assez durement,  quand il a dit:

_ Pourquoi invité  n'a pas déshabille, comme s'il atteindre a la maison où ne connaissent pas les lois de l'hospitalité.- Asseyions-nous et parlions ,comme il convient à l'hommes.C'est por moi,apportes le bouilloire,on va boire du thé,c'etait ma femme,-et vous aussi,vous vous levez, Prenez le siège,la place, ou il faut,qu'ils assissent les invités.

C'etait a dit ces deux, qui ont été caché sous les couvertures et ne voulait pas sortir. Tout d'abord, bien sûr, a sauté taquinente impatiente. Elle se leva, se épousseta, comme s'il n'avait pas que dormi ,par contre .quand je me promenais dans le désert,et meme si a mon itinéraire on tir des armes.La second,comme je crois, etait une jeune fille. . Elle timidement s'est détourné en habillant. Et bien que moi aussi je me suis détourné,j'ai pu remarquer  son épaule foncé, son épaisse chevelure noire et épaisse comme quatre corde de laine,sa longue natte. J'ai défait une large ceinture de tanneries.Sur le sol sont tombées des bonbons de bariolés, comme une clairière de la forêt d'emballages du printemps.Un rond morceau de kurt/ des bonbons acide/ a roula sur le sol. La petite taquinente a élargie ses yeux,qu'ils sont devenues  ronds- comme les filles russes :elles j'ai vue quand en automne je suis allé avec mon père au village  de cosaque.La petite taquinente immédiatement moi repoussa.

_ Camphet! Camphet !- Elle a crié et reçoit mon bonbons - Et ça ..? Kourt? Acide? .. Son nez froissé comme si elle ne mange jamais de kurts,mais seulemeny des bonbons. Oh! Pouisse rencontrer d'elle en été au bord du lac, loin des adultes! Ici, il pourrait fouetter avec sa canne! A l'endroit où le cheval - céréales.

_Un à toi, un à moi_c'est pour toi, c'est pour moi...

_ Attends, Kamer!... Assez!. Calmez-vous un peu! C'est- à-dir cette fille avec des bouquets de chèvre sur la tête est nomée Kamar.Mais Kamar ,malgré les exhortations de la fille n'apaise pas.Les bonbons elle serrait dans sa came,avec l'autre main levée le kourt.

_Voici...cette acide tu peux prendre! Comme si quelqu'un lui avait demandée – ce, que je peux prends et ce, qu'il faut laisser. J'ai poussé sa main, mais Kamar tout de meme est poussée ma main la boule dure. Puis Kamar laisse moi tranquil, mais il faut lui aider pour nettoyer le lit.La jeune fille a eu le temps d'habiller. Le chapeau de loutre, rond, et deux bouquets de plumes de hibou,la robe en soie de jaune mou, avec une double frill luxuriante, sur la robe – un  gilet de velours en couleur rouge foncé. Telle, comme elle, pourrait être la fille de Dastan – Kyz- Jibek ou Bayan-Sulu, où ils chantent et parlent à travers de steppe.Encore Kamar m'a montré la langue.Elle était comme une piqûre de serpent, mais cela ne bifurquent. L'hôte ma asseyait  à côté de lui, il a donné un coussin en peluche. Encore une fois, j'ai dû expliquer comment et ce qui s'est passé cette nuit-là.

_Dites-moi,-pourquoi avez-vous décidées de voler la fille de Bek-Berguen.? Il parlait de tel sorte, que je pouvais être franchement.

_ Bek-Berguen- celui-ci, - je l'ai dit, - Il s'avère que pas une bonne personne. Il est envoyé un messager chez  Kaisar, est exigée une jument.Mais tel cheval on ne peut pas trouver:sauteur! À n'importe quelle race vient en premiere.Aucun loups de celui-ci ne va pas disparaître.Est-ce, qu'il y a dans le monde une fille,sur laquelle  pourrait être échangé notre Kourentebel. Le propriétaire hocha la tête et regarda dans le coin on ne sait pour quel raison- là , a côte du lit accroché une peau de loup.

_ Eh... Mais, - J'ai dit, remarquant son regard – chez  Kaysar-son logement il y a un tas de peaux. Il y en a même plus. La petitesse j'ai louée  les prouesses du chasse Kaysar. Mais en général, c'etait vrai.

_Chez Kaysar...? Est-il le futur beau-fils de Bek-Berguen...?Il est connent-Kaysar...?Un bon cavalier...?

_Dans notre aoul, il n'y a pas d'égale.On dit,que dans d'autres aouls aussi n'a pas - je l'ai dit, ce que je pensais.

_ Pourquoi est-il son futur beau-père offensait?

_Est-ce –qu'il offense son beau- père,moi-meme, j'avais entendu comme il dit à mon père:si je donne le cheval,que faire, vraiment aller chercher la mariée à pied? Vraiment comme du mendiant emmener  à la maison.

On apporte bouffées de la bouilloire. L'aînée a commencé à verser le thé l'en blanchiront avec le lait. Et Kamar, qui a grimpé partout où qu'elle  n'a pas appelée, a adopté la tasse.Tout d'adord la hôtesse déposé un cuvette autour d'une bord doré - pas comme les derniers des invités.Kamar , me donnant du thé, est fourré du  bras au-dessus de coude - peut-être un signe de réconciliation. Le propriétaire a pris une gorgée, posa son bol et a demandée(combien des questions il y a dans son stok...?

_Alors, Kaysar est-il est  unique dans tout le monde...? Il n'a pas d'égal...?  Donc,il n'aille pas à pied pour chercher sa mariée?Il ne donne pas sa Kourentebel a son beau—père...?Il est bien fait,- Oui - Il semblait ,exigait la confirmation à les siennes,qu'ils asseyaient derrière de la couvertoure.

_ Ne  t'ennuies...? Pas assez pour intriguer-deviner- murmura sa femme - Assez ... Dites-moi franchement.Kamar de nouveau plongé à moi un regard interrogateur et presque éclaboussé son bol sur la plage, sur au bord  du lac, alorsil faut,que tige flexible siffle dans mes mains!Mais le propriétaire agita sa main, signalant ,que' il ne fait pas attention aux paroles de sa femme, et poursuivit:

_E~f ... Je vois notre invite de la nuit ne comprenait rien. Saches!ce Bek-Bergen, comme vous l'appelez, mon cadet frère, le fils de mon frère aîné. Et pourquoi  tu a versé du thé,tu savais? Non? Fille Bek-Ber guène- Son nom est presque comme le mien – Kamen! J'ai congelé, et je voulais me cacher sous les couvertures pour que n'être pas vu et il porsouivie- Lorsque vous voulez faire quelque chose - ne dites à personne. Les deux savent - ce n'est pas un secret. Bek-Berguen vérifier ce vous serez  jusqu'à ce nuit, et Kamen a envoyée chez moi.Tu a compris...? L'hôtesse fronça les sourcils.

_ Dans le monde il y avaient  des  mauvaises langues ,qui ne détiant rien, comme dans le mauvais sac. Zagira connais-tu  d' aoul? elle etait bavarder.

_ Je savais a tous cela - a commencé de reconter moi  en tant qu'adulte, patron.- Quand mon frère a demandé Kourentebel de vous, je solidement lui a reproché.Est-ce-qu-il ne comprend pas, sa fille doit vit avec Kaysar?  Pourquoi ruiner le menage de beau-fils? Mais Bek-Berguen ne voulait pas écouter.

 Il répète:

- Jeune homme, toute sa  à venir devant lui,  obtiendra une autre coureur pas pire, que la rouge foncée.  L'hôtesse lui a coupée  la parole:

_ A quoi bons des bavardages? L'avidité tout cela!.Il y a deuxième jour, que j'entends, avec  le première cavalier de leur nature je vais envoyer  Kamen chez Kaysar. Pourquoi hésites- tu...? Voila- Kamen,  voici – zhigit-cavalier, laisses, qu'il emmenne!.

j'ai froid...Dont lequels fois pendent de cette nuit...? Telle fille apporter sur ma jument...?ballade elle,comme apporte un pood cents.La rate manque un battement,comme l'axe sur non graissée.

_Alors, Acil-khan,- a adressée a son fils le hôte. –vas-y! Boute-selle les deux chevals.Menera notre invité et notre Kamen-jan/chere Kamen/ chez Baden-Apay. Lui-même ne restes pas longtemps. . Ils sont aujourd'hui à ne pas être avec toi.Et avec Bek-Barguen accépterons,il –comme un tempête,d'abord  il fera un bruit, puis il calmera. Kamen était prêt à partir.Je pensais, pour tel cavalier,comme Kaysar il faisait embellir.Au-dessus de chapeaux Kamen est jetée la châle colorée. . L'hôtesse lui  est donnèe  une légère couche du jambes renard, recouvertant du satin rouge.Et pourtant , pour maintenir chaud -  caftan. Elle  est tirée sa ceinture écarlate, , qu'elle n'ouvre pas de la  vent  sans obstruction. Il est maintenant temps d'adieu. Kamen n'etait pas, comme cela coutume, comme toutes les nouvelles mariées, qui sanglotent dans sa voix et se tordent les mains. Elle a simplement dit:

_ Kadir-Aga! Je n'ai jamais pensée que je devrais laisser cette maison d' ancestres ainsi.- je ne suis pas une galopante , un orphelin sans nom, vous êtes le frère aîné de mon père, de vous, je pars – là  est maintenant mon foyer origine.

_  Sois-tu heureuse ...! ..Eh..! .. Les personnes âgées apprennent, que pleurer la nuit - c'est un péché, Kamen-jan, - dit l'hôte,- mais sa voix aussi tremblait.

La petite  - elle éclata des sanglots et quand nous sommes tous allés dehors, elle a tirait moi en poussant son poing –  mes dos et à l'épaules.-Non, au lieu de ce fou donner sa mare- etait dommage. L'une - Kamen, l'autre - Kamer ... Les noms sont presque les mêmes. Et l'une  d'eux - une vrai Kyz- Jibek, et l'autre –d'abord il faut fouetter.  

Nous sommes allés -Asyl-khan ,devant lui Kamen, puis-moi, car Kamen n'a pas été perdu dans le tempête de neige. Levent a même renforcé, mais, heureusement, soufflait  a côté.Les chevaux de mes compagnons étaient encore rebondissent –ça appelle du colletage loup. . Et ma jument a été forcé se déplacer le galop, pace que ne pouvait pas suivre les rythme d'eux. Nous sommes allés non loin et Kamen est sauvegardé son cheval.

_ Je vois, mon cher insheguim( frere ),que vous avez  de cheval paresseux. Il ne veut pas, que nous arrivons rapidement à votre aoul. Permettez-moi votre Chembur, et vous le pique avec son fouet. Les jeunes femmes, d'entrer dans le village avec son mari, les garçons ne remettent pas par son nom.

Les jeunes femmes, en entrant l'aoul de son mari, les garçons ne remettent pas par ses noms. Ce n'etait pas acceptable.Elles fabriquent les surnoms tendres.Et Kamen m'a appele  inchiguim,comme sa proche, la sienne, et maintenant, je devenais  genre de frère  Kaysar. Près de son maison Ali-khan est congé Kamen a  prit son cheval et comment son père lui avait dit, il est retourné. Karsar apparemment pas encore  est endormi, car ar il a répondu à ma frappe à la fenêtre immédiatement . J'ai  appelé.

_ Oh, chiot! Bel et bien vivant...?,- remercie  Allah ! Pas chez nous – couriez chez vous -la maison! Et comment vos parents n'ont pas se réveiller pour tu  célébrer?

_  D'accord! - Je lui ai dit en colère -. D'abord, ouvrez la porte!.

Dans l'obscurité, il ne pouvait pas  croire que je ne suis pas seul. Il marche devant moi, et Kamen - derrière moi. Dans la maison de Baden-Apay dévisse la mèche de la lampe:

_Vienes-tu,mon cher,-elle  courait vers moi,- Kaisar- est tourné à la maison pour se réchauffer - et allait continuer à recherché toi. Et toi-même, mon cher, tu a trouvé l'aoul! Baden-Apay me gêne, l'embrassa, et soudain a remaré  mon compagnon, qui tenait silencieusement à la porte.

_Kamen, .. où etais-tu? Mon poulain! Mon pauvre..! merci a Dieu,bien que moi laisse tranquille et elle embrassa-Kamin. Elles souriaient, pleuraient, pleuraient, souriaient. D'abord Kaysar a soupris, puis a sauté sur moi...

_C'est toi...?

_Moi...

_Eh~... baveux... cinglé...!

Et plus il ne pouvait dire rien .

Me poussant son poing, comme la jeune fille, dont le nom est presque aussi  comme Kamen.Il 'était très stupide. Baden-Apay tourna vers son fils:

_ Maintenant Kourentebel  tu vas donner a lui...!

_ Comment as-tu pu...? Comment as-tu pu...? - demandait Kaysar.

À partir la confusion, il ne parlait pas avec la mariée.Kamen regarda sournoisement à lui.

_ Comment pourrait-il? .. C'est vous tous se précipitent vers la steppe en entendant coups à peine.Mais il n'a pas peur,il resta, moi a juste manqué chez des voisins, soudain, j'entends:

_Toi, tu est Kamen, vas-y,chez moi. Que faire? Alors, il m'a amené ici.

_ Eh bien ... Le cheval est to, - a accepté Kaysar et tira son chapeau sur mon nez. Et tandis ,que je buvais du thé chaud –  je possédais d'un jument auburn- fiers de notre aoul! Mais comment...? Kaysar-sans Kourentebela et Kourentebel sans Kaysar. C'était difficile imaginer,car ils correspondent étonnamment ensemble. Et s'il y aurait eu un cheval dans les mains de mon père, le père peut déplacer son vieux chapeau , et va montrer sur'aoul. Alors que je pensais, Kaisar m'a demandé:

_Imchegu,vendais tu le cheval...?

 Kamin a fait un signe par l'oeil:

_Inshegim! Pas d'accordes!

Mais Kaysar,il etait encore Kaysar...

_Je vendrais...

_ Qu'est-ce que tu veut pour la rouge foncé?

_Moukhartov- le cheval de deux ans! Donnerais en été.

Et alors il etait temps revenir la maison,je crois, que la mère et le père  ne trouvent pas sa place. Kamen m'a embrassée au revoir. A Baden-Apay est glissés dans sa veste qu'une poignée de bonbons colorés. Seulement Kaysar - comme un égal, comme cavalier - m'a serré la main.

Moukhartov nous a donné noblement en'été. j'ai réussi une seule fois à monter à cheval, lorsque il conduit à la maison.Et puis sur la selle etait mon père...

 

.

Көп оқылғандар